Assure-t-il, les sherpas de l'Everest ne sont pas les moins bien lotis : « Celui qui accompagne une expédition jusqu'au sommet de l'Everest gagne environ 6 000 dollars [4 300 euros], c'est-à-dire, en deux mois, l'équivalent de deux ans de salaire d'un professeur à Katmandou.
Un des sherpas le dit, il a besoin de ce travail pour faire vivre sa famille. Il ne monte pas pour gravir l'Everest comme ceux qui le décident par défi ou pour contempler la nature, mais par nécessité. C'est donc un job qui participe à toute une économie. Et quand on entend les gens qui critiquent Inoxtag par rapport à ça alors qu'ils ont sûrement des vêtements fabriqués en Asie, et qu'ils utilisent des appareils montés ou dont la plupart des pièces proviennent également d'Asie, en connaissant les conditions de travail dans ces pays, ça me fait doucement rire, car ce sont juste des hypocrites.
Assure-t-il, les sherpas de l'Everest ne sont pas les moins bien lotis : « Celui qui accompagne une expédition jusqu'au sommet de l'Everest gagne environ 6 000 dollars [4 300 euros], c'est-à-dire, en deux mois, l'équivalent de deux ans de salaire d'un professeur à Katmandou.
Un des sherpas le dit, il a besoin de ce travail pour faire vivre sa famille. Il ne monte pas pour gravir l'Everest comme ceux qui le décident par défi ou pour contempler la nature, mais par nécessité.
C'est donc un job qui participe à toute une économie.
Et quand on entend les gens qui critiquent Inoxtag par rapport à ça alors qu'ils ont sûrement des vêtements fabriqués en Asie, et qu'ils utilisent des appareils montés ou dont la plupart des pièces proviennent également d'Asie, en connaissant les conditions de travail dans ces pays, ça me fait doucement rire, car ce sont juste des hypocrites.