Comment peut-on apprécier le fait que l'éditeur publie des règles en écriture inclusive ??? C'est une hérésie de notre belle langue. Je ne vois aucun intérêt à utiliser un truc qui nuit à notre langue et qui est rejeté par l'éducation nationale. C'est une horreur totale à lire, c'est imbuvable. Heureusement que les règles sont courtes. C'est un manque de respect pour tous les dyslexiques qui n'arrivent pas à lire cette chose...
Salutations Kubalay, Alors moi ce que j'apprécie au-delà de l'écriture inclusive, c'est le fait que les femmes et en l'occurrence ici les joueuses, ne soient pas mises à l'écart systématiquement dans les livrets de règles (ou qu'en tant que personnages jouables elles ne soient pas cantonnées à des rôles secondaires et/ou de potiches dévêtues etc.) Je trouve ça moche en effet le côté des points séparateurs de l'écriture inclusive, que pour ma part j'ai depuis toujours écrit de cette façon là : tou(te)s pour dire toutes et tous par exemple. Mais même si je trouve ça moche, ça n'a pas empêché ni complexifié ma lecture, raison pour laquelle je n'en ai pas fait grand cas. Je ne suis par contre pas sûr que ma façon d'écrire soit plus lisible pour les dyslexiques ou autres personnes ayant des troubles pour lire. Une langue se doit d'évoluer ou en tout cas de changer si elle ne veut pas devenir une langue morte, donc de là à dire que penser aux femmes nuit à notre langue, c'est un pas que je ne franchirai pas personnellement. Il faut quand même savoir qu'on a une des langues les plus compliquées à apprendre (même pour celles et ceux qui ont de l'alphabet en commun avec nous) pleine de règles illogiques et autre, donc belle : pas forcément (même si je l'aime notre langue). Par exemple pourquoi si je suis le seul homme dans un groupe de femmes, le masculin va l'emporter ? La logique voudrait l'inverse puisque dans ce cas de figure elles sont plus nombreuses. Eventuellement même, dans l'idéal et à choisir, je préférerai qu'on arrête de se compliquer la vie avec les féminins et les masculins ou même les pluriel chelous, l'anglais est beaucoup moins contraignant à ce niveau là par exemple. Ensuite pour avoir côtoyé le milieu de l'Education Nationale toute ma vie, je suis désolé mais ça ne peut pas être pris comme une référence tant les personnels sont traités comme de la merde, que le système est complètement aberrant, les programmes scolaires de moins en moins bons et qu'il y a tant d'élèves qui sont laissé(e)s sur le côté et sacrifié(e)s par les réformes successives. Le vrai problème n'est pas tant que ça soit moche, barbare pour notre langue etc. est-ce que ce n'est pas plutôt le fait qu'on ne pense pas les choses pour celles et ceux qui sortent de la norme (les dyslexiques dans votre exemple) ? Pourquoi ne pas envisager des livrets de règles qui a l'instar de certains romans pour enfants (collection dyscool par exemple) seraient rédigés pour faciliter la lecture par les personnes dyslexiques ? Dans le même ordre d'idées, aucun livret de règles et très peu de jeux sont déficient(e)s visuels friendly, avec par exemple une notice en braille ou une version sonore etc. c'est donc encore pire pour elles et eux. Tout ça pour dire que des manques de respect, des hérésies et autre, notre société en est truffée et dans tous les genres. Donc quand un éditeur s'empare d'une problématique de société (probablement maladroitement) puisque ça fait tant débat à l'heure actuelle, je trouve ça bien de souligner cet effort de faire changer les choses et de ne pas rester bloqué dans les vieilles règles qui n'ont plus forcément leur place de nos jours. Je suis désolé par contre, car ce n'est pas vraiment un lieu propice pour débattre de ce genre de choses comme pour tous les sujets un peu "touchy" parce qu'on ne perçoit pas les intentions de notre interlocuteur ou notre interlocutrice derrière un texte écrit. Et donc sur ces bonnes paroles, je vous souhaite une excellente journée ;)
Comment peut-on apprécier le fait que l'éditeur publie des règles en écriture inclusive ???
C'est une hérésie de notre belle langue.
Je ne vois aucun intérêt à utiliser un truc qui nuit à notre langue et qui est rejeté par l'éducation nationale.
C'est une horreur totale à lire, c'est imbuvable. Heureusement que les règles sont courtes.
C'est un manque de respect pour tous les dyslexiques qui n'arrivent pas à lire cette chose...
Salutations Kubalay,
Alors moi ce que j'apprécie au-delà de l'écriture inclusive, c'est le fait que les femmes et en l'occurrence ici les joueuses, ne soient pas mises à l'écart systématiquement dans les livrets de règles (ou qu'en tant que personnages jouables elles ne soient pas cantonnées à des rôles secondaires et/ou de potiches dévêtues etc.)
Je trouve ça moche en effet le côté des points séparateurs de l'écriture inclusive, que pour ma part j'ai depuis toujours écrit de cette façon là : tou(te)s pour dire toutes et tous par exemple. Mais même si je trouve ça moche, ça n'a pas empêché ni complexifié ma lecture, raison pour laquelle je n'en ai pas fait grand cas.
Je ne suis par contre pas sûr que ma façon d'écrire soit plus lisible pour les dyslexiques ou autres personnes ayant des troubles pour lire. Une langue se doit d'évoluer ou en tout cas de changer si elle ne veut pas devenir une langue morte, donc de là à dire que penser aux femmes nuit à notre langue, c'est un pas que je ne franchirai pas personnellement.
Il faut quand même savoir qu'on a une des langues les plus compliquées à apprendre (même pour celles et ceux qui ont de l'alphabet en commun avec nous) pleine de règles illogiques et autre, donc belle : pas forcément (même si je l'aime notre langue). Par exemple pourquoi si je suis le seul homme dans un groupe de femmes, le masculin va l'emporter ? La logique voudrait l'inverse puisque dans ce cas de figure elles sont plus nombreuses.
Eventuellement même, dans l'idéal et à choisir, je préférerai qu'on arrête de se compliquer la vie avec les féminins et les masculins ou même les pluriel chelous, l'anglais est beaucoup moins contraignant à ce niveau là par exemple.
Ensuite pour avoir côtoyé le milieu de l'Education Nationale toute ma vie, je suis désolé mais ça ne peut pas être pris comme une référence tant les personnels sont traités comme de la merde, que le système est complètement aberrant, les programmes scolaires de moins en moins bons et qu'il y a tant d'élèves qui sont laissé(e)s sur le côté et sacrifié(e)s par les réformes successives.
Le vrai problème n'est pas tant que ça soit moche, barbare pour notre langue etc. est-ce que ce n'est pas plutôt le fait qu'on ne pense pas les choses pour celles et ceux qui sortent de la norme (les dyslexiques dans votre exemple) ? Pourquoi ne pas envisager des livrets de règles qui a l'instar de certains romans pour enfants (collection dyscool par exemple) seraient rédigés pour faciliter la lecture par les personnes dyslexiques ?
Dans le même ordre d'idées, aucun livret de règles et très peu de jeux sont déficient(e)s visuels friendly, avec par exemple une notice en braille ou une version sonore etc. c'est donc encore pire pour elles et eux.
Tout ça pour dire que des manques de respect, des hérésies et autre, notre société en est truffée et dans tous les genres. Donc quand un éditeur s'empare d'une problématique de société (probablement maladroitement) puisque ça fait tant débat à l'heure actuelle, je trouve ça bien de souligner cet effort de faire changer les choses et de ne pas rester bloqué dans les vieilles règles qui n'ont plus forcément leur place de nos jours.
Je suis désolé par contre, car ce n'est pas vraiment un lieu propice pour débattre de ce genre de choses comme pour tous les sujets un peu "touchy" parce qu'on ne perçoit pas les intentions de notre interlocuteur ou notre interlocutrice derrière un texte écrit.
Et donc sur ces bonnes paroles, je vous souhaite une excellente journée ;)