Retire ta main, je ne t'aime pas Car tu l'as voulu, tu n'es qu'une amie Pour d'autres sont faits le creux de tes bras Et ton cher baiser, ta tête endormie Ne me parle pas, lorsque c'est le soir Trop intimement, à voix basse même Ne me donne pas surtout ton mouchoir : Il renferme trop le parfum que j'aime Dis-moi tes amours, je ne t'aime pas Quelle heure te fut la plus enivrante ? Je ne t'aime pas Et s'il t'aimait bien, ou s'il fut ingrat En me le disant, ne sois pas charmant Je ne t'aime pas Je n'ai pas pleuré, je n'ai pas souffert Ce n'était qu'un rêve et qu'une folie Il me suffira que tes yeux soient clairs Sans regret du soir, ni mélancolie Il me suffira de voir ton bonheur Il me suffira de voir ton sourire Conte-moi comment il a pris ton cœur Et même dis-moi ce qu'on ne peut dire
Très musical, inspiré et très précis : un immense plaisir ! MERCI !
merci beaucoup!
Retire ta main, je ne t'aime pas
Car tu l'as voulu, tu n'es qu'une amie
Pour d'autres sont faits le creux de tes bras
Et ton cher baiser, ta tête endormie
Ne me parle pas, lorsque c'est le soir
Trop intimement, à voix basse même
Ne me donne pas surtout ton mouchoir :
Il renferme trop le parfum que j'aime
Dis-moi tes amours, je ne t'aime pas
Quelle heure te fut la plus enivrante ?
Je ne t'aime pas
Et s'il t'aimait bien, ou s'il fut ingrat
En me le disant, ne sois pas charmant
Je ne t'aime pas
Je n'ai pas pleuré, je n'ai pas souffert
Ce n'était qu'un rêve et qu'une folie
Il me suffira que tes yeux soient clairs
Sans regret du soir, ni mélancolie
Il me suffira de voir ton bonheur
Il me suffira de voir ton sourire
Conte-moi comment il a pris ton cœur
Et même dis-moi ce qu'on ne peut dire