Couplet 1 16 ans derrière moi, un parcours plein d’épines, J’ai grandi dans l’Nord, où les jours sont gris, où les cœurs s’inclinent. À ma naissance, branché sur plein de machines, Des médecins en cercle, mon souffle fragile. Les médocs coulaient dans mes veines comme une rivière, Chaque jour un combat, chaque nuit une prière. "Si vous l’aviez pas amené, il ne serait plus là", Les docteurs murmuraient, ma mère pleurait tout bas. Refrain Et j’porte les cicatrices, d’un combat, d’une guerre, Chaque souffle, chaque pas, c’est un cri dans l’enfer. Rejeté, moqué, mais j’lâche pas la lumière, J’transforme mes blessures en hymne légendaire. Couplet 2 Dès le début, des retards, des difficultés d’esprit, Comprendre les mots, les sons, tout ça me prenait la vie. Les profs disaient "il est lent", les autres riaient de moi, Mais j’avais la rage en moi, je voulais prouver ma voix. Et les filles ? Elles jouaient avec mon cœur comme un jouet, Elles promettaient l’amour, mais leurs rires me détruisaient. Une m’a dit qu’elle m’aimait, juste pour s’en moquer, J’donnais du respect, mais elles voulaient juste m’écraser. Longs cheveux dans le vent, mais c'était une cible, Les regards, les insultes, des mots indélébiles. "Matéo t’es rien", ils me disaient sans raison, Ma mère m’comparait, "ton frère, c’est la maison". Pour elle, j’étais l’ombre, et lui, c’était la lumière, J’voulais qu’elle m’aime autant, mais ses mots étaient amers. Au collège, les moqueries, les regards pleins de haine, Et ma couleur de peau devenait leur problème. Refrain Et j’porte les cicatrices, d’un combat, d’une guerre, Chaque souffle, chaque pas, c’est un cri dans l’enfer. Rejeté, moqué, mais j’lâche pas la lumière, J’transforme mes blessures en hymne légendaire. Pont J’ai rasé mes cheveux, j’voulais tout effacer, Les regards, les rires, ces chaînes à briser. Ma mère disait : "ton frère, il fait tout mieux que toi", Ses mots m’enfermaient, j’avais plus de voix. Le racisme en silence, des insultes dans mon dos, Mais j’serai jamais leur ombre, je deviendrai mon héros. Couplet 3 Déménagement, une lueur d’espoir, Mais les souvenirs restent, comme un écho dans le noir. Ma vie, une bataille, chaque jour est un choix, De rester debout, malgré la haine, malgré le froid. Aujourd’hui j’raconte, avec le feu dans la voix, Un gosse fragile, mais un soldat dans sa foi. Si la vie me teste, j’réponds avec mes rimes, Chaque ligne un chapitre, ma revanche légitime. Refrain Et j’porte les cicatrices, d’un combat, d’une guerre, Chaque souffle, chaque pas, c’est un cri dans l’enfer. Rejeté, moqué, mais j’lâche pas la lumière, J’transforme mes blessures en hymne légendaire. Tout est flou, j’vois plus rien dans l’brouillard, Des chaînes dans l’cœur, des larmes dans le regard. Maman disait qu’la vie c’est comme un combat, Mais j’vois qu’c’est moi contre moi, là. Ils m’ont jugé sans voir mes blessures, J’ai porté seul tout l’poids d’leur rature. J’avance, même si la lumière est loin, Chaque pas m’rapproche un peu d’mon destin.
quella sera in disco non accetto mai le mie sconfitte non fallisco in ciò che preferisco non la tocco se mi porgi winston chiuso in casa a scorre su tik tok quando fumo mi sento più figo quando ho fame si ora che in mano ho la mia becks il divario è troppo grande la gente non sa il perché il passato é importante ma non parlo delle ex ti fai due colpi di ketch solo per essere come me uoo é garantito che mi chieda insta si é divertito apro il frigo
💎 New gem with my bro Tyb, version without vocals available on the website
always nice to hear your work
Thank you 🙏🏼
Great job bro, melodies and drums selection are nailed
🙏🏼
💥💣💥💣💥💣💥💣💥
🕺🏼💕
I want iiit
Couplet 1
16 ans derrière moi, un parcours plein d’épines,
J’ai grandi dans l’Nord, où les jours sont gris, où les cœurs s’inclinent.
À ma naissance, branché sur plein de machines,
Des médecins en cercle, mon souffle fragile.
Les médocs coulaient dans mes veines comme une rivière,
Chaque jour un combat, chaque nuit une prière.
"Si vous l’aviez pas amené, il ne serait plus là",
Les docteurs murmuraient, ma mère pleurait tout bas.
Refrain
Et j’porte les cicatrices, d’un combat, d’une guerre,
Chaque souffle, chaque pas, c’est un cri dans l’enfer.
Rejeté, moqué, mais j’lâche pas la lumière,
J’transforme mes blessures en hymne légendaire.
Couplet 2
Dès le début, des retards, des difficultés d’esprit,
Comprendre les mots, les sons, tout ça me prenait la vie.
Les profs disaient "il est lent", les autres riaient de moi,
Mais j’avais la rage en moi, je voulais prouver ma voix.
Et les filles ? Elles jouaient avec mon cœur comme un jouet,
Elles promettaient l’amour, mais leurs rires me détruisaient.
Une m’a dit qu’elle m’aimait, juste pour s’en moquer,
J’donnais du respect, mais elles voulaient juste m’écraser.
Longs cheveux dans le vent, mais c'était une cible,
Les regards, les insultes, des mots indélébiles.
"Matéo t’es rien", ils me disaient sans raison,
Ma mère m’comparait, "ton frère, c’est la maison".
Pour elle, j’étais l’ombre, et lui, c’était la lumière,
J’voulais qu’elle m’aime autant, mais ses mots étaient amers.
Au collège, les moqueries, les regards pleins de haine,
Et ma couleur de peau devenait leur problème.
Refrain
Et j’porte les cicatrices, d’un combat, d’une guerre,
Chaque souffle, chaque pas, c’est un cri dans l’enfer.
Rejeté, moqué, mais j’lâche pas la lumière,
J’transforme mes blessures en hymne légendaire.
Pont
J’ai rasé mes cheveux, j’voulais tout effacer,
Les regards, les rires, ces chaînes à briser.
Ma mère disait : "ton frère, il fait tout mieux que toi",
Ses mots m’enfermaient, j’avais plus de voix.
Le racisme en silence, des insultes dans mon dos,
Mais j’serai jamais leur ombre, je deviendrai mon héros.
Couplet 3
Déménagement, une lueur d’espoir,
Mais les souvenirs restent, comme un écho dans le noir.
Ma vie, une bataille, chaque jour est un choix,
De rester debout, malgré la haine, malgré le froid.
Aujourd’hui j’raconte, avec le feu dans la voix,
Un gosse fragile, mais un soldat dans sa foi.
Si la vie me teste, j’réponds avec mes rimes,
Chaque ligne un chapitre, ma revanche légitime.
Refrain
Et j’porte les cicatrices, d’un combat, d’une guerre,
Chaque souffle, chaque pas, c’est un cri dans l’enfer.
Rejeté, moqué, mais j’lâche pas la lumière,
J’transforme mes blessures en hymne légendaire.
Tout est flou, j’vois plus rien dans l’brouillard,
Des chaînes dans l’cœur, des larmes dans le regard.
Maman disait qu’la vie c’est comme un combat,
Mais j’vois qu’c’est moi contre moi, là.
Ils m’ont jugé sans voir mes blessures,
J’ai porté seul tout l’poids d’leur rature.
J’avance, même si la lumière est loin,
Chaque pas m’rapproche un peu d’mon destin.
quella sera in disco
non accetto mai le mie sconfitte
non fallisco in ciò che preferisco
non la tocco se mi porgi winston
chiuso in casa a scorre su tik tok
quando fumo mi sento più figo
quando ho fame
si ora che
in mano ho la mia becks
il divario è troppo grande la gente non sa il perché
il passato é importante ma non parlo delle ex
ti fai due colpi di ketch solo per essere come me
uoo é garantito che mi chieda insta
si é divertito apro il frigo