My eyes are fixed on their problems; For eternity they remain the same. Primordial and defined, The world stands between their infinities; They explain the bottom of things, Since throughout time, their causes hover I am the hallucinated of the forest of Numbers I never stop stumbling Until the darkest nights I am the hallucinated of the forest of Numbers They never stop haunting me Following me like my shadow My open eyes are blinded by their wonders! My closed eyes are frightened by their dizziness! Here is their rotating dance Circle after circle, in my memory, I am the immensely lost, The twisted forehead, the twisted heart, The beating arms, the haggard arms In the hazards of nightmares. I am the hallucinated of the forest of Numbers I never stop stumbling Until the darkest nights I am the hallucinated of the forest of Numbers They never stop haunting me Following me like my shadow My sad brain, on the edge of books, Has exhausted itself, of all its blood, In their dazzling hole of shadow; Before my eyes, the drunken texts Intertwine, twisted snakes; My fists are tired of being tense, Throughout my dark nights, With, at the end, the weight of numbers, With, always, the weariness Of their bars of certainty. I am the hallucinated of the forest of Numbers I never stop stumbling Until the darkest nights I am the hallucinated of the forest of Numbers They never stop haunting me Following me like my shadow "You will be nothing, and for your unoccupied soul The future will be only a regret of the past." I am the hallucinated of the forest of Numbers, My forehead cracked, from having stumbled, Obstinately, against their fixity. Tell me, until when the clear torture Of fearing their evil spell, Hatefully, darted towards my madness? Immaterial or real, what do I know? They are cold to me as snow And their fatality binds me, In an atrocious anomaly. I am the hallucinated of the forest of Numbers I never stop stumbling Until the darkest nights I am the hallucinated of the forest of Numbers They never stop haunting me Following me like my shadow I am the hallucinated of the forest of Numbers I never stop stumbling Until the darkest nights I am the hallucinated of the forest of Numbers They never stop haunting me Following me like my shadow "You will be nothing, and for your unoccupied soul The future will be only a regret of the past." My forehead cracked, from having stumbled, Obstinately, against their fixity. Tell me, until when will the net torture Of fearing their evil spell, Immaterial or real, what do I know? They are cold to me as snow And their fatality binds me, In an atrocious anomaly. I am the hallucinated of the forest of Numbers I never stop stumbling Until the darkest nights I am the hallucinated of the forest of Numbers They never stop haunting me Following me like my shadow
Mes yeux se fixent sur leurs problèmes; Pour l’éternité ils restent les mêmes. Primordiaux et définis, Le monde se tient entre leurs infinis; Ils expliquent le fond des choses, Puisqu'à travers les temps, planent leurs causes Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres Je ne cesse de buter Jusqu’aux nuits les plus sombres Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres Ils ne cessent de me hanter De me suivre comme mon ombre Mes yeux ouverts s’aveuglent de leurs prodiges! Mes yeux fermés s’effraient de leurs vertiges! Voici leur danse rotatoire Cercle après cercle, en ma mémoire, Je suis l'immensément perdu, Le front vrillé, le cœur tordu, Les bras battants, les bras hagards Dans les hasards des cauchemars. Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres Je ne cesse de buter Jusqu’aux nuits les plus sombres Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres Ils ne cessent de me hanter De me suivre comme mon ombre Mon cerveau triste, au bord des livres, S'est épuisé, de tout son sang, Dans leur trou d'ombre éblouissant; Devant mes yeux, les textes ivres S'entremêlent, serpents tordus; Mes poings sont las d'être tendus, Par au travers de mes nuits sombres, Avec, au bout, le poids des nombres, Avec, toujours, la lassitude De leurs barres de certitude. Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres Je ne cesse de buter Jusqu’aux nuits les plus sombres Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres Ils ne cessent de me hanter De me suivre comme mon ombre «Tu seras nul, et pour ton âme inoccupée L'avenir ne sera qu'un regret du passé.» Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres, Le front fendu, d'avoir buté, Obstinément, contre leur fixité. Dites, jusques à quand le net supplice De redouter leur maléfice, Haineusement, dardé vers ma folie? Immatériels ou réels, que sais-je? Ils me sont froids comme la neige Et leur fatalité me lie, En une atroce anomalie. Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres Je ne cesse de buter Jusqu’aux nuits les plus sombres Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres Ils ne cessent de me hanter De me suivre comme mon ombre Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres Je ne cesse de buter Jusqu’aux nuits les plus sombres Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres Ils ne cessent de me hanter De me suivre comme mon ombre «Tu seras nul, et pour ton âme inoccupée L'avenir ne sera qu'un regret du passé.» Le front fendu, d'avoir buté, Obstinément, contre leur fixité. Dites, jusques à quand le net supplice De redouter leur maléfice, Immatériels ou réels, que sais-je? Ils me sont froids comme la neige Et leur fatalité me lie, En une atroce anomalie. Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres Je ne cesse de buter Jusqu’aux nuits les plus sombres Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres Ils ne cessent de me hanter De me suivre comme mon ombre
How so heartwarming song Nico! How so meaningful lyrics! So very enchanting production! Absolutely majestic! Thank you so very much my dear friend for sharing all this magic with us in your most unique and special way!
Thank you so much for your beautiful words! I'm truly touched by your kindness and support. It means the world to me. Wishing you a wonderful day, my dear friend! 😊✨
Mes yeux se fixent sur leurs problèmes; Pour l’éternité ils restent les mêmes. Primordiaux et définis, Le monde se tient entre leurs infinis; Ils expliquent le fond des choses, Puisqu'à travers les temps, planent leurs causes Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres Je ne cesse de buter Jusqu’aux nuits les plus sombres Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres Ils ne cessent de me hanter De me suivre comme mon ombre Mes yeux ouverts s’aveuglent de leurs prodiges! Mes yeux fermés s’effraient de leurs vertiges! Voici leur danse rotatoire Cercle après cercle, en ma mémoire, Je suis l'immensément perdu, Le front vrillé, le cœur tordu, Les bras battants, les bras hagards Dans les hasards des cauchemars. Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres Je ne cesse de buter Jusqu’aux nuits les plus sombres Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres Ils ne cessent de me hanter De me suivre comme mon ombre Mon cerveau triste, au bord des livres, S'est épuisé, de tout son sang, Dans leur trou d'ombre éblouissant; Devant mes yeux, les textes ivres S'entremêlent, serpents tordus; Mes poings sont las d'être tendus, Par au travers de mes nuits sombres, Avec, au bout, le poids des nombres, Avec, toujours, la lassitude De leurs barres de certitude. Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres Je ne cesse de buter Jusqu’aux nuits les plus sombres Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres Ils ne cessent de me hanter De me suivre comme mon ombre «Tu seras nul, et pour ton âme inoccupée L'avenir ne sera qu'un regret du passé.» Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres, Le front fendu, d'avoir buté, Obstinément, contre leur fixité. Dites, jusques à quand le net supplice De redouter leur maléfice, Haineusement, dardé vers ma folie? Immatériels ou réels, que sais-je? Ils me sont froids comme la neige Et leur fatalité me lie, En une atroce anomalie. Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres Je ne cesse de buter Jusqu’aux nuits les plus sombres Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres Ils ne cessent de me hanter De me suivre comme mon ombre Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres Je ne cesse de buter Jusqu’aux nuits les plus sombres Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres Ils ne cessent de me hanter De me suivre comme mon ombre «Tu seras nul, et pour ton âme inoccupée L'avenir ne sera qu'un regret du passé.» Le front fendu, d'avoir buté, Obstinément, contre leur fixité. Dites, jusques à quand le net supplice De redouter leur maléfice, Immatériels ou réels, que sais-je? Ils me sont froids comme la neige Et leur fatalité me lie, En une atroce anomalie. Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres Je ne cesse de buter Jusqu’aux nuits les plus sombres Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres Ils ne cessent de me hanter De me suivre comme mon ombre
Bonjour Phil Super beau poéme trés complexe et bourrée de mystére et l 'avoir mis en musique est juste magique c'est bourré de métaphores , en cette période troublée nous sommes tous et toutes des hallucinés de lea forêt des nombres Un grand bravo et toujours un plaisir de passer sur ta chaine pleine d'originalité Douce soirée à toi Amitiés Bernadette
Merci infiniment Bernadette ! Ton message me touche beaucoup. Je suis ravi que le poème et la musique t’aient embarquée dans cette "forêt des nombres". Toujours un plaisir de te lire ici ! je te souhaite une belle soirée, amitiés
Salut mon cher JLouis, je te remercie pour ton message, c'est en effet presque effrayant 😉 , mais ça va aussi permettre à beaucoup de gens d'avoir une aide dont il ne pouvait bénéficier auparavant pour rédiger un courrier, apprendre, .... J'ai émis l'hypothèse que c'est une nouvelle abolition des privilèges : tout le monde a une secrétaire à disposition, ... ruclips.net/video/Dwjv-DV-8sI/видео.html
My eyes are fixed on their problems;
For eternity they remain the same.
Primordial and defined,
The world stands between their infinities;
They explain the bottom of things,
Since throughout time, their causes hover
I am the hallucinated
of the forest of Numbers
I never stop stumbling
Until the darkest nights
I am the hallucinated
of the forest of Numbers
They never stop haunting me
Following me like my shadow
My open eyes are blinded by their wonders!
My closed eyes are frightened by their dizziness!
Here is their rotating dance
Circle after circle, in my memory,
I am the immensely lost,
The twisted forehead, the twisted heart,
The beating arms, the haggard arms
In the hazards of nightmares.
I am the hallucinated
of the forest of Numbers
I never stop stumbling
Until the darkest nights
I am the hallucinated
of the forest of Numbers
They never stop haunting me
Following me like my shadow
My sad brain, on the edge of books,
Has exhausted itself, of all its blood,
In their dazzling hole of shadow;
Before my eyes, the drunken texts
Intertwine, twisted snakes;
My fists are tired of being tense,
Throughout my dark nights,
With, at the end, the weight of numbers,
With, always, the weariness
Of their bars of certainty.
I am the hallucinated
of the forest of Numbers
I never stop stumbling
Until the darkest nights
I am the hallucinated
of the forest of Numbers
They never stop haunting me
Following me like my shadow
"You will be nothing, and for your unoccupied soul
The future will be only a regret of the past."
I am the hallucinated of the forest of Numbers,
My forehead cracked, from having stumbled,
Obstinately, against their fixity.
Tell me, until when the clear torture
Of fearing their evil spell,
Hatefully, darted towards my madness?
Immaterial or real, what do I know?
They are cold to me as snow
And their fatality binds me,
In an atrocious anomaly.
I am the hallucinated
of the forest of Numbers
I never stop stumbling
Until the darkest nights
I am the hallucinated
of the forest of Numbers
They never stop haunting me
Following me like my shadow
I am the hallucinated
of the forest of Numbers
I never stop stumbling
Until the darkest nights
I am the hallucinated
of the forest of Numbers
They never stop haunting me
Following me like my shadow
"You will be nothing, and for your unoccupied soul
The future will be only a regret of the past."
My forehead cracked, from having stumbled,
Obstinately, against their fixity.
Tell me, until when will the net torture
Of fearing their evil spell,
Immaterial or real, what do I know?
They are cold to me as snow
And their fatality binds me,
In an atrocious anomaly.
I am the hallucinated
of the forest of Numbers
I never stop stumbling
Until the darkest nights
I am the hallucinated
of the forest of Numbers
They never stop haunting me
Following me like my shadow
Mes yeux se fixent sur leurs problèmes;
Pour l’éternité ils restent les mêmes.
Primordiaux et définis,
Le monde se tient entre leurs infinis;
Ils expliquent le fond des choses,
Puisqu'à travers les temps, planent leurs causes
Je suis l'halluciné
de la forêt des Nombres
Je ne cesse de buter
Jusqu’aux nuits les plus sombres
Je suis l'halluciné
de la forêt des Nombres
Ils ne cessent de me hanter
De me suivre comme mon ombre
Mes yeux ouverts s’aveuglent de leurs prodiges!
Mes yeux fermés s’effraient de leurs vertiges!
Voici leur danse rotatoire
Cercle après cercle, en ma mémoire,
Je suis l'immensément perdu,
Le front vrillé, le cœur tordu,
Les bras battants, les bras hagards
Dans les hasards des cauchemars.
Je suis l'halluciné
de la forêt des Nombres
Je ne cesse de buter
Jusqu’aux nuits les plus sombres
Je suis l'halluciné
de la forêt des Nombres
Ils ne cessent de me hanter
De me suivre comme mon ombre
Mon cerveau triste, au bord des livres,
S'est épuisé, de tout son sang,
Dans leur trou d'ombre éblouissant;
Devant mes yeux, les textes ivres
S'entremêlent, serpents tordus;
Mes poings sont las d'être tendus,
Par au travers de mes nuits sombres,
Avec, au bout, le poids des nombres,
Avec, toujours, la lassitude
De leurs barres de certitude.
Je suis l'halluciné
de la forêt des Nombres
Je ne cesse de buter
Jusqu’aux nuits les plus sombres
Je suis l'halluciné
de la forêt des Nombres
Ils ne cessent de me hanter
De me suivre comme mon ombre
«Tu seras nul, et pour ton âme inoccupée
L'avenir ne sera qu'un regret du passé.»
Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres,
Le front fendu, d'avoir buté,
Obstinément, contre leur fixité.
Dites, jusques à quand le net supplice
De redouter leur maléfice,
Haineusement, dardé vers ma folie?
Immatériels ou réels, que sais-je?
Ils me sont froids comme la neige
Et leur fatalité me lie,
En une atroce anomalie.
Je suis l'halluciné
de la forêt des Nombres
Je ne cesse de buter
Jusqu’aux nuits les plus sombres
Je suis l'halluciné
de la forêt des Nombres
Ils ne cessent de me hanter
De me suivre comme mon ombre
Je suis l'halluciné
de la forêt des Nombres
Je ne cesse de buter
Jusqu’aux nuits les plus sombres
Je suis l'halluciné
de la forêt des Nombres
Ils ne cessent de me hanter
De me suivre comme mon ombre
«Tu seras nul, et pour ton âme inoccupée
L'avenir ne sera qu'un regret du passé.»
Le front fendu, d'avoir buté,
Obstinément, contre leur fixité.
Dites, jusques à quand le net supplice
De redouter leur maléfice,
Immatériels ou réels, que sais-je?
Ils me sont froids comme la neige
Et leur fatalité me lie,
En une atroce anomalie.
Je suis l'halluciné
de la forêt des Nombres
Je ne cesse de buter
Jusqu’aux nuits les plus sombres
Je suis l'halluciné
de la forêt des Nombres
Ils ne cessent de me hanter
De me suivre comme mon ombre
#10 Molto bello e ben fatto, grazie per la condivisione 👍🏻 ti auguro una buona domenica 👋🏻
Grazie mille per il tuo gentile commento! 😊 Ti auguro anche io una splendida domenica, a presto! 👋🏻
How so heartwarming song Nico! How so meaningful lyrics! So very enchanting production! Absolutely majestic! Thank you so very much my dear friend for sharing all this magic with us in your most unique and special way!
Thank you so much for your beautiful words! I'm truly touched by your kindness and support. It means the world to me. Wishing you a wonderful day, my dear friend! 😊✨
Mes yeux se fixent sur leurs problèmes;
Pour l’éternité ils restent les mêmes.
Primordiaux et définis,
Le monde se tient entre leurs infinis;
Ils expliquent le fond des choses,
Puisqu'à travers les temps, planent leurs causes
Je suis l'halluciné
de la forêt des Nombres
Je ne cesse de buter
Jusqu’aux nuits les plus sombres
Je suis l'halluciné
de la forêt des Nombres
Ils ne cessent de me hanter
De me suivre comme mon ombre
Mes yeux ouverts s’aveuglent de leurs prodiges!
Mes yeux fermés s’effraient de leurs vertiges!
Voici leur danse rotatoire
Cercle après cercle, en ma mémoire,
Je suis l'immensément perdu,
Le front vrillé, le cœur tordu,
Les bras battants, les bras hagards
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Je suis l'halluciné
de la forêt des Nombres
Je ne cesse de buter
Jusqu’aux nuits les plus sombres
Je suis l'halluciné
de la forêt des Nombres
Ils ne cessent de me hanter
De me suivre comme mon ombre
Mon cerveau triste, au bord des livres,
S'est épuisé, de tout son sang,
Dans leur trou d'ombre éblouissant;
Devant mes yeux, les textes ivres
S'entremêlent, serpents tordus;
Mes poings sont las d'être tendus,
Par au travers de mes nuits sombres,
Avec, au bout, le poids des nombres,
Avec, toujours, la lassitude
De leurs barres de certitude.
Je suis l'halluciné
de la forêt des Nombres
Je ne cesse de buter
Jusqu’aux nuits les plus sombres
Je suis l'halluciné
de la forêt des Nombres
Ils ne cessent de me hanter
De me suivre comme mon ombre
«Tu seras nul, et pour ton âme inoccupée
L'avenir ne sera qu'un regret du passé.»
Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres,
Le front fendu, d'avoir buté,
Obstinément, contre leur fixité.
Dites, jusques à quand le net supplice
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Immatériels ou réels, que sais-je?
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Je suis l'halluciné
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Je ne cesse de buter
Jusqu’aux nuits les plus sombres
Je suis l'halluciné
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Ils ne cessent de me hanter
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Je suis l'halluciné
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Je suis l'halluciné
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Ils ne cessent de me hanter
De me suivre comme mon ombre
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L'avenir ne sera qu'un regret du passé.»
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Ils me sont froids comme la neige
Et leur fatalité me lie,
En une atroce anomalie.
Je suis l'halluciné
de la forêt des Nombres
Je ne cesse de buter
Jusqu’aux nuits les plus sombres
Je suis l'halluciné
de la forêt des Nombres
Ils ne cessent de me hanter
De me suivre comme mon ombre
Bonjour Phil
Super beau poéme trés complexe et bourrée de mystére et l 'avoir mis en musique est juste magique
c'est bourré de métaphores , en cette période troublée nous sommes tous et toutes des hallucinés de lea forêt des nombres
Un grand bravo et toujours un plaisir de passer sur ta chaine pleine d'originalité
Douce soirée à toi
Amitiés
Bernadette
Merci infiniment Bernadette ! Ton message me touche beaucoup.
Je suis ravi que le poème et la musique t’aient embarquée dans cette "forêt des nombres".
Toujours un plaisir de te lire ici !
je te souhaite une belle soirée, amitiés
belle mise en chanson de ce poeme , vraiment ,l' IA est troublante avec ces possibilité,bravo pour cette création.
Salut mon cher JLouis, je te remercie pour ton message, c'est en effet presque effrayant 😉 , mais ça va aussi permettre à beaucoup de gens d'avoir une aide dont il ne pouvait bénéficier auparavant pour rédiger un courrier, apprendre, .... J'ai émis l'hypothèse que c'est une nouvelle abolition des privilèges : tout le monde a une secrétaire à disposition, ...
ruclips.net/video/Dwjv-DV-8sI/видео.html
Bravo, Nico!!
Salut Tom, merci beaucoup, bonne semaine