Vos vidéos sont autant de témoignages singuliers qu'il y a de diversité dans la street photo. Tout ceci est passionnant et particulièrement ce photographe strasbourgeois fort sympathique. Merci à vous
Merci d'avoir visionné notre nouvelle vidéo. Nous accordons une grande importance à mettre en avant les membres du SPF dans nos interviews. Restez connectés pour la suite ! ❤
Une bien sympathique déambulation photographique avec un très sympathique guide, merci. Les commentaires de "Scalpa" donnent à réfléchir sur la photographie ce qui est aussi intéressant. Quelques petites précisions historiques : "La couleur perçue comme vulgaire" reprend malheureusement une mauvaise interprétation qui a la vie dure d'un passage extrait d'un texte publié par Walker Evans dans les années 1950. La phrase a été coupée de son contexte, un contexte où Evans, qui travaillait alors pour le célèbre magazine "Fortune", se plaignait non seulement du manque de fidélité de la reproduction des couleurs dans les publications (presse illustrée et livres), mais également de leur rendu général-il suffit de se reporter aux magazines et aux livres de l'époque pour s'en rendre vite compte. A cela il faut aussi ajouter plusieurs choses : tout d'abord pour la presse et les photojournalistes les films couleur étaient beaucoup moins sensibles que les films noir et blanc. Le noir et blanc était beaucoup plus facile et rapide à developper que la couleur. Un autre gros problème qui touchaient les musées, galeries et artistes photographes était que les couleurs passaient très rapidement, pas le noir et blanc (donc problème de conservation et de virage des pigments couleur-d'où le temps de latence du passage du noir et blanc à la couleur, n'ayant rien avoir avec une quelconque "vulgarité perçue" juste de véritables problème techniques). Les deux compères de Meyerowitz (Garry Winogrand et Tony Ray-Jones ("A Day-Off")) travaillaient essentiellement en noir et blanc, surtout pour leurs travaux personnels. Meyerowitz qui avait débuté la photographie sans base après une rencontre fortuite avec Robert Frank, n'avait à ses débuts ni les connaissances techniques ni la chambre noire nécessaires au noir et blanc. Donc il a commencé en achetant du film couleur (diapositives Kodachrome et Ektachrome) et en les faisant développer. Après sa rencontre avec Winogrand, ce dernier lui a montré sa façon de travailler en noir et blanc et a convaincu Meyerowitz de le rejoindre et en photo de rue et en noir et blanc. Après un certain temps et ayant l'impression de tourner en rond, Meyerowitz décida de doubler son Leica chargé en NB d'un autre Leica lui chargé en couleur et de comparer les résultats des deux, notamment lors d'une bourse Guggenheim qui lui a permis de voyager en Europe pendant un an. Au retour, il finira par acheter une chambre 20x25 cm et par travailler avec du film couleur négatif quand celui-ci dans les années 1970-80 est devenu plus fiable, plus disponible, quand le traitement des films couleur et leur tirage fut devenu abordable et fiable (même si les problèmes de conservation demeuraient). Meyerowitz s'est d'ailleurs alors mis à effectuer ses propres tirages couleur. Le National Geographic est une association/société qui est née en 1888. La même année naissait son magazine qui commença à publier des photos en 1905 (noir et blanc puis noir et blanc colorisé et enfin une première réelle photo couleur en 1914, obtenue à partir d'un autochrome Lumière). Donc pas vraiment un phénomène des années 1960-1970 au cours desquelles on assiste à un basculement progressif des amateurs et de la presse vers la couleur. Dire que la couleur a une qualité "vintage" demanderait sans doute à éclaircir le terme de "vintage" qui ne me semble pas du tout approprié ici (le noir et blanc, plus ancien a certainement une aura plus "vintage" que la couleur et de puis bien plus longtemps ;o) N'y a t-il pas à moment donné une confusion entre le sujet d'une photographie et ses qualités esthétiques ? Un sujet ne peut-il pas être parfaitement banal mais sa photographie complètement esthétique et à contrario un sujet extraordinaire (ou du moins le contraire de banal) traité d'une façon parfaitement inesthétique ? Enfin pourrait-on au pays qui a inventé la photographie et l'a donnée au reste du monde se passer des anglicismes surfaits (et donc pouvant ne pas être compris par certains non "initiés"), surtout quand on a les équivalents directs dans notre langue : mise au point plutôt que focus (qui en fait devrait être "focussing"), mise au point automatique plutôt que "autofocus", mise au point par zones (ou applications de la distance hyperfocale) plutôt que zone focussing, et j'en passe... jusqu'à "strit photography" (prononciation française écourtée du "ee". de street évidemment) qui, comme aussi employé dans la vidéo, peut tout simplement se dire photographie de rue. Et si quelqu'un peut me démontrer que "street photography" n'est pas une mode/snobbisme de faux "initiés" et que "la photographie de rue" est différente (surtout pratiquée en France avec l'histoire qu'on en a, bien avant les États Unis), je suis prêt à écouter. Quant à la différence entre photographie numérique (et pas digitale, merci de n'avoir pas employé le terme qui en français signifie ayant rapport avec le doigt (dans l'œil ou ailleurs) alors qu'en anglais un "digit" signifie un nombre à un seul chiffre - soit 0 ou 1 en informatique et photographie numérique) et photographie argentique (ou autre, analogue par exemple, car l'argent n'est pas le seul élément photo-sensible employé en photographie) en terme de prise de vue cela tient plus aux pratiques de chacun qu'à l'outil à proprement parler. Pour avoir passé autant de temps avec le numérique que l'argentique-je n'ai que peu pratiqué les autres techniques analogues-je n'ai pour ainsi dire que très peut changé ma manière de photographier. Je fais autant attention à mes compositions et à la lumière en numérique qu'en argentique, mieux, vis à vis de la lumière j'ai beaucoup plus de possibilités de dosage et de rendu en numérique. Mais chacun sa pratique. Par ailleurs je n'ai jamais constaté de différence de comportement de mes sujets humains que mon appareil soit un réflex chargé de film ou équipé d'un capteur-d'ailleurs les deux ont exactement la même forme vu de face et à moins d'être un franc expert il n'est pas très évident de différencier un Nikon F5 d'un D3 -ou même de différencier un vrai réflex argentiques de la plupart des boitiers numériques non réflex (à viseur électronique intégré) ayant gardé les formes des réflex argentiques. Pae exemple la plupart des boitiers SONY, FUJI, les Nikon jusqu'à la génération Z (et encore), les Leica SL, les Canon... à chacun ses expériences, gardons nous simplement de généralités trop faciles et pas toujours applicables à tous. Bon certes c'est un peu long mais si votre vidéo ne m'avait pas intéressé je ne me serais amusé à cet exercice. Donc encore une fois, et sincèrement, comme affirmé en début de commentaire merci de votre travail à tous les deux.
@@BrunoChalifourMerci Bruno pour ce commentaire révélant vos connaissances et votre bon sens. Concernant votre "combat" pour l’utilisation de la langue française (l’emploi d’une terminologie française) il est certainement perdu (provisoirement ?). Il nous a déjà mené à des non sens qui n’ont fait qu’apporter de la confusion et une perte de précision, comme par exemple le fameux FULL-FRAME. Je vais faire une recherche sur votre nom dans GROGUEULE en espérant encore trouver d’autres passionnantes informations sur la photographie et peut-être de belles photographies?… 😊 N’hésitez pas vous-même à m’aiguiller si vous voulez. Cordialement. BS
Merci beaucoup Pascal, et merci Nijat. Très intéressant 😊 Les gens réagissent donc différemment quand ils se trouvent en face d'un appareil argentique. Tiens tiens tiens, ça donne à penser 🧐 Et ça donne envie d'en refaire un petit peu 🤗 Bravo 😊👍
Merci pour ce partage! Pour ma part j'arpente également les rues de Strasbourg depuis 1979, date à laquelle mes parents m'ont offert un Canon AE1, Ma pratique photo est assez éclectique je fais aussi des photos de paysage en montagne et un peu d'animalier. Je fais de la photo de rue avec un Nikon D500, et bizarrement, Les gens ne sont pas trop surpris, je n'ai jamais eu de mauvaises réactions jusqu'à présent. peut-être que "plus c'est gros, plus ça passe " ;0)
Très chouette vidéo et belle découverte de ce photographie passionné. Par contre techniquement pour la réalisation de la vidéo, il y a moyen d'améliorer quelques points. A commencer par l'utilisation d'un stabilisateur style gimbal. J'ai eu beaucoup de mal à regarder la vidéo en entier tellement l'appareil qui film part dans tous les sens... Mais c'est facile à améliorer. Belle vidéo et chouette chaîne que je viens de découvrir, continuez comme ça🙂
En Argentine, comme dans de nombreux pays, la relation avec la photographie semble plus naturelle, et les gens perçoivent souvent les photographes comme des témoins de la vie quotidienne, plutôt que comme des intrus. En France, avec l’omniprésence des réseaux sociaux, il y a une certaine méfiance, particulièrement concernant la photographie d’enfants, ce qui est compréhensible compte tenu des préoccupations liées à la vie privée. En Asie où je vis , particulièrement en Thaïlande les gens soient généralement plus ouverts et apprécient davantage la photographie comme un art ou un moyen de capturer des moments précieux, sans cette méfiance. Cela doit rendre la pratique de la photo de rue plus fluide et agréable. Avez-vous remarqué des différences significatives dans la manière dont les gens réagissent lorsqu’ils sont photographiés en Asie par rapport à l’Europe ?
Photographe très sympathique avec une bonne culture photographique classique. Par contre , pour moi , il ne fait pas de photos de rue mais des portraits de gens dans la rue , ce qui n’est pas très intéressant à mon sens . Le traitement jaunâtre de ses photos n’ajoute rien . Je pense qu’il est très sympathique et très gentil et bienveillant, ce qui l’empêche de faire de vraies photos de rue . Pourtant Strasbourg et sa magnifique architecture et ses touristes très nombreux devraient lui fournir un terrain de jeu sans limite. Je lui ai trouvé des faux airs de Guillaume de Tronquedec, avec ce côté gentil et « bon élève « . Il faut qu’il se lache et photographie à l’arrache . Et ce sera remarquable !..
Il parle bien le photographe mais ses photos .... m'ouais! A part une ou deux, elles sont trop 'posées', donc artificielles et 'bien pensantes'. Le vrai "photographe de rue" ne demande pas de permission. Il "vole" un instant, une situation, une mimique! Par ailleurs, son histoire de différence de réaction chez les gens, selon qu'il a, lui en tant que photographe, un appareil argentique ou numérique, je me demande comment les gens savent qu'il porte un numérique ou analogique ?.... sachant que la grande majorité des gens ne font pas de différence ou s'en moque. (J'ai un Nikon Zfc chrome/argent : souvent quand une personne s'intéresse à l'appareil en tant que tel, elle croit que j'ai un appareil analogique des années 50 ou 60 alors que c'est un numérique actuel !!!!) La seule chose, c'est que les personnes photographiées se sentent souvent "attaquées", surprises, visées, voire "volées" d'où des réactions violentes des fois avec la sempiternelle remarque du droit à l'image ! J'viens d'aller sur son site où j'ai pu voir plus de photos que celles montrées ici dans la vidéo : elles sont bien meilleures et pas posées. Donc, félicitations pour les images vues sur son site; Et bonne continuation.
c'est absolument évident que le numérique fait un peu "safari" d'où la réaction des gens !! quand je fais de la street , j'utilise presque exclusivement un rolleiflex qui déclenche systématiquement la sympathie et parfois un hasselblad 500C/M qui est lui aussi très bien accepté .. parce que je ne me cache pas .. l'hasselblad me permet d'utiliser les distagon 60/50/40 mm et même le F-distagon 30 qui pour un 6x6 est un fisheye !! parfois même j'utilise un bergheil 9x12 qui intéresse beaucoup les gens de la rue ..
Vos vidéos sont autant de témoignages singuliers qu'il y a de diversité dans la street photo. Tout ceci est passionnant et particulièrement ce photographe strasbourgeois fort sympathique.
Merci à vous
Super vidéo, bravo Nijat et Pascal ❤️
👍👍📷📷Géniale vidéo , plusieurs points communs avec Pascal en photos , notamment L'Argentique qui rime avec Magique !!! trop cool 📷📷👍👍
Merci d'avoir visionné notre nouvelle vidéo. Nous accordons une grande importance à mettre en avant les membres du SPF dans nos interviews. Restez connectés pour la suite ! ❤
Une bien sympathique déambulation photographique avec un très sympathique guide, merci.
Les commentaires de "Scalpa" donnent à réfléchir sur la photographie ce qui est aussi intéressant. Quelques petites précisions historiques :
"La couleur perçue comme vulgaire" reprend malheureusement une mauvaise interprétation qui a la vie dure d'un passage extrait d'un texte publié par Walker Evans dans les années 1950. La phrase a été coupée de son contexte, un contexte où Evans, qui travaillait alors pour le célèbre magazine "Fortune", se plaignait non seulement du manque de fidélité de la reproduction des couleurs dans les publications (presse illustrée et livres), mais également de leur rendu général-il suffit de se reporter aux magazines et aux livres de l'époque pour s'en rendre vite compte. A cela il faut aussi ajouter plusieurs choses : tout d'abord pour la presse et les photojournalistes les films couleur étaient beaucoup moins sensibles que les films noir et blanc. Le noir et blanc était beaucoup plus facile et rapide à developper que la couleur. Un autre gros problème qui touchaient les musées, galeries et artistes photographes était que les couleurs passaient très rapidement, pas le noir et blanc (donc problème de conservation et de virage des pigments couleur-d'où le temps de latence du passage du noir et blanc à la couleur, n'ayant rien avoir avec une quelconque "vulgarité perçue" juste de véritables problème techniques).
Les deux compères de Meyerowitz (Garry Winogrand et Tony Ray-Jones ("A Day-Off")) travaillaient essentiellement en noir et blanc, surtout pour leurs travaux personnels. Meyerowitz qui avait débuté la photographie sans base après une rencontre fortuite avec Robert Frank, n'avait à ses débuts ni les connaissances techniques ni la chambre noire nécessaires au noir et blanc. Donc il a commencé en achetant du film couleur (diapositives Kodachrome et Ektachrome) et en les faisant développer. Après sa rencontre avec Winogrand, ce dernier lui a montré sa façon de travailler en noir et blanc et a convaincu Meyerowitz de le rejoindre et en photo de rue et en noir et blanc. Après un certain temps et ayant l'impression de tourner en rond, Meyerowitz décida de doubler son Leica chargé en NB d'un autre Leica lui chargé en couleur et de comparer les résultats des deux, notamment lors d'une bourse Guggenheim qui lui a permis de voyager en Europe pendant un an. Au retour, il finira par acheter une chambre 20x25 cm et par travailler avec du film couleur négatif quand celui-ci dans les années 1970-80 est devenu plus fiable, plus disponible, quand le traitement des films couleur et leur tirage fut devenu abordable et fiable (même si les problèmes de conservation demeuraient). Meyerowitz s'est d'ailleurs alors mis à effectuer ses propres tirages couleur.
Le National Geographic est une association/société qui est née en 1888. La même année naissait son magazine qui commença à publier des photos en 1905 (noir et blanc puis noir et blanc colorisé et enfin une première réelle photo couleur en 1914, obtenue à partir d'un autochrome Lumière). Donc pas vraiment un phénomène des années 1960-1970 au cours desquelles on assiste à un basculement progressif des amateurs et de la presse vers la couleur.
Dire que la couleur a une qualité "vintage" demanderait sans doute à éclaircir le terme de "vintage" qui ne me semble pas du tout approprié ici (le noir et blanc, plus ancien a certainement une aura plus "vintage" que la couleur et de puis bien plus longtemps ;o)
N'y a t-il pas à moment donné une confusion entre le sujet d'une photographie et ses qualités esthétiques ? Un sujet ne peut-il pas être parfaitement banal mais sa photographie complètement esthétique et à contrario un sujet extraordinaire (ou du moins le contraire de banal) traité d'une façon parfaitement inesthétique ?
Enfin pourrait-on au pays qui a inventé la photographie et l'a donnée au reste du monde se passer des anglicismes surfaits (et donc pouvant ne pas être compris par certains non "initiés"), surtout quand on a les équivalents directs dans notre langue : mise au point plutôt que focus (qui en fait devrait être "focussing"), mise au point automatique plutôt que "autofocus", mise au point par zones (ou applications de la distance hyperfocale) plutôt que zone focussing, et j'en passe... jusqu'à "strit photography" (prononciation française écourtée du "ee". de street évidemment) qui, comme aussi employé dans la vidéo, peut tout simplement se dire photographie de rue. Et si quelqu'un peut me démontrer que "street photography" n'est pas une mode/snobbisme de faux "initiés" et que "la photographie de rue" est différente (surtout pratiquée en France avec l'histoire qu'on en a, bien avant les États Unis), je suis prêt à écouter.
Quant à la différence entre photographie numérique (et pas digitale, merci de n'avoir pas employé le terme qui en français signifie ayant rapport avec le doigt (dans l'œil ou ailleurs) alors qu'en anglais un "digit" signifie un nombre à un seul chiffre - soit 0 ou 1 en informatique et photographie numérique) et photographie argentique (ou autre, analogue par exemple, car l'argent n'est pas le seul élément photo-sensible employé en photographie) en terme de prise de vue cela tient plus aux pratiques de chacun qu'à l'outil à proprement parler. Pour avoir passé autant de temps avec le numérique que l'argentique-je n'ai que peu pratiqué les autres techniques analogues-je n'ai pour ainsi dire que très peut changé ma manière de photographier. Je fais autant attention à mes compositions et à la lumière en numérique qu'en argentique, mieux, vis à vis de la lumière j'ai beaucoup plus de possibilités de dosage et de rendu en numérique. Mais chacun sa pratique. Par ailleurs je n'ai jamais constaté de différence de comportement de mes sujets humains que mon appareil soit un réflex chargé de film ou équipé d'un capteur-d'ailleurs les deux ont exactement la même forme vu de face et à moins d'être un franc expert il n'est pas très évident de différencier un Nikon F5 d'un D3 -ou même de différencier un vrai réflex argentiques de la plupart des boitiers numériques non réflex (à viseur électronique intégré) ayant gardé les formes des réflex argentiques. Pae exemple la plupart des boitiers SONY, FUJI, les Nikon jusqu'à la génération Z (et encore), les Leica SL, les Canon... à chacun ses expériences, gardons nous simplement de généralités trop faciles et pas toujours applicables à tous.
Bon certes c'est un peu long mais si votre vidéo ne m'avait pas intéressé je ne me serais amusé à cet exercice. Donc encore une fois, et sincèrement, comme affirmé en début de commentaire merci de votre travail à tous les deux.
Félicitations, quelle profondeur intellectuelle ! 😍
@@StreetPhotographyFrance Merci. Malheureusement plus de connaissances factuelles (les ans en sont la cause) que de profondeur intellectuelle ;o)
@@BrunoChalifourMerci Bruno pour ce commentaire révélant vos connaissances et votre bon sens. Concernant votre "combat" pour l’utilisation de la langue française (l’emploi d’une terminologie française) il est certainement perdu (provisoirement ?). Il nous a déjà mené à des non sens qui n’ont fait qu’apporter de la confusion et une perte de précision, comme par exemple le fameux FULL-FRAME. Je vais faire une recherche sur votre nom dans GROGUEULE en espérant encore trouver d’autres passionnantes informations sur la photographie et peut-être de belles photographies?… 😊 N’hésitez pas vous-même à m’aiguiller si vous voulez. Cordialement. BS
Merci beaucoup Pascal, et merci Nijat. Très intéressant 😊
Les gens réagissent donc différemment quand ils se trouvent en face d'un appareil argentique. Tiens tiens tiens, ça donne à penser 🧐 Et ça donne envie d'en refaire un petit peu 🤗
Bravo 😊👍
Pascal est un merveilleux artiste, chargé d’humilité. Il faut le suivre sur les réseaux sociaux, un des meilleurs IG pour les amoureux d’art.
🙏😍
Merci pour ce partage! Pour ma part j'arpente également les rues de Strasbourg depuis 1979, date à laquelle mes parents m'ont offert un Canon AE1, Ma pratique photo est assez éclectique je fais aussi des photos de paysage en montagne et un peu d'animalier. Je fais de la photo de rue avec un Nikon D500, et bizarrement, Les gens ne sont pas trop surpris, je n'ai jamais eu de mauvaises réactions jusqu'à présent. peut-être que "plus c'est gros, plus ça passe " ;0)
👌👏👏👏👏 bravo
Très chouette vidéo et belle découverte de ce photographie passionné.
Par contre techniquement pour la réalisation de la vidéo, il y a moyen d'améliorer quelques points. A commencer par l'utilisation d'un stabilisateur style gimbal. J'ai eu beaucoup de mal à regarder la vidéo en entier tellement l'appareil qui film part dans tous les sens... Mais c'est facile à améliorer.
Belle vidéo et chouette chaîne que je viens de découvrir, continuez comme ça🙂
Ce monologue m'a fait penser a c'est arrivé peu de chez vous 😎
Mais très bonne vidéo tout de même
En Argentine, comme dans de nombreux pays, la relation avec la photographie semble plus naturelle, et les gens perçoivent souvent les photographes comme des témoins de la vie quotidienne, plutôt que comme des intrus. En France, avec l’omniprésence des réseaux sociaux, il y a une certaine méfiance, particulièrement concernant la photographie d’enfants, ce qui est compréhensible compte tenu des préoccupations liées à la vie privée.
En Asie où je vis , particulièrement en Thaïlande les gens soient généralement plus ouverts et apprécient davantage la photographie comme un art ou un moyen de capturer des moments précieux, sans cette méfiance. Cela doit rendre la pratique de la photo de rue plus fluide et agréable. Avez-vous remarqué des différences significatives dans la manière dont les gens réagissent lorsqu’ils sont photographiés en Asie par rapport à l’Europe ?
👏👏👏👏
Photographe très sympathique avec une bonne culture photographique classique. Par contre , pour moi , il ne fait pas de photos de rue mais des portraits de gens dans la rue , ce qui n’est pas très intéressant à mon sens . Le traitement jaunâtre de ses photos n’ajoute rien . Je pense qu’il est très sympathique et très gentil et bienveillant, ce qui l’empêche de faire de vraies photos de rue . Pourtant Strasbourg et sa magnifique architecture et ses touristes très nombreux devraient lui fournir un terrain de jeu sans limite. Je lui ai trouvé des faux airs de Guillaume de Tronquedec, avec ce côté gentil et « bon élève « . Il faut qu’il se lache et photographie à l’arrache . Et ce sera remarquable !..
Il parle bien le photographe mais ses photos .... m'ouais! A part une ou deux, elles sont trop 'posées', donc artificielles et 'bien pensantes'. Le vrai "photographe de rue" ne demande pas de permission. Il "vole" un instant, une situation, une mimique! Par ailleurs, son histoire de différence de réaction chez les gens, selon qu'il a, lui en tant que photographe, un appareil argentique ou numérique, je me demande comment les gens savent qu'il porte un numérique ou analogique ?.... sachant que la grande majorité des gens ne font pas de différence ou s'en moque. (J'ai un Nikon Zfc chrome/argent : souvent quand une personne s'intéresse à l'appareil en tant que tel, elle croit que j'ai un appareil analogique des années 50 ou 60 alors que c'est un numérique actuel !!!!) La seule chose, c'est que les personnes photographiées se sentent souvent "attaquées", surprises, visées, voire "volées" d'où des réactions violentes des fois avec la sempiternelle remarque du droit à l'image !
J'viens d'aller sur son site où j'ai pu voir plus de photos que celles montrées ici dans la vidéo : elles sont bien meilleures et pas posées. Donc, félicitations pour les images vues sur son site; Et bonne continuation.
c'est absolument évident que le numérique fait un peu "safari" d'où la réaction des gens !!
quand je fais de la street , j'utilise presque exclusivement un rolleiflex qui déclenche systématiquement la sympathie et parfois un hasselblad 500C/M qui est lui aussi très bien accepté .. parce que je ne me cache pas .. l'hasselblad me permet d'utiliser les distagon 60/50/40 mm et même le F-distagon 30 qui pour un 6x6 est un fisheye !! parfois même j'utilise un bergheil 9x12 qui intéresse beaucoup les gens de la rue ..
👏👏👏👏