Quant au fait de rester fidèle à ses valeurs : Une personne peut grandir en valorisant l'obéissance à l'autorité, croyant que suivre les règles est juste. Cependant, en acquérant du savoir sur l'histoire et la philosophie, elle pourrait réaliser que l'obéissance aveugle peut perpétuer des injustices. Elle pourrait alors changer de valeur, passant de l'obéissance à l'autorité à l'importance de l'esprit critique et de l'autonomie morale, comprenant que questionner et résister à l'autorité peut être nécessaire pour combattre l'injustice.
Faire du sport aller au travail regarder la télé aller à des concerts aller au jardin d’enfant les regarder jouer partir en voyage… ne servent à rien et ne sont que des compensations qu’un échappatoire à notre mal-être
Je suis surprise que Camus ne se soit pas d'abord interrogé sur la question de savoir si la vie mérite d'être imposée avant de se demander si elle vaut la peine d'être vécue. Étant donné que le monde est cruel, belliqueux, absurde, et dépourvu de sens absolu, pourquoi continuer à mettre au monde des enfants innocents, qui n'ont aucun moyen de consentir et qui devront en subir toutes les conséquences ? Une telle action est fondamentalement immorale.
Avoir une ou des passion (s) est une excellente réponse à l'absurdité de la vie.
Quant au fait de rester fidèle à ses valeurs : Une personne peut grandir en valorisant l'obéissance à l'autorité, croyant que suivre les règles est juste. Cependant, en acquérant du savoir sur l'histoire et la philosophie, elle pourrait réaliser que l'obéissance aveugle peut perpétuer des injustices. Elle pourrait alors changer de valeur, passant de l'obéissance à l'autorité à l'importance de l'esprit critique et de l'autonomie morale, comprenant que questionner et résister à l'autorité peut être nécessaire pour combattre l'injustice.
Faire du sport aller au travail regarder la télé aller à des concerts aller au jardin d’enfant les regarder jouer partir en voyage… ne servent à rien et ne sont que des compensations qu’un échappatoire à notre mal-être
Hélas oui, nous sommes tous condamnés
Je suis surprise que Camus ne se soit pas d'abord interrogé sur la question de savoir si la vie mérite d'être imposée avant de se demander si elle vaut la peine d'être vécue. Étant donné que le monde est cruel, belliqueux, absurde, et dépourvu de sens absolu, pourquoi continuer à mettre au monde des enfants innocents, qui n'ont aucun moyen de consentir et qui devront en subir toutes les conséquences ? Une telle action est fondamentalement immorale.