La culture de l'avocat en Afrique, un business agricole rentable/L'or vert du Mexique un business

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  • Опубликовано: 27 ноя 2021
  • La culture de l’avocat en Afrique est promise à un avenir meilleur, selon les agriculteurs et scientifiques.
    En raison de la forte demande mondiale, l’avocat est devenu un produit d’exportation lucratif. Sa consommation par habitant a augmenté de 406% entre 1990 et 2017 rien qu’aux États-Unis. Et l’Afrique occupe déjà une place non négligeable dans la production et l’exportation de ce fruit.
    L’or vert gagne en popularité sur le continent africain. En effet, le Nigeria, l’Ouganda, l’Afrique du Sud ou encore le Maroc visent tous à augmenter considérablement leur production d’avocat et à devenir les principaux exportateurs au cours de la prochaine décennie. Ce qui témoigne de l’avenir prometteur de cette culture.
    De son côté, le Kenya fait déjà partie du top 10. Et les recettes d’exportation de ce pays d’Afrique de l’Est ont augmenté d’un tiers entre 2019 et 2020, améliorant, ainsi, les revenus des agriculteurs des zones rurales.
    Mais le fruit recherché est sujet à de nombreux débats, en raison de la forte consommation en eau de l’avocatier. En effet, des études ont lié sa production à des pénuries d’eau importantes et à la destruction de la biodiversité. Par ailleurs, les problèmes environnementaux ont jeté une ombre sur la culture commerciale des avocats dans les principaux pays exportateurs d’Amérique latine, comme le Mexique et le Chili.
    L’Afrique devrait-elle craindre de subir le même sort ? Apparemment non, selon les agriculteurs et les scientifiques. D’après eux, la culture de l’avocat en Afrique est promise à un avenir meilleur. En raison de l’accent mis sur les petits exploitants et des régimes de pluie bénéfiques, la production de cette culture devrait être moins nocive pour l’environnement que sur le continent américain
    instagram : Africagriculture

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