Salut Pierre, je te souhaite tous mes meilleurs vœux santé et bonheur. Comme quoi avec de la patience on arrive à bout,il faut simplement accompagner les agriculteurs afin de changer de voies
Avant en betteraves sucrieres, il y avait des quotas pour limiter la surproduction. Donc chaque cultivateur avait une quantité de betteraves à produire. Les quotas on été supprimé, donc chaque cultivateur a voulu faire un max de rendement, comment ? En semant plus tôt pour avoir des betteraves plus grosses ! Les vols de pucerons arrivent à une période bien précise dans l'année, il suffit de semer après cette période pour ne pas avoir de dégâts, mais il faut accepter d'avoir un peu moins de rendement final ...
exellent moyen de lutter contre les ravageur mais es ce que l'on ne pourrais pas attirer leurs prédateurs(coccinelles et autres )par la même procédure. Henri
Vous me mettrez 2 tonnes de ces granulés pour mon potager. Il me vient 2 questions : quel est le coût de cette solution (quand elle sera dispo) par rapport à une solution plus traditionnelle, et qu'en est il de la conservation de ce produit dans le temps. Faut-il l'utiliser de suite après réception ? Cela poserait alors des problèmes de logistique. Excellente vidéo sur un sujet en avance sur l'actualité ^^ !
Merci beaucoup !! J'essaie de vous proposer toujours la pointe de l'innovation :) Du coup, il n'y a pas encore de prix, mais je vais chercher les réponses pour la question de durée de conservation... Je vous dis ça !
Très intéressant mais suis-je le seul à me poser la question de pourquoi il y a des pucerons plutôt que de chercher directement une solution pour les traiter
C'est inevitable dans toute "monoculture" qu'il y ait des ravageurs qui arrivent, surtout si elle est cultivée à large échelle (sauf exceptions type sarrasin etc), ainsi que des maladies. Ces ravageurs ne sont pas dangereux à la densité à laquelle cette plante est présente à l'état sauvage, mais regrouper beaucoup d'individus sur une même surface attire forcément ces ravageurs qui peuvent y faire de gros dégâts.
Non c'est faux ce que tu dis une crucifère si elle est mal nourrit attire des ravageurs pour la détruire ça s'appelle la sélection naturelle si il y a des insectes c'est que les plantes sont mal nourrit et carencés
J'ai posé la question à pas mal d'agris betteraviers et à des scientifiques : je crois que tous et toutes se posent (comme toi) les deux questions de prévenir leur arrivée et de traiter leur présence. Et pour éviter qu'il y ait des pucerons, il y a plusieurs facteurs à prendre en compte, qui dépendent apparemment beaucoup de la saison (plantes compagnes, mesures pour éviter que des réserves de virus se créent...). Tu fais comment chez toi, quand tu te poses la question ?
La solution des plantes compagnes répulsives me paraît plus intéressante que les granulés. Combinées avec des plantes attractives en bordures pour servir de martyrs mais aussi de réserve de nourriture pour les auxiliaires, ça pourrait être parfait. Il me semble que c'est comme ça qu'ils font à Cuba depuis le début de l'embargo.
J'ai l'impression qu'en Europe, les betteraviers se dirigent plutôt vers une combinaisons de solution, maintenant que les néonicotinoïdes sont interdits.
C’est tres bien mais la question du prix de cette solution est primordiale. Le clou ee girofle etant tres chère, je crains pour la viabilité économique de cette solution....
Je suis sceptique sur toute les solutions issues de labo, d'autant plus quand les produits son présenté comme miracle. On ne peut pas maîtriser tout les impacts dans une éprouvette. L'impact sur les auxiliaires à t'il été observé ? Ça doit bien avoir une répercussion sur la vie du sol ci c'est ci efficace
C'est l'objet des essais en plein champ, qui sont encadrés strictement par des procédures de mise sur le marché. Ça prend des années, Julien n'est pas le seul qui accueille des essais sur ses terres. Si ma vidéo donne l'impression d'une solution miracle, ça n'est pas volontaire, parce que ce produit devra encore passer pas mal d'obstacles avant de se retrouver dans les champs (au-delà des essais surveillés). Et avant les essais en plein champ, les scientifiques testent en labo la réaction des insectes auxilliaires, en parallèle de celle des ravageurs. J'ai posé quelques questions dans ce sens (et dans ma précédente vidéo sur le biocontrôle aussi), mais j'essaierai de détailler la procédure la prochaine fois que j'en parlerai dans une vidéo.
@@pierre_girard D'accord, c'est très bien si à l'avenir ça permet de réduire les insecticides mais je trouve (et j'espère avoir tort) que le schéma reste le même avec entre autres une dépendance des cultivateurs pour un produit qu'importe l'évolution des tarifs. Malgré mes inquiétudes vis a vis des ''recherches en labo'' peut-être que nous utiliserons aussi cette techniques un jour, je préfère ça que d'investir dans des semences ogm, mais je préférerais toujours les recherches qui tendent vers l'autonomie des fermes. En tout cas Merci pour ton travail, tu participes grandement à l'ouverture des esprits sur les changements à venir.
L'avantage de ces produits c'est qu'on peut les sentir sans risque de toxicité, on est d'accord ? Ah non, c'est mortel, ne sniffé pas ça sans protection ! Pierre Girard Agonise dans la douleur, FIN. (ça aurait été drôle ^^)
bravo Pierre, superbes émissions!
J'adore ton travail,
Ca donne de l'espoir, c'est top
Merci Pierre
Merci !! A partager autour de vous pour celles et ceux qui perdent espoir ces temps-ci
Elles sont super vos vidéos !!
Very interesting as an alternative direction for farmers .
Thank you Pierre , I look forward to your future contributions in this regard .
Thanks! I'm going to continue to follow the research on this subject, because there may be applications for a lot of other crops.
L'avenir de la planète passe aussi par la recherche . Merci Pierre pour cette info étonnante
🙏 Comme il faut tout repenser, la science a de nombreuses pistes à explorer !
Salut Pierre, je te souhaite tous mes meilleurs vœux santé et bonheur.
Comme quoi avec de la patience on arrive à bout,il faut simplement accompagner les agriculteurs afin de changer de voies
Merci, meilleurs vœux également ! Ça fait plaisir de commencer l'année sur cette chaîne, avec une note d'espoir
Avant en betteraves sucrieres, il y avait des quotas pour limiter la surproduction. Donc chaque cultivateur avait une quantité de betteraves à produire. Les quotas on été supprimé, donc chaque cultivateur a voulu faire un max de rendement, comment ? En semant plus tôt pour avoir des betteraves plus grosses ! Les vols de pucerons arrivent à une période bien précise dans l'année, il suffit de semer après cette période pour ne pas avoir de dégâts, mais il faut accepter d'avoir un peu moins de rendement final ...
+1 merci pour le boulot, pour avoir un peu respirer les produits qu'ils mettent sur les parcelles je peux vous dire faut vraiment le bannir ce truc la
exellent moyen de lutter contre les ravageur mais es ce que l'on ne pourrais pas attirer leurs prédateurs(coccinelles et autres )par la même procédure.
Henri
c est de la bonne terre a marolles !!
Vous me mettrez 2 tonnes de ces granulés pour mon potager.
Il me vient 2 questions :
quel est le coût de cette solution (quand elle sera dispo) par rapport à une solution plus traditionnelle,
et qu'en est il de la conservation de ce produit dans le temps. Faut-il l'utiliser de suite après réception ? Cela poserait alors des problèmes de logistique.
Excellente vidéo sur un sujet en avance sur l'actualité ^^ !
Merci beaucoup !! J'essaie de vous proposer toujours la pointe de l'innovation :) Du coup, il n'y a pas encore de prix, mais je vais chercher les réponses pour la question de durée de conservation... Je vous dis ça !
Très intéressant mais suis-je le seul à me poser la question de pourquoi il y a des pucerons plutôt que de chercher directement une solution pour les traiter
C'est inevitable dans toute "monoculture" qu'il y ait des ravageurs qui arrivent, surtout si elle est cultivée à large échelle (sauf exceptions type sarrasin etc), ainsi que des maladies. Ces ravageurs ne sont pas dangereux à la densité à laquelle cette plante est présente à l'état sauvage, mais regrouper beaucoup d'individus sur une même surface attire forcément ces ravageurs qui peuvent y faire de gros dégâts.
Non c'est faux ce que tu dis une crucifère si elle est mal nourrit attire des ravageurs pour la détruire ça s'appelle la sélection naturelle si il y a des insectes c'est que les plantes sont mal nourrit et carencés
J'ai posé la question à pas mal d'agris betteraviers et à des scientifiques : je crois que tous et toutes se posent (comme toi) les deux questions de prévenir leur arrivée et de traiter leur présence. Et pour éviter qu'il y ait des pucerons, il y a plusieurs facteurs à prendre en compte, qui dépendent apparemment beaucoup de la saison (plantes compagnes, mesures pour éviter que des réserves de virus se créent...). Tu fais comment chez toi, quand tu te poses la question ?
Je me pose plus la question une plante qui tombe malade ou qui est attaquée par un ravageur c'est qu'elle est mal nourrit
Merci beaucoup pour ce témoignage !
As tu le nom de ce produit ?
Ravi que ça vous intéresse ! Le produit n'a pas encore de nom commercial, comme les essais sont en cours.
La solution des plantes compagnes répulsives me paraît plus intéressante que les granulés. Combinées avec des plantes attractives en bordures pour servir de martyrs mais aussi de réserve de nourriture pour les auxiliaires, ça pourrait être parfait. Il me semble que c'est comme ça qu'ils font à Cuba depuis le début de l'embargo.
J'ai l'impression qu'en Europe, les betteraviers se dirigent plutôt vers une combinaisons de solution, maintenant que les néonicotinoïdes sont interdits.
@@pierre_girard C'est une bonne chose, trop de ravage pour la faune les néonicotinoïdes.
C’est tres bien mais la question du prix de cette solution est primordiale. Le clou ee girofle etant tres chère, je crains pour la viabilité économique de cette solution....
Cest autorise en AB ?
C'est autorisé nulle part, comme c'est encore à l'essai ;) mais c'est développé en suivant le cahier des charges de l'AB
Je suis sceptique sur toute les solutions issues de labo, d'autant plus quand les produits son présenté comme miracle. On ne peut pas maîtriser tout les impacts dans une éprouvette. L'impact sur les auxiliaires à t'il été observé ? Ça doit bien avoir une répercussion sur la vie du sol ci c'est ci efficace
C'est l'objet des essais en plein champ, qui sont encadrés strictement par des procédures de mise sur le marché. Ça prend des années, Julien n'est pas le seul qui accueille des essais sur ses terres. Si ma vidéo donne l'impression d'une solution miracle, ça n'est pas volontaire, parce que ce produit devra encore passer pas mal d'obstacles avant de se retrouver dans les champs (au-delà des essais surveillés). Et avant les essais en plein champ, les scientifiques testent en labo la réaction des insectes auxilliaires, en parallèle de celle des ravageurs. J'ai posé quelques questions dans ce sens (et dans ma précédente vidéo sur le biocontrôle aussi), mais j'essaierai de détailler la procédure la prochaine fois que j'en parlerai dans une vidéo.
@@pierre_girard D'accord, c'est très bien si à l'avenir ça permet de réduire les insecticides mais je trouve (et j'espère avoir tort) que le schéma reste le même avec entre autres une dépendance des cultivateurs pour un produit qu'importe l'évolution des tarifs. Malgré mes inquiétudes vis a vis des ''recherches en labo'' peut-être que nous utiliserons aussi cette techniques un jour, je préfère ça que d'investir dans des semences ogm, mais je préférerais toujours les recherches qui tendent vers l'autonomie des fermes.
En tout cas Merci pour ton travail, tu participes grandement à l'ouverture des esprits sur les changements à venir.
👌🏾👍🏾
L'avantage de ces produits c'est qu'on peut les sentir sans risque de toxicité, on est d'accord ? Ah non, c'est mortel, ne sniffé pas ça sans protection ! Pierre Girard Agonise dans la douleur, FIN. (ça aurait été drôle ^^)
Super vidéo super intéressante !
👍👍👍
avec la betterave ogm , plus de soucis de pesticides !