A story, a most interesting document and advice from Miles for playing, a very, very good document full of informations. Love story, history of black American and Paris, city of refuge for Jazzmen. Creative men, inventors, great artists of the past, Geniuses Where have today's geniuses gone? ?
J'étais à son dernier concert à Paris (la Villette 1991). Il y a eu en fait deux concerts, le premier avec son orchestre, qui était excellent de sensibilité et de sobriété, devant un public clairsemé et avec un son très calme, très cool, avec beaucoup de musique dedans. Le lendemain, avec tout le gotha, ce n'était pas pareil. Plein de monde, plein de bruits et pas mal de tintamarre aussi (la sono ce jour là était passablement pourrie, rien à voir avec la veille). Ca donnait l'impression d'une revue en grandes pompes et d'un enterrement de première classe. Et Miles était vraiment maussade sur scène, notamment vis à vis de Steve Grossman (dont les chorus étaient passablement ennuyeux), de Dave Holland (je n'ai pas compris pourquoi) et de Herbie Hancock (pas très inspiré ce soir là). On voyait bien aussi que sa hanche lui faisait mal. Le seul moment vraiment extraordinaire fut avec le passage sur scène de Joe Zawinul et de Wayne Shorter pour jouer "In a silent way" avec Miles et Al Foster : Miles était visiblement ému par la longue introduction Shorter/Zawinul et quand il est entré dans le morceau, ce n'était pas comme précédemment une démo ou une sorte de tour de piste, on retrouvait un son unique et une émotion pure comme à son précédent concert. Miles à la fin a applaudi ; visiblement il voulait saluer et marquer un grand respect pour l'aventure magnifique au sein de Weather Report de ses anciens acolytes Shorter et Zawinul avec lesquels il n'avait plus joué depuis au moins 25 ans. C'était dommage de constater la magie de cet instant, presque une occasion manquée du fait de sa brièveté. Un seul concert revival seulement avec ces gars là (et le guitariste John Scofield lequel faisait de la figuration ce soir là), ça aurait été largement suffisant pour Miles et vraiment magnifique pour nous.
magnifique ce documentaire! Très bien résumé et on sent finalement cette énorme sensibilité et pudeur du "prince of darkness" Miles Davis.Plusieurs vies dans une seule comme un chat magnifique...
Très chouette ce documentaire ! Mais quel est le titre du morceau qui passe tout au long de l'émission ? (Juste au début, après que Miles parle de "Playboy", ainsi que maintes autres fois, et encore lors du générique de fin) Merci !
A story, a most interesting document and advice from Miles for playing, a very, very good document full of informations. Love story, history of black American and Paris, city of refuge for Jazzmen. Creative men, inventors, great artists of the past, Geniuses
Where have today's geniuses gone? ?
J'étais à son dernier concert à Paris (la Villette 1991). Il y a eu en fait deux concerts, le premier avec son orchestre, qui était excellent de sensibilité et de sobriété, devant un public clairsemé et avec un son très calme, très cool, avec beaucoup de musique dedans. Le lendemain, avec tout le gotha, ce n'était pas pareil. Plein de monde, plein de bruits et pas mal de tintamarre aussi (la sono ce jour là était passablement pourrie, rien à voir avec la veille). Ca donnait l'impression d'une revue en grandes pompes et d'un enterrement de première classe. Et Miles était vraiment maussade sur scène, notamment vis à vis de Steve Grossman (dont les chorus étaient passablement ennuyeux), de Dave Holland (je n'ai pas compris pourquoi) et de Herbie Hancock (pas très inspiré ce soir là). On voyait bien aussi que sa hanche lui faisait mal.
Le seul moment vraiment extraordinaire fut avec le passage sur scène de Joe Zawinul et de Wayne Shorter pour jouer "In a silent way" avec Miles et Al Foster : Miles était visiblement ému par la longue introduction Shorter/Zawinul et quand il est entré dans le morceau, ce n'était pas comme précédemment une démo ou une sorte de tour de piste, on retrouvait un son unique et une émotion pure comme à son précédent concert. Miles à la fin a applaudi ; visiblement il voulait saluer et marquer un grand respect pour l'aventure magnifique au sein de Weather Report de ses anciens acolytes Shorter et Zawinul avec lesquels il n'avait plus joué depuis au moins 25 ans. C'était dommage de constater la magie de cet instant, presque une occasion manquée du fait de sa brièveté.
Un seul concert revival seulement avec ces gars là (et le guitariste John Scofield lequel faisait de la figuration ce soir là), ça aurait été largement suffisant pour Miles et vraiment magnifique pour nous.
magnifique ce documentaire! Très bien résumé et on sent finalement cette énorme sensibilité et pudeur du "prince of darkness" Miles Davis.Plusieurs vies dans une seule comme un chat magnifique...
Merci ! Un docu intéressant. Me voilà plus cultivé !
Super documentaire
Franchement, merci 🙏
Un pure génie !
Super document, merci beaucoup
Un génie j'ai 4 vynil 33 tout de lui il sont magnifiques
MERCI... PIERRE... IL AVAIT DISPARU SE DOC!!
Ascenseur pour l'échafaud super
Bonjour, d'où vient la musique qui passe pendant la 17e minute ?where come from the music playing during minit 17 ?
+Vincent Dumortier je l'ai recherchée longtemps sans jamais la trouver
Pierre Devos merci pour la recherche ... dommage, c'est une musique lancinante qui me parle, ...
Miles davis « enigma » je pense
Blue greens
Francis Coppieters
Très chouette ce documentaire !
Mais quel est le titre du morceau qui passe tout au long de l'émission ? (Juste au début, après que Miles parle de "Playboy", ainsi que maintes autres fois, et encore lors du générique de fin)
Merci !
Joy spring de clifford brown
26:07 quelle est le nom de la musique ?
g trouvé c "générique" de miles davis (logiquement)
Bonjour, quelqu’un aurait les titres à 17sec et 17m ?
Joy spring clifford brown
Puis blue greens francis coppieter
Milis tu es irremplaçable.
a part miles Davis dans le documentaire que des blancs 🤣