Bonjour . Et quelques exceptions en inox 316 L , Une question comment est isolé l accastillage inox des coques acier ou alu , même problème avec le l'est en plomb dans les quilles acier ou alu? Merci
Très bel exposé sur le pour et le contre de ces 2 matériaux. Les remarques sont pertinentes et le schémas très bien iconographiés. Bravo encore pour la qualité de vos interventions!!!
Bonjour, belle vidéo, continuez. Petite remarque sur l’aluminium, il n’y a pas que l’eau de mer, le cuivre aussi, une petite rondelles de cuivre oublié en fond de calle et bonjour les dégâts. Il faut isoler les liaisons inox et aluminium, cela ne fait pas bon ménage. Pour l’incendie la température de fusion est très basse, au alentour de 800 °c. Dans les années 70 c’était la grande mode d’utiliser les superstructures en aluminium pour les Marines de guerre , suite au conflit des Malouines (SHIEFIELD)et les dégâts observés lors des incendies , toutes sont revenu à l’acier voir polyester ( FRGATE FURTIVE ). Les échelles fondaient bloquant ainsi les équipages.
Merci pour ton message 😁 Ps: Je ne suis pas sponsorisée pour parler des bateaux 😂 Suis contente en tout cas que cela te donne envie. La suite dans quelques semaines 😉⛵
Petit podcast technique tout en sirotant un apéro assis au soleil dans le cokpit de mon canot sous le soleil ☀️ d'Andalousie... parfait ! Merci les Nomades ! 👍👋
Très intéressante vidéo ! En effet les ofnis ( objet flottant non identifiés) sont très dangereux pour les bateaux qui ne sont pas construits en aluminium ! Mais l’AIS ne prévient pas de ses ofnis ? L’histoire de Steve Callahan qui a dérivé pendant 76jours en mer à cause d’un ofni ! Son voyage paradisiaque s’est transformé en voyage infernal ! Vous ce avez sûrement vu cette vidéo (a la dérive )
Super vidéo ! Merci. Très synthétique , ça permet de bien comprendre les implications de chaque matériau. J'espère que la suivante traitera des trois autres. PS: j'ai un ketch acier après avoir eu un sloop acier (Deux Finot). Bravo encore et bon vent bonne mer
Bravo pour cette vidéo... Reste que le sujet des matériaux de la coque est comme vous l’avez précisé fonction du programme mais aussi du type de carène ... et du nombre de coques . Il n’y a malheureusement pas de matériaux meilleurs les uns que les autres... en globalité, mais plus ou moins adapté au cahier des charges . Sans entretien , ils finissent tous au fond de l’eau ... tôt ou tard ! Quant au risque d’incendie, le plastique est spectaculaire (voir vidéos) mais les autres matériaux ne font en définitive pas mieux... Bonne continuation!
Encore merci pour toutes les explications!!! je vous découvre depuis peu et je prend un grand plaisir avec tous vos tuto et histoire!!! peut être qu'un jour on se croisera sur L'eau!!
Pour les bateau polyester , j’utiliserais du liège dans le vaigrage ce qui rend presque incombustible et en plus qui isole du froid et de la chaleur d l'électricité et du bruit et rend un peu plus insubmersible, en plus il est anti-fongique j'ai vu qu'il y à aussi des rouleaux aluminium qui peuvent améliorer l'isolation et çà fait une cage de faraday en cas d'orage
Il y a très peu de petits voiliers en alu; chez Alubat, le plus petit monocoque au catalogue mesure 37 pieds, et chez Garcia 45... Et le prix; c'est tellement cher que je ne me pose même pas la question. Bref, matériaux différent, et surtout budget très différents car les rares constructeurs en alu font dans le haut de gamme. Mais si demain un constructeur sort un pogo 8.50 biquille (avec un joli bouchain comme sur un Django) en alu à un prix raisonnable, je suis preneur! Un crash-box, insubmersible, pas de sdb, pas de cloison, cuisine simple (un réchaud à alcool et une glacière 12 volt), moteur hors-bord... Je signe!
@@Martel75069 Le tout premier et seul quillard de chez Alubat... Si je dégote un 28 (dériveur) je lui refais son intérieur (rangement dans le lit breton et couchette dans une moitié du carré); mais il sont rares en occasion.
L'avantage des bateaux en composite polyester après 90 est que la résine est insufflée. Contrairement aux années précédentes, la coque est plus fine mais plus homogène et plus solide. Il y a le problème de l'osmose mais aussi du vieillissement du PVC (qui peut devenir cassant avec le temps) et de la condensation dans la moindre micro bulle interne. L'aluminium (mon père était architecte dans un chantier anciennement connu qui faisait des bateaux en alu) a des défauts surtout lié à l'électrolyse (dans les ports, c'est un vrai carnage même avec les anodes et mailles électriques) et aux champs électriques (surtout avec tous nos équipements actuels). C'est très loin d'être plus solide que les coques polyester au poinçonnement... contrairement aux idées reçues. L'acier est très bien si on a les moyens de rénover la coque tous les ans comme les bateaux de commerce... La qualité du férociment dépend de la mise en œuvre. Théoriquement, avec un ciment bien fibré et un ferraillage structurel adéquate (le ciment est résistant à la compression et non à la torsion.. d'où le fait de l'armer) on a une coque résistante. Le ciment pourrit malheureusement au contact de l'eau et les adjuvants d'imperméabilisation se désagrège avec le temps. Il faut donc bien entretenir la coque à coeur. Le bois à l'avantage d'être renouvelable... On peut faire de l'engrais avec le bateau quelques années après sa mise à l'eau. Sur l'Hermione, ils ont même eu droit à la culture de champignons au bout de 10 ans. Bref, il n'y a pas un matériau mieux qu'un autre...
@@latitudenomade , de rien 😉 Je vais monter en pays breton dans les prochains mois si je trouve un port voulant bien m'accueillir quelques semaines. On se croisera peut-être.
@@AHD270 , comme pour certains bateaux en résine des années 60, où nous avions des éléments structurels en bois pris en sandwich, le bois emprisonné dans la résine va pourrir très rapidement. Si tu regardes les poutres d'une vielle maison, c'est au bout de celles-ci que ça pourrit quand elles sont emprisonnées dans la maçonnerie. Le problème vient que nos résines qui sont inévitablement perspirantes (l'eau traverse et imbibe les bois qui passent leur temps à s'humidifier et à mal sécher par manque d'air). Les bateaux en bois de nos anciens résistaient quelques décennies car les bois étaient d'essence résistante (comme le châtaignier), préparés (séché après la coupe pendant des dizaines d'années), mis en œuvre dans des pièces massives avec de la protection à l'eau (goudron) que du côté exposé (pouvant sécher librement sur le reste), hiverné dans l'eau (et pas au sec... on menait les bateaux dans des eaux douces) pour éviter que le bois joue et face exploser la structure. Aujourd'hui, les bois sont reconstitués avec des essences mélangées, en bois vert dont le séchage n'a duré que le temps de la traversée entre l'Asie et l'Europe. Chaque matériaux a ses avantages et ses inconvénients. Le bois est facilement réparable mais je le préfère pour des unités que l'on met peu à l'eau, rincé et hiverné à l'abri.
Bonjour, Trois remarques : 1) Le chapitre sur l'électrolyse de l'alu est trop succinct. En réalité, il est quasiment impossible de supprimer cette électrolyse : une simple trace humide et salée (conductrice) entre deux matériaux différents suffit. Il suffit de voir les pieds de chandeliers sur un OVNI, très bien construit, et vieux d'une dizaine d'années pour s'en convaincre. Et contrairement aux fuites électriques (catastrophiques mais traitables), il n'y a pas de solution. 2) l'alu n'est pas plus lourd que le polyester qu' à partir de 15/16 m, pas à partir de 10/12 m. Je ne parle pas des OVNI mais, par ex., des lévriers de mer (quillard, léger, rapide, en alu mais restant plus lourd). 3) La réparation de l'alu est un problème très compliqué dès que l'on voyage un peu. Certes on peut embarquer un poste TIG ou MIG avec ses bonbonnes de gaz et d'argon, mais pour souder 10 mm (c'est une grosse installation), il faut au moins 15 mètres de coque et y consacrer un coffre. De plus, une formation professionnelle est indispensable. Pour illustrer cela, regardez juste quel chantier de votre bassin de navigation voudra bien réparer, c'est édifiant. Peut-être un peu plus d'informations sur ces sujets dans vos prochaines vidéos ? Cordialement
Bonjour Louis, merci pour ton retour 😃 J'aurai pu aller plus loin mais c'était deja beaucoup de recherches. Pour répondre, l'électrolyse sur les bateaux en alu est à vérifier régulièrement même si on mets tout ce qu'il faut pour l'éviter je suis d'accord. Pour l'aluminium et le poids en fonction de la taille du bateau je me suis tournée vers des spécialistes en ayant la même réponse à chaque fois. Mais peut-être as-,tu des sources que je n'ai pas ? Pour la soudure, j 'en parle et c'est vrai que ce n'est pas une tâche facile et réalisable tout seul. Mais pas besoin forcément d'être un professionnel, j'ai connu des marins qui ont appris et emmené du matos pour des voyages dans des endroits isolés. Mais c'est vrai, qu' on peut plus aisément travailler sur du polyester soi-même.
Bonsoir, Concernant le poids, un "alu" de 12m très performant comme un levrier de mer pèse 7,8 tonnes alors qu'un polyester comme un X402 pèse 6 tonnes. Je compare des bateaux similaires (longueur, surface de toile,..) et de génération équivalente. Mais plus près de nous, un Pogo 40 pèse moins de 5 tonnes, évidemment c'est un autre monde et qui n'a pas d'équivalent en alu. C'est pourquoi il faut que les bateaux soient plus grands pour avoir un poids équivalent entre alu et polyester. Concernant la possibilité de souder en TIG ou MIG à bord, franchement bravo, mais cela doit rester très rare vu le côté très pointu de l'affaire... Bonne continuation...
Ce qui est dommage c’est le fait que tout ou presque tous les chantiers navals ne traitent les poussières de fibres ? Anti fooling etc et ducoup on mange les poissons qui ont mangé le plastique et tata ta alors les marins si vous aimez la mer vous savez ce qu’il vous reste à faire a part cela bel exposé
Très complet votre vidéo, mais vous ne parler pas de l'acier qui n'est Plus très la mode. C'est bien dommage car il est très ecológico et se travaille partout et facilement ,sa resistente est champion(l'alu peu se déchirer) Je suis en fase final de contruction d'un bulle de soleil a fortaleza et suis bien conscien du problème de corosion. Mais peut-être je me trompe donner moi votre Avis.
Bonjour Bertrand, tout d'abord merci pour votre message. Pour l'acier cela fera partie de la prochaine vidéo avec le bois et le ferrociment. L'inconvénient de l'acier est bien évidemment qu'il rouille, il faut vérifier tous les passe-coques ou une électrolyse peut s'établir, le liston surtout si le pont est recouvert d'un revêtement teck (selon le type de fixation du teck) et toutes les soudures des varangues et membrures, là où elles ne sont pas visibles On se retrouve bientôt pour en parler ☺️ A bientôt
Merci, j'ai entendu dire qu'on ne pouvait pas mettre sur le meme plan un resine polyestaire et epoxy. Apparement l'epoxy aurais une propriete repulsive a l'eau evitant l osmose que n'a pas le polyestaire. vous confirmez ? le cout de l'epoxy est bien plus chere. J'aurais bien voulu avoir votre avis sur les coque GRP ? . Merci pour la video
Bonjour, ouii c'est un bon matériau pour les coques de bateau, mais faut savoir que même lorsqu'il ne semble pas y avoir d' osmose, le risque est permanent pour tous les bateaux en GRP/FRP. Pour minimiser cela, appliquez un revêtement époxydique épais sur la coque pour créer une couche de séparation entre l'eau et le gelcoat. Cela permettra de retarder l'apparition de toute osmose susceptible de se produire. Belle journée 😊
J’ai testé le bordé classique, le cp, le lamellé, la fibre, l’acier. Mais jamais l’alu ni le ferro, par à priori négatif sans doute. Pas de préférence entre ces matériaux. Quoiqu’il arrive, ça demande de l’entretien.
🙂🙂🙂
😉☺️👍
Top
Merci ☺️😉
Merci beaucoup et à très bientôt 👍
Avec grand plaisir ⛵😉☺️
Magnifique vidéo avant d'acheter un voilier. Merci Madame pour vos bon conseilles
Merci Jean 😃😉👍
allez, hop un petit like paske l'équipage de Nomade raconte aussi bien que leur melody est belle :)
Merci 👍⛵☺️😉
P'tit "exposé synthétique" simple à comprendre et bien expliqué ! Merci du p'tit "rappel" 😉👍
Merci 😊👍
👍🏻
Merci 😃😉
Très bien cette vidéo 👍 , merci beaucoup ⛵🙏
Merci à toi pour ton soutien 😉😃⛵
Merci passionnant 😁👍🏼👍🏼👍🏼
Merci Julien 🤩
Merci, vraiment très intéressant.
Merci Chris ☺️😉
A la place de la fibre de verre il y a eu aussi la mode du Kevlar dans les années fin 80/90.
Bravo pour cette video !❤❤❤
Bonjour et merci pour votre retour😊 A bientôt pour la suite 😉⛵
Bonjour .
Et quelques exceptions en inox 316 L ,
Une question comment est isolé l accastillage inox des coques acier ou alu , même problème avec le l'est en plomb dans les quilles acier ou alu?
Merci
Merci beaucoup pour ces explications très très intéressantes et utiles . A bientôt ...
Avec plaisir 😉😃
Très bel exposé sur le pour et le contre de ces 2 matériaux. Les remarques sont pertinentes et le schémas très bien iconographiés. Bravo encore pour la qualité de vos interventions!!!
Merci Bernard 🙏😉 A bientôt
Top top
Merci ☺️😃
Super vidéo encore une fois😊 merci beaucoup
Merci Marcel 😉😃🙏
Merci pour vos vidéos,😄
Avec plaisir Mathieu 😃😉
Très belle présentation. On attend la suite pour l'acier et le bois.
Merci Remi 🙏 Oui, c'est prévu 😉
Superbe vidéo, très intéressante !!
Vivement les autres matériaux ⛵
Merci Sandrine 🙏☺️😉
Bravo et merci
☺️🙏Metci Normand
Super vidéo 👍👍👍
Merci David 😉😃
Bonjour, belle vidéo, continuez. Petite remarque sur l’aluminium, il n’y a pas que l’eau de mer, le cuivre aussi, une petite rondelles de cuivre oublié en fond de calle et bonjour les dégâts. Il faut isoler les liaisons inox et aluminium, cela ne fait pas bon ménage. Pour l’incendie la température de fusion est très basse, au alentour de 800 °c. Dans les années 70 c’était la grande mode d’utiliser les superstructures en aluminium pour les Marines de guerre , suite au conflit des Malouines (SHIEFIELD)et les dégâts observés lors des incendies , toutes sont revenu à l’acier voir polyester ( FRGATE FURTIVE ). Les échelles fondaient bloquant ainsi les équipages.
Merci Olivier pour ton retour 🙏☺️
Merci pour cette serie sur la vie à bord.
Je vais finir par m'acheter un voilier 😂
Merci pour ton message 😁
Ps: Je ne suis pas sponsorisée pour parler des bateaux 😂
Suis contente en tout cas que cela te donne envie. La suite dans quelques semaines 😉⛵
Une petite vidéo très intéressante !
Merci
Merci ☺️😉🙏
J'adore vos vidéos.
Je suis fan.
Fabien Lerner - Brésil
Merciiii Fabien ☺️ On viendra au Brésil en voilier ⛵☺️
Salut la famille. Masterclass comme toujours. Bizz depuis la Colombie
Merci Nick 🤩👍
Très intéressant, un tout grand merci et bravo pour vos vidéos!👍🏼
Merci Alain 🙏⛵☺️
Merci pour l'exposé 😊
Merci Joël 😊
😘
Merci Xavier 😃😄
Petit podcast technique tout en sirotant un apéro assis au soleil dans le cokpit de mon canot sous le soleil ☀️ d'Andalousie... parfait ! Merci les Nomades ! 👍👋
Ohhhh veinards 😃 J'ai adoré l'Andalousie il y a quelques années avant de vivre sur le Nomade. Meg i pour ton retour c'est cool
Je cherche une épave ou un chantier abandonné d une coque alu à partir de 14 mètres à convertir en goélette pour séjourner en patagonie.merci
Salut !! vidéo très instructive !! super travail (comme d'hab !!). Merci pour le partage de vos connaissances ⛵⛵⛵
Merci à toi 👍😃
Salut à vous, merci pour vos vidéos, j'adore votre chaîne! J'apprends énormément grâce à vous!
Salut Samuel, ça fait plaisir un message comme ça 😊🙏 Merci
Au top ! Comme d'hab !
Merci 😉☺️🙏
Merci Mu pour cette vidéo très intéressante ! Bravo pour votre travail, votre chaine est vraiment du bonheur
Merci pour votre message 🙏🙏
Très intéressante vidéo !
En effet les ofnis ( objet flottant non identifiés) sont très dangereux pour les bateaux qui ne sont pas construits en aluminium !
Mais l’AIS ne prévient pas de ses ofnis ?
L’histoire de Steve Callahan qui a dérivé pendant 76jours en mer à cause d’un ofni !
Son voyage paradisiaque s’est transformé en voyage infernal !
Vous ce avez sûrement vu cette vidéo (a la dérive )
Coucou Rafael, eh non ce serait bien si l'AIS pouvait identifier les Ofnis. Merci pour ton message 😊😉⛵
J adore les conseils merciiiiii 🥰
Merci Isabelle ❤😊
C’était super intéressant, merci beaucoup. Bonne continuation à vous deux.
Merci Bertrand 🙏😊 Au plaisir ⛵😁
Super vidéo ! Merci. Très synthétique , ça permet de bien comprendre les implications de chaque matériau. J'espère que la suivante traitera des trois autres. PS: j'ai un ketch acier après avoir eu un sloop acier (Deux Finot). Bravo encore et bon vent bonne mer
Hey merci 😉😃Oui la suite est en route 😉 A bientôt
Bravo pour cette vidéo...
Reste que le sujet des matériaux de la coque est comme vous l’avez précisé fonction du programme mais aussi du type de carène ... et du nombre de coques .
Il n’y a malheureusement pas de matériaux meilleurs les uns que les autres... en globalité, mais plus ou moins adapté au cahier des charges .
Sans entretien , ils finissent tous au fond de l’eau ... tôt ou tard !
Quant au risque d’incendie, le plastique est spectaculaire (voir vidéos) mais les autres matériaux ne font en définitive pas mieux...
Bonne continuation!
Merci Chris pour ton message 😊⛵
Encore merci pour toutes les explications!!! je vous découvre depuis peu et je prend un grand plaisir avec tous vos tuto et histoire!!! peut être qu'un jour on se croisera sur L'eau!!
Bonjour et merci pour vos encouragements 😊 A bientôt
Super ❤️❤️❤️❤️❤️❤️
Merci 😊🙏
👍
👌
Merci José 😉☺️
Super chaine ! ! !
Merci 🙏
😉
Merci Olivier😊
👍👌Plaisir de vous suivre Merci
Bienvenue et merci ☺️⛵😉
Pour les bateau polyester , j’utiliserais du liège dans le vaigrage ce qui rend presque incombustible et en plus qui isole du froid et de la chaleur d l'électricité et du bruit et rend un peu plus insubmersible, en plus il est anti-fongique j'ai vu qu'il y à aussi des rouleaux aluminium qui peuvent améliorer l'isolation et çà fait une cage de faraday en cas d'orage
Merci pour tes conseils 👍
Il y a très peu de petits voiliers en alu; chez Alubat, le plus petit monocoque au catalogue mesure 37 pieds, et chez Garcia 45... Et le prix; c'est tellement cher que je ne me pose même pas la question.
Bref, matériaux différent, et surtout budget très différents car les rares constructeurs en alu font dans le haut de gamme.
Mais si demain un constructeur sort un pogo 8.50 biquille (avec un joli bouchain comme sur un Django) en alu à un prix raisonnable, je suis preneur! Un crash-box, insubmersible, pas de sdb, pas de cloison, cuisine simple (un réchaud à alcool et une glacière 12 volt), moteur hors-bord... Je signe!
Salut et merci pour ton retour 😉☺️ Oui il y a bien plus de grands voiliers en aluminium à des prix assez hauts et pas pour toutes les bourses...
Je viens de vendre mon ovni 25. On en trouve encore d’occasion à des prix abordable en cherchant bien.
@@Martel75069 Le tout premier et seul quillard de chez Alubat... Si je dégote un 28 (dériveur) je lui refais son intérieur (rangement dans le lit breton et couchette dans une moitié du carré); mais il sont rares en occasion.
Merci
Avec plaisir 😊
👍❤🙏
Merci 😉😃
👍👍👍
😊☺️😉
⛵️ ⛵️ ⛵️ Phil...
Merci Phil 😊
belles explications ^^ merci, l alu a l air sympa mais plus cher
👍😊
Ils ont les deux des avantages et inconvénients. En occasion on va trouver plus de bateaux polyester
❤
🙂😍
super vidéo 💗verras ton les autres matières ? bon courage , bonne navigation ⚓⛵
Oui c'est prévu , je bosse dessus actuellement. Bon là on demâte pour tout vérifier avant de prendre le large. On fera une vidéo dessus
Merci pour cette video
Avec plaisir 😊
L'avantage des bateaux en composite polyester après 90 est que la résine est insufflée. Contrairement aux années précédentes, la coque est plus fine mais plus homogène et plus solide. Il y a le problème de l'osmose mais aussi du vieillissement du PVC (qui peut devenir cassant avec le temps) et de la condensation dans la moindre micro bulle interne.
L'aluminium (mon père était architecte dans un chantier anciennement connu qui faisait des bateaux en alu) a des défauts surtout lié à l'électrolyse (dans les ports, c'est un vrai carnage même avec les anodes et mailles électriques) et aux champs électriques (surtout avec tous nos équipements actuels). C'est très loin d'être plus solide que les coques polyester au poinçonnement... contrairement aux idées reçues.
L'acier est très bien si on a les moyens de rénover la coque tous les ans comme les bateaux de commerce...
La qualité du férociment dépend de la mise en œuvre. Théoriquement, avec un ciment bien fibré et un ferraillage structurel adéquate (le ciment est résistant à la compression et non à la torsion.. d'où le fait de l'armer) on a une coque résistante. Le ciment pourrit malheureusement au contact de l'eau et les adjuvants d'imperméabilisation se désagrège avec le temps. Il faut donc bien entretenir la coque à coeur.
Le bois à l'avantage d'être renouvelable... On peut faire de l'engrais avec le bateau quelques années après sa mise à l'eau. Sur l'Hermione, ils ont même eu droit à la culture de champignons au bout de 10 ans.
Bref, il n'y a pas un matériau mieux qu'un autre...
Merci pour votre retour intéressant 😊
@@latitudenomade , de rien 😉 Je vais monter en pays breton dans les prochains mois si je trouve un port voulant bien m'accueillir quelques semaines. On se croisera peut-être.
Et le contre plaque + resine , comme RM ?
@@AHD270 , comme pour certains bateaux en résine des années 60, où nous avions des éléments structurels en bois pris en sandwich, le bois emprisonné dans la résine va pourrir très rapidement. Si tu regardes les poutres d'une vielle maison, c'est au bout de celles-ci que ça pourrit quand elles sont emprisonnées dans la maçonnerie. Le problème vient que nos résines qui sont inévitablement perspirantes (l'eau traverse et imbibe les bois qui passent leur temps à s'humidifier et à mal sécher par manque d'air).
Les bateaux en bois de nos anciens résistaient quelques décennies car les bois étaient d'essence résistante (comme le châtaignier), préparés (séché après la coupe pendant des dizaines d'années), mis en œuvre dans des pièces massives avec de la protection à l'eau (goudron) que du côté exposé (pouvant sécher librement sur le reste), hiverné dans l'eau (et pas au sec... on menait les bateaux dans des eaux douces) pour éviter que le bois joue et face exploser la structure. Aujourd'hui, les bois sont reconstitués avec des essences mélangées, en bois vert dont le séchage n'a duré que le temps de la traversée entre l'Asie et l'Europe.
Chaque matériaux a ses avantages et ses inconvénients. Le bois est facilement réparable mais je le préfère pour des unités que l'on met peu à l'eau, rincé et hiverné à l'abri.
⚓️⚓️
Merci 😊
Bonjour,
Trois remarques :
1) Le chapitre sur l'électrolyse de l'alu est trop succinct. En réalité, il est quasiment impossible de supprimer cette électrolyse : une simple trace humide et salée (conductrice) entre deux matériaux différents suffit. Il suffit de voir les pieds de chandeliers sur un OVNI, très bien construit, et vieux d'une dizaine d'années pour s'en convaincre. Et contrairement aux fuites électriques (catastrophiques mais traitables), il n'y a pas de solution.
2) l'alu n'est pas plus lourd que le polyester qu' à partir de 15/16 m, pas à partir de 10/12 m. Je ne parle pas des OVNI mais, par ex., des lévriers de mer (quillard, léger, rapide, en alu mais restant plus lourd).
3) La réparation de l'alu est un problème très compliqué dès que l'on voyage un peu. Certes on peut embarquer un poste TIG ou MIG avec ses bonbonnes de gaz et d'argon, mais pour souder 10 mm (c'est une grosse installation), il faut au moins 15 mètres de coque et y consacrer un coffre. De plus, une formation professionnelle est indispensable.
Pour illustrer cela, regardez juste quel chantier de votre bassin de navigation voudra bien réparer, c'est édifiant.
Peut-être un peu plus d'informations sur ces sujets dans vos prochaines vidéos ?
Cordialement
Bonjour Louis, merci pour ton retour 😃 J'aurai pu aller plus loin mais c'était deja beaucoup de recherches. Pour répondre, l'électrolyse sur les bateaux en alu est à vérifier régulièrement même si on mets tout ce qu'il faut pour l'éviter je suis d'accord. Pour l'aluminium et le poids en fonction de la taille du bateau je me suis tournée vers des spécialistes en ayant la même réponse à chaque fois. Mais peut-être as-,tu des sources que je n'ai pas ? Pour la soudure, j 'en parle et c'est vrai que ce n'est pas une tâche facile et réalisable tout seul. Mais pas besoin forcément d'être un professionnel, j'ai connu des marins qui ont appris et emmené du matos pour des voyages dans des endroits isolés. Mais c'est vrai, qu' on peut plus aisément travailler sur du polyester soi-même.
Bonsoir,
Concernant le poids, un "alu" de 12m très performant comme un levrier de mer pèse 7,8 tonnes alors qu'un polyester comme un X402 pèse 6 tonnes. Je compare des bateaux similaires (longueur, surface de toile,..) et de génération équivalente. Mais plus près de nous, un Pogo 40 pèse moins de 5 tonnes, évidemment c'est un autre monde et qui n'a pas d'équivalent en alu. C'est pourquoi il faut que les bateaux soient plus grands pour avoir un poids équivalent entre alu et polyester.
Concernant la possibilité de souder en TIG ou MIG à bord, franchement bravo, mais cela doit rester très rare vu le côté très pointu de l'affaire...
Bonne continuation...
Ce qui est dommage c’est le fait que tout ou presque tous les chantiers navals ne traitent les poussières de fibres ? Anti fooling etc et ducoup on mange les poissons qui ont mangé le plastique et tata ta alors les marins si vous aimez la mer vous savez ce qu’il vous reste à faire a part cela bel exposé
❤❤❤❤
Merci Eric 😀😀
Très complet votre vidéo, mais vous ne parler pas de l'acier qui n'est Plus très la mode.
C'est bien dommage car il est très ecológico et se travaille partout et facilement ,sa resistente est champion(l'alu peu se déchirer)
Je suis en fase final de contruction d'un bulle de soleil a fortaleza et suis bien conscien du problème de corosion.
Mais peut-être je me trompe donner moi votre Avis.
Bonjour Bertrand, tout d'abord merci pour votre message. Pour l'acier cela fera partie de la prochaine vidéo avec le bois et le ferrociment. L'inconvénient de l'acier est bien évidemment qu'il rouille, il faut vérifier tous les passe-coques ou une électrolyse peut s'établir, le liston surtout si le pont est recouvert d'un revêtement teck (selon le type de fixation du teck) et toutes les soudures des varangues et membrures, là où elles ne sont pas visibles On se retrouve bientôt pour en parler ☺️ A bientôt
Merci, j'ai entendu dire qu'on ne pouvait pas mettre sur le meme plan un resine polyestaire et epoxy. Apparement l'epoxy aurais une propriete repulsive a l'eau evitant l osmose que n'a pas le polyestaire. vous confirmez ? le cout de l'epoxy est bien plus chere. J'aurais bien voulu avoir votre avis sur les coque GRP ? . Merci pour la video
Bonjour, ouii c'est un bon matériau pour les coques de bateau, mais faut savoir que même lorsqu'il ne semble pas y avoir d' osmose, le risque est permanent pour tous les bateaux en GRP/FRP. Pour minimiser cela, appliquez un revêtement époxydique épais sur la coque pour créer une couche de séparation entre l'eau et le gelcoat. Cela permettra de retarder l'apparition de toute osmose susceptible de se produire. Belle journée 😊
J’ai testé le bordé classique, le cp, le lamellé, la fibre, l’acier. Mais jamais l’alu ni le ferro, par à priori négatif sans doute. Pas de préférence entre ces matériaux. Quoiqu’il arrive, ça demande de l’entretien.
il n'y a pas de matériaux idéal tout dépend du soin et de d'entretient apporté a fil des ans !+
Tu en cites 5 au début de la vidéo et tu ne fais le tour que de deux... Dommage
Bonjour Alexandre, les trois autres sont dans la vidéo suivante 😉
ruclips.net/video/UaPC2iBz3y8/видео.htmlsi=uuiRjKMEengsLZMa
Voilà, il faut juste aller regarder dans les vidéos en ligne 😃
Merci
😊⛵🙏
Merci
🙏☺️