🌌 The forest of

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  • Опубликовано: 25 янв 2025

Комментарии • 13

  • @Tutonico
    @Tutonico 14 дней назад +4

    My eyes are fixed on their problems;
    For eternity they remain the same.
    Primordial and defined,
    The world stands between their infinities;
    They explain the bottom of things,
    Since throughout time, their causes hover
    I am the hallucinated
    of the forest of Numbers
    I never stop stumbling
    Until the darkest nights
    I am the hallucinated
    of the forest of Numbers
    They never stop haunting me
    Following me like my shadow
    My open eyes are blinded by their wonders!
    My closed eyes are frightened by their dizziness!
    Here is their rotating dance
    Circle after circle, in my memory,
    I am the immensely lost,
    The twisted forehead, the twisted heart,
    The beating arms, the haggard arms
    In the hazards of nightmares.
    I am the hallucinated
    of the forest of Numbers
    I never stop stumbling
    Until the darkest nights
    I am the hallucinated
    of the forest of Numbers
    They never stop haunting me
    Following me like my shadow
    My sad brain, on the edge of books,
    Has exhausted itself, of all its blood,
    In their dazzling hole of shadow;
    Before my eyes, the drunken texts
    Intertwine, twisted snakes;
    My fists are tired of being tense,
    Throughout my dark nights,
    With, at the end, the weight of numbers,
    With, always, the weariness
    Of their bars of certainty.
    I am the hallucinated
    of the forest of Numbers
    I never stop stumbling
    Until the darkest nights
    I am the hallucinated
    of the forest of Numbers
    They never stop haunting me
    Following me like my shadow
    "You will be nothing, and for your unoccupied soul
    The future will be only a regret of the past."
    I am the hallucinated of the forest of Numbers,
    My forehead cracked, from having stumbled,
    Obstinately, against their fixity.
    Tell me, until when the clear torture
    Of fearing their evil spell,
    Hatefully, darted towards my madness?
    Immaterial or real, what do I know?
    They are cold to me as snow
    And their fatality binds me,
    In an atrocious anomaly.
    I am the hallucinated
    of the forest of Numbers
    I never stop stumbling
    Until the darkest nights
    I am the hallucinated
    of the forest of Numbers
    They never stop haunting me
    Following me like my shadow
    I am the hallucinated
    of the forest of Numbers
    I never stop stumbling
    Until the darkest nights
    I am the hallucinated
    of the forest of Numbers
    They never stop haunting me
    Following me like my shadow
    "You will be nothing, and for your unoccupied soul
    The future will be only a regret of the past."
    My forehead cracked, from having stumbled,
    Obstinately, against their fixity.
    Tell me, until when will the net torture
    Of fearing their evil spell,
    Immaterial or real, what do I know?
    They are cold to me as snow
    And their fatality binds me,
    In an atrocious anomaly.
    I am the hallucinated
    of the forest of Numbers
    I never stop stumbling
    Until the darkest nights
    I am the hallucinated
    of the forest of Numbers
    They never stop haunting me
    Following me like my shadow

    • @philonico
      @philonico  14 дней назад +1

      Mes yeux se fixent sur leurs problèmes;
      Pour l’éternité ils restent les mêmes.
      Primordiaux et définis,
      Le monde se tient entre leurs infinis;
      Ils expliquent le fond des choses,
      Puisqu'à travers les temps, planent leurs causes
      Je suis l'halluciné
      de la forêt des Nombres
      Je ne cesse de buter
      Jusqu’aux nuits les plus sombres
      Je suis l'halluciné
      de la forêt des Nombres
      Ils ne cessent de me hanter
      De me suivre comme mon ombre
      Mes yeux ouverts s’aveuglent de leurs prodiges!
      Mes yeux fermés s’effraient de leurs vertiges!
      Voici leur danse rotatoire
      Cercle après cercle, en ma mémoire,
      Je suis l'immensément perdu,
      Le front vrillé, le cœur tordu,
      Les bras battants, les bras hagards
      Dans les hasards des cauchemars.
      Je suis l'halluciné
      de la forêt des Nombres
      Je ne cesse de buter
      Jusqu’aux nuits les plus sombres
      Je suis l'halluciné
      de la forêt des Nombres
      Ils ne cessent de me hanter
      De me suivre comme mon ombre
      Mon cerveau triste, au bord des livres,
      S'est épuisé, de tout son sang,
      Dans leur trou d'ombre éblouissant;
      Devant mes yeux, les textes ivres
      S'entremêlent, serpents tordus;
      Mes poings sont las d'être tendus,
      Par au travers de mes nuits sombres,
      Avec, au bout, le poids des nombres,
      Avec, toujours, la lassitude
      De leurs barres de certitude.
      Je suis l'halluciné
      de la forêt des Nombres
      Je ne cesse de buter
      Jusqu’aux nuits les plus sombres
      Je suis l'halluciné
      de la forêt des Nombres
      Ils ne cessent de me hanter
      De me suivre comme mon ombre
      «Tu seras nul, et pour ton âme inoccupée
      L'avenir ne sera qu'un regret du passé.»
      Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres,
      Le front fendu, d'avoir buté,
      Obstinément, contre leur fixité.
      Dites, jusques à quand le net supplice
      De redouter leur maléfice,
      Haineusement, dardé vers ma folie?
      Immatériels ou réels, que sais-je?
      Ils me sont froids comme la neige
      Et leur fatalité me lie,
      En une atroce anomalie.
      Je suis l'halluciné
      de la forêt des Nombres
      Je ne cesse de buter
      Jusqu’aux nuits les plus sombres
      Je suis l'halluciné
      de la forêt des Nombres
      Ils ne cessent de me hanter
      De me suivre comme mon ombre
      Je suis l'halluciné
      de la forêt des Nombres
      Je ne cesse de buter
      Jusqu’aux nuits les plus sombres
      Je suis l'halluciné
      de la forêt des Nombres
      Ils ne cessent de me hanter
      De me suivre comme mon ombre
      «Tu seras nul, et pour ton âme inoccupée
      L'avenir ne sera qu'un regret du passé.»
      Le front fendu, d'avoir buté,
      Obstinément, contre leur fixité.
      Dites, jusques à quand le net supplice
      De redouter leur maléfice,
      Immatériels ou réels, que sais-je?
      Ils me sont froids comme la neige
      Et leur fatalité me lie,
      En une atroce anomalie.
      Je suis l'halluciné
      de la forêt des Nombres
      Je ne cesse de buter
      Jusqu’aux nuits les plus sombres
      Je suis l'halluciné
      de la forêt des Nombres
      Ils ne cessent de me hanter
      De me suivre comme mon ombre

  • @giannimirizzi
    @giannimirizzi 14 дней назад +3

    #10 Molto bello e ben fatto, grazie per la condivisione 👍🏻 ti auguro una buona domenica 👋🏻

    • @philonico
      @philonico  14 дней назад

      Grazie mille per il tuo gentile commento! 😊 Ti auguro anche io una splendida domenica, a presto! 👋🏻

  • @spiralblueandromeda1384
    @spiralblueandromeda1384 14 дней назад +2

    How so heartwarming song Nico! How so meaningful lyrics! So very enchanting production! Absolutely majestic! Thank you so very much my dear friend for sharing all this magic with us in your most unique and special way!

    • @philonico
      @philonico  14 дней назад

      Thank you so much for your beautiful words! I'm truly touched by your kindness and support. It means the world to me. Wishing you a wonderful day, my dear friend! 😊✨

  • @Silogic
    @Silogic 14 дней назад +3

    Mes yeux se fixent sur leurs problèmes;
    Pour l’éternité ils restent les mêmes.
    Primordiaux et définis,
    Le monde se tient entre leurs infinis;
    Ils expliquent le fond des choses,
    Puisqu'à travers les temps, planent leurs causes
    Je suis l'halluciné
    de la forêt des Nombres
    Je ne cesse de buter
    Jusqu’aux nuits les plus sombres
    Je suis l'halluciné
    de la forêt des Nombres
    Ils ne cessent de me hanter
    De me suivre comme mon ombre
    Mes yeux ouverts s’aveuglent de leurs prodiges!
    Mes yeux fermés s’effraient de leurs vertiges!
    Voici leur danse rotatoire
    Cercle après cercle, en ma mémoire,
    Je suis l'immensément perdu,
    Le front vrillé, le cœur tordu,
    Les bras battants, les bras hagards
    Dans les hasards des cauchemars.
    Je suis l'halluciné
    de la forêt des Nombres
    Je ne cesse de buter
    Jusqu’aux nuits les plus sombres
    Je suis l'halluciné
    de la forêt des Nombres
    Ils ne cessent de me hanter
    De me suivre comme mon ombre
    Mon cerveau triste, au bord des livres,
    S'est épuisé, de tout son sang,
    Dans leur trou d'ombre éblouissant;
    Devant mes yeux, les textes ivres
    S'entremêlent, serpents tordus;
    Mes poings sont las d'être tendus,
    Par au travers de mes nuits sombres,
    Avec, au bout, le poids des nombres,
    Avec, toujours, la lassitude
    De leurs barres de certitude.
    Je suis l'halluciné
    de la forêt des Nombres
    Je ne cesse de buter
    Jusqu’aux nuits les plus sombres
    Je suis l'halluciné
    de la forêt des Nombres
    Ils ne cessent de me hanter
    De me suivre comme mon ombre
    «Tu seras nul, et pour ton âme inoccupée
    L'avenir ne sera qu'un regret du passé.»
    Je suis l'halluciné de la forêt des Nombres,
    Le front fendu, d'avoir buté,
    Obstinément, contre leur fixité.
    Dites, jusques à quand le net supplice
    De redouter leur maléfice,
    Haineusement, dardé vers ma folie?
    Immatériels ou réels, que sais-je?
    Ils me sont froids comme la neige
    Et leur fatalité me lie,
    En une atroce anomalie.
    Je suis l'halluciné
    de la forêt des Nombres
    Je ne cesse de buter
    Jusqu’aux nuits les plus sombres
    Je suis l'halluciné
    de la forêt des Nombres
    Ils ne cessent de me hanter
    De me suivre comme mon ombre
    Je suis l'halluciné
    de la forêt des Nombres
    Je ne cesse de buter
    Jusqu’aux nuits les plus sombres
    Je suis l'halluciné
    de la forêt des Nombres
    Ils ne cessent de me hanter
    De me suivre comme mon ombre
    «Tu seras nul, et pour ton âme inoccupée
    L'avenir ne sera qu'un regret du passé.»
    Le front fendu, d'avoir buté,
    Obstinément, contre leur fixité.
    Dites, jusques à quand le net supplice
    De redouter leur maléfice,
    Immatériels ou réels, que sais-je?
    Ils me sont froids comme la neige
    Et leur fatalité me lie,
    En une atroce anomalie.
    Je suis l'halluciné
    de la forêt des Nombres
    Je ne cesse de buter
    Jusqu’aux nuits les plus sombres
    Je suis l'halluciné
    de la forêt des Nombres
    Ils ne cessent de me hanter
    De me suivre comme mon ombre

  • @oceanebluebernadette
    @oceanebluebernadette 13 дней назад +1

    Bonjour Phil
    Super beau poéme trés complexe et bourrée de mystére et l 'avoir mis en musique est juste magique
    c'est bourré de métaphores , en cette période troublée nous sommes tous et toutes des hallucinés de lea forêt des nombres
    Un grand bravo et toujours un plaisir de passer sur ta chaine pleine d'originalité
    Douce soirée à toi
    Amitiés
    Bernadette

    • @philonico
      @philonico  13 дней назад

      Merci infiniment Bernadette ! Ton message me touche beaucoup.
      Je suis ravi que le poème et la musique t’aient embarquée dans cette "forêt des nombres".
      Toujours un plaisir de te lire ici !
      je te souhaite une belle soirée, amitiés

  • @nane566
    @nane566 14 дней назад +1

    belle mise en chanson de ce poeme , vraiment ,l' IA est troublante avec ces possibilité,bravo pour cette création.

    • @philonico
      @philonico  14 дней назад +1

      Salut mon cher JLouis, je te remercie pour ton message, c'est en effet presque effrayant 😉 , mais ça va aussi permettre à beaucoup de gens d'avoir une aide dont il ne pouvait bénéficier auparavant pour rédiger un courrier, apprendre, .... J'ai émis l'hypothèse que c'est une nouvelle abolition des privilèges : tout le monde a une secrétaire à disposition, ...
      ruclips.net/video/Dwjv-DV-8sI/видео.html

  • @tps607
    @tps607 13 дней назад +1

    Bravo, Nico!!

    • @philonico
      @philonico  13 дней назад

      Salut Tom, merci beaucoup, bonne semaine