Belle démonstration nutrition des plantes par les fonctionnalités essentiellement des activités du vivant produit la nutrition à la plante bravo pas besoin d'autre chose que cette construction du vivant
Autre point de vue : Je mets 50 unités d'amminotrate sur la vigne doté d'un enherbement naturel début mai, soit 25 unités de NO3- donc : - Aucun lessivage puisque l'herbe indigène dévore ces 25 unités ( elle pourrait sans doute en dévorer le double avant que la moindre molécule ne parvienne à la vigne ) - ce n'est pas la vigne qui pompe trois fois plus de flotte pour se débarrasser de l'oxygène mais le couvert herbeux, ce qui tombe assez bien vu qu'il y a en général trop d'eau en surface à ce moment là. - l'assèchement des premiers centimètres du sol par l'herbe à cette période rend en outre les passages mécanisés plus aisés. Et voilà que je viens à la suite avec une grosse question au bout : Début mai, avant même l'épandage susdit, mon couvert naturel est déjà entrain d'assimiler de l'azote naturel ( le HH4+ du complexe AH), et, voilà que je lui prodigue ces 25 unités de NO3- ; Le végétal lorsqu'il craque du nitrate ne liquide-t-il pas directement les molécules O3- avec les H+ de l'ammonium ?... Je veux dire que intuitivement cela pourrait coller dans la mesure où tout process biochimique suit la loi du moindre effort... euh, ou alors, les chimistes de haut vol qui ont justement mélangés l'ammonium et les nitrates à dessein sont ils totalement débiles ?...
Passionnant. 1) Une contradiction au sujet de l'amminotrate ce me semble ; si NO3- produit un ph racinaire de 8 et NH4+ un ph de 4.5 cela semble-t-il pas aboutir plutôt à un ph de 6.25 ?... 2) le "travail" du cavaillon est non seulement contraire à une stratégie carbone bien menée mais aussi et surtout cela conduit à un effondrement progressif de la vigueur et de la production car il n'existe aucun outil intercept capable de détruire les vivaces qui jouxtent directement les pieds de vignes. Bref, outre le risque non négligeable en coteaux de se faire éroder le cavaillon, rien ne vaudra jamais un bon coup de glypho juste avant floraison afin de défaner la concurrence dudit cavaillon pendant la période cruciale à savoir stade 8 feuilles jusqu'au stade fermeture de la grappe. 3) Je ne connaissais pas le principe des acides aminés, mais sans le connaître je booste mes productions maraichères depuis des années avec du purin d'orties ( dont les tiges sont ligneuses ) et depuis cette année avec du fumier de cheval fermenté dans de l'eau ( 1 kilo dans 10 litres d'eau ) qui contient beaucoup de cellulose et qui fonctionne tout aussi bien. Mais je n'ai jamais ajouté de sucre vu que la fermentation est lactique. Donc, est-il nécessaire de mettre du sucre pour faire fermenter du brf, ou pourquoi pas des fruits abimés ?...
Belle démonstration nutrition des plantes par les fonctionnalités essentiellement des activités du vivant produit la nutrition à la plante bravo pas besoin d'autre chose que cette construction du vivant
Autre point de vue :
Je mets 50 unités d'amminotrate sur la vigne doté d'un enherbement naturel début mai, soit 25 unités de NO3- donc :
- Aucun lessivage puisque l'herbe indigène dévore ces 25 unités ( elle pourrait sans doute en dévorer le double avant que la moindre molécule ne parvienne à la vigne )
- ce n'est pas la vigne qui pompe trois fois plus de flotte pour se débarrasser de l'oxygène mais le couvert herbeux, ce qui tombe assez bien vu qu'il y a en général trop d'eau en surface à ce moment là.
- l'assèchement des premiers centimètres du sol par l'herbe à cette période rend en outre les passages mécanisés plus aisés.
Et voilà que je viens à la suite avec une grosse question au bout :
Début mai, avant même l'épandage susdit, mon couvert naturel est déjà entrain d'assimiler de l'azote naturel ( le HH4+ du complexe AH), et, voilà que je lui prodigue ces 25 unités de NO3- ;
Le végétal lorsqu'il craque du nitrate ne liquide-t-il pas directement les molécules O3- avec les H+ de l'ammonium ?...
Je veux dire que intuitivement cela pourrait coller dans la mesure où tout process biochimique suit la loi du moindre effort...
euh, ou alors, les chimistes de haut vol qui ont justement mélangés l'ammonium et les nitrates à dessein sont ils totalement débiles ?...
Non c'est juste que les nitrates sont inévitables donc faut miser sur la fraîcheur de l'azote..
Passionnant.
1) Une contradiction au sujet de l'amminotrate ce me semble ; si NO3- produit un ph racinaire de 8 et NH4+ un ph de 4.5 cela semble-t-il pas aboutir plutôt à un ph de 6.25 ?...
2) le "travail" du cavaillon est non seulement contraire à une stratégie carbone bien menée mais aussi et surtout cela conduit à un effondrement progressif de la vigueur et de la production car il n'existe aucun outil intercept capable de détruire les vivaces qui jouxtent directement les pieds de vignes.
Bref, outre le risque non négligeable en coteaux de se faire éroder le cavaillon, rien ne vaudra jamais un bon coup de glypho juste avant floraison afin de défaner la concurrence dudit cavaillon pendant la période cruciale à savoir stade 8 feuilles jusqu'au stade fermeture de la grappe.
3) Je ne connaissais pas le principe des acides aminés, mais sans le connaître je booste mes productions maraichères depuis des années avec du purin d'orties ( dont les tiges sont ligneuses ) et depuis cette année avec du fumier de cheval fermenté dans de l'eau ( 1 kilo dans 10 litres d'eau ) qui contient beaucoup de cellulose et qui fonctionne tout aussi bien. Mais je n'ai jamais ajouté de sucre vu que la fermentation est lactique.
Donc, est-il nécessaire de mettre du sucre pour faire fermenter du brf, ou pourquoi pas des fruits abimés ?...
3 ans, 6000 vues, 5 commentaires bidons... c'est pas gagné
Il va falloir agir plus rapidement, on va tous cramer à ce rythme