À quoi tu penses ? Le Billet de François Morel

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  • Опубликовано: 18 сен 2024

Комментарии • 5

  • @juliendavid7960
    @juliendavid7960 4 года назад +1

    Merci François Maurel. Émouvant...

  • @lionelarthur
    @lionelarthur 4 года назад +3

    Il est joli ton billet, doux, tendre, aimant, plein d’attention à l’autre, avec toujours de petites pichnettes d’amour envoyées ci et là, volantes aux quatre vents comme les graines de pissenlits tels des parachutes sensationnels.
    Il est joli ton billet car sa valeur est infinie, on ne la monnaye pas, il ne suit pas le cours de la bourse mais le cours des choses.
    Il pense à nous et non pour nous comme ces gouvernants se croient autorisés de le faire.
    Plus il pense, plus il compense, il aide à trouver un équilibre, une temporisation, une respiration dont beaucoup manquent.
    Pas étonnant, lorsque l’on regarde les choix politiques et sociétaux effectués d’en avoir le souffle coupé.
    À quoi je pense ?
    Je pense à celles et ceux qui pansent, des blessures de l’âme aux corps meurtris.
    Je pense â celles et ceux qui dépensent sans y penser.
    Je pense à celles et ceux qui souffrent de ne pouvoir souffler.
    Je pense à celles et ceux dont les cerveaux flasques d’une avidité superflue à l’abri des masques ne nous ont pourvu.
    Je pense aux infirmières qui de leur blouses dévêtues leurs soins pourtant continuent.
    Je pense à la rance concurrence érigée en point de fuite d’un horizon incertain.
    Je pense à celles et ceux qui depuis longtemps déjà nous mettent en garde à contrario des financiers au garde à vous de dogmes qui nient jusqu’à l’existence des choses. Je scrute Lagarde et ses condisciples qui des salons feutrés mettent en garde celles et ceux qui oseraient imaginer un utopique avenir. La fleur au pencil, ils redessinent un avenir aux traits fins et délicats, au visage radieux, aux paysages bucoliques et non frénétiques comme ceux des usines à mort qu’ils multiplient, excrétant leur flot de déjections ininterrompues ; polluant les cerveaux et l’environnement.
    À quoi je pense?
    Je pense qu’il est venu le temps des cathédrales, magnifiques chef-d’œuvres, du savoir-faire, des ouvriers et des ouvrières, vouant leur vie à ces constructions, uniques, toujours, magiques, assurément. Dans la forêt, les arbres réunis pensent aux combles qu’ils formeront pendant des siècles, comme à cet édifice qu’ils abriteront, le tronc des uns prêt à recueillir les offrandes accueillera tout un monde pour les autres.
    Dans ce châtaignier installée, la colonie est prête à s’élancer, une fois la ruche terminée. Cette cathédrale naturelle aux multiples dédales sera l’origine d’un nouveau départ.
    À quoi je pense ?
    Je pense que c’est possible. Je pense que l’épreuve en elle-même comporte des preuves qu’il n’est plus possible de nier.
    Je pense que la fuite en avant n’aidera pas à combler ce qui s’échappe de plus en plus car peut-être que si l’un fini l’autre meurt.
    Je pense que nous savons bien que Lagarde erre et qu’elle ne fera rien pour nous, tout comme ses semblables, ces artefacts à peine palpables sans consistance qu’il vaut mieux tenir à distance pour ne pas être infecté, pour ne pas être touché par leur mépris.
    Le virus à couronne, petit roitelet qui tente d’imposer son pouvoir, complice malgré lui des fourberies d’une nomenclatura sournoise.
    Mais les alliances peuvent changer et les futurs aux ombrageux nuages noirâtres voir le ciel s’éclaircir et l’espérance revenir comme un doux message qu’un poète des ondes lança un jour, sur une radio, un matin, comme ça, comme une question ouverte, comme un appel à se retrouver, bientôt, à se serrer et s’embrasser, à retrouver ces liens simples, entre humains, cette connivence avec la nature, semer, égrainer, polliniser à l’instar des abeilles et retrouver la chaleur d’un foyer, la tendresse des êtres chers.
    C’est fou ce qu’un doux billet, comme celui envoyé d’un tendre à son aimé.e, peut engendrer comme passion.
    C’est la force de la néguentropie contenue notamment dans les œuvres artistiques, où l’énergie ne se perd pas.
    Le mouvement perpétuel n’est pas mécanique, il est artistique, il est dans toute réalisation qui a du sens, dans toute démarche altruiste.
    Quand soumettre à la question n’est pas une torture, ni une gageure, mais une ouverture sur un champ des possibles, dès que possible, pour les sensibles.

  • @bobmorane880
    @bobmorane880 4 года назад +6

    Franchement, vous pourriez pas remettre François Morel à 8 heures 55 ? Rien contre Ali Rebeihi mais ça ne colle juste pas au ton de son émission et je loupe systématiquement la chronique (heureusement qu'il reste RUclips).

  • @didiervidry7687
    @didiervidry7687 4 года назад

    Je pense au pangolin réhabilité non par Zola,mais par Montagnier qui y voit clair lui....

  • @moullecbilly7535
    @moullecbilly7535 4 года назад +1

    je pense aryen ? restons vigilants