Les ruses du désir : La rupture - Mathilde Seigner, Cali.. Documentaire psychanalyse - 2KF
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- Опубликовано: 28 сен 2024
- La question pourrait être tout simplement celle-ci : pourquoi se sont-ils quittés ? À quel moment celui que l'on a chéri, adoré, dont chacun des gestes provoquait un petit vacillement énamouré, est-il devenu insupportable, une somme de faiblesses, de manquements et de ridicules ? Comment le regard amoureux s'est-il transformé en regard assassin ? «La rupture» interrogera six témoins sur ce singulier changement de vision, sur ce moment de bascule où la fascination pour l'autre s'annule et laisse apparaître la cruelle banalité de l'être qu'on a aimé
"Les ruses du désir : La rupture"
Réalisé par Gérard Miller
© MORGANE x DEUX CAFES L'ADDITION - 2011 - Кино
Alors Miller, à quand un reportage sur le viol ?
J’aime beaucoup la voix et la manière de parler du présentateur, sans bien sûr souligner la thématique et le format. Bravo 👏 et merci ❤
Bonjour,
Intéressant... Mais...
C'est quoi ce qui est nommé "amour" ??? Une relation névrotique et pulsionnelle de névrosés narcissiques... Entre passion et haine... Rien à voir avec l'amour...
Ou...
Accepter cet autre fantasmé qui nous rend aveugle à la vérité de sa différence... Continuer à aimer cet autre dans tous ces états d'être... Parce-que le positif n'existe pas sans le négatif...
Ça demande un travail sur soi pour sortir des relations infantiles... et des projections sur l'autre et les enfants...
Quelle étrangeté, cette expression "tomber amoureux" !....
"Devenir amoureux" vous semble plus entendable que "tomber amoureux" ?
Venir à deux dans une rencontre ou tomber en elle ?
@@melaniezimmermann-jv7th un peu plus entendable, cependant aimer l'autre c'est être capable de le laisser partir si son bonheur est ailleurs sans jamais cesser d'aimer... Il me semble que là, on peut dire que l'on aime vraiment l'autre pour qui il est (il = l'autre... Au-delà du genre bien entendu) et non pour ce que nous croyons qu'il est, voulons qu'il soit...
@@sibylleb.6540 tout à fait ,je crois l'amour est, par définition inconditionnel, mais il m'a fallu un long travail sur moi-même pour arriver à le vivre, dont 30 ans sur le divan! LOL
@@sibylleb.6540tout ça, c'est une réflexion ...à froid. Qui est possible ...après. Et encore... si et seulement si, nous sommes sages/équilibrés et on retrouve un amour/ épanouissement après la rupture.
@@jfhatte2687 et oui, c'est exactement ça... Ce n'est pas un chemin facile mais quelle belle aventure 😉😁
Il faudrait déjà séparer ce qu'on appelle amour du désir ou la passion se réalise dans la conquête et s'y consume rapidement.
Pour les divorces le problème majeur n'est pas uniquement affectif mais la remise en cause de sa position sociale et surtout financière ce qui n'a pas été évoqué.
Bonjour Monsieur Miller,c’est unvrai plaisir de vous retrouver,proche,juste,empathique ,sur des sujets qui nous concernent tous .Merci,ne changez rien.😊
"Je t'aime , je t'aime . . ." ça ne se dit pas , ça se prouve !
Seigner j'ai toujours senti un truc pas sain chez elle , ce nouveau document me le reconfirme encore ; ça n'engage que moi et mon intuition , mon ressenti
Caractérielle!
Absolument ! Ça n'engage que vous...
@@am3liberte939 oui, c'est toujours ce qu'on dit des femmes qui s'expriment
idem. perso je fuis ce genre de meuf.
Le divorce est douloureux contrairement a votre appréciation
ABK6 ! Un bon cognac balancé !
Cyrille est terriblement touchant et si beau physiquement. Mais surtout pleins de bonheurs à lui.
Les bonnes femmes de toute façon tsssssssssss laissent tomber quelle perte de temps !!
Des personnes intelligentes, avec une belle et fine introspection. Tous se responsabilisent vis à vis de leurs relations et de l'echec. De beaux êtres humains que j'ai aimé écouter et découvrir sous le prisme de l'amour, du désamour et de la renaissance. ❤
Non mais les references à Freud et les femmes hystériques …. C’est pas un peu dépassé non ? Beaucoup de banalités qui se prennent pour des idées géniales 😂
Il y a quand même moins d'hommes hystériques que de femmes . . .