Les néons froids, le tic-tac des horloges, Les piles de dossiers, mon stylo qui déloge. J’suis prisonnier dans ce décor en carton, Chaque jour, la même rengaine, même chanson. Les murs se resserrent, la paperasse m’enchaîne, Le temps m’échappe, et j’sens monter la haine. Mais dans ma tête, y’a une clé qui résonne, Un refrain qui libère, un feu qui m’étonne. Prison bureaucratique, au cœur du tragique, Chaque geste automatique, dans ce monde statique. Mais j’rêve d’une évasion, un vent de création, Prison bureaucratique, j’casse mes chaînes de fiction. Le patron scrute comme un gardien de cellule, Mon écran brille, et mon esprit bascule. Je transforme mes outils en armes d’artistes, Des révolutions naissent sous mes touches réalistes. Les murs se fissurent, ma musique s’élève, Les chiffres s’effacent, je remonte la grève. Les dossiers s’envolent, des oiseaux de papier, Et mes rêves rebelles dansent sous mes cahiers. Prison bureaucratique, au cœur du tragique, Chaque geste automatique, dans ce monde statique. Mais j’rêve d’une évasion, un vent de création, Prison bureaucratique, j’casse mes chaînes de fiction. Le photocopieur s’emballe, il crache des idées, La cafetière siffle, comme un chant de liberté. Je marche sur les claviers, les alarmes résonnent, L’open space devient une scène où tout s’étonne. Prison bureaucratique, au cœur du tragique, Chaque geste automatique, dans ce monde statique. Mais j’ai trouvé la clé, la révolte a sonné, Prison bureaucratique, j’me suis enfin libéré. Les néons s’éteignent, le tic-tac disparaît, Un souffle d’air frais traverse les secrets. Et sous les décombres de mon ancien empire, Naît une nouvelle page, prête à s’écrire.
Les néons froids, le tic-tac des horloges,
Les piles de dossiers, mon stylo qui déloge.
J’suis prisonnier dans ce décor en carton,
Chaque jour, la même rengaine, même chanson.
Les murs se resserrent, la paperasse m’enchaîne,
Le temps m’échappe, et j’sens monter la haine.
Mais dans ma tête, y’a une clé qui résonne,
Un refrain qui libère, un feu qui m’étonne.
Prison bureaucratique, au cœur du tragique,
Chaque geste automatique, dans ce monde statique.
Mais j’rêve d’une évasion, un vent de création,
Prison bureaucratique, j’casse mes chaînes de fiction.
Le patron scrute comme un gardien de cellule,
Mon écran brille, et mon esprit bascule.
Je transforme mes outils en armes d’artistes,
Des révolutions naissent sous mes touches réalistes.
Les murs se fissurent, ma musique s’élève,
Les chiffres s’effacent, je remonte la grève.
Les dossiers s’envolent, des oiseaux de papier,
Et mes rêves rebelles dansent sous mes cahiers.
Prison bureaucratique, au cœur du tragique,
Chaque geste automatique, dans ce monde statique.
Mais j’rêve d’une évasion, un vent de création,
Prison bureaucratique, j’casse mes chaînes de fiction.
Le photocopieur s’emballe, il crache des idées,
La cafetière siffle, comme un chant de liberté.
Je marche sur les claviers, les alarmes résonnent,
L’open space devient une scène où tout s’étonne.
Prison bureaucratique, au cœur du tragique,
Chaque geste automatique, dans ce monde statique.
Mais j’ai trouvé la clé, la révolte a sonné,
Prison bureaucratique, j’me suis enfin libéré.
Les néons s’éteignent, le tic-tac disparaît,
Un souffle d’air frais traverse les secrets.
Et sous les décombres de mon ancien empire,
Naît une nouvelle page, prête à s’écrire.