Il faudrait aussi accepter soki lobi peuple alobi application ya article 64... soki awa boza ko soutenir peuple pona référendum bosala pe bongo soki peuple alobi article 64 en action
S’opposer à un pouvoir est un droit légitime et inhérent à toute démocratie. Cependant, utiliser cette opposition pour justifier les crimes d’un pays étranger contre vos compatriotes, c’est franchir une ligne rouge. Cela revient à prendre le parti de l’ennemi. Aucun Congolais, aussi opposé soit-il à Félix Tshisekedi ou à un autre dirigeant, ne devrait excuser les actions de Paul Kagame ou collaborer avec lui. Le souvenir de 1997 reste encore vif dans les mémoires. Le peuple congolais a tiré des leçons de cette période sombre et ne permettra pas que l’histoire se répète. Notre pays, notre armée ne pouvait pas tant souffrir face à l'armée rwandaise. Pourtant, une vérité douloureuse, que beaucoup refusent d’admettre par attachement ou par loyauté, s’impose : certains parmi nous facilitent ou soutiennent cette énième offensive contre notre nation. Les masques tombent peu à peu, et le temps révèle aujourd'hui des visages complices. Il devient impératif de livrer une ultime bataille, non seulement contre l’agresseur, mais aussi contre ces traîtres de l'intérieur. Il est temps pour tous de se rappeler que la défense de la nation transcende les divisions politiques. Nos luttes internes ne doivent jamais servir d’outil pour des agendas étrangers qui ne cherchent qu’à affaiblir notre République. Soit les Kabilistes éclaircissent leur position, soit ils assument alors faire partie de cette aventure que la Nation entre est en train et se doit de combattre.
Le Diviseur commun: résumé du parcours. 2015 : Kabila est diabolisé, accusé de vouloir un "troisième penalty" (un troisième mandat). Décembre 2015 : Les opposants se réunissent à l'île de Gorée, au Sénégal, avec un séjour financé par "le Diviseur". Naissance des mouvements citoyens anti-Kabila. Juin 2016 : Prise de contrôle (OPA) sur l’UDPS, provoquant l'échec des discussions entre Joseph Kabila (JKK) et Étienne Tshisekedi. Organisation de la Rencontre de Genval. Nomination de Jean-Marc Kabund, présenté à tort comme "Katangais". 2016 - Début des affrontements : Les tensions politiques provoquent des morts parmi les Congolais, bien que le véritable affrontement soit entre Katumbi et Kabila. Août 2016 : Kamerhe, absent à Genval, est diabolisé pour sa participation au Dialogue de la Cité de l’UA, sous prétexte qu’on ne peut pas dialoguer avec Kabila. Décembre 2016 : Signature de l’accord de la Saint-Sylvestre. Avril 2017 : Jean-Pierre Bemba et Ève Bazaiba sont critiqués pour avoir signé les arrangements particuliers rejetés par Katumbi. Avril 2017 : Bruno Tshibala (Toshibala) est nommé Premier ministre à la place de Félix Tshisekedi (FATSHI), malgré les efforts de Katumbi pour imposer ce dernier. Juin - Décembre 2017 : Des sanctions internationales visent des dignitaires de Kabila grâce à des lobbies financés à cet effet. Création de nouvelles structures : Katumbi finance le Comité Laïc de Coordination (CLC) après avoir échoué à utiliser l’UDPS pour mobiliser. Février 2018 : Katumbi fait échouer des négociations entre FATSHI et JKK, menées par Kin-kiey et Kankonde, qui visaient à nommer FATSHI à la Primature. Février 2018 : FATSHI découvre les intentions de Katumbi lorsque des articles commandités pour le discréditer lui parviennent. Il annule un dîner à Bruxelles, marquant le début de leur séparation. Mars 2018 : Katumbi est bloqué à Kasumbalesa alors qu’il tentait de déposer sa candidature pour une présidentielle qu’il avait lui-même dénoncée. Avril 2018 : Depuis Kigali, Katumbi est endossé par Kagame et défie ouvertement Kabila. Il déclare : "Maintenant que je suis au Rwanda, ils vont inventer d’autres accusations parce qu’ils n’aiment pas le Rwanda." Novembre 2018 : À Genève, Katumbi manipule Kamerhe et FATSHI pour imposer Martin Fayulu comme candidat commun, en finançant entièrement la rencontre. Échec à Genève : Après l’échec de Genève, Katumbi s’accroche à Fayulu mais assiste impuissant à l’ascension de FATSHI à la présidence. Mai 2019 : De retour à Lubumbashi, Katumbi attaque l’alliance FCC-CACH, dénonçant toute collaboration avec Kabila. 2020 : Katumbi pointe Hammer et Pumba pour démanteler FCC-CACH, espérant remplacer Kabila aux côtés de Tshisekedi. 2020 : Il exclut Fayulu de Lamuka, accusant ce dernier de rester constant dans son opposition à Tshisekedi, contrairement à lui. 2021 : Katumbi envoie des "poids plumes" dans le gouvernement afin de tendre une embuscade électorale à FATSHI pour 2023. 2023 - Présidentielle : Il se présente contre FATSHI, rachète des candidatures, et refuse toute alliance avec Fayulu ou Mukwege. Après sa défaite, il devient le porte-parole des revendications du Rwanda et du M23. Après la défaite : Il cherche à rejouer la carte de Fayulu, missionnant Sesanga pour mobiliser, tout en se réconciliant avec Kabila grâce à des lobbies ayant négocié cette réconciliation pendant plusieurs mois.
Bonjour le Grand maestro Mr Guy Mputu et Mr Serge Makoso muana Kongo Centrale ainsi que Mr Mike Kamuaka depuis Atlanta Georgia USA 😊❤ bonne année ❤
Bonjour honorable Jules 😊 bonne année
Ndeko panzu félicitation
Bravos blaise mpanzu osololi
Bravo na mutu ya ensemble et blaise Panzu le muzeiste
Félicitations brovo muya de udps
C'est un jeune inconscient à qui on a inculqué des mensonges, des contre-vérités.
Kiekiekie Kiekiekie Blaise panzu abeti bango bilokoooo
John thsitende un zinzin masukiste et muya un vrai Charlot
Il faudrait aussi accepter soki lobi peuple alobi application ya article 64... soki awa boza ko soutenir peuple pona référendum bosala pe bongo soki peuple alobi article 64 en action
Il faut éviter d'inviter les fanatiques, on a besoin de gens qui réfléchissent pour le Congo.
Tshitende tintin
S’opposer à un pouvoir est un droit légitime et inhérent à toute démocratie. Cependant, utiliser cette opposition pour justifier les crimes d’un pays étranger contre vos compatriotes, c’est franchir une ligne rouge. Cela revient à prendre le parti de l’ennemi. Aucun Congolais, aussi opposé soit-il à Félix Tshisekedi ou à un autre dirigeant, ne devrait excuser les actions de Paul Kagame ou collaborer avec lui. Le souvenir de 1997 reste encore vif dans les mémoires. Le peuple congolais a tiré des leçons de cette période sombre et ne permettra pas que l’histoire se répète.
Notre pays, notre armée ne pouvait pas tant souffrir face à l'armée rwandaise. Pourtant, une vérité douloureuse, que beaucoup refusent d’admettre par attachement ou par loyauté, s’impose : certains parmi nous facilitent ou soutiennent cette énième offensive contre notre nation. Les masques tombent peu à peu, et le temps révèle aujourd'hui des visages complices. Il devient impératif de livrer une ultime bataille, non seulement contre l’agresseur, mais aussi contre ces traîtres de l'intérieur.
Il est temps pour tous de se rappeler que la défense de la nation transcende les divisions politiques. Nos luttes internes ne doivent jamais servir d’outil pour des agendas étrangers qui ne cherchent qu’à affaiblir notre République. Soit les Kabilistes éclaircissent leur position, soit ils assument alors faire partie de cette aventure que la Nation entre est en train et se doit de combattre.
Tshitende honte à toi😢
Le Diviseur commun: résumé du parcours.
2015 : Kabila est diabolisé, accusé de vouloir un "troisième penalty" (un troisième mandat).
Décembre 2015 : Les opposants se réunissent à l'île de Gorée, au Sénégal, avec un séjour financé par "le Diviseur". Naissance des mouvements citoyens anti-Kabila.
Juin 2016 : Prise de contrôle (OPA) sur l’UDPS, provoquant l'échec des discussions entre Joseph Kabila (JKK) et Étienne Tshisekedi. Organisation de la Rencontre de Genval. Nomination de Jean-Marc Kabund, présenté à tort comme "Katangais".
2016 - Début des affrontements : Les tensions politiques provoquent des morts parmi les Congolais, bien que le véritable affrontement soit entre Katumbi et Kabila.
Août 2016 : Kamerhe, absent à Genval, est diabolisé pour sa participation au Dialogue de la Cité de l’UA, sous prétexte qu’on ne peut pas dialoguer avec Kabila.
Décembre 2016 : Signature de l’accord de la Saint-Sylvestre.
Avril 2017 : Jean-Pierre Bemba et Ève Bazaiba sont critiqués pour avoir signé les arrangements particuliers rejetés par Katumbi.
Avril 2017 : Bruno Tshibala (Toshibala) est nommé Premier ministre à la place de Félix Tshisekedi (FATSHI), malgré les efforts de Katumbi pour imposer ce dernier.
Juin - Décembre 2017 : Des sanctions internationales visent des dignitaires de Kabila grâce à des lobbies financés à cet effet.
Création de nouvelles structures : Katumbi finance le Comité Laïc de Coordination (CLC) après avoir échoué à utiliser l’UDPS pour mobiliser.
Février 2018 : Katumbi fait échouer des négociations entre FATSHI et JKK, menées par Kin-kiey et Kankonde, qui visaient à nommer FATSHI à la Primature.
Février 2018 : FATSHI découvre les intentions de Katumbi lorsque des articles commandités pour le discréditer lui parviennent. Il annule un dîner à Bruxelles, marquant le début de leur séparation.
Mars 2018 : Katumbi est bloqué à Kasumbalesa alors qu’il tentait de déposer sa candidature pour une présidentielle qu’il avait lui-même dénoncée.
Avril 2018 : Depuis Kigali, Katumbi est endossé par Kagame et défie ouvertement Kabila. Il déclare : "Maintenant que je suis au Rwanda, ils vont inventer d’autres accusations parce qu’ils n’aiment pas le Rwanda."
Novembre 2018 : À Genève, Katumbi manipule Kamerhe et FATSHI pour imposer Martin Fayulu comme candidat commun, en finançant entièrement la rencontre.
Échec à Genève : Après l’échec de Genève, Katumbi s’accroche à Fayulu mais assiste impuissant à l’ascension de FATSHI à la présidence.
Mai 2019 : De retour à Lubumbashi, Katumbi attaque l’alliance FCC-CACH, dénonçant toute collaboration avec Kabila.
2020 : Katumbi pointe Hammer et Pumba pour démanteler FCC-CACH, espérant remplacer Kabila aux côtés de Tshisekedi.
2020 : Il exclut Fayulu de Lamuka, accusant ce dernier de rester constant dans son opposition à Tshisekedi, contrairement à lui.
2021 : Katumbi envoie des "poids plumes" dans le gouvernement afin de tendre une embuscade électorale à FATSHI pour 2023.
2023 - Présidentielle : Il se présente contre FATSHI, rachète des candidatures, et refuse toute alliance avec Fayulu ou Mukwege. Après sa défaite, il devient le porte-parole des revendications du Rwanda et du M23.
Après la défaite : Il cherche à rejouer la carte de Fayulu, missionnant Sesanga pour mobiliser, tout en se réconciliant avec Kabila grâce à des lobbies ayant négocié cette réconciliation pendant plusieurs mois.
Muya tika distraction. Incompétent
Muya yo après pouvoir na bino luka deja mboka oko kende
Ndeko zulu blaise panzu alobaki ke si mike mukebaye abimi te na prison ye ako kende na prison na place na ye.azo sala nini na ba plateau ya ba tv
Canal kin
Kolekisaka mwana wana te udps mwana mukie lukuta na na lukuta
Impoli
Blaise tika sentiment parle de la politique
Blaise tika sentiment parle de la politique