On porte la tunique de jute sans manches taillée dans un grand sac. On a autour du cou la large bande cuir du collier à boucle. Aux pieds, on a des sandales. Et le maître a relié la longue laisse au collier. Il est dehors déjà. Il est tout en cuir noir dans le paysage de neige. Il a l'épais pantalon à matelassage qui s'enfonce dans les hautes wescos, la chemise et la cravate aussi en cuir noir. Puis le long manteau qui élance sa silhouette, la rend plus imposante encore. Il a mis lentement ses longs gants de cuir, coiffé sa casquette d'officier. Il tourne vers nous son visage impassible mais on sent qu'il savoure cet instant. Dans l'écartement de son manteau, on entrevoit l'énorme fouet tressé avec lequel il va nous dresser comme il ne nous a jamais dressé encore. On est encore debout, on est humain encore. Bientôt on sera une bête, sa bête, son chien. Ça y est, il tire sur la laisse, nous propulse en avant, nous force à le suivre sur la neige où s'enfoncent ses bottes et où on doit poser nos pieds quasiment nus. On marche. On marche vers le poteau court, là-ba, où il y a un anneau. Le maître attache à l'anneau l'extrémité de la laisse qu'il tient. On est toujours debout. La laisse est longue. On a du jeu. Le maître est posé, presque doux dans ses gestes. Il a le temps, il sait ce qu'il va faire de nous. On le sent à son regard, à une esquisse de sourire qui lui vient parfois. Quand le maître écarte le pan de son manteau, qu'il rend visible l'épaisse lanière de cuir noir lovée en larges boucles, son sourire s'accentue, son regard s'allume d'une trouble lumière. On sait ce qu'on va endurer. On sait que rien n'arrêtera le maître jusqu'à sa jouissance. On sait qu'on va être le chien du seigneur Jean comme on ne l'a jamais été. Le maître déploie le grand fouet, lève le manche de toute la hauteur de son bras au-dessus de l'épaule, anime la lanière d'une grande secousse: "A quatre pattes, la bête !" On a hésité un instant, le ventre creusé de désir, comme si on voulait résister, qu'on avait envie d'être dompté par le seigneur qui nous domine pourtant déjà complètement. Alors le seigneur se cale sur ses bottes, baisse et relève le bras de toute sa force, entraîne le muscle de cuir qui claque formidablement. On s'est jeté sur le sol à quatre pattes..."Allez, cours, la bête !" La maître commande, le fouet claque, il nous cingle, on court à quatre pattes autour du poteau relié à la laisse..."Plus vite, la bête !" Le fouet claque, s'abat sur notre dos plus fort. La grosse lanière nous cingle durement. On ne sent presque pas la douleur. On regarde subjugué le maître aux hautes bottes et au grand fouet en train de faire courir sa bête..."Aboie, le chien, aboie !"On aboie :"ouah ! ouah ! ouah !" - "Aboie plus fort !"- "OUAH ! OUAH ! OUAH ! OUAH ! OUAH !"....
Stunning leather outfit and love that coat!!
Nice to see you in leather garment sir
Super video
Love your leather garment sir❤
really like vk79 series!!
Your videos with the VK79 coat are fire.
perfect coat, gloves, cap, uniform, boots, Sir. Wonderful video. Exciting whip too. You are the best.
Thank you Master ❤❤❤
I love your trench coat videos. I’d love for you to blend the brown leather with it. Also I wished you popped the collar up!
Magnifique, Maître Jean.
That is a beautiful coat!
Badass coat, especially during the rainy season
Love your long Leather Trench Coat my brother.
Thanks!
You are my SS leather man!!!OINK
I feel like ages to see you in leather again (just realized the last one was a month ago). 😅 Great winter leather video for us 🎉👍
I actually posted a video wearing some leather a week ago.
@Rubber 'N' Leather I love your long Leather Trench Coat my brother.
Encore un super vidéo...j'espère que tu lis tes emails de temps en temps :)
Oui, merci beaucoup!
The animals skin you're wearing didn't die in vain! 😂
Those animals have died for the greater drip
I love those gloves but I'm afraid of that whip. How would the coat do when collar up?
On porte la tunique de jute sans manches taillée dans un grand sac. On a autour du cou la large bande cuir du collier à boucle. Aux pieds, on a des sandales. Et le maître a relié la longue laisse au collier. Il est dehors déjà. Il est tout en cuir noir dans le paysage de neige. Il a l'épais pantalon à matelassage qui s'enfonce dans les hautes wescos, la chemise et la cravate aussi en cuir noir. Puis le long manteau qui élance sa silhouette, la rend plus imposante encore. Il a mis lentement ses longs gants de cuir, coiffé sa casquette d'officier. Il tourne vers nous son visage impassible mais on sent qu'il savoure cet instant. Dans l'écartement de son manteau, on entrevoit l'énorme fouet tressé avec lequel il va nous dresser comme il ne nous a jamais dressé encore. On est encore debout, on est humain encore. Bientôt on sera une bête, sa bête, son chien. Ça y est, il tire sur la laisse, nous propulse en avant, nous force à le suivre sur la neige où s'enfoncent ses bottes et où on doit poser nos pieds quasiment nus. On marche. On marche vers le poteau court, là-ba, où il y a un anneau. Le maître attache à l'anneau l'extrémité de la laisse qu'il tient. On est toujours debout. La laisse est longue. On a du jeu. Le maître est posé, presque doux dans ses gestes. Il a le temps, il sait ce qu'il va faire de nous. On le sent à son regard, à une esquisse de sourire qui lui vient parfois. Quand le maître écarte le pan de son manteau, qu'il rend visible l'épaisse lanière de cuir noir lovée en larges boucles, son sourire s'accentue, son regard s'allume d'une trouble lumière. On sait ce qu'on va endurer. On sait que rien n'arrêtera le maître jusqu'à sa jouissance. On sait qu'on va être le chien du seigneur Jean comme on ne l'a jamais été. Le maître déploie le grand fouet, lève le manche de toute la hauteur de son bras au-dessus de l'épaule, anime la lanière d'une grande secousse: "A quatre pattes, la bête !" On a hésité un instant, le ventre creusé de désir, comme si on voulait résister, qu'on avait envie d'être dompté par le seigneur qui nous domine pourtant déjà complètement. Alors le seigneur se cale sur ses bottes, baisse et relève le bras de toute sa force, entraîne le muscle de cuir qui claque formidablement. On s'est jeté sur le sol à quatre pattes..."Allez, cours, la bête !" La maître commande, le fouet claque, il nous cingle, on court à quatre pattes autour du poteau relié à la laisse..."Plus vite, la bête !" Le fouet claque, s'abat sur notre dos plus fort. La grosse lanière nous cingle durement. On ne sent presque pas la douleur. On regarde subjugué le maître aux hautes bottes et au grand fouet en train de faire courir sa bête..."Aboie, le chien, aboie !"On aboie :"ouah ! ouah ! ouah !" - "Aboie plus fort !"- "OUAH ! OUAH ! OUAH ! OUAH ! OUAH !"....
you are a fantasic leather master - I love your leather garment, but please learn to use a bullwhip!
I learned on my own. No one ever showed me. You don't like how I use it?
@@RubberNLeather your are an awesone master, I think you can use the whip like this: ruclips.net/video/KMZujNXffDo/видео.htmlsi=1g-k_L0r43CNXsY6
Good day.
I have two question for you.
Are you a policeman and where do you live?
I can answer your second question. As far as I know, he lives in Canada, Quebec
@@tahtitaivas. I thought he lived in Canada but I wasn't sure, how do you know?
@@matteo.rafanelli there are many French speakers in Quebec
oh yes
Alxe
Wonderful my emperor I your slave my emperor