Nos amis les bêtes - Visites privées

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  • Опубликовано: 7 сен 2024
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    Nos amis les bêtes - Visites privées 5 septembre 2016
    Au service du roi les animaux en captivité
    Les coulisses du zoo de Beauval
    Dans l'intimité de l'école vétérinaire de Maisons-Alfort
    La girafe de Charles X
    Invitée Marie-Claude Bomsel
    Depuis les réserves du Mobilier national à Paris, le Garde-Meuble de la République où l'émission a installé ses quartiers, Stéphane Bern, entouré d'une équipe de reporters-chroniqueurs, dévoile les trésors et les coulisses du patrimoine et de ses institutions.
    VISITES PRIVÉES propose d'explorer une grande thématique, toujours foisonnante, pour découvrir autrement nos monuments, de revisiter le fonctionnement de nos institutions les plus prestigieuses, ou de révéler la face cachée de personnages illustres.
    Ces visites privées se feront grâce à des reportages spécialement tournés pour l'émission mais aussi en compagnie d’un invité, choisi par Stéphane pour partager avec nous son expertise sur le thème du jour.

Комментарии • 3

  • @user-kx2in9wt4b
    @user-kx2in9wt4b 2 года назад

    Гуманный вариант жизни животных в цивилизованном мире 👍👏

  • @jpsqsnakeco1185
    @jpsqsnakeco1185 2 года назад

    Alors déjà, oui le commerce des espèces animales non domestiques est très réglementé et en plus il est très contrôlé puisqu'il est aussi surveillé que la vente illégale de stupéfiants ou encore d'armes. Non, tous les vétérinaires ne sont pas spécialisés dans la contention et le soins des animaux. Et surtout, même si beaucoup de batraciens et de reptiles sont de plus en plus menacés dans leur état naturel la faute n'est pas due uniquement à des prélèvements. La CITES et le réglement CE 338-97 donnent les autorisations de commerce ou non en fonction de la disponibilité des espèces et de leur répartition à l'état sauvage, et en France le certificat de capacité encadre la détention d'espèces plus spécifiques voire dangereuses. Aujourd'hui le député Dombreval met à mal d'ailleurs toutes ces réglementations et tend à interdire purement et simplement la détention des animaux d'espèces non domestiques alors que la plupart des animaux maltraités sont d'abord les animaux domestiques. Il serait temps de réaliser que ce pays a beau croûler sous les textes de lois, cela ne règle pas le problème de fond, l'IGNORANCE.