Un nouvel ouvrage sur Mussolini en français c'est tellement rare aujourd'hui alors que tous les incultes ont à la bouche l'insulte fasciste... Le livre est bien sûr hostile au personnage, qu'attendre d'autre, mais on y trouve des renseignements sur les hiérarques. N'oublions pas ce que disait Churchill si j avais été italien, j'aurais été fasciste!
Très bonne analyse de ce personnage complexe. Italienne d'origine, je me suis beaucoup intéressée à l'histoire de mes origines locales et en en parlant avec amis de ma génération et plus vieux.... Juste pour dire, Mussolini reste très présent dans l'imaginaire de "mes" italiens, et dans le "giornale di Vicenza", quotidien très lu dans la région, il y a eu un encart nécrologique dans les années 2000 à la mémoire du "duce ". Surprenant ou pas...Je reste perplexe, Autres traces sur les murs villageois jamais effacées, célèbrent le créateur de "l empire".. Dans mon "bled", calendriers et portes clef sont passe partout.. Je ne juge pas, et participe gentiment à une fascination historique. La bio de Milza est incontournable, je vais lire la vôtre.
On sent que 44min c'est bien trop court ! Déjà votre troisième vidéo sur le fascisme et Mussolini, il va falloir créer une playlist spéciale. D'où vous vient ce si grand intérêt ? Autrement, j'avais trouvé sur RUclips une interview de son fils. C'était en italien donc je n'ai rien compris, mais j'aurais été curieux de savoir ce qui était dit, quel regard était porté sur cette période par ses propres enfants, mais aussi par l'Italie contemporaine... Dans Mondo Vino on sentait la nostalgie des classes les plus aisées : il doit y avoir une part de reconstruction qui est sûrement intéressante à explorer.
Entretien intéressant mais assez partial. Sur le caractère de l'homme, on sent le jugement de valeur et l'historiographie au détriment des faits et des témoignages d'époques. Alors que certes Mussolini pouvait paraître insensible mais d'autres témoignages comme ceux de sa maîtresse Clara Petacci, Henri Béraud et Dino Grandi montre un homme blagueur, boute en train qui aime la famille et les femmes. Ce qui n'empêche pas une attitude sérieuse voire froide face à un interlocuteur politique. Sur l'aspect secret du personnage, ne pas oublier l'influence intellectuelle de Machiavel sur lui (son père le lui lisait déjà enfant). Il aurait été intéressant de voir la République de Salo, une reprise du pouvoir à contrecœur, une indignation face aux atrocités allemandes mais ayant les poings liés et pour éviter la mainmise totale allemande ne dit rien. Toutes les intrigues, dignes de Vichy pour écarter le plus possible les ministres les plus collaborationistes comme Farinacci. Il dira à Roberto Farinacci qu'il déteste "Nous ne sommes pas au Mexique !". Ce dernier repliquera dans son collaborationisme fanatique : " Nous sommes des mexicains !". Un autre aspect que l'auteur négligé c'est la relation paradoxale entre Hitler et lui. L'entrevue de 34 se passant effectivement très mal . Mussolini dira "il m'a recité des passages entiers de Mein Kampf. Hitler est un affreux dégénérésexuel et un fou dangereux". Dont il aura un certain mépris comme pour tout les hommes cherchant à l'immiter absolument tel Degrelle. Mais les victoires du Führer l'electrise au point de se lancer dans la guerre et de supporter à tout prix l'alliance allemande jusqu'à son éviction alors qu'il sait pertinemment que la guerre est perdu pour l'Axe. Toutefois la partie politique et géopolitique est assez bien traité. Tout n'est pas à jeter mais je préfère de loin la biographie d' André Brissaud de 1976 qui a le mérite d'être à la fois exhaustive , illustré et passionnante à lire. A la fois réaliste et nuancé sur cette époque complexe loin des raisonnements à l'emporte pièce dogmatiques .
Vous voulez comparer mussolini et Hitler n oubliez pas que les italiens ont aide en 35 les espagnols par peur du communisme (autre plaie n oubliez pas les lagers de stalin)
Exactement,enfin quelqu'un qui a compris qui etait réellement il Duce,je salut votre franc-parler,juste par curiosité avez vous des informations (personnalité,rôles et fin) sur le personnage qu'était Allessandro Pavolini,mise à part le fait qu'il était le commandant en chef des Brigades-noire.
@@doriancanarelli8997 Merci pour votre commentaire ! Désolé je ne connais pas trop ce personnage historique. J'ai regardé un peu ca bio Wikipedia. C'est en effet un personnage très intéressant !
Merci pour ce très bon entretien, de surcroît bien mené, l'interlocuteur a toute latitude pour développer son sujet. L'approche de Mr Serra est intéressante, il me semble qu'il nous brosse là un portrait de Mussolini bien fidèle à la réalité du personnage qu'il fût, loin effectivement du masque parfois "grotesque" dont il aimait s'affubler! On oublie souvent l'état profondément mélancolique, voire dépressif dans lequel il a sombré à partir de 1943 suite à sa "remise en selle" quand Hitler le met à la tête de l'éphémère république de Salo, dernier "bastion" du Fascisme et source profonde d'humiliation pour le Duce, vassalisé au dernier degré. Personnage opportuniste, désabusé et calculateur certainement, notamment lorsqu'il brocarde et ridiculise les théories raciales nazies dans un célèbre discours tenu à Bari au début des années 30.. dix ans plus tard il se plaindra amèrement ( le journal de Ciano en atteste) que le peuple italien n'était pas assez "forgé" ni suffisamment endurci pour mener ses guerres et qu'il aurait mieux valu un peuple pétri de qualités belliqueuses nordiques! Mr Serra a également raison d'évoquer au début de l'émission la dimension nietzschéenne du personnage, Mussolini appréciait le philosophe allemand et il me semble qu'il s'était fait offrir comme cadeau personnel par Hitler une édition spéciale des oeuvres de Nietzsche. "Aimer le combat pour lui-même" : cette maxime du philosophe a incontestablement trouvé un écho chez Mussolini, qui en a fait en quelque sorte sa profession de foi politique...
Nous ne pouvons regarder qu'avec un profond dédain certaines théories d'outre-alpes, émise par des gens qui ne disposaient pas de l'écriture pour relater leur Histoire quand Rome avait déjà César Virgile et Auguste 👌
Je ne suis pas du tout d'accord sur le fait qu'il n'y a pas eu de tentations cherchant à concilier socialisme et nationalisme : plus largement dans l'histoire des idées, il ne peut y avoir de social que dans le national, et dans le national que dans le social tel que Staline l'avait comprît lorsqu'il a lancer sa grande guerre patriotique contre l'Allemagne hitlérienne..L'impérialisme comme le disait Lénine, était un cheminement de déterminations historiques, ainsi que de conditions particulières dont le capital eut besoin pour y absorber des excédents commerciaux qui ne pouvaient plus être contenus dans les limites géographiques du marché national
Le coup de poignard est du a la gourmandise de la France à l égard des autres pays (voyez l aide envers les autrichiens en récompense n a pas hésité a vouloir nice et savoie) n oubliez pas a l egard de istrie et dalmatie mussolini a ete contraint de se mettre avec hitler
L'Italie serait le seul pays a avoir vu son ennemi historique disparaître après la première guerre mondiale ? La Serbie en a vu deux disparaître : l'Empire austro-hongrois et l'ottoman. Donc à partir de là, je ne vois même pas l'intérêt de continuer l'écoute de cette émission au vu des inexactitudes déballées tout de go par "M.De l'Académie Française".
Bien avant le Joker, Mussolini a clairement démontré que l'on pouvait être à la fois un bouffon et un type dangereux. Un précurseur, en quelque sorte...
L'Académie est peuplée d'illustres peu connus de nous autres les gueux... Il faut y être bien pensant déjà... Votre remarque m'a rappelé celle de Bernanos qui disait Lorsque je n'aurais plus qu'une paire de fesses pour penser, j'irai m'asseoir à L'Académie !
@@parisdaru6899 pour sûr, le nommé Pascal Ory a bien mérité sa chaise percée sous la Coupole. C'est à lui que l'on doit, en 1985, cette phrase digne de rester à jamais gravée dans les anals : "vive Hiroshima ! qui m'a déjà évité une ou deux guerres mondiales".
un conseil renseignez vous car mussolini est devenu végétarien du à des problèmes de santé du à son alimentation pourri est qui adoré la viande car bizarrement il en parle dans c'est mémoire et explique mm pourquoi il est devenu végétarien est ça n'a rien avoir avec une choix personnelle ou je sais pas quoi pour le faire gentil, mais des conseils de c'est médecins qui lui o'et dit clairement que si il arrêtait pas son régime actuel pour une autre dit végétarien il allait mourir très rapidement car on connaissez déjà c'est problème a son époque donc lol est sur les années rouge c'est la même car faut rappelé que je les procès on montré que c'était des truc d'extrême droite Italien nazi qui on fait c'est connerie en se disant communiste car était le courant populaire en Italie est qu'il fallait lui donné une mauvaise image. c'est facile les raccourcis car il on peu transformé des informations en contre informations car on dit pas tout merci des rires j'ai bien rigolé 😉
@@pivovaria4414 désolé être autiste donne souvent des dyslexiques pour ça qu'on écrit peu car un cahier d'une personne autiste et dyslexie, on va vu le résultat chez léonard ou Einstein par exemple.
@@pivovaria4414 après bien savoir parlé n'est pas signe d'intelligence, la preuve hilter et Missolini savait très bien parlé dans deux style différents connu au théâtre mais ça en fait pas des génies pour autant. il n'a qu'à voir leurs résultats final, est je suis fan de l'art est l'histoire militaire donc c'est deux la on les connaît car vu qu'ils sont crue que être chefs d'armée était aussi facile que parlé, c'est deux modèle d'erreur parfait à évité. c'est des génies d'un côté mais pour la connerie , pour le reste bonjour l'aide de certains sois ils seraient oublié est rien 😉
c'est du npkw -mais pas, pour la raison que vous insinuez. Certes, tout homme a sa part de mystère ; et Mussolini excellait à laisser planer le doute sur ses intentions afin de pouvoir, au dernier moment, faire... ce qui l'arrangerait. Mais de là à titrer un livre, "Le mystère Mussolini", c'est une autre Histoire : il s'agit même, de celle qui consiste à tirer le lecteur par la manche du côté des "grands mystères" et des "grandes énigmes". Forcément cela plaît au grand public puisqu'il n'y a même pas besoin d'avoir vu le début du film, pour prendre place : ce public est même flatté qu'on le prenne par le bras pour le faire pénétrer dans l'encéphale du dictateur et dans l'intimité de la petite famille (l'entourage mussolinien) dont les grands et petits secrets n'ont plus de secret... pour lui. Ce psychodrame ininterrompu finit même par présenter une resemblance certaine avec l'ex-feuilleton radiophonique, 'La famille Duraton', mais le contenu informatif est en réalité assez faible et au total le lecteur en apprend peu sur le fascisme
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Excellent entretien. Point de vue riche d’informations et de faits. Bravo.
excellente emission de très grand niveau merci
Merci encore Storia Voce, c'est un plaisir, j'apprends toujours quelque chose.
Un nouvel ouvrage sur Mussolini en français c'est tellement rare aujourd'hui alors que tous les incultes ont à la bouche l'insulte fasciste...
Le livre est bien sûr hostile au personnage, qu'attendre d'autre, mais on y trouve des renseignements sur les hiérarques.
N'oublions pas ce que disait Churchill si j avais été italien, j'aurais été fasciste!
Une galéjade de plus de la part de ce grand homme.
@@yombinome1174😮PYPY😮😢Y😮UYPYYYPJ
Sans oublier l'admiration sans bornes que lui vouait Sigmund Freud !
@@yombinome1174 C'est tout sauf une galéjade !
Vraiment une très bonne émission
Très bonne analyse de ce personnage complexe. Italienne d'origine, je me suis beaucoup intéressée à l'histoire de mes origines locales et en en parlant avec amis de ma génération et plus vieux.... Juste pour dire, Mussolini reste très présent dans l'imaginaire de "mes" italiens, et dans le
"giornale di Vicenza", quotidien très lu dans la région, il y a eu un encart nécrologique dans les années 2000 à la mémoire du "duce ". Surprenant ou pas...Je reste perplexe, Autres traces sur les murs villageois jamais effacées, célèbrent le créateur de "l empire".. Dans mon "bled", calendriers et portes clef sont passe partout.. Je ne juge pas, et participe gentiment à une fascination historique. La bio de Milza est incontournable, je vais lire la vôtre.
On sent que 44min c'est bien trop court ! Déjà votre troisième vidéo sur le fascisme et Mussolini, il va falloir créer une playlist spéciale. D'où vous vient ce si grand intérêt ? Autrement, j'avais trouvé sur RUclips une interview de son fils. C'était en italien donc je n'ai rien compris, mais j'aurais été curieux de savoir ce qui était dit, quel regard était porté sur cette période par ses propres enfants, mais aussi par l'Italie contemporaine... Dans Mondo Vino on sentait la nostalgie des classes les plus aisées : il doit y avoir une part de reconstruction qui est sûrement intéressante à explorer.
Q
QQ
Entretien intéressant mais assez partial. Sur le caractère de l'homme, on sent le jugement de valeur et l'historiographie au détriment des faits et des témoignages d'époques. Alors que certes Mussolini pouvait paraître insensible mais d'autres témoignages comme ceux de sa maîtresse Clara Petacci, Henri Béraud et Dino Grandi montre un homme blagueur, boute en train qui aime la famille et les femmes. Ce qui n'empêche pas une attitude sérieuse voire froide face à un interlocuteur politique. Sur l'aspect secret du personnage, ne pas oublier l'influence intellectuelle de Machiavel sur lui (son père le lui lisait déjà enfant). Il aurait été intéressant de voir la République de Salo, une reprise du pouvoir à contrecœur, une indignation face aux atrocités allemandes mais ayant les poings liés et pour éviter la mainmise totale allemande ne dit rien. Toutes les intrigues, dignes de Vichy pour écarter le plus possible les ministres les plus collaborationistes comme Farinacci. Il dira à Roberto Farinacci qu'il déteste "Nous ne sommes pas au Mexique !". Ce dernier repliquera dans son collaborationisme fanatique : " Nous sommes des mexicains !".
Un autre aspect que l'auteur négligé c'est la relation paradoxale entre Hitler et lui. L'entrevue de 34 se passant effectivement très mal . Mussolini dira "il m'a recité des passages entiers de Mein Kampf. Hitler est un affreux dégénérésexuel et un fou dangereux". Dont il aura un certain mépris comme pour tout les hommes cherchant à l'immiter absolument tel Degrelle. Mais les victoires du Führer l'electrise au point de se lancer dans la guerre et de supporter à tout prix l'alliance allemande jusqu'à son éviction alors qu'il sait pertinemment que la guerre est perdu pour l'Axe.
Toutefois la partie politique et géopolitique est assez bien traité. Tout n'est pas à jeter mais je préfère de loin la biographie d' André Brissaud de 1976 qui a le mérite d'être à la fois exhaustive , illustré et passionnante à lire. A la fois réaliste et nuancé sur cette époque complexe loin des raisonnements à l'emporte pièce dogmatiques .
Oui ;)
Vous voulez comparer mussolini et Hitler n oubliez pas que les italiens ont aide en 35 les espagnols par peur du communisme (autre plaie n oubliez pas les lagers de stalin)
Exactement,enfin quelqu'un qui a compris qui etait réellement il Duce,je salut votre franc-parler,juste par curiosité avez vous des informations (personnalité,rôles et fin) sur le personnage qu'était Allessandro Pavolini,mise à part le fait qu'il était le commandant en chef des Brigades-noire.
@@doriancanarelli8997 Merci pour votre commentaire ! Désolé je ne connais pas trop ce personnage historique. J'ai regardé un peu ca bio Wikipedia. C'est en effet un personnage très intéressant !
Pour ceux qui aiment l'histoire
ruclips.net/video/mYBsm9m3pQk/видео.html
La vie d'hitler dans les détails
Merci pour ce très bon entretien, de surcroît bien mené, l'interlocuteur a toute latitude pour développer son sujet. L'approche de Mr Serra est intéressante, il me semble qu'il nous brosse là un portrait de Mussolini bien fidèle à la réalité du personnage qu'il fût, loin effectivement du masque parfois "grotesque" dont il aimait s'affubler! On oublie souvent l'état profondément mélancolique, voire dépressif dans lequel il a sombré à partir de 1943 suite à sa "remise en selle" quand Hitler le met à la tête de l'éphémère république de Salo, dernier "bastion" du Fascisme et source profonde d'humiliation pour le Duce, vassalisé au dernier degré. Personnage opportuniste, désabusé et calculateur certainement, notamment lorsqu'il brocarde et ridiculise les théories raciales nazies dans un célèbre discours tenu à Bari au début des années 30.. dix ans plus tard il se plaindra amèrement ( le journal de Ciano en atteste) que le peuple italien n'était pas assez "forgé" ni suffisamment endurci pour mener ses guerres et qu'il aurait mieux valu un peuple pétri de qualités belliqueuses nordiques! Mr Serra a également raison d'évoquer au début de l'émission la dimension nietzschéenne du personnage, Mussolini appréciait le philosophe allemand et il me semble qu'il s'était fait offrir comme cadeau personnel par Hitler une édition spéciale des oeuvres de Nietzsche. "Aimer le combat pour lui-même" : cette maxime du philosophe a incontestablement trouvé un écho chez Mussolini, qui en a fait en quelque sorte sa profession de foi politique...
Nous ne pouvons regarder qu'avec un profond dédain certaines théories d'outre-alpes, émise par des gens qui ne disposaient pas de l'écriture pour relater leur Histoire quand Rome avait déjà César Virgile et Auguste 👌
Très intéressant. Merci.
C'est du niveau des émissions de LCI contre Poutine.
Quel talent ! Très intéressant
Passionnant, monsieur brillant
"Mussolini qui aurait méprisé sont peuple", ou quand tu le confonds avec staline ! 😂
très intéressant
Je ne suis pas du tout d'accord sur le fait qu'il n'y a pas eu de tentations cherchant à concilier socialisme et nationalisme : plus largement dans l'histoire des idées, il ne peut y avoir de social que dans le national, et dans le national que dans le social tel que Staline l'avait comprît lorsqu'il a lancer sa grande guerre patriotique contre l'Allemagne hitlérienne..L'impérialisme comme le disait Lénine, était un cheminement de déterminations historiques, ainsi que de conditions particulières dont le capital eut besoin pour y absorber des excédents commerciaux qui ne pouvaient plus être contenus dans les limites géographiques du marché national
Dommage que la question du pourquoi de l'intervention de l'Italie en juin 1940 aux côtés des nazis a été passé sous silence.
Cher Monsieur, oui effectivement nous aurions pu. Nous avons dû faire des choix. Bien cordialement. CD.
Entretien très intéressant : il manque l'explication du coup de poignard dans le dos de la France en 1940.
Le coup de poignard est du a la gourmandise de la France à l égard des autres pays (voyez l aide envers les autrichiens en récompense n a pas hésité a vouloir nice et savoie) n oubliez pas a l egard de istrie et dalmatie mussolini a ete contraint de se mettre avec hitler
pour la réf
L'Italie serait le seul pays a avoir vu son ennemi historique disparaître après la première guerre mondiale ? La Serbie en a vu deux disparaître : l'Empire austro-hongrois et l'ottoman. Donc à partir de là, je ne vois même pas l'intérêt de continuer l'écoute de cette émission au vu des inexactitudes déballées tout de go par "M.De l'Académie Française".
Stresa lac majeur le lac de garde est plus à l’est !
Bien avant le Joker, Mussolini a clairement démontré que l'on pouvait être à la fois un bouffon et un type dangereux. Un précurseur, en quelque sorte...
trop de publicité
21:05 fascisme réconcilie les nobles avec le peuple.
(Et leurs valeurs)
il ne va pas revenir , il a surtout perdu c'est un idiot oui !!!!
Durruti a dit qui était Mussolini
Boia chi molla 🤚🇮🇹
Il n'est pas connu cet académicien français...
C est un ambassadeur italien devenu academicien regardez ses oeuvres
L'Académie est peuplée d'illustres peu connus de nous autres les gueux... Il faut y être bien pensant déjà...
Votre remarque m'a rappelé celle de Bernanos qui disait Lorsque je n'aurais plus qu'une paire de fesses pour penser, j'irai m'asseoir à L'Académie !
@@pierreroger447 c'est vrai. Exemple : Pascal Ory.
@@parisdaru6899 pour sûr, le nommé Pascal Ory a bien mérité sa chaise percée sous la Coupole. C'est à lui que l'on doit, en 1985, cette phrase digne de rester à jamais gravée dans les anals : "vive Hiroshima ! qui m'a déjà évité une ou deux guerres mondiales".
@@lucnemeth8237 et si vous saviez qui était sa femme...
Intéressant, toutefois Mr Serra devrait vulgariser un peu son langage, afin d'être audible par un plus grand nombre...
Pourquoi opposer socialisme et nationalisme ?
National-socialisme donc !
un conseil renseignez vous car mussolini est devenu végétarien du à des problèmes de santé du à son alimentation pourri est qui adoré la viande car bizarrement il en parle dans c'est mémoire et explique mm pourquoi il est devenu végétarien est ça n'a rien avoir avec une choix personnelle ou je sais pas quoi pour le faire gentil, mais des conseils de c'est médecins qui lui o'et dit clairement que si il arrêtait pas son régime actuel pour une autre dit végétarien il allait mourir très rapidement car on connaissez déjà c'est problème a son époque donc lol est sur les années rouge c'est la même car faut rappelé que je les procès on montré que c'était des truc d'extrême droite Italien nazi qui on fait c'est connerie en se disant communiste car était le courant populaire en Italie est qu'il fallait lui donné une mauvaise image. c'est facile les raccourcis car il on peu transformé des informations en contre informations car on dit pas tout merci des rires j'ai bien rigolé 😉
alimentation est un mot féminin.
Votre orthographe ne me permet pas de bien comprendre votre analyse percutante.
@@pivovaria4414 désolé être autiste donne souvent des dyslexiques pour ça qu'on écrit peu car un cahier
d'une personne autiste et dyslexie, on va vu le résultat chez léonard ou Einstein par exemple.
@@pivovaria4414 après bien savoir parlé n'est pas signe d'intelligence, la preuve hilter et Missolini savait très bien parlé dans deux style différents connu au théâtre mais ça en fait pas des génies pour autant. il n'a qu'à voir leurs résultats final, est je suis fan de l'art est l'histoire militaire donc c'est deux la on les connaît car vu qu'ils sont crue que être chefs d'armée était aussi facile que parlé, c'est deux modèle d'erreur parfait à évité. c'est des génies d'un côté mais pour la connerie , pour le reste bonjour l'aide de
certains sois ils seraient oublié est rien 😉
@@pivovaria4414 l'histoire française a des choses bien plus intéressantes à aider que c'est deux guignol désolé
On sent combien l'auteur n'est pas de parti-pris.
Clairement, on s'en vraiment la neutralité. 😂
Ce n'est pas de l'histoire, vraiment du n'importe quoi, ô foule de procureurs infâmes...
c'est du npkw -mais pas, pour la raison que vous insinuez. Certes, tout homme a sa part de mystère ; et Mussolini excellait à laisser planer le doute sur ses intentions afin de pouvoir, au dernier moment, faire... ce qui l'arrangerait. Mais de là à titrer un livre, "Le mystère Mussolini", c'est une autre Histoire : il s'agit même, de celle qui consiste à tirer le lecteur par la manche du côté des "grands mystères" et des "grandes énigmes". Forcément cela plaît au grand public puisqu'il n'y a même pas besoin d'avoir vu le début du film, pour prendre place : ce public est même flatté qu'on le prenne par le bras pour le faire pénétrer dans l'encéphale du dictateur et dans l'intimité de la petite famille (l'entourage mussolinien) dont les grands et petits secrets n'ont plus de secret... pour lui. Ce psychodrame ininterrompu finit même par présenter une resemblance certaine avec l'ex-feuilleton radiophonique, 'La famille Duraton', mais le contenu informatif est en réalité assez faible et au total le lecteur en apprend peu sur le fascisme
"Il fait une guerre honnête" pontifie l'intello, son cul mou sur une chaise.