C'est le genre de projets dont je rêvais il y a 10/15 ans. Je trouve génial que ça vienne d'une municipalité. Preuve qu'il n'y a pas que la spéculation foncière et le pognon qui comptent. Merci à cette municipalité, ça fait du bien de voir ça
Combien de temps tiendront ils ? Des projets de ce type ont vu le jour sous bien des formes, communauté, Kibboutz etc depuis la révolution industrielle... Toujours essayer d'échapper à l'aliénation par une recherche de paradis perdu... Mais si l'idée c'est de transplanter des bobos urbains sans le sou en milieu rural cela ne fonctionnera pas. Pour s’implanter durablement en campagne il faut reprendre de l'existant, le retaper, travailler sur place si possible ou au moins participer aux activités locales. Après, la crise du logement est lié au tourisme et aux boomers. Quand ils auront disparus on ne manquera pas de logements... Dans moins de 10 ans le problème est entendu. Quand à l'Etat si il y a bien un responsable c'est lui... Il a organisé totalement l'augmentation des prix, la pénurie de logements avec ses lois, ses normes tout en organisant l'injustice fiscale grâce aux placements fonciers défiscalisés... Tout en volant le maximum d'oseille aux concernés qui continuent à croire que la force publique est là pour eux... quels naïfs...
Pas l'eau courante ni l'électricité dans les maisons individuelles, c'est un peu extrême comme choix, tout de même, surtout avec des enfants. J'espère que cela ne sera pas un obstacle à la pérennité du projet.
Il existe des collectifs de hameaux légers où les habitats sont reliés à l'eau et à l'électricité. Tout dépend du collectif que l'on souhaite intégrer répondant aux mêmes besoins du groupe.
@@Severine77777 , c'est bien le problème de la notion même de collectif... Bail amphytéotique, habitat écologique, réversible et de dimension modérée (liée au nombre d'occupants), bâtiment commun pour certaines fonctions, interdiction de revendre le bien à un prix supérieur à ce qu'il avait coûté à ses concepteurs, cela me semble une belle démarche pour que des jeunes et moins jeunes puissent avoir accès à un habitat non locatif, en particulier dans des zones où le foncier est sous pression. Mais à partir du moment où l'on place de tels projets sous la férule d'un collectif ayant un positionnement extrême tel que celui-ci, il y a un réel dysfonctionnement moral et citoyen: on peut faire de tels choix pour un habitat individuel ou collectif se trouvant sur un terrain privé, mais pas sur une parcelle appartenant à la communauté, confiée par la communauté! On ne peut pas profiter de la solidarité républicaine en écartant tous ceux qui ne répondent pas à une certaine identité politique, car c'est bien de cela qu'il s'agit. Nous ne sommes plus là dans une logique d'équité sociale, écologique, d'entre-aide et de partage qui serait un formidable moteur d'optimisme dans une époque sinistrée mais dans une forme de diktat idéologique. J'ai lu récemment le cas d'un hameau léger, en Dordogne, où quand un résident partait et revendait donc son bien, le nouveau venu devait résider pendant 6 mois avant que le "collectif" valide qu'il puisse rester ou qu'il soit rejeté. Quand des anars-écolos (ce n'est pas une insulte pour moi, au contraire) se mettent à avoir un fonctionnement stalinien, c'est inquiétant.
Son habitat léger pour 16000 euros et pas d'eau et électricité dedans (sauf dans le bâtiment commun). Vous appelez ça accéder à la propriété ? Quelle arnaque. Autant poser une tente pour le prix d'une tente.
C'est le genre de projets dont je rêvais il y a 10/15 ans. Je trouve génial que ça vienne d'une municipalité. Preuve qu'il n'y a pas que la spéculation foncière et le pognon qui comptent. Merci à cette municipalité, ça fait du bien de voir ça
Combien de temps tiendront ils ? Des projets de ce type ont vu le jour sous bien des formes, communauté, Kibboutz etc depuis la révolution industrielle... Toujours essayer d'échapper à l'aliénation par une recherche de paradis perdu... Mais si l'idée c'est de transplanter des bobos urbains sans le sou en milieu rural cela ne fonctionnera pas. Pour s’implanter durablement en campagne il faut reprendre de l'existant, le retaper, travailler sur place si possible ou au moins participer aux activités locales. Après, la crise du logement est lié au tourisme et aux boomers. Quand ils auront disparus on ne manquera pas de logements... Dans moins de 10 ans le problème est entendu. Quand à l'Etat si il y a bien un responsable c'est lui... Il a organisé totalement l'augmentation des prix, la pénurie de logements avec ses lois, ses normes tout en organisant l'injustice fiscale grâce aux placements fonciers défiscalisés... Tout en volant le maximum d'oseille aux concernés qui continuent à croire que la force publique est là pour eux... quels naïfs...
Super ça avance 🎉
Félicitations, le bon sens avance 👍
Va falloir sérieusement que les maires autorisent ce genre de lieu même si ce genre de projet vient de citoyens-- citoyennes
L'idée est originale et écologique mais résistera-t-elle à l'individualisme de notre société ?
Je leur souhaite ! 👍
On minimise l'emprise au sol des maisons, mais on coule des milliers de tonnes de bêton aux pieds des éoliennes. Elle est belle l'écologie.
Wa💗uh🙏
Pas l'eau courante ni l'électricité dans les maisons individuelles, c'est un peu extrême comme choix, tout de même, surtout avec des enfants. J'espère que cela ne sera pas un obstacle à la pérennité du projet.
Il existe des collectifs de hameaux légers où les habitats sont reliés à l'eau et à l'électricité. Tout dépend du collectif que l'on souhaite intégrer répondant aux mêmes besoins du groupe.
@@Severine77777 , c'est bien le problème de la notion même de collectif... Bail amphytéotique, habitat écologique, réversible et de dimension modérée (liée au nombre d'occupants), bâtiment commun pour certaines fonctions, interdiction de revendre le bien à un prix supérieur à ce qu'il avait coûté à ses concepteurs, cela me semble une belle démarche pour que des jeunes et moins jeunes puissent avoir accès à un habitat non locatif, en particulier dans des zones où le foncier est sous pression. Mais à partir du moment où l'on place de tels projets sous la férule d'un collectif ayant un positionnement extrême tel que celui-ci, il y a un réel dysfonctionnement moral et citoyen: on peut faire de tels choix pour un habitat individuel ou collectif se trouvant sur un terrain privé, mais pas sur une parcelle appartenant à la communauté, confiée par la communauté! On ne peut pas profiter de la solidarité républicaine en écartant tous ceux qui ne répondent pas à une certaine identité politique, car c'est bien de cela qu'il s'agit. Nous ne sommes plus là dans une logique d'équité sociale, écologique, d'entre-aide et de partage qui serait un formidable moteur d'optimisme dans une époque sinistrée mais dans une forme de diktat idéologique. J'ai lu récemment le cas d'un hameau léger, en Dordogne, où quand un résident partait et revendait donc son bien, le nouveau venu devait résider pendant 6 mois avant que le "collectif" valide qu'il puisse rester ou qu'il soit rejeté. Quand des anars-écolos (ce n'est pas une insulte pour moi, au contraire) se mettent à avoir un fonctionnement stalinien, c'est inquiétant.
❤💚💜
Que 2 douches communes ? Oulala 😊
Son habitat léger pour 16000 euros et pas d'eau et électricité dedans (sauf dans le bâtiment commun). Vous appelez ça accéder à la propriété ? Quelle arnaque. Autant poser une tente pour le prix d'une tente.
Encore plus simple , une place sous un pont 😢😢😢