Cette loi est injuste et doit être abrogée dès que la majorité change à l’assemblée nationale. Les coupables doivent être traqués jusque dans les chiots. Et punis
Non Daouda Mine, les cas de tortures, de meurtres sont hors de portée de la loi d'amnistie. Il s'ajoute que des faits nouveaux peuvent être évoqués pour abroger la loi d'amnistie.
On oubliera jamais ce qui s'est passé entre 2021 et 2023,ya quelqu'un sur le plateau qui dit nieup faté naniu pourquoi Mme Toure revient sur ça, Mimi a bien raison d'y revenir
Merci Daouda si Jangat bi tjr égal à lui même ❤ yaw rk lay dig Lou si affaire justice losi wax rk doy nama qu’il m’est favorable ou non 👌😍 c’est ça la justice defois atté bi nex la autres fois mo metti
Cette loi scélérate d' amnistie de la plus horrible de l' histoire du Sénégal visant à faire passer à pertes et profits tous les nombreux très jeunes martyrs ne saurait passer ...D' autant plus que le pays fait partie des premiers signataires des statuts de Rome .Les crimes d'agression, conformément aux amendements apportés en 2010, s'ils sont commis sur le territoire d'un État partie ou par l'un de ses ressortissants. Voilà qui est bien clair .
Justice doit etre faite,c 'est aussi simple que ça ! Tôt ou tard , Maky devra répondre de ses actes et tout complice! C'est aussi simple. Ce gouvernement a d'autres priorités rek mais lérale mome fawmou ame. Qui étaient derriere adji sarr, qui sont les commanditaires . Ces morts aussi, qui les a tués? Fawe lêrale ame !
D’où, l’intérêt de tenir la déclaration de politique générale au-delà de la session ordinaire unique 2023-2024 dont la clôture est prévue le 30 juin 2024. A coup sûr, cela éviterait à l’actuel Gouvernement d’essuyer une seconde motion de censure durant la prochaine session ordinaire unique (2024-2025). Bien plus, l’opposition, présentement majoritaire à l’Assemblée nationale, aura sans doute l’intelligence, de ne pas renverser le Gouvernement à une date qui lui sera également fatale. Car en mi-septembre 2024, soit à l’expiration des « deux premières années de la législature », « le Président de la République peut, après avoir recueilli l’avis du Premier Ministre et celui du Président de l’Assemblée nationale, prononcer, par décret, la dissolution de l’Assemblée nationale (…). Le décret de dissolution fixe la date du scrutin pour l’élection des députés. Le scrutin a lieu soixante (60) jours au moins et quatre-vingt-dix (90) jours au plus après la date de publication dudit décret ». Par ailleurs, une dissolution ainsi réfléchie n’aurait-elle pas une conséquence inattendue sur l’adoption du projet de loi de finances de l’année 2025 ? Le Président de la République ne pourrait-t-il, avec l’onction du Conseil constitutionnel, recourir aux ordonnances pour mettre en vigueur le projet de loi de finances ? L’autre considération de taille, c’est qu’au lendemain du vote de la motion de censure, le Président de la République a le pouvoir de renouveler sa confiance au Gouvernement strictement composé à l’identique, c’est-à-dire sans aucun changement. Il s’agirait d’une simple reconduction du Premier Ministre, des ministres et des secrétaires d’Etat. Par conséquent, la destitution du Gouvernement par la censure d’une politique générale est sans effet utile. Certes, le Gouvernement est politiquement désavoué mais sa survie n’est pas juridiquement compromise. Au bout du compte, le Président de la République a le dernier mot en cas de destitution du Gouvernement à travers l’adoption d’une motion de censure dirigée contre la déclaration de politique générale du Premier Ministre. En attendant la réalisation d’une telle hypothèse, chaque état-major parlementaire est libre de faire peur à l’autre en jouant sur une corde raide de la déclaration de politique générale du Premier Ministre.
Vous avez dit que les cas de torture ne font pas partie de l'amnistie Donc ceux quo ont commis des meurtres aussi si le meurtre est une forme de torture. Donc c'est bon on ne demande pas plus
Les lois pénales dont vous parlez n'ont pas droit de cité en l'espèce. Aussi, les faits qu'on amnistie doivent ils d'abord être qualifiés c'est-à-dire une clôture de l'instruction et un renvoi devant un tribunal ou une cour doit, au moins, avoir lieu pour qu'on puisse parler de faits. En l'espèce, nous étions au stade de l'accusation. Dès lors aucun fait n'est encore établi juridiquement. Cette loi d'amnistie est sans fondement MATERIEL. Elle est nulle et non avenue.
Cette loi est injuste et doit être abrogée dès que la majorité change à l’assemblée nationale. Les coupables doivent être traqués jusque dans les chiots. Et punis
Non Daouda Mine, les cas de tortures, de meurtres sont hors de portée de la loi d'amnistie.
Il s'ajoute que des faits nouveaux peuvent être évoqués pour abroger la loi d'amnistie.
On oubliera jamais ce qui s'est passé entre 2021 et 2023,ya quelqu'un sur le plateau qui dit nieup faté naniu pourquoi Mme Toure revient sur ça, Mimi a bien raison d'y revenir
Mashalla Daouda Mine vraiment yèna question bokoy demand dafmay diakhale
Daouda mine est trop pertinent et professionnel ❤❤❤
Merci Daouda si Jangat bi tjr égal à lui même ❤ yaw rk lay dig Lou si affaire justice losi wax rk doy nama qu’il m’est favorable ou non 👌😍 c’est ça la justice defois atté bi nex la autres fois mo metti
Merci daouda😂🎉
Cette loi scélérate d' amnistie de la plus horrible de l' histoire du Sénégal visant à faire passer à pertes et profits tous les nombreux très jeunes martyrs ne saurait passer ...D' autant plus que le pays fait partie des premiers signataires des statuts de Rome .Les crimes d'agression, conformément aux amendements apportés en 2010, s'ils sont commis sur le territoire d'un État partie ou par l'un de ses ressortissants. Voilà qui est bien clair .
🔥🔥Macky vrai mbam la !! Il doit goûter à la prison
Justice doit etre faite,c 'est aussi simple que ça !
Tôt ou tard , Maky devra répondre de ses actes et tout complice!
C'est aussi simple.
Ce gouvernement a d'autres priorités rek mais lérale mome fawmou ame.
Qui étaient derriere adji sarr, qui sont les commanditaires .
Ces morts aussi, qui les a tués?
Fawe lêrale ame !
D’où, l’intérêt de tenir la déclaration de politique générale au-delà de la session ordinaire unique 2023-2024 dont la clôture est prévue le 30 juin 2024. A coup sûr, cela éviterait à l’actuel Gouvernement d’essuyer une seconde motion de censure durant la prochaine session ordinaire unique (2024-2025). Bien plus, l’opposition, présentement majoritaire à l’Assemblée nationale, aura sans doute l’intelligence, de ne pas renverser le Gouvernement à une date qui lui sera également fatale. Car en mi-septembre 2024, soit à l’expiration des « deux premières années de la législature », « le Président de la République peut, après avoir recueilli l’avis du Premier Ministre et celui du Président de l’Assemblée nationale, prononcer, par décret, la dissolution de l’Assemblée nationale (…). Le décret de dissolution fixe la date du scrutin pour l’élection des députés. Le scrutin a lieu soixante (60) jours au moins et quatre-vingt-dix (90) jours au plus après la date de publication dudit décret ».
Par ailleurs, une dissolution ainsi réfléchie n’aurait-elle pas une conséquence inattendue sur l’adoption du projet de loi de finances de l’année 2025 ? Le Président de la République ne pourrait-t-il, avec l’onction du Conseil constitutionnel, recourir aux ordonnances pour mettre en vigueur le projet de loi de finances ?
L’autre considération de taille, c’est qu’au lendemain du vote de la motion de censure, le Président de la République a le pouvoir de renouveler sa confiance au Gouvernement strictement composé à l’identique, c’est-à-dire sans aucun changement. Il s’agirait d’une simple reconduction du Premier Ministre, des ministres et des secrétaires d’Etat. Par conséquent, la destitution du Gouvernement par la censure d’une politique générale est sans effet utile. Certes, le Gouvernement est politiquement désavoué mais sa survie n’est pas juridiquement compromise.
Au bout du compte, le Président de la République a le dernier mot en cas de destitution du Gouvernement à travers l’adoption d’une motion de censure dirigée contre la déclaration de politique générale du Premier Ministre. En attendant la réalisation d’une telle hypothèse, chaque état-major parlementaire est libre de faire peur à l’autre en jouant sur une corde raide de la déclaration de politique générale du Premier Ministre.
Mine pourtant on peut bien abroger une loi d'amnistie à la majorité simple des députés
Merci Daouda
Pourquoi Daouda Mine dou dem diakarlo, Bouba, Der dolenci takhaw. Dafay gueuneu enrichir s’en plateau
😂😂😂😂😂😂Daouda li guayi beugue deugue wakhouko dhhhhhh
Merci 😂😂
Vous avez dit que les cas de torture ne font pas partie de l'amnistie
Donc ceux quo ont commis des meurtres aussi si le meurtre est une forme de torture.
Donc c'est bon on ne demande pas plus
pourtant on peut bien abroger une loi d'amnistie à la majorité simple des députés
iow yako faté mais les victimes faté wouniouko
😂😂😂daouda dinafi meuseu ray niit
Toture
Dawda liga wakh lérna
Daouda Mine maitrise bien le droit.
Les lois pénales dont vous parlez n'ont pas droit de cité en l'espèce. Aussi, les faits qu'on amnistie doivent ils d'abord être qualifiés c'est-à-dire une clôture de l'instruction et un renvoi devant un tribunal ou une cour doit, au moins, avoir lieu pour qu'on puisse parler de faits. En l'espèce, nous étions au stade de l'accusation. Dès lors aucun fait n'est encore établi juridiquement. Cette loi d'amnistie est sans fondement MATERIEL. Elle est nulle et non avenue.
Cheikh Tidiane Diaho il sert à quoi ?
😂😂 jtas
Mimi Touré qu'es ce qu'elle joue
Merci Daouda, ceux qui parlent de revenir sur la loi amnistie, n'ont rien compris
Et les morts il faut justice pr niom
Ki vrai doff la mounane bane intérêt la mimi touré ame li dou affairou interet personnel warga xoolat sa bop deh xamouma fo diangué lapoto bi
Journalist boun wara audite lay guisss dafa tiite balegui