NEUF JOURS EN RADEAU DE SURVIE : Histoires de mer # 7
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- Опубликовано: 22 ноя 2024
- Une histoire de mer vécue et une analyse basée sur le compte-rendu du BEA et du témoignage des protagonistes, pour vous permettre d’éviter ou de vous préparer à affronter des situations difficiles.
Cette croisière en méditerranée promet d’être idyllique. Mais, tout bascule quand la tempête frappe faisant sombrer le bateau. Commence alors 9 jours de survie dans le canot de sauvetage.
Si vous voulez soutenir la chaine et notre travail, vous pouvez le faire via la plateforme Utip c'est par ici 😃
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Liens :
24h dans un radeau de survie • 24h dans un radeau de ...
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merci à vous !!!
Merci de continuer à nous encourager, ça fait très plaisir
Incontournable! J'enseigne la voile croisière depuis plus de 20 ans. Ce que chacun devrait retenir sont les trucs et astuces à intégrés suite aux histoires malheureuses vécues. Récit captivant ! Merci
Merci Pierre 😊
Merci c'est encore mieux que les histoires extraordinaires de Pierre Bellemare. Je confirme la Mer Méditerranée peut être très beaucoup difficile que la Manche ou l Atlantique.
Magique la seconde partie de vidéo. Merci
Bravissimo
😀
Super histoire de mer. Salut depuis la Colombie
Merci à toi😀 si on fait escale en Colombie on arrose ça👍
La med un lac tranquille...
C'est ce que je pensais lors de mon 1er convoyage entre Toulon et Athènes d'un oceanis 42.Je n'avais jusque là comme (in)expérience maritime qu'une navigation entre Lorient et Groix.
C'est lors de la traversé de la mer ionnienne pour rejoindre Kephalonia qu'un sirocco bien nerveux m'a fait voir ce que pouvait être la med.
L'expérience fût intense, le cri du vent dans le gréement, les déferlantes qui vous douches, le coup au moral lorsque le levé du jour tant attendu ne s'avéra pas salvateur, la GV qui ne s'enroule pas donc obligé de lever le taquet de drisse et de la laissé se déchirer, puis la mer...Vraiment intense.
Ravis de découvrir votre chaîne, merci pour votre travail.
Merci à vous😀😀
On ressent bien que votre expérience de la Med a laissé des traces.
merci encore vous faites bcp pour notre instruction et c'est tres interressant..
Merci à vous👍
EXTRAORDINAIRE ! Je tombe sur cette vidéo, par hasard, en visionnant une autre vidéo de cette chaîne et je découvre le récit du naufrage de mon père ! Dans l'histoire, Michel, c'est mon père. J'avais 11 ans à l'époque. Je vois encore ma mère un matin d'avril, durant les vacances de Pâques, me dire en catastrophe : "Je vais vite chercher le journal" (alors que nous étions abonnés, mais il n'était pas encore arrivé). Elle revient en me disant tout aussi catastrophée : "Michel à eu un accident !". Et oui, nous l'avons appris dans le journal ! Mon oncle l'avais lu tôt le matin et avait prévenu ma mère. Mon père hospitalisé, n'a pas réussi à communiquer le bon numéro de téléphone de la maison, l’hôpital n'a donc pas su nous prévenir. J'ai donc connu feu Mariuz et feu Marianne et dans une moindre mesure Louis, portugais d'origine, de qui nous n'avons plus eu de nouvelle. Je serais par contre ravi de faire connaissance de Patricia et Bernard pour discuter du récit. Récit que j'ai montré à mon père et qui, d'après lui, reste fidèle à ce qui s'est réellement passé à quelques détails près mais le débriefing est très intéressant... Au plaisir d'en discuter...
Bonjour
Quelle surprise ce message!!! 😀😉
Merci pour le retour! Le vécu de ceux qui sont restés à terre est toujours très intéressant et rare.
J'aurai des tas de questions à poser à votre père. Son expérience pourrait apporter beaucoup aux navigateurs qui sont nombreux à se demander comment se préparer et réagir à une telle situation.
Je discuterai avec plaisir de tout cela avec vous.
Mu et moi vous souhaitons ainsi qu'à votre famille de belles fêtes de fin d'année.👍😀
Que le monde est petit 👍
Merci bonne information vôtre travail et très apprécié 😀
Merci Chantal 🙂
Bonjour Laurent et Mu, merci pour ce récit qui illustre une fois de plus la nécessité impérative de préparer méticuleusement cette évacuation qu'on souhaite ne jamais avoir à (sur)vivre. Chaque détail, chaque retour d'expérience dont on peut s'enrichir vient augmenter le capital chance de d'apporter une fin heureuse à une telle mésaventure. Bon vent, et vous aussi prenez bien soin de vous ! Amitiés
Merci Philippe pour ton retour et bonne année à toi
Extraordinaire histoire. Ca fait frémir. A visionner tes vidéos, non "VOS" vidéos (Merci, Muriel), je visualise les précautions à prendre, et l'anticipation indispensable pour pouvoir faire face "au cas où". Comme en delta plane, j'emmène un parachute et je fais tout ce qu'il faut pour ne jamais avoir à m'en servir.
salut Laurent
encore une belle vidéo avec une analyse pertinente
une petite aventure qui m'est arrivée au départ de houat il y à 2 ans, sous un balaise d'orage alors que j'étais à couple d'un Mélody ami
départ en panique (pas pour moi !) largage des haussières à la va comme je te pousse et départ en mer de nuit vers arzal au moteur puis plus rien... ( 1 haussière prise dans l'hélice)oups 2 heures du matin appele au cross pour un pan-pan sans déclancher la snsm et gros dodo ( 5 heures) pour me réveiller à la meme position donc il faut bien tenir compte de la marée, des courants comme tu le dit bien souvent
merci encore pour toutes tes superbes vidéos
Merci Jean-Yves pour ton retour d'expérience
Bravo et merci.
😀👍😀👍
J’adore tes histoires. C’est très instructif. Merci
Merci Christophe 😊
bonjour et merci pour cette histoire.Je me permais de signaler un livre publie chez Arthaud de Maurice et Maryline Bailley 117 jours a la deriveune histoire incroyable de courage
Bonjour Philippe et merci😀
je prends note du titre du livre pour une future histoire peut être?
La navigation en mer n'est pas souvent un long fleuve tranquille.il faut tout prévoir...BRAVO Laurent pour cette nouvelle aventure....
Merci Emilie venant d'une grande navigatrice avec qui j'ai partagé quelques bords au large cela me touche😀👍👍
Merci pour toutes ces histoires et vous aussi,prenez soin de vous;)
Toujours détaillé complet et instructif merci
Ca fait du bien les commentaires comme ça merci😀
C’est tellement bien fait que ça donne une impression d’être présent. Merci infiniment
Avec plaisir 😊
Bravo pour cette vidéo et merci. Très instructif et pédagogique comme d’habitude. Nouveau propriétaire d’un 35 pieds ça calme et ces piqûres de rappel quant aux bonnes attitudes et bonnes pratiques à adopter devraient être très largement diffusées. Bien à toi et bon vent
Merci à vous pour votre retour et au plaisir
Merci pour votre récit toujours aussi prenant, en effet la Med est une Vilaine, mais donne plein d'occasion de s'entraîner au différentes manœuvres lorsque le vent passe de rien a plein pot 😜
Merci 👍
Bonjour très belle vidéo sur les naufrage merci beaucoup
😊
Excellente vidéo, merci à vous 👍
Merci 😊 venant de vous cela nous touche👍😉
Bravo pour cette histoire, c'est très instructif votre analyse .
Merci à vous
Merci pour tes histoires de marins. 👍
Avec plaisir 👍
super comme toujours,
la sangle de déclenchement du radeau = drisse de percussion.
l'idéal, c'est de saisir la drisse de percussion au bateau avec un largueur hydrostatique.
si le bateau coule avant la fin de l'évacuation, le radeau est ainsi libéré.
si on a le temps de procéder à l'évacuation, on reste amarré au bateau par la drisse qu'on coupe au couteau quand tout le monde a embarqué sur le radeau.
il faut aussi bien répartir les poids (passagers) dans le radeau, pour éviter le risque de chavirage.
laisser les bidons d'eau à la traîne peut être intéressant dans certains cas, mais pas toujours, à voir en fonction de la mer, si c'est trop dangereux d'être freiné par les bidons en traînards il faut alors vite les embarquer en pensant toujours à l'équilibre des poids,
Merci à toi😀
Merci aussi pour tes remarques. Nous comptons effectivement expliquer tout cela dans la vidéo spéciale évacuation. Le couteau est l'outil de base en survie et sa première utilité est de couper la drisse de percussion avant que le bateau entraîne le radeau vers le fond quand il coule.
Bjr et bravo pour cette vidéo. J espere ne jamais vivre cela. Mais grâce à ce récit on apprends pleins de choses encore bravo🌬⛵
Merci😀 on est sur qu'avec ton sens marin tu seras prête à affronter les coup de vent les plus forts 👍
Merci, encore une super histoire de mer! Bonne continuation a vous deux!
Merci à toi 😊
Très bonne vidéo, merci pour ce travail très utile
Avec plaisir 🤗
Encore une vidéo très instructive, intéressante, merci beaucoup beaucoup !
Merci ça fait du bien pour la motivation👍😀
Merci punaise c’est flippant, ils s’en sortent pas trop mal aucune victime.
Du coup je vais revoir deux trois trucs sur mon bateau et notamment sur la survie.
✋😉⛵️.
Ah oui! il ne faudrait pas qu'ils vous arrivent quelque chose😉 on veut voir la suite de vos vidéos😀
Ah oui il ne faut pas oublier les croquettes pou les 4 pattes Pat, lol !!!
@@christobal4988 eh oui elle a le droit de vivre aussi 😂
Toujours haletant et les débriefing c'est très bien aussi ! Bravo !
Merci infiniment😀👍
Encore une fois félicitation ses videos nous apportent tjrs des connaissances en plus. 👌
Merci à toi 👍
Très bon récit, et bonne analyse …
Trois points cependant :
1) LE HARNAIS DE SECURITE l'amarrage d'un mousqueton à un anneau n'est pas recommandé avec un mousqueton ordinaire (c'est à dire sans sécurité- une barre qui l'empêche de s'ouvrir, comme celui que le narrateur porte à 24:24), il vaut mieux toujours s'amarrer à une sangle …
2) COUPER LES HAUBANS : il me semble que le skipper a commis une faute (mais restons humbles : je n'étais pas là et je suis aujourd'hui un navigateur de clavier…) en ne s'occupant pas immédiatement du gréement poinçonnant la coque. Il n'y a pas trente six solutions possibles : soit la mer est suffisamment calme pour pouvoir remonter une partie du gréement, soit il faut tout larguer IMMEDIATEMENT ! Pour cela la scie à métaux est le pire des instruments (c'est long, les mouvements du bateau fait qu'on n'est pas très assuré et la lame au lieu de faire une coupe droite et rapide fait une coupe inefficace, et on casse un nombre invraisemblable de lames - plusieurs paquets de bonnes lames doivent être prévues, et graissées … rouillées elles ne valent rien); le couple boulon est bien plus efficace mais difficile à manier sur une coque qui remue comme une machine à laver ; selon mon expérience seul le coupe-câble (la lame est ronde comme celle d'un sécateur et tranchante -elle doit être enveloppée dans de la graisse pour ne pas perdre son tranchant) elle permet de saisir le câble et de cher en un ou deux coups seulement… Une fois largué la bateau est un vrai lave linge mais c'est mieux qu'une survie.
3) LE SAC DE SURVIE. .L'absence d'émerillon sur l'ancre flottante est un vrai scandale : cela fat 50 ANS qu'on le répète à chaque récit de survie !!!
Le sac de survie doit toujours contenir un émerillon et du bout à foison pour amarrer tout ce qui doit l'être ! Des couvertures de survie les médicaments nécessaire à un équipier, et des médicaments généraux (aspirine, etc…) doivent aussi faire partie de la survie ainsi que des PILULES CONTRE LE MA DE MER (Mercalm, etc…) c'est essentiel. Quand on dégueule non seulement on incommode gravement ses équipiers mais aussi on perd la nourriture qu'on bien d'avaler et beaucoup d'eau dans un contexte de déshydratation. C'est au skipper d'obliger les équipiers à avaler un comprimé anti ma de mer dans la survie…
Il y a beaucoup d'autres choses dont on pourrait parler. Les fusées périmées doivent être gardées on peut les utiliser après la date de péremption, en restant raisonnable bien sûr. Mais plus on en a mieux ca vaut.
J'avais ajouté des barres nutritives, des mars et des cochonneries comme ça qui donne un coupe de fouet et qui complètent la rations de la survie qui ne sont pas affriolantes !…
Le moral est essentiel : j'avais mis dans mon sac deux jeux de cartes (tarot + cartes courantes, un jeu d'échec et un bouquin de survie, une brochure en fait qui donnait des conseils pas inutiles…)
Je rajoute ceci, dont la vidéo n'a pas parlé : il s'agit du transfert dans la survie. Dans le brief d'avant départ je recommandais toujours que, si cela devait se faire, l'équipier le plus solide et le plus charpenté entre le premier dans la survie : cela permettait d'avoir quelqu'un qui hisse les plus faibles dans le radeau. Ce n'est pas simple dut tout : les parois du radeau sont hautes qu'on on y va à la nage et si on est épuisé grimper dedans n'est pas si facile, d'avant que échelle en tissu ne vaut rien dans une mer bouillonnante…Le plus solide en premier est tout à fait contre-intuitif mais c'est une recommandation très logique.
En 50 ans de skipper je n'ai jamais eu à appliquer ces consignes … je ne peux donc rien dire d'une expérience que je n'ai pas eu… mais j'ai construit ma philosophie sur les sujet en me basant sur l'experience des autres et sur la bonne vieille philosophie Glénans qui nous a si bien formés en leur temps.
C'est une vielle histoire Le canot actif ou passif,l'actif (voile godille rame) a sauvé bien des amis
Super vidéo , merci continue, les retours d'expérience sont bon a prendre 👍👍
Merci à toi 👍
Sympa le petit côté survivaliste !
Merci à toi😀
Bravo pour ce travail et on adore.
Merci infiniment😀
Courage petit
😉
Cc les Nomades, excellent, un harnais à sangle ou longe largable et ou un coupe sangle scotché au harnais me semble indispensable au même titre de la lampe flash et la balise indiv !
l'ouverture du gilet en espace clos reste un réel soucis, surement traité dans les formations spécialisés, la conduite à tenir pourrai être évoquée.
J'attend de voir la mise en pratique de la procédure "d'evac" avec mise en œuvre du "BIB", alors à vos maillots de bain les Nomades hihi ! Et à bientôt...dans l'eau...
Merci Christobal 😀 Oui à l'eau!!!❄🌊 Eh Mu me dit qu'il n'y a pas écrit baignade en eau froide dans son contrat de caméraman 🙄
@@latitudenomade Bah c'est pas grave ça peu s'arranger, tu filmes et "Mu" fais la démo et entre nous je préfère sont maillot de bain au tien lol !
Salut, j'ai découvert la chaine récemment et le contenu est extrêmement intéressant . J'ai fais pas mal de voile en Méditerranée, du côté du golfe du Lion, de la Costa Brava et des Baléares . Les gens la prennent pour un grand lac tranquille, mais elle peut se montrer extrêmement traitresse . La houle très courte et hachée et les changement MTO très soudain en surprennent plus d'un . J'ai souvenir d'une fois ou nous étions allé faire un peu d'entretient sur le Feeling 1040 de mon grand père basé à Gruissan, aux alentour de Pâques . Il faisait beau avec un peu de tramontane . J'ai tanné le grand père pour qu'on se fasse une petite sortie tout les 2 une fois le travail fini . Il a râlé 5 minutes parce qu'il fallait remettre l sonde du loch en place, puis a craqué . Les casses-dalle prêts, nous sommes sortis du port au moteur, puis cap NE en suivant la côte avec toute la toile déroulée, avec 5 à 10 kts de vent et pas de houle. Le vent a progressivement diminué et devant Valras, soudainement, pétole . Dans la minute qui a suivi, on a vu une risée sur l'eau approcher très rapidement du SW et en speed (merci les voiles sur enrouleur) on a réduit la toile d'environs 3 ris sur la GV et foc 3 devant .On avait encore un peu d'erre, ce qui nous a permis de virer pour être vent debout quand elle nous arriverait dessus . D'un coup, on s"est pris 35 à 40 kts d'un vent chaud, on est parti comme une balle direction Gruissan avec le plat bord tribord dans la flotte, bien calé le cul sur le plat bord arrière, la roue dans une main et l'écoute de GV dans l'autre . C'était un pied énorme, mais la soudaineté de ce changement de régime de vent aurait pu mal se terminer si nous n'avions pas été attentifs et si nous n'avions pas pu réduire la toile aussi vite .
Merci Ludovic pour ton retour d'expérience, écouter les histoires vécues par des navigateurs "plaisanciers" comme toi et moi sont toujours enrichissants.👍👍😀
Toujours aussi bien fait, merci pour le boulot! 👍 bonne courage pour la suite
Merci à toi 😊
excellente video surtout la partie bilan et les conseils, 24h dans un radeau de survie j avais vu il y a longtemps mais j avais trouvé le titre trompeur parce qu il est resté je crois deux heures
Merci à toi😀
Merci encore une fois ! Ces histoires sont vraiment intéressante quand on navigue et permettent d’appréhender les pires scénarios. Hâte de voir la vidéo sur l'évacuation ! Continuez ainsi, c'est génial !
Merci 😀 Venant d'un dieu Viking cela nous touche👍
salut Laurent, toujours aussi interessant tes vidéos et debrief. TOP comme d'hab
Merci Seb 👍 tes vidéos ne sont pas mal😀 non plus
@@latitudenomade ohh merci beaucoup
bonjour à toi et bravo pour tes vidéos
Dans le cas d'une voie d'eau, il parait qu'une bombe de polystirène expansé fait merveille
a essayer
Bonjour Jacques et merci
Pour ce qui est de la bombe de polystyrène je vais en parler dans une vidéo prochaine
C'est la cocotte minute!a vivre pour y croire
Bonjour.
Je viens de découvrir votre chaine via une suggestion de YT.
Je viens vous féliciter pour la qualité de vos narrations suivies de vos debriefs. Si je prends l'exemple de cette vidéo, vos conseils en terme de situation d'évacuation du navire sont excellents, précis et complets tt comme la zone de veille intérieure.
Nous sommes, mon épouse et moi plaisanciers et nous ne pouvons qu'en être plus sensibles. D'autant plus que nous sommes très vigilants sur la sécurité aussi bien sur le bateau que lorsque nous sommes ne serait-ce qu'en marchant sur le GR en bord de falaise.
Notre région ( la pointe Bretagne ) ne pardonne que très peu " la certitude " de certaines personnes.
Du coup, je ne sais depuis quand existe votre chaine, je vais regarder ttes les vidéos que j'ai en retard et sûrement en partager quelques unes avec ma femme.
Réellement un grd merci pour distiller vos connaissances et continuez, je vous prie.
Bienvenu Hervé 😀
N'hésite pas à commenter et à faire des sujétions c'est comme cela que la chaine ce développera .
Merci pour tes encouragements et à bientôt sur la chaine où sur l'eau.👍
Merci, à nouveau très instructif.
Vous précisez au début un voilier de 11 mètres mais quel modèle/chantier exactement ? Cela a éveillé ma curiosité.
Merci Jérôme 😀
J'ai cherché dans les documents du BEA mais je n'ai pas trouvé trace du modèle ni du chantier c'était peut être une construction amateur. Si je retrouve quelque chose à ce sujet je te tiendrais au courant.
de trés bon conseil merci pour vos vidéo je ne suis pas marin mais une question j'aimerai savoir sur la radio je ne sait plus son non il y a bien un bouton d'appel au secours pourquoi le skipper ne la t'il pas enclencher
Bonjour, effectivement bonne question . A l'époque des faits se système n'existait pas. Aujourd'hui ce n'est plus cas, mais il faut avoir une vhf qui est équipé d'Ais
Le golfe du lion j'y vis!plateau continental a80 m de fond ,distance
Merci 🙏 sa aide beaucoup par contre j’ai une question c’est plus les sailing boat qui se retourne les catamarans c’est beaucoup plus compliqué pour qui se retourne?
Hello! 😀
Les voiliers monocoques ont un couple de rappelle plus important grasse à leur leste si ils sont couchés ou retournés par une vague il se redresse dans la plus part des cas. Par contre avec les multicoques ils ont tendance à sancir (passé cul par dessus tête) quand ils enfournent ou se retourner dans une survente et là ils reste à l'envers. Voir la vidéo ruclips.net/video/RG6xdthjt9M/видео.html
Très intéressant, vous ne parlez pas du tout de l'alerte aux secours? Pas de balise, de vhf portable autre?
oui je me suis posé la question, ainsi que de la prévision météo
Bonjour Aliths
En voilà une bonne question😀👍 Il faut se rappeler que cette histoire se passe en 1986. En ce temps là les balises étaient de la science fiction et les VHF portables très rares. Aujourd'hui c'est très diffèrent, et je rappelle dans le bilan, que la balise, le GPS, et la Vhf doivent êtres embarqués dans le canot.😀
@@latitudenomade effectivement, j'ai zappé la date...
Bonjour
Vidéo très intéressante qui nous place bien dans la grande détresse que peut générer un naufrage .
Même si ce n est pas le but de cette vidéo , plusieurs questions m interpellent .
Équipage très expérimenté, peut être trop surs d eux !?
Le coup de vent n était pas annoncé par les prévisions sachant que cette zone de traversée à la limite du plateau continental dans le golfe du lion peut être un vrai piège .
Pas de balise , pas de vhf portable qui aurait permis de gagner un temps énorme en alertant le cross ou en contactant les bateaux croisés ?
Qu en penses tu , ??
Merci encore pour la qualité et ces retour d expérience de tes vidéos .
Salut Eric, merci pour ton commentaire 😀
Je vais essayer de répondre à tes questions :
1) Le skipper était un pro, il avait un temps limité pour le convoyage de plus il voulait profiter de ce temps pour faire un peu de tourisme.
2) Nous sommes en 1986 la météo était moins précise qu'aujourd'hui et le golfe du Lion a une météo très instable difficilement prévisible surtout en hiver (Mars) .
3) En 1986 les balises étaient inexistantes sur les bateaux de plaisances et les Vhf portables très rares.
Ces histoires sont là pour nous rappeler l'importance de l'équipement que nous avons la chance d'avoir à notre disposition aujourd'hui.
Encore merci d'embarquer avec nous sur le Nomade par le biais des histoires de mer.
Bon vent à toi👍
Lau
Et oui effectivement, tu le dis au début de ta vidéo 86
Les années 80 c était la gonio , l estime , le crayon et la règle cras , les phares au milieu de la nuit et surtout une météo plus ou moins captée sur nos radios ,
Des traversées toujours avec un facteur risque bien présent ,
Que de progrès pour notre sécurité .
Merci encore pour tes récits qui nous rappelle que même avec des aides géniales la mer doit être respectée .
Les pinoches sont faites pour boucher les voies d'eau des vannes me semble-t-il.
Elles sont d'ailleurs préconisés à installer chacune à poste de chaque vannes et aux diamètres correspondants.
Un coussin recouvert sur une face d'une chambre à air de camion , juste un bout suffirait, et compressé avec une planche (elles sont nombreuses à bord) en la vissant dans la coque.
A cette effet, une chignole à l'avantage de travailler sous l'eau.
Certaines visseuses aussi, mais c'est pas le même prix. Ceci dit, elle serait redoutable d'efficacité et peuvent servir à d'autres travaux.
En ce qui concerne les sacs de survie, c'est très bien la liste que tu donnes et j'y rajouterais fusées de détresse supplémentaires.
Du matériel de pêche et même une arbalète de chasse sous marine pas trop longue et évidemment la pointe bien protégé.
Ceci bien sûr au cas où l'aventure dure un peu plus longtemps...
Pour les bidons d'eau, comme tu le sais, l'eau dans l'eau ne pèse pas et seul le poids du bidon vide est à compenser.
Sur des bidons de cinq litres, 15cl suffit très largement à sa flottabilité. De plus comme les tiens qui ont une poignée, ne serait-il pas possible de passé la sangle du radeau, dedans ?
Bon vent à tous !
Je ne savais pas que la sangle d'un radeau afin de percuter celui-ci, s'appelait un orin..
En êtes-vous sûr ?
En tout cas, chouette format et formule !
Bon vent à tous.
Salut Arno
Effectivement le mot orin n'est pas le plus approprier ou alors le bateau est déjà sous l'eau😀
Deux questions: d'une part, si le harnais est attaché au centre du cockpit, en cas de retournement on est presque sur d'être coincé au centre, non? Toujours en cas de dessalage, peut-on passer sous l'eau du cockpit immergé à l'intérieur, ou est-ce que c'est impossible d'ouvrir la cabine?
Bonjours Thomas
Voila deux bonnes questions!
Tu as raison, il y a un risque d'être coincé sous le bateau . C'est pour cela qu'il faut toujours avoir une sangle à trois mousquetons sur son harnais ce qui permet de rallonger facilement la sangle au cas ou.
Pour ta deuxième question ,il peut être difficile d'ouvrir la porte de la cabine selon le modèle (fermeture étanche ou pas) sur les bateaux de course avec porte étanche on trouve une trappe sur le tableau arrière.
C est flippant... un bateau insubmersible peut faire l affaire ? En plus d un radeau de survie.
il n y a qu un type de canot ou bien plusieurs model sont possible sous différente forme , sur le Mélody combien de place ?
Il y a plusieurs marques de canot mais ils se ressemblent beaucoup. Sur le Nomade nous avons un 4 places en effet un grand canot peut remplis ce retourne plus facilement.
Bonjour, Une question : pourquoi l'annexe ne rentre pas en compte comme élément de survie ? avec potentiellement une tente à installer pour protéger les occupants ? J'ai personnellement fait l'expérience du radeau de survie et le fond souple rend malade et en effet psychologiquement c'est très pénible à vivre car même si ce n'était qu'un démonstration dans des conditions assez clémente, on se projette en se disant que si ça arrivait...
Bonjour Hervé merci pour ton commentaire.😀
Personnellement je pense que tout ce qui flotte doit être pris en compte dans un naufrage annexe comprise mais le canot de survie et quand même un plus en matière de protection, de repérage, et de facilité de redressement.
Distance entre les crêtes de vagues 7 m
Balise sur le bateau, balise intégrée au gilet , c’est la base avant toute chose
😉😊👍
En même temps, il s'appelle le golf du lion.
Je me demande pourquoi il ne l'on pas nommé le golf du chatons 🤔
😀
Alain Terrieur peut être très méchant.
😄🤣
j écoute mais je pige rien au jargon 😂