Attention : la bande sonore est coupée en deux partie montées à l'envers. Pour écouter l'enregistrement dans l'ordre il faut se rendre à la moitié de la vidéo où commence le cours, et ensuite poursuivre l'écoute en revenant au début de la vidéo. (C'est pour cette raison que la transition entre la fin de la séance 2 et le début de la séance 3 est incohérent.)
Merci pour cette précision, j'avoue que j'ai été un peu perdu. Et pourtant, sans avoir de formation philosophique ce gars, comment dirais-je... m'enchante :)
En fait, la toile dont parle Deleuze, ce n'est pas la toile d'une peinture, mais internet dont il connaissait le projet et l'envahissement commercial imminent, puisqu'internet est né de développeurs dans le domaine du commerce, suite au minitel qui était un test de popularité non-dit, et est sorti donc des universités notamment aux USA. Il tenta donc dans ce cours de s'inclure lui-même dans la toile internet tandis qu'il n'en a apparemment pas divulgué le projet à ses élèves et à sa famille sans doute non plus.
quel rapport entre l'œil et la main dans la peinture ,,, la variabilité des rapports entre l'œil et la main ds la peinture selon que la peinture soit abstraite ou pas
Ce que je viens de dire n'est pas de la philosophie non plus que ce que disait Deleuze dans ce reportage sur ses cours, en tout cas les trois premières parties sont de l'Histoire de l'Art, et ce que je viens de dire est des mathématiques qui étaient déjà connues en Inde il y a deux cent mille ans.
C'est comme l'histoire de la double-vue, encore un concept mathématique qui n'a pas été compris pendant plus de deux cent mille ans, depuis Kurukshetra, sous l'Arbre de Vie, l'Ashvattha en Inde. En effet, comme la ligne est ligne mais est courbe de même qu'un horizon est plan mais se recourbe vers la focale qui le considère au fur et à mesure de l'éloignement, ce qui a fait que des millions d'années d'incultes ont cru que la Terre était plate en redressant l'horizon à la focale, concept mathématique qui était pourtant enseigné il y a deux cent mille ans, ce qui je dis là n'étant pas nouveau ni une découverte, la ligne donc comporte deux dimensions en une seule, c'est justement ça et pas autre chose que la quatrième dimension, cette courbure de l'espace-temps comprise dans la troisième dimension à partir du moment où l'on place une notion de distance dans un plan euclidien ou non avec un repère en deux dimensions, c'est-à-dire à partir du moment où l'on considère le temps dans l'espace. Etant donné qu'un regard a généralement deux yeux, le cerveau quand il est rempli de connaissances et pas de délires sur le sens des mots et des réalités, corrige la focale de façon à ce qu'une ligne n'apparaisse pas courbe autant que cette correction de focale peut être enlevée pour constater non pas un objet sans sa profondeur temporelle, mais en considérant en plus cette notion de temporalité courbe dans l'espace de par la variable distance-profondeur. Il y a donc deux façons de voir la réalité, soit dans un plan orthonormé, soit dans un plan temporalisé dans la distance et les longueurs. La meilleure image de ce genre de troisième dimension également quatrième dimension est la lampe indienne, hindoue, sous une forme pyramidale ou triangulaire mais dont les arêtes sont des courbes, sortes de "s", en son abat-jour je veux dire, c'est en réalité une pyramide à trois ou quatre côtés mais réellement, avec des lignes à la fois lignes et à la fois courbe, sauf que pour la représentation, pour fabriquer l'objet, ou pour regarder un objet en trois dimensions, il y a un choix à faire et fait généralement à l'avance (cf.Bergson) entre cette première troisième dimension et cette deuxième troisième dimension, pourtant exactement les mêmes, les mêmes et à la fois différentes.
Ce cours, en fait c'est de l'empirisme façon Bacon, c'est-à-dire, de l'étalage de connaissances mathématiques, et encore, ça reste les bases (les bases du binaire, les bases de la symétrie, les bases de la couleur et du gris, les bases de la superposition d'états quantiques, etc). Bacon disait que le pouvoir c'est le savoir, je dis que non, le pouvoir c'est la raison, et l'impuissance la prétention à savoir. Pour ce qui est de la ligne gothique, ça non plus, ce n'est pas une invention nordique de l'abstraction, c'est un constate qu'il n'y a pas de symétrie jusque dans un visage, rien dans la nature ou la Nature n'est symétrique, la gauche c'est pas la droite, ce que réfute Deleuze (cf. ici vers 1h00'00"), dans son illusion. Déjà dans ce cours, il n'est plus question de la catastrophe et de la catastrophe violette qu'il n'a pas citée explicitement, évitant de faire référence aux systèmes d'amplification audio, personne ne sachant pourquoi. Et puis, le gothique dans l'architecture, c'est tout le contraire de ce qu'il dit, c'est justement le tracé des formes de la nature, l'enluminure, les encorbellements, etc, certainement pas la recherche d'une abstraction et d'une ligne qui ne détermine pas de forme, donc qui ne ferait pas sens car ne portant aucune idée. Il tente de chercher de l'insensé pour en faire sortir du sensé, de contredire le paradigme d'Emile Durand: "L'expression ne saurait précéder l'idée qu'elle exprime." et ne peut pas y arriver puisqu'Emile Durand a eu raison. En effet, rien ne prend de sens, le sens n'est pas extra-linguistique, du sens, ça ne se donne pas à quelque chose d'insensé, de l'insensé c'est de l'insensé. Et l'insensé aurait du sens qui ne correspondrait pas à ce que l'on attend du sens, ce qui prouve que c'est de l'insensé, puisque l'insensé ne peut pas être attendu du sens. L'insensé donc ne sort pas du sensé, mais est en-soi insensé, comme l'être n'est pas néant et le néant n'est pas être, comme une table n'est pas une chaise. L'insensé n'est pas issu du sensé et ne peut en issoir au passé comme au présent comme à l'avenir, puisque par définition, le sensé ne peut devenir insensé. Ce qui n'a pas de sens ne peut pas en prendre a posteriori comme ce qui a du sens ne peut devenir insensé ou l'avoir été. La tentative donc autant de Deleuze comme de Bacon pour trouver de l'insensé dans les formes de la nature, est voué à l'échec. La forme n'est pas insensée, c'est l'idée qui est ce que la forme traduit qui peut être insensée, mais mathématiquement, la forme correspond à une réalité mathématique d'assemblage de fonctions qui ne peuvent pas en tant que fonctions porter ou être de l'insensé.
Ouaip, pas trop se laisser enchanter, là non plus, je n'appelle pas ça de la philosophie mais un cours de peinture ou un cours d'Histoire de la Peinture, comme dans une Ecole des Beaux-Arts (sq. ça devrait se faire, ce qui n'est pas forcément le cas). Et puis, la ligne de Pollock, n'a pas été comprise entièrement. En effet, ce qu'il dit est vrai, il l'a sans doute lu et le récite sous forme de résumé, comme une fiche de lecture, mais il y a plus dans cette ligne, il y a le rapport que j'ai expliqué dans "Eve, à côté d'Adam", une pièce de théâtre que j'auto-édite, entre le zéro et le un, puis le deux, étant nécessaires complémentarités qui ne peuvent exister sans être dans cette ordre numérique, et ne pouvant pas ne pas exister du fait tout simplement de "un", de l'existence de cette première numération, ce qui est, dans le tableau de Pollock, sans que Pollock ni Deleuze ne l'aient vu et compris, la ligne, et je peux aussi ajouter qu'une ligne n'est pas une courbe pourtant étant courbe car ne pouvant pas être droite, dire une ligne droite ne peut être qu'une antinomie, et une ligne n'est pas une courbe pour autant. D'ailleurs, pour dessiner ou peindre une ligne ou une courbe il n'y a pas besoin de règle, ni de se représenter des lignes sur une surface. Peindre un tableau, d'ailleurs, ce n'est pas forcément sur une surface plane, et la ligne ne devient pas plus courbe pour autant. Simples propos esthétiques de base que je dis là, qui semblent être une découverte, mais ça traverse pourtant toute l'Histoire de la peinture, de l'Art et des mathématiques. Qui n'a pas remarqué n'a pas "l'oeil", l'oeil du ou de la peintre, l'oeil du ou de la mathématicien(ne), l'oeil clair comme la pensée claire, la clarté de conscience.
Attention : la bande sonore est coupée en deux partie montées à l'envers. Pour écouter l'enregistrement dans l'ordre il faut se rendre à la moitié de la vidéo où commence le cours, et ensuite poursuivre l'écoute en revenant au début de la vidéo. (C'est pour cette raison que la transition entre la fin de la séance 2 et le début de la séance 3 est incohérent.)
Merci pour cette précision, j'avoue que j'ai été un peu perdu. Et pourtant, sans avoir de formation philosophique ce gars, comment dirais-je... m'enchante :)
Merci.
Vous ici ?
Merci pour l'indication. En complément, le début commence ici : 1:12:47
En fait, la toile dont parle Deleuze, ce n'est pas la toile d'une peinture, mais internet dont il connaissait le projet et l'envahissement commercial imminent, puisqu'internet est né de développeurs dans le domaine du commerce, suite au minitel qui était un test de popularité non-dit, et est sorti donc des universités notamment aux USA. Il tenta donc dans ce cours de s'inclure lui-même dans la toile internet tandis qu'il n'en a apparemment pas divulgué le projet à ses élèves et à sa famille sans doute non plus.
quel rapport entre l'œil et la main dans la peinture ,,, la variabilité des rapports entre l'œil et la main ds la peinture selon que la peinture soit abstraite ou pas
Le début du cours commence à 1:12:47
Ce que je viens de dire n'est pas de la philosophie non plus que ce que disait Deleuze dans ce reportage sur ses cours, en tout cas les trois premières parties sont de l'Histoire de l'Art, et ce que je viens de dire est des mathématiques qui étaient déjà connues en Inde il y a deux cent mille ans.
200 000 ans, rien que ça ...
C'est comme l'histoire de la double-vue, encore un concept mathématique qui n'a pas été compris pendant plus de deux cent mille ans, depuis Kurukshetra, sous l'Arbre de Vie, l'Ashvattha en Inde. En effet, comme la ligne est ligne mais est courbe de même qu'un horizon est plan mais se recourbe vers la focale qui le considère au fur et à mesure de l'éloignement, ce qui a fait que des millions d'années d'incultes ont cru que la Terre était plate en redressant l'horizon à la focale, concept mathématique qui était pourtant enseigné il y a deux cent mille ans, ce qui je dis là n'étant pas nouveau ni une découverte, la ligne donc comporte deux dimensions en une seule, c'est justement ça et pas autre chose que la quatrième dimension, cette courbure de l'espace-temps comprise dans la troisième dimension à partir du moment où l'on place une notion de distance dans un plan euclidien ou non avec un repère en deux dimensions, c'est-à-dire à partir du moment où l'on considère le temps dans l'espace. Etant donné qu'un regard a généralement deux yeux, le cerveau quand il est rempli de connaissances et pas de délires sur le sens des mots et des réalités, corrige la focale de façon à ce qu'une ligne n'apparaisse pas courbe autant que cette correction de focale peut être enlevée pour constater non pas un objet sans sa profondeur temporelle, mais en considérant en plus cette notion de temporalité courbe dans l'espace de par la variable distance-profondeur. Il y a donc deux façons de voir la réalité, soit dans un plan orthonormé, soit dans un plan temporalisé dans la distance et les longueurs. La meilleure image de ce genre de troisième dimension également quatrième dimension est la lampe indienne, hindoue, sous une forme pyramidale ou triangulaire mais dont les arêtes sont des courbes, sortes de "s", en son abat-jour je veux dire, c'est en réalité une pyramide à trois ou quatre côtés mais réellement, avec des lignes à la fois lignes et à la fois courbe, sauf que pour la représentation, pour fabriquer l'objet, ou pour regarder un objet en trois dimensions, il y a un choix à faire et fait généralement à l'avance (cf.Bergson) entre cette première troisième dimension et cette deuxième troisième dimension, pourtant exactement les mêmes, les mêmes et à la fois différentes.
Ce cours, en fait c'est de l'empirisme façon Bacon, c'est-à-dire, de l'étalage de connaissances mathématiques, et encore, ça reste les bases (les bases du binaire, les bases de la symétrie, les bases de la couleur et du gris, les bases de la superposition d'états quantiques, etc). Bacon disait que le pouvoir c'est le savoir, je dis que non, le pouvoir c'est la raison, et l'impuissance la prétention à savoir. Pour ce qui est de la ligne gothique, ça non plus, ce n'est pas une invention nordique de l'abstraction, c'est un constate qu'il n'y a pas de symétrie jusque dans un visage, rien dans la nature ou la Nature n'est symétrique, la gauche c'est pas la droite, ce que réfute Deleuze (cf. ici vers 1h00'00"), dans son illusion. Déjà dans ce cours, il n'est plus question de la catastrophe et de la catastrophe violette qu'il n'a pas citée explicitement, évitant de faire référence aux systèmes d'amplification audio, personne ne sachant pourquoi. Et puis, le gothique dans l'architecture, c'est tout le contraire de ce qu'il dit, c'est justement le tracé des formes de la nature, l'enluminure, les encorbellements, etc, certainement pas la recherche d'une abstraction et d'une ligne qui ne détermine pas de forme, donc qui ne ferait pas sens car ne portant aucune idée. Il tente de chercher de l'insensé pour en faire sortir du sensé, de contredire le paradigme d'Emile Durand: "L'expression ne saurait précéder l'idée qu'elle exprime." et ne peut pas y arriver puisqu'Emile Durand a eu raison. En effet, rien ne prend de sens, le sens n'est pas extra-linguistique, du sens, ça ne se donne pas à quelque chose d'insensé, de l'insensé c'est de l'insensé. Et l'insensé aurait du sens qui ne correspondrait pas à ce que l'on attend du sens, ce qui prouve que c'est de l'insensé, puisque l'insensé ne peut pas être attendu du sens. L'insensé donc ne sort pas du sensé, mais est en-soi insensé, comme l'être n'est pas néant et le néant n'est pas être, comme une table n'est pas une chaise. L'insensé n'est pas issu du sensé et ne peut en issoir au passé comme au présent comme à l'avenir, puisque par définition, le sensé ne peut devenir insensé. Ce qui n'a pas de sens ne peut pas en prendre a posteriori comme ce qui a du sens ne peut devenir insensé ou l'avoir été. La tentative donc autant de Deleuze comme de Bacon pour trouver de l'insensé dans les formes de la nature, est voué à l'échec. La forme n'est pas insensée, c'est l'idée qui est ce que la forme traduit qui peut être insensée, mais mathématiquement, la forme correspond à une réalité mathématique d'assemblage de fonctions qui ne peuvent pas en tant que fonctions porter ou être de l'insensé.
Nirmel Mouchiquel please...
Ouaip, pas trop se laisser enchanter, là non plus, je n'appelle pas ça de la philosophie mais un cours de peinture ou un cours d'Histoire de la Peinture, comme dans une Ecole des Beaux-Arts (sq. ça devrait se faire, ce qui n'est pas forcément le cas). Et puis, la ligne de Pollock, n'a pas été comprise entièrement. En effet, ce qu'il dit est vrai, il l'a sans doute lu et le récite sous forme de résumé, comme une fiche de lecture, mais il y a plus dans cette ligne, il y a le rapport que j'ai expliqué dans "Eve, à côté d'Adam", une pièce de théâtre que j'auto-édite, entre le zéro et le un, puis le deux, étant nécessaires complémentarités qui ne peuvent exister sans être dans cette ordre numérique, et ne pouvant pas ne pas exister du fait tout simplement de "un", de l'existence de cette première numération, ce qui est, dans le tableau de Pollock, sans que Pollock ni Deleuze ne l'aient vu et compris, la ligne, et je peux aussi ajouter qu'une ligne n'est pas une courbe pourtant étant courbe car ne pouvant pas être droite, dire une ligne droite ne peut être qu'une antinomie, et une ligne n'est pas une courbe pour autant. D'ailleurs, pour dessiner ou peindre une ligne ou une courbe il n'y a pas besoin de règle, ni de se représenter des lignes sur une surface. Peindre un tableau, d'ailleurs, ce n'est pas forcément sur une surface plane, et la ligne ne devient pas plus courbe pour autant. Simples propos esthétiques de base que je dis là, qui semblent être une découverte, mais ça traverse pourtant toute l'Histoire de la peinture, de l'Art et des mathématiques. Qui n'a pas remarqué n'a pas "l'oeil", l'oeil du ou de la peintre, l'oeil du ou de la mathématicien(ne), l'oeil clair comme la pensée claire, la clarté de conscience.