Naturalistes et chercheurs au chevet du lézard vivipare

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  • Опубликовано: 3 фев 2019
  • De nombreuses structures se penchent sur l'avenir du lézard vivipare face au changement climatique. De la génétique des populations à l'analyse fine des pertes en eau, en passant par le comptage des individus sur le terrain, les études en cours sur cette espèce pourront nous en apprendre plus sur les mécanismes en jeu pour l'adaptation ou l'extinction locale de cette espèce.
    Une vidéo de Marie Daniel et Fabien Mazzocco.
    Avec Maud Berroneau de Cistude Nature, Olivier Lourdais du CNRS de Chizé et Andréaz Dupoué du CNRS de Moulis.
    Une photo de Matthieu Berroneau.

Комментарии • 5

  • @eden6908
    @eden6908 3 года назад

    Je regarde la vidéo parce que jet un lézard vivipare

  • @maethaeo
    @maethaeo 5 лет назад

    Tous les lézards pondent des oeufs non?

    • @CistudeNatureLeHaillan
      @CistudeNatureLeHaillan  5 лет назад +4

      Et bien non. Le lézard vivipare, par exemple, met bas des petits sur la majorité de son aire de répartition. En fait, il y a même deux sous-espèces de Lézard vivipare en France. Zootoca vivipara vivipara, présent dans la partie nord, met bas des petits lézards, tandis que Zootoca vivipara louislantzi, présent dans le sud (Pyrénées et massif landais), pond des oeufs. Nous prévoyons d'autres vidéo sur le vivipare pour tout vous expliquer !

    • @maethaeo
      @maethaeo 5 лет назад +1

      @@CistudeNatureLeHaillan D'accord merci😊

    • @philippevalentin5312
      @philippevalentin5312 3 года назад

      @Johnny parce que les populations nordiques sont ovovivipares. Même si les populations les plus méridionales pondent des œufs c'est le seul de nos régions à être vivipare. C'est donc un trait comportemental qui le caractérise.