Le doute : sain ou malsain pour un doctorant ?
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- Опубликовано: 15 фев 2022
- Vous êtes en thèse et vous doutez beaucoup, de vos travaux, de vos résultats, de vos compétences, de vous-même : est-ce grave ?
Qu'est-ce qui différencie le bon doute du syndrome de l'imposteur ou encore du perfectionnisme maladif ?
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J'emprunte l'idée de citer Péguy à JF Bayart dans son article : "faire des sciences sociales, un acte de création". La citation est : "Les fonctions de la science requièrent une perpétuelle inquiétude et les fonctions de l'enseignement au contraire exigent perpétuellement une assurance admirable". 
Наука
Merci beaucoup chère Emilie doré pour cette vidéo et bien d'autres qui sont toujours pertinentes et intéressante aux doctorants.
Ce que rend aussi la situation un peu plus pire c'est la pression du temps. La thèse a une durée limitée, du coup plus le doute négatif persistais plus la situation devient plus stressante et accablante. Ceci mène souvent à la procrastination..
Exactement ce que je traverse en ce moment. Merci infiniment!
Merci beaucoup
Très intéressant cette clarification entre les différents types de doutes (légitimes ou non)… Personnellement j’ai apprécié entre autre les notions de doute sur l’identité, le perfectionnisme et sur les compétences. Parce que j’ai l’impression de faire une espèce de combinaison. Par ex. ce n’est pas que je doute complètement sur l’identité… Un jour je pense « atteindre » les compétences suffisante pour oser supporter mes travaux… En attendant par contre non… je ne suis pas assez… donc formation sur formation pour chercher à atteindre les compétences suffisantes. Bref, je suis un peu à l’étape de me dire « mais quelles compétences cherches-tu à atteindre exactement avant d’assumer ». Merci pour votre vidéo.
Merci. La question que vous vous posez "quelles compétences cherches-tu avant d'assumer" est cruciale. En toile de fond, la peur de l'évaluation et du regard de l'autre, peut-être ... Bonne chance !
Merci