Impressionnant, moi qui modestement m'intéresse à notre génial Arthur La poésie prend corps dans la bouche enflammée de Fanny Vive la poésie, vivre la poésie aussi !! Bruno
Fanny ardant des femmes aussi merveilleuses quelle classe et doté d une extrêmement intelligence se compte sur les doigts des mains je lui souhaite une très longue vie
Ce grand vent ....ça claque roule jaillit parfum odeurs couleurs ~~`métamorphoses Courageux de le dire ♡ 💙🎶 Moi je n'ose pas encore...tellement c'est...~~``~° ♡ tellement ~`!
Malgré tout le respect que j'ai pour la grande Fanny Ardant, j'estime que cet émerveillement un peu naïf (pour ne pas dire niais) ne correspond pas au déchainement de violence qui s'opère au sein du bateau qui se retrouve d'un coup libéré de ses entraves. D'autant que le poète expressément expose le caractère destructeur de l'expérience et les regrets qui lui font suite.
Malgré les erreurs signalés par certains spécialistes au cœur sec et que je n'ai pas vu, n'étant ni spécialiste, ni ayant le cœur sec, j'ai partagé l'émotion de Fanny Ardant...
ô fabuleuses rime,je plonge dedans ta verve comme un enfant plongerait dedans ces rêve....je te suis,je te chante et je m'émerveille comme une étoile s'émerveille de sa lumière....
Comme je descendais des Fleuves impassibles, Je ne me sentis plus guidé par les haleurs : Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles, Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs. J'étais insoucieux de tous les équipages, Porteur de blés flamands ou de cotons anglais. Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages, Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais. Dans les clapotements furieux des marées, Moi, l'autre hiver, plus sourd que les cerveaux d'enfants, Je courus ! Et les Péninsules démarrées N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants. La tempête a béni mes éveils maritimes. Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots Qu'on appelle rouleurs éternels de victimes, Dix nuits, sans regretter l'oeil niais des falots ! Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sûres, L'eau verte pénétra ma coque de sapin Et des taches de vins bleus et des vomissures Me lava, dispersant gouvernail et grappin. Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème De la Mer, infusé d'astres, et lactescent, Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême Et ravie, un noyé pensif parfois descend ; Où, teignant tout à coup les bleuités, délires Et rhythmes lents sous les rutilements du jour, Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres, Fermentent les rousseurs amères de l'amour ! Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes Et les ressacs et les courants : je sais le soir, L'Aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes, Et j'ai vu quelquefois ce que l'homme a cru voir ! J'ai vu le soleil bas, taché d'horreurs mystiques, Illuminant de longs figements violets, Pareils à des acteurs de drames très antiques Les flots roulant au loin leurs frissons de volets ! J'ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies, Baiser montant aux yeux des mers avec lenteurs, La circulation des sèves inouïes, Et l'éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs ! J'ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries Hystériques, la houle à l'assaut des récifs, Sans songer que les pieds lumineux des Maries Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs ! J'ai heurté, savez-vous, d'incroyables Florides Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux D'hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides Sous l'horizon des mers, à de glauques troupeaux ! J'ai vu fermenter les marais énormes, nasses Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan ! Des écroulements d'eaux au milieu des bonaces, Et les lointains vers les gouffres cataractant ! Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises ! Échouages hideux au fond des golfes bruns Où les serpents géants dévorés des punaises Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums ! J'aurais voulu montrer aux enfants ces dorades Du flot bleu, ces poissons d'or, ces poissons chantants. - Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades Et d'ineffables vents m'ont ailé par instants. Parfois, martyr lassé des pôles et des zones, La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux Montait vers moi ses fleurs d'ombre aux ventouses jaunes Et je restais, ainsi qu'une femme à genoux... Presque île, ballottant sur mes bords les querelles Et les fientes d'oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds. Et je voguais, lorsqu'à travers mes liens frêles Des noyés descendaient dormir, à reculons ! Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses, Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau, Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses N'auraient pas repêché la carcasse ivre d'eau ; Libre, fumant, monté de brumes violettes, Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur Qui porte, confiture exquise aux bons poètes, Des lichens de soleil et des morves d'azur ; Qui courais, taché de lunules électriques, Planche folle, escorté des hippocampes noirs, Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ; Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais, Fileur éternel des immobilités bleues, Je regrette l'Europe aux anciens parapets ! J'ai vu des archipels sidéraux ! et des îles Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur : - Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t'exiles, Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ? Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer : L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes. Ô que ma quille éclate ! Ô que j'aille à la mer ! Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache Noire et froide où vers le crépuscule embaumé Un enfant accroupi plein de tristesse, lâche Un bateau frêle comme un papillon de mai. Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames, Enlever leur sillage aux porteurs de cotons, Ni traverser l'orgueil des drapeaux et des flammes, Ni nager sous les yeux horribles des pontons. Extrait de: Poésies (1870-1871) Arthur Rimbaud
This should have been an extraordinary time to experience. Someone, tell me what the verse is saying at around 2min 40sec and thereafter. I started seeing tears in her eyes. What is the verse then in English? If in French please indicate where in the verse. Thank you in advance.
Vers 2: Mes haleurs -> les haleurs Vers 11: j'ai couru -> je courus Vers 13: La tempête a baigné -> La tempête a béni Vers 20: Gouvernail zé grappin -> Gouvernail et grappin Vers 33: J'ai vu un soleil bas -> J'ai vu le soleil bas Vers 48: Sous l'horizon de mers -> Sous l'horizon des mers Vers 49: Des marais énormes -> Les marais énormes Vers 54: Échouage_Z_hideux -> Échouages hideux Vers 66: Les trois premiers mots sont manquants (Et les fientes) Vers 69: ...cheveux des anses -> ...cheveux des_Z_anses Vers 75: ...aux bons poèmes -> ...aux bons poètes Vers 79 manquant! Vers 80 manquant! Vers 85 manquant! Vers 86 manquant! Vers 87 manquant! Vers 88 manquant! Conclusion: performance navrante et manque de professionnalisme honteux
Je pensais être le seul que ça faisait chier, en plus de ça à sa façon de le réciter on pourrait presque croire qu'elle n'y pige rien ! Dieu notre poète est libre ! Il se libére ! Il vit ! Et il finit par se rendre compte que sa quête ne mène nulle part ou peut être trop loin... L'autre le raconte comme un petit conte pour enfants avec des vers clamés de façon niaises ou dramatiques où il n'y avait pas, mais pas du tout à le faire !
@@alexisrangheard3757 Les limites du symbolisme , ne sont pas encore atteintes, des spécialistes se creusent encore la tête, en partie, pour ce poème. Il est incroyable et je le reçois comme tel.
Merveilleux
texte
Merveilleuse actrice
Merveilleuse
Fanny Ardant
Merci 🙏
Comme un soleil d'hiver, les mots de l'enfant-poète sur la voix de la beauté. Quel privilège,
Je suis émue jusqu'aux larmes...C'est merveilleux et Fanny Ardent a trouvé le ton parfait!
Impressionnant, moi qui modestement m'intéresse à notre génial Arthur
La poésie prend corps dans la bouche enflammée de Fanny
Vive la poésie, vivre la poésie aussi !!
Bruno
Interprétation magistrale !
Sublime Fanny !!!!!!!!!!!!!!
Ce texte à parler est une merveille.
Merveilleusement dit. Superbe. Merci beaucoup pour cette belle redécouverte de ce beau poème.
Sublime bâteau Ivre voguant sur la voix de Fanny ! C'est très beau cet hommage à Rimbaud.
Thanks ❤
Une des, si pas la meilleure lecture du célèbre Bateau. Grande Dame !
MERVEILLEUSE FANNY. ARDENTE !!
Magnifique. Intense
Quelle actrice !!
Sublime interprétation de ce chef d'œuvre absolu. N"en déplaise à certains.
N'en déplaise à personne
CE QUE C'EST BON !!! ❤❤❤❤❤❤
La perfection. Rien d’autre. Ευχαριστώ πολύ ;)
Passionate beautiful performance and woman. Would have bee amazing to experience it at the Greek theatre
Fanny ardant des femmes aussi merveilleuses quelle classe et doté d une extrêmement intelligence se compte sur les doigts des mains je lui souhaite une très longue vie
This is night of poetry, Vangelis imporvisation is amazing.
Υπέροχη Φαννύ!!!!!
c' est balaise, merci
Poème sur poème. La voix de la femme est la poésie même. 💔💔💔
Magnific
Ce grand vent ....ça claque roule jaillit parfum odeurs couleurs ~~`métamorphoses
Courageux de le dire ♡ 💙🎶
Moi je n'ose pas encore...tellement c'est...~~``~° ♡ tellement ~`!
Malgré tout le respect que j'ai pour la grande Fanny Ardant, j'estime que cet émerveillement un peu naïf (pour ne pas dire niais) ne correspond pas au déchainement de violence qui s'opère au sein du bateau qui se retrouve d'un coup libéré de ses entraves. D'autant que le poète expressément expose le caractère destructeur de l'expérience et les regrets qui lui font suite.
Malgré les erreurs signalés par certains spécialistes au cœur sec et que je n'ai pas vu, n'étant ni spécialiste, ni ayant le cœur sec, j'ai partagé l'émotion de Fanny Ardant...
6.19 moment de transcendance
ô fabuleuses rime,je plonge dedans ta verve comme un enfant plongerait dedans ces rêve....je te suis,je te chante et je m'émerveille comme une étoile s'émerveille de sa lumière....
Comme je descendais des Fleuves impassibles,
Je ne me sentis plus guidé par les haleurs :
Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles,
Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.
J'étais insoucieux de tous les équipages,
Porteur de blés flamands ou de cotons anglais.
Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages,
Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais.
Dans les clapotements furieux des marées,
Moi, l'autre hiver, plus sourd que les cerveaux d'enfants,
Je courus ! Et les Péninsules démarrées
N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants.
La tempête a béni mes éveils maritimes.
Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots
Qu'on appelle rouleurs éternels de victimes,
Dix nuits, sans regretter l'oeil niais des falots !
Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sûres,
L'eau verte pénétra ma coque de sapin
Et des taches de vins bleus et des vomissures
Me lava, dispersant gouvernail et grappin.
Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème
De la Mer, infusé d'astres, et lactescent,
Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême
Et ravie, un noyé pensif parfois descend ;
Où, teignant tout à coup les bleuités, délires
Et rhythmes lents sous les rutilements du jour,
Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres,
Fermentent les rousseurs amères de l'amour !
Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes
Et les ressacs et les courants : je sais le soir,
L'Aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes,
Et j'ai vu quelquefois ce que l'homme a cru voir !
J'ai vu le soleil bas, taché d'horreurs mystiques,
Illuminant de longs figements violets,
Pareils à des acteurs de drames très antiques
Les flots roulant au loin leurs frissons de volets !
J'ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies,
Baiser montant aux yeux des mers avec lenteurs,
La circulation des sèves inouïes,
Et l'éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs !
J'ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries
Hystériques, la houle à l'assaut des récifs,
Sans songer que les pieds lumineux des Maries
Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs !
J'ai heurté, savez-vous, d'incroyables Florides
Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux
D'hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides
Sous l'horizon des mers, à de glauques troupeaux !
J'ai vu fermenter les marais énormes, nasses
Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan !
Des écroulements d'eaux au milieu des bonaces,
Et les lointains vers les gouffres cataractant !
Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises !
Échouages hideux au fond des golfes bruns
Où les serpents géants dévorés des punaises
Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums !
J'aurais voulu montrer aux enfants ces dorades
Du flot bleu, ces poissons d'or, ces poissons chantants.
- Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades
Et d'ineffables vents m'ont ailé par instants.
Parfois, martyr lassé des pôles et des zones,
La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux
Montait vers moi ses fleurs d'ombre aux ventouses jaunes
Et je restais, ainsi qu'une femme à genoux...
Presque île, ballottant sur mes bords les querelles
Et les fientes d'oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds.
Et je voguais, lorsqu'à travers mes liens frêles
Des noyés descendaient dormir, à reculons !
Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses,
Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau,
Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses
N'auraient pas repêché la carcasse ivre d'eau ;
Libre, fumant, monté de brumes violettes,
Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur
Qui porte, confiture exquise aux bons poètes,
Des lichens de soleil et des morves d'azur ;
Qui courais, taché de lunules électriques,
Planche folle, escorté des hippocampes noirs,
Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques
Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ;
Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues
Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais,
Fileur éternel des immobilités bleues,
Je regrette l'Europe aux anciens parapets !
J'ai vu des archipels sidéraux ! et des îles
Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur :
- Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t'exiles,
Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ?
Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes.
Toute lune est atroce et tout soleil amer :
L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes.
Ô que ma quille éclate ! Ô que j'aille à la mer !
Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache
Noire et froide où vers le crépuscule embaumé
Un enfant accroupi plein de tristesse, lâche
Un bateau frêle comme un papillon de mai.
Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames,
Enlever leur sillage aux porteurs de cotons,
Ni traverser l'orgueil des drapeaux et des flammes,
Ni nager sous les yeux horribles des pontons.
Extrait de:
Poésies (1870-1871)
Arthur Rimbaud
Magnifique interprétation de Fanny Ardant , dommage que la musique ne soit pas la hauteur, de cette diction si claire et sensible....
This should have been an extraordinary time to experience. Someone, tell me what the verse is saying at around 2min 40sec and thereafter. I started seeing tears in her eyes. What is the verse then in English? If in French please indicate where in the verse. Thank you in advance.
@Satoshi Ogihara
www.mag4.net/Rimbaud/poesies/Boat.html
Très beau
!!!!!
Que pensez-vous de ma version rap? 🙂
ruclips.net/video/NGBtIxfEk-w/видео.html
Good job!! maybe put a couple of bridges with some sampling to ease the continuous rapping and you got a descent song... thanks
@@benkesser Thanks a lot for you advices...I plan making another version on "atom earth mother"...this will be more "sparse"...
Elle a oublié une strophe
C'est pas grave .
merveilleuse interprétation avec ou sans une strophe.
C'est pas le problème.....
Vers 2:
Mes haleurs -> les haleurs
Vers 11:
j'ai couru -> je courus
Vers 13:
La tempête a baigné ->
La tempête a béni
Vers 20:
Gouvernail zé grappin ->
Gouvernail et grappin
Vers 33:
J'ai vu un soleil bas ->
J'ai vu le soleil bas
Vers 48:
Sous l'horizon de mers
->
Sous l'horizon des mers
Vers 49:
Des marais énormes ->
Les marais énormes
Vers 54:
Échouage_Z_hideux ->
Échouages hideux
Vers 66:
Les trois premiers mots sont manquants (Et les fientes)
Vers 69:
...cheveux des anses ->
...cheveux des_Z_anses
Vers 75:
...aux bons poèmes ->
...aux bons poètes
Vers 79 manquant!
Vers 80 manquant!
Vers 85 manquant!
Vers 86 manquant!
Vers 87 manquant!
Vers 88 manquant!
Conclusion: performance navrante et manque de professionnalisme honteux
quelques flottements disons :-)
Je pensais être le seul que ça faisait chier, en plus de ça à sa façon de le réciter on pourrait presque croire qu'elle n'y pige rien ! Dieu notre poète est libre ! Il se libére ! Il vit ! Et il finit par se rendre compte que sa quête ne mène nulle part ou peut être trop loin... L'autre le raconte comme un petit conte pour enfants avec des vers clamés de façon niaises ou dramatiques où il n'y avait pas, mais pas du tout à le faire !
Puéril act de vandalisme
Pauvre abrutis tu a rien compris si Fanny ardant est naze toi tes bien trop cons pour jugé
Vers 91 :
"L'âcre amour m'a baigné de torpeurs enivrantes" -->
L'âcre amour m'a gonflé...
assez nulle FANNY sur ce coup là!
Beaucoup trop d’erreurs
poème impossible à dire
C'est parce que vous ne le comprenez pas.
@@alexisrangheard3757 Les limites du symbolisme , ne sont pas encore atteintes, des spécialistes se creusent encore la tête, en partie, pour ce poème.
Il est incroyable et je le reçois comme tel.