Donc...développer la pratique du dialogue, du débat, de l'empathie et de l'expression des émotions avec les plus jeunes. Ca se traduit par davantage de moyens pour l'éducation, les associations et le soutien aux familles. Permettre aux enfants de repérer les dynamiques violentes, les nommer et pouvoir s'en extraire si possible, c'est un espoir pour moins les reproduire en tant qu'adulte, les dénoncer et les combattre, que ce soit dans les entreprises, les organisations, les familles, à l'hôpital, dans les écoles, etc.
Ce manque anormal d’empathie oblige toute personne et notamment un psy à se poser des questions. On ne nait pas assassin des masses ou violent criminel. Alors, d’où provient l’anomalie meurtrière à laquelle on assiste à tout moment, aujourd’hui plus qu’hier, grâce aux media et à l’internet ? En tant que psy des jeunes en prison, j’ai étudié la situation de plus près, en comparant les Musulmans incarcérés aux autres. 70% des détenus sont Musulmans, alors qu’ils représentent à peine 2% de la population danoise. Je suis arrivé à la conclusion que l’éducation, la culture et les dogmes de l’Islam sont à l’origine des troubles et du comportement criminel. - Lavage de cerveau pendant l’enfance et la jeunesse : le message de haïr et tuer l’autre, celui qui est différent, est constamment répété, voire inculqué par les menaces, la violence et la souffrance. Ces méthodes de conditionnement sont utilisées aussi bien par la famille que par l’école musulmane, même en Occident. (Ailleurs, les régimes et les armées totalitaires, voire des sectes utilisent ces méthodes) Devenu adulte, le Musulman, incapable de compassion envers l’autre, ne peut plus penser autrement. - La culture musulmane provoque 4 dérangements psychiques, sources de violence: la colère, le manque d’estime de soi, l’inexistence du sens de la responsabilité, l’intolérance. En Occident, la colère est une faiblesse, en Islam elle est « sainte ». En Islam, l’esprit critique est déconsidéré au profit du sens de l’honneur. La responsabilité d’un acte est toujours rejetée vers l’extérieur, car il n’y a aucune possibilité de questionnement. D’où l’anomalie de se considérer comme « victime » et de diffuser les bruits de « complot extérieur ». Pa r ailleurs, étant élevé dans un « système considéré comme dominant le non-musulman », le Musulman s’écarte émotionnellement de l’autre, surtout s’il est perçu comme « pas tout à fait humain », ou s’il ne peut pas le dominer. Ainsi, le mélange culturo-psychologique de colère, de non estime de soi, de mentalité victimaire, le souhait d’être dirigé par une autorité supérieure et la perception de l’Autre comme « pas tout à fait humain » entraînent les Musulmans, ayant subi l’intimidation, la menace, la répétition de nombre de versets du Coran faisant la promotion de la violence et de la haine de l’autre, à devenir des monstres islamiques. Pour changer le cours des choses, il faut d’abord que le Musulman le veuille, qu’il en soit capable et qu’on puisse le laisser procéder au changement. Une infime proportion de l’Islam a la chance de pouvoir le faire. Pas la grande masse. Un violent orage se profile à l’horizon mondial vu le nombre de gens et de générations endoctrinés dans ce système d’élimination sans miséricorde. Par Nicolai Sennels, psychologue danois
20mn... La violence n'est pas une fatalité !... Nous devrions écouter & lire les scientifiques, plutôt que les "Politiques"... Et ces derniers devraient s'en inspirer. Jean-David Zeitoun, Un essai ; "Les individus ne naissent pas violents"
Je ne suis pas d'accord avec ce monsieur : la violence est inscrite dans nos gènes pour survivre. A l'intérieur du corps humain, ça se bagarre en permanence contre les mauvaises bactéries. A l'extérieur, c'est la loi du plus fort qui lui permet de prendre le plus gros et le meilleur morceau. Par ailleurs, pour vivre on tue d'autres êtres pour vivre ou prendre une meilleure place (animaux, concurrents, végétaux). Il faut s'élever spirituellement pour ne pas être violent comme si on préfère l'au-delà
Interview très intéressante sur la violence. Pour répondre à une interrogation, non, la religion en soi ne rend pas violent, enfin, du moins quand celui qui la prêche n'a pas le pouvoir politique. Après, c'est difficile d'en parler. Mais si tu ne sais pas pardonner, tu seras violent toute ta vie et, on est pas toujours heureux de l'être !
Excusez moi de lancer un méchant pavé. Mais la psychologie étant une pseudo science qui ne respecte aucune base de la recherche scientifique, je ne suis pas choqué que quelqu'un n'ayant pas le diplôme puisse en parler. Ça n'engage que lui, il n'y a aucune preuve, juste peut être quelques expériences sociales qui ont été interprétés d'une manière ou d'une autre. Quelques penseurs, qui donnent leurs avis. Bref, rien de concret. Rien que la phrase "les individus ne naissent pas violent" est un non-sens quand la naissance est le premier acte de violence subit par l'enfant et qu'il le fait bien comprendre. C'est un sujet de philo qui par définition, n'a pas de réponse. La violence innée ou acquise ? Ca fait vendre des bouquins, et permet de se faire mousser mais personne, ni même les neurologues ou les spécialistes du cerveau peuvent apporter pour l'instant une reponse.
Donc...développer la pratique du dialogue, du débat, de l'empathie et de l'expression des émotions avec les plus jeunes. Ca se traduit par davantage de moyens pour l'éducation, les associations et le soutien aux familles. Permettre aux enfants de repérer les dynamiques violentes, les nommer et pouvoir s'en extraire si possible, c'est un espoir pour moins les reproduire en tant qu'adulte, les dénoncer et les combattre, que ce soit dans les entreprises, les organisations, les familles, à l'hôpital, dans les écoles, etc.
Sauf si certaines populations pratiquent à haute dose la consanguinité : 38% en Algérie et au Maroc et 70% au Pakistan.
La colère est valorisée en Islam.
Ce manque anormal d’empathie oblige toute personne et notamment un psy à se poser des questions.
On ne nait pas assassin des masses ou violent criminel. Alors, d’où provient l’anomalie meurtrière à laquelle on assiste à tout moment, aujourd’hui plus qu’hier, grâce aux media et à l’internet ?
En tant que psy des jeunes en prison, j’ai étudié la situation de plus près, en comparant les Musulmans incarcérés aux autres. 70% des détenus sont Musulmans, alors qu’ils représentent à peine 2% de la population danoise.
Je suis arrivé à la conclusion que l’éducation, la culture et les dogmes de l’Islam sont à l’origine des troubles et du comportement criminel.
- Lavage de cerveau pendant l’enfance et la jeunesse : le message de haïr et tuer l’autre, celui qui est différent, est constamment répété, voire inculqué par les menaces, la violence et la souffrance. Ces méthodes de conditionnement sont utilisées aussi bien par la famille que par l’école musulmane, même en Occident.
(Ailleurs, les régimes et les armées totalitaires, voire des sectes utilisent ces méthodes)
Devenu adulte, le Musulman, incapable de compassion envers l’autre, ne peut plus penser autrement.
- La culture musulmane provoque 4 dérangements psychiques, sources de violence: la colère, le manque d’estime de soi, l’inexistence du sens de la responsabilité, l’intolérance.
En Occident, la colère est une faiblesse, en Islam elle est « sainte ». En Islam, l’esprit critique est déconsidéré au profit du sens de l’honneur. La responsabilité d’un acte est toujours rejetée vers l’extérieur, car il n’y a aucune possibilité de questionnement. D’où l’anomalie de se considérer comme « victime » et de diffuser les bruits de « complot extérieur ». Pa r ailleurs, étant élevé dans un « système considéré comme dominant le non-musulman », le Musulman s’écarte émotionnellement de l’autre, surtout s’il est perçu comme « pas tout à fait humain », ou s’il ne peut pas le dominer.
Ainsi, le mélange culturo-psychologique de colère, de non estime de soi, de mentalité victimaire, le souhait d’être dirigé par une autorité supérieure et la perception de l’Autre comme « pas tout à fait humain » entraînent les Musulmans, ayant subi l’intimidation, la menace, la répétition de nombre de versets du Coran faisant la promotion de la violence et de la haine de l’autre, à devenir des monstres islamiques.
Pour changer le cours des choses, il faut d’abord que le Musulman le veuille, qu’il en soit capable et qu’on puisse le laisser procéder au changement. Une infime proportion de l’Islam a la chance de pouvoir le faire. Pas la grande masse.
Un violent orage se profile à l’horizon mondial vu le nombre de gens et de générations endoctrinés dans ce système d’élimination sans miséricorde.
Par Nicolai Sennels, psychologue danois
Un discours sur la violence sans parler de René Girard, en 2024.
20mn...
La violence n'est pas une fatalité !...
Nous devrions écouter & lire les scientifiques, plutôt que les "Politiques"...
Et ces derniers devraient s'en inspirer.
Jean-David Zeitoun, Un essai ; "Les individus ne naissent pas violents"
Sauf si certaines populations pratiquent à haute dose la consanguinité : 38% en Algérie et au Maroc et 70% au Pakistan.
C'est drôles de fair la guerre au terrorisme mais pas aux fabricants de tabac
😐 ".... S est ici que je suis neeee , yeah yeah ...." 🙂 Faudel . 2007 🇨🇵
Faudel , soutient officiell de Nicola Sarkozy en 2007 🙂👏👏👏🇨🇵
Nos sociétés sont moins violentes? Et celle des russes?
Je ne suis pas d'accord avec ce monsieur : la violence est inscrite dans nos gènes pour survivre. A l'intérieur du corps humain, ça se bagarre en permanence contre les mauvaises bactéries. A l'extérieur, c'est la loi du plus fort qui lui permet de prendre le plus gros et le meilleur morceau. Par ailleurs, pour vivre on tue d'autres êtres pour vivre ou prendre une meilleure place (animaux, concurrents, végétaux).
Il faut s'élever spirituellement pour ne pas être violent comme si on préfère l'au-delà
Interview très intéressante sur la violence. Pour répondre à une interrogation, non, la religion en soi ne rend pas violent, enfin, du moins quand celui qui la prêche n'a pas le pouvoir politique. Après, c'est difficile d'en parler.
Mais si tu ne sais pas pardonner, tu seras violent toute ta vie et, on est pas toujours heureux de l'être !
Lire Nicolaï SENNELS Maurice Berger et Ruben Rabinovitch psychologues.
La colère est valorisée en Islam.
C'est regrettable de mettre en avant un homme qui s'aventure sur un terrain qu'il ne connait pas, à savoir la psychologie.
Excusez moi de lancer un méchant pavé. Mais la psychologie étant une pseudo science qui ne respecte aucune base de la recherche scientifique, je ne suis pas choqué que quelqu'un n'ayant pas le diplôme puisse en parler. Ça n'engage que lui, il n'y a aucune preuve, juste peut être quelques expériences sociales qui ont été interprétés d'une manière ou d'une autre. Quelques penseurs, qui donnent leurs avis. Bref, rien de concret.
Rien que la phrase "les individus ne naissent pas violent" est un non-sens quand la naissance est le premier acte de violence subit par l'enfant et qu'il le fait bien comprendre. C'est un sujet de philo qui par définition, n'a pas de réponse. La violence innée ou acquise ? Ca fait vendre des bouquins, et permet de se faire mousser mais personne, ni même les neurologues ou les spécialistes du cerveau peuvent apporter pour l'instant une reponse.
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