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Je pense qu'il y a aussi une chose très importante à prendre en compte : le savoir faire Il est hélas bien plus facile de trouver des artisans sachant travailler les matériaux "modernes" C'est peut-être aussi pour ça que la rénovation de l'ancien a la réputation d'être chère Mais si on a la capacité de se former (et la santé), alors faire soi-même ce genre de travaux procure une très grande satisfaction Merci pour vos bons conseils Claude
François, si on considère que, parce qu'ils en vendent et posent beaucoup, les artisans maîtrisent bien les matériaux "modernes" alors vous avez raison. Par contre, combien d'artisans qui posent des isolants fibreux les protègent avec un pare-vapeur, posé dans les règles de l'art ? … malheureusement très peu !!!
Merci pour votre vidéo (et les autres) qui tombe à pic : je suis justement entrain de refaire les joints de mon garage par des joints à la chaux. Il s'agit d'une pièce semi-enterrée (donc les murs sont légèrement humide mais en aucun cas problématique) non-chauffée (mais voisine à des pièces chauffées). L'idée initiale était de faire un lait de chaux sur ces murs, mais j'envisageait d'isoler puisque même s'il n'est pas un lieu de vie, c'est un lieu de passage et que l'isoler permettrait de limiter les pertes de pièces chauffées et de gagner en confort. Néanmoins isoler un mur semi-enterré me met mal à l'aise par rapport à sa gestion de l'humidité et à son rapport investissement/temps/gain/énergie grise (35m² de mur tout de même). Est-ce qu'une correction thermique de 2-3cm permettrait de limiter les pertes des pièces voisines tout en continuant à bien gérer l'humidité du mur ? Ou il vaut mieux laisser le mur tel quel ?
Bonjour et merci pour vos ouvrages et vos vidéos ! Dans mon cas personnel, un petit appartement parisien au rez-de-chaussée d'un immeuble du XVIIIe siècle dans un quartier gorgé d'eau ; les murs sont sains. J'envisage d'isoler le mur Est : sur la rue, peu d'ensoleillement, j'imagine que les déperditions thermiques se passent beaucoup de ce côté-là. Et d'appliquer une correction thermique type chaux-chanvre sur le mur nord : qui est commun avec un autre immeuble donc chauffé à priori / également une correction thermique sur le mur ouest, sur cour mais plus ensoleillée que le mur est / et également une correction sur le mur sud, qui donne sur le hall de l'immeuble (ouvert) et l'escalier de la cave. Mon idée de combiner isolation du côté "froid" et correction sur les autres, vous semble-t-elle pertinente ? (également pour améliorer mon DPE, quoiqu'on en pense j'en aurai besoin si un jour je souhaite vendre) Je vous remercie ! Rémi
Bonjour Claude Petit sujet de vidéo 😁 Concernant la cohérence d’emploi entre les matériaux Judicieux ou pas ? Un exemple mettre un isolant bio sourcé et y placarder des plaques de plâtre cartonnées par dessus Merci pour le partage
Bonjour, dans le cadre d'une cuisine (nécessite mur droit pour les meubles) d'une vieille maison en pierre, est-ce que coller des panneaux de liège (4-5cm) directement au mur puis coller du fermacell par dessus est pertinent ? Sans pare vapeur ? Les autres murs seraient enduit en chaux chanvre, ce mur serait l'exception.
La réponse est à étage. 1) il faut renouveler l'air sérieusement, pour moi, renouvellement mécanique, on peut discuter des techniques, pas de la nécessité de s'y conformer. 2), ce qui doit être plan , ce n'est pas le mur, ça c'est une convention… pas très intéressante au plan glogal car, derrière un meuble, comment un mur peut-il se comporter bien ? 3) cette convention est très récente, il y a seulement 70 ou 80 ans, on n'envisageait pas une cuisine équipée mais des niches dans le volume, des placards avec seulement une façade… ce n'était probablement pas terrible thermiquement, mais les murs s'y comportaient très bien. 4) le support haut des placards du haut doit être bien conçu et mis en œuvre selon les besoins d'agencement. Il doit être complété d'une pièce d'appui située vers le bas des placards hauts, 5) dans l'idéal, il faudrait laisser cet espace bien ouvert aux plus d'air. 6) les meubles bas reposent sur le sol et le seul impératif est d'en assurer la continuité vis à vis de la paroi… îl faut donc, effectivement, "tabletter" une pièce (l'ajuster) qui assurera cette finition d'ordre visuel et ecthétique. Pour moi, ces cuisines équipées, aussi tentantes qu'elles soient, sont par définition sources de problèmes. Il faut de granbds professionnels, conscients de ce qu'ils vont engendre du fait de leur intervention… et ça se passera bien… à condition d'admettre qu'il faut renouveler l'air mécaniquement.
Très peu de tutos sur cette chaîne, ici on ne se pose pas la question du comment ou du avec quoi, mais beaucoup de "pourquoi(s)". Avant de demander au pharmacien combien de comprimés de tel médicament, le matin, le soir∞. On consulte son généraliste qui, lui, en fonction d'un contexte global, détermine ce qui sera le plus adapté au solutionnement de la pathologie constatée ou de celle dont on cherchera à se prémunir… Ça vous le trouverez ici, pas le dosage !
@@PapyClaude beaucoup de chênes-lièges ont été plantés ces dernières années, notamment en France. Le volume de ressources ne fera qu'augmenter. Je ne suis sponsorisé par personne, c'est juste mon avis
Le liège,oui j'ai isolé toute ma maison,soit 13mx10m et un étage a l'époque j'en avais eu pour 11000€ de liège,en 2009, hélas pour moi,j'ai eu des colonies de fournis qui on creusé des galeries,j'ai même récupéré de la poussière ,type café moulu ,donc je m'inquiète des dégâts, causés,nous avons traité,mais ne pouvons pas contrôler,les murs,sont aglos de 20 plus 10 de polystyrène a l'intérieur, 10cm liège, plus habillage pierres calcaires maçonnées chaux, coulis de béton entre liège et pierres soit, 60 cm épaisseur, je ne recommencerai jamais si non il faudrait traiter le liège d'après un spécialiste venu sur place les fourmis seraient portugaises race inconnue ici,ben,plus maintenant,je n'en vois plus aucune mais elles avait commencée de bouffer les poutres en douglas 12x24 de ma dalle vide sanitaire,
@@bernardmichel4935 bonjour, s'agit-il de liège naturel ou expansé ? Le liège expansé est obtenu par chauffage à la vapeur (300 degrés celsius). Les fournis ne peuvent pas survivre.
@@coach-travaux-electricite expensé, plaque de 100x50x10,les fourmis sont certainement venue lors du stockage, en tout cas ,j'ai encore une plaque démontée lors d'une création d'ouverture,on voit bien les galeries créés
Bonjour. La société qui a posé notre correcteur chaux chanvre recouvert d’un enduit chaux sable a mis 12cm de chaux chanvre et 2 ou 3 cm d’enduit chaux sable sur bâti ancien 1830 en pierres . Trop? Le chaux chanvre a mis de 6 mois à 12 mois à sécher car maison non habitée, pas encore chauffée et météo très pluvieuse …
C'est une épaisseur qui permet de recouvrir la structure en bois qui maintien le tout, si c'est cette option qui a été choisie. De plus, il faut parfoit en passer par la pour rattraper certains defauts du mur. Moi ça ne me choque pas, mais pour ne parler que côté thermique, 5cm d'epaisseur font 80% du boulot, le reste n'est finalement qu'option !
C'est une erreur très souvent constatée : les sociétés veulent atteindre un R assez élevé, alors que ce n'est pas l'épaisseur (et donc le R atteint) qui détermineront si le choix est pertinent. Je le redis, 4 à 6 cm suffisent à assurer unn confort très intéressant, mette plus épais (et vous en êtes malheureusement la preuve, vous le vivez chez vous), surtout si absence d eventilation (ce que je poressens comme probable chez vous). Attendu que nous vivons actuellement, dans de multiples régions françaises, dans un climat à tendance tropicale (chaleur + vapeur d'eau en excès dans l'air), la seule solution pour vous sera probablement, dans un 1er temps, un assécheur d'air et, si nous retrouvons un climat plus favorable, un renouvellement d'air permanent… y compris en votre absence!!!
Il nous faudra nous adapter aux changements climatiques et savoir ne pas nous comporter avec ces correcteursv thermiques comme avec des isolants… ces matériaux n'ont pas grand chose de commun…
@@PapyClaude bonjour. La sté était pourtant spécialisée dans le chaux chanvre …Nous avons fait installer une ventilation mécanique à la fin des travaux de projection de chaux chanvre et avant la pose de l’enduit de finition, fait poser de nouvelles huisseries double vitrage avec entrée d’air sur certaines. Le confort est là mais le temps de séchage a été une vraie et longue source de stress et quelques surprises au final: impossible d’accrocher tringles à rideaux ou étagères :-( nous n’y avions pas pensé ) donc pas prévu de fermacel sauf dans cuisine et salle d’eau oufff
Merci Claude pour cette vidéo instructive. Pour avoir fait les deux mises en œuvre (chaux-chanvre + badigeon ou enduit ET isolation laine de bois + placo), je vois deux avantages à la seconde solution pour moi. Premièrement, la gestion des réseaux et des boitiers électriques dans une lame d'air séparée du parement final ; personnellement je trouve cela hyper-confortable de bosser ainsi et cela garanti mon étanchéité à l'air. Deuxièmement, la souplesse dans la gestion du temps en travaillant des matériaux secs (quand on bosse à côté, qu'on a des enfants, etc...) : savoir que l'on peut bosser seul et s'arrêter à tout instant. J'ai trouvé une solution intermédiaire pour mon bâti ancien : un chaux chanvre banché (très maigre pour diminuer la quantité de chaux), sur 7 ou 8 cm. Cela permet d'avancer bétonnière par bétonnière, de s'arrêter et reprendre le lendemain si besoin ou si mes filles commencent à s'entretuer 🙂...! Et pour le coin cuisine et salle de bain j'ai réalisé une lame d'air de 4 cm pour passer mes réseaux avant le placo de finition. Ailleurs c'est un enduit chaux ou terre en finition. Le tout est à la fois agréable à vivre et pratique dans les pièces techniques.
Merci de votre témoignage : comme toujours, c'est la bonne solution au bon endroit, bien réalisée par celui qui œuvrera. La vidéo n'a pas pour objet de dire que le correcteur serait mieux car moins couteux, mais surtout que, non, pas d'idée préconçue, si une isolation et les parements qui en résultent sont bien réalisés, alors la question du coût réel n'est pas forcément baussi simple à appréhender que ce qui nous est trop souvent expliquer. par ailleurs, le fait d'auto-réaliser change bien sûr la donne… Bonne suite dans vos travaux… je suis assez serein pour ec quyin vous concerne : choix raisonnés et étuidiés en amont… la bonne approche !
Très intéressant! Si j’ai bien tout compris, tu as tout enduit de 7/8cm en banché? Et mis du placo avec léger « vide sanitaire » uniquement dans les endroits plus techniques? Pas de pare-vapeur?
Bonjour Claude, Je ne comprends pas cette histoire de remettre du minéral sur un béton de chanvre.... L'on perd beaucoup du bénéfice effet paroi chaude. Je suis artisan posant du chaux chanvre, n'oublie pas le piquetage et évacuation des gravats avant la projection du chaux-chanvre. Je perd beaucoup de chantier à cause du fait de retirer les vieux plâtre et le temps de séchage.... Un poseur d'élément sec ne retire jamais les vieux parements. Je réserve les enduits dit lourd sur des mur de refend plutôt mais en périphérique je préfère grandement laisser le végétal jusque la finition. Aucun végétal autre que la chènevote n'est aussi performant point de cue changement de phase. Ne pas oublié le prix de la chaux dans un mélange chaux-chanvre qui en est le principal coût et suivant ton dosage cela double la quantité de chaux suivant l'application manuel ou projeté.... Et aussi le bénéfice d'un mélange moins dosé en chaux.... J'aimerais grandement discuter avec toi de ce sujet pour que tu prenne connaissance de mes retours chantiers. Si tu veux me contacter. Je suis ouvert à l'échange. Bien à toi Alex
je vois qu'on compare à nouveau des pommes et des poires oui poser une isolant est surement + cher qu'un correcteur thermique, le gain aussi. Pour paraphraser mon regreté formateur associatif, on ne pose pas un isolant pour faire "le moins cher", si vous cherchez la solution la moins chère, allez appuyer sur le bouton éteindre de votre chaudière. la comparaison des couts n'a de sens que sur la durée de vie du bâtiment... combien permet d'économiser le correcteur ? cela fait un certain montant sur 50 ans. combien permet d'économiser un isolant passif ? 15000 kWh/an environ x 50 ans x 0,1€/kWh pour être sympa = 75000€, ciout ~25000€ = économie net = 50 000€ (et je n'ai pas couté le gain de ne plus avoir besoin de chaudière ni de l'entretenir) le correcteur thermique doit donc avoir un gain supérieur à 50 000 € pour être - cher... je vous laisse mettre vos chiffres pour une maison (j'ai pris 112m2 habitable, la moyenne en France)
Effectivement, on ne dot jamais comparer les tprchons et les serviettes… l'important est de savoir que, pour la toilette corporelle, le plus efficace est la serviette de toilette et pour la vaisselle, c'edsst le torchon. Donc, san paraphraser qui que ce soit, l'important est, d'abord, de savoir à quoi on s'attaque. On ne devrait pas aborder sous le seul aspect du coût, si je l'ai fait c'est pour démystifier des affirmations aussi simplistes que la belle démonstration que vous venez de faire… Ce qui prime et primera toujours c'e'st quel besoin, pour quel usage en quel lieu et avec quelles contraintes et avantages (au pluriel, tant les contraintes que les avantages). En effet, ne serait-ce que si nous prenons en compte le prix au m2 de la surface habitable, 112 m2 habitable, c'est environ 110 m2 de murs extérieurs, à raison d'une hauteur sous plafond de 2,50m, ce qui nous donne environ 44 mètres linéaires… si, sur ces 44ml je mets 12 cm de plus en épaisseur (si toiut est bien fait, y compris le pare-vapeur qui, comme on sait, doit être jointoyé, raccordé à la structure, non percé et non déchiré…), on voit la surface réelle baisser de 44 x 0,12 = 5,18 m2 ! … à raison de 3000€/m2, nous voilà, selon votre approche, avec une perte de 15840€… je vous laisse faire les calculs pour les zône plus tendues en prix au m2… Rien n'est jamais aussi simple qu'on voudrait nous le faire croire… Quand à affuirmer qu'en isolant on fait l'économie d'une chaudière, c'est une supposition sur laquelle je vous souhaite bon courage, car alors, il faudrait que la maison soit de niveau BBC… ce qui correspond à un très faible pourcentage des habitats et, pour y parvenir, il faut isoler beaucoup plus, donc consommer plus de matériaux (ce qui défavorise sotre approche) et plus d'épaisseur, ce qui "m&ange" encore un peu plus de surface et donc va encore défavoriser votre approche. Par contre, selon le type de murs, il est évident que, parfois, il est beaucoup plus judicieux d'isoler que de se contenter d'un correcteur thermique… A mon avis, ce qu'il faut retenir de tout cela, c'est qu'il n'éxiste pas de solution universellement supérieure, encore moins si on regarde sous tous les aspects, par contre et pour chaque couple habitat/habitat, il y a généralement plusieurs options possibles… seule une analyse en amont, réalisée par quelqu'un qui n'a aucun intérêt à privillégier une solution ou une autre, permet d'opter pour ce qui, nous l'espérons, sera le plus pertinent…
@@PapyClaudeJe trouve que c’est bien plus simpliste dans le mauvais sens du terme de ne parler que des coûts comme vous le faites (oui, faire moins est moins coûteux mais ce n’est pas pour cela que c’est mieux) comparé à une évaluation coût-bénéfice (combien, à terme, le surcoût permet d’apporter en termes de bénéfices économique et environnementaux). Vous avez bien raison de parler du coût caché de l’isolation par l’intérieur due à la perte de surface habitable, mais vous vous trompez de destinataire : non seulement 2-3 cm de correcteur thermique, c’est aussi 1 m² de surface habitable perdue (en plus de la surface du local technique éventuel pour le chauffage), mais en plus, un logement passif est principalement isolé par l’extérieur, donc aucune perte de surface habitable. C’est donc l’arroseur arrosé avec encore un argument de plus en défaveur du non-passif. Et hormis quelques cas de niche (la façade du rez-de-chaussée pour les maisons de ville, les bâtiments classés), tous les autres logements sont possibles en passif (je vous conseille le livre sur Be.passif et les exemples de rénovation passive qu’il contient). Merci pour le courage dont vous pensez que j’ai besoin pour vivre la réalité d’un logement passif (le passif ce n’est pas du BBC) sans chaudière. Je vois que vous allez jusqu’à mettre en doute la réalité vécue par d’autres. Il est possible de visiter des logements passifs lors des "Journées Européennes des Maisons Passives" en novembre. Vous avez raison que l’isolation d’un logement passif utilise plus de ressources pour l’isolation, ce qui est plutôt un avantage par rapport à la combustion dans un logement non-passif pour peu qu’on utilise des matériaux biosourcés (et même idéalement des matériaux biosourcés à cycle court tels que la paille) : j’estime à environ 54 tonnes de CO2 séquestré (ce qui a une valeur de 5400 € si on veut ne parler que des coûts) dans l’isolation passive. J’ai du mal à comprendre comment vous trouvez préférable une solution qui rejette x tonnes de CO2 tous les ans tout en ayant séquestré moins de carbone. J’entends que vous vendez votre prestation d’analyse au cas par cas, sans jamais arriver à démontrer un cas où le correcteur se révèle supérieur à long terme, hormis le fait qu’il coûte moins cher comme investissement initial, sans que le gain initial ne se pérennise à long terme. Dommage que vous n’ayez pas mis de chiffres à propos des coûts/gains d’un logement "correcteur thermique". Je me risque à le faire, avec le risque d’erreur dû à ma faible maîtrise de cette "solution". N’hésitez pas à corriger : 110 m² de murs extérieurs à 30 € main-d’œuvre + 20 € de matériaux = ~5500 € pour les murs 5000 € pour l’isolation sommaire du toit 5000 € pour la perte de 1 m² habitable due au correcteur thermique 5000 € pour la surface perdue par la chaudière et les radiateurs éventuels 2000 € pour l’installation du chauffage sur 50 ans, en étant optimiste Coût total : 22 500 €, soit à peine 10 % moins cher que le passif. Diminution de la consigne de chauffage de 3 °C pour un confort thermique équivalent, soit 3 * 6-7 % = ~20 % sur la consommation. Consommation moyenne d’un logement : 15 000 kWh 3000 €/an. Gain sur le chauffage : 20 % de 3000 €/an = 600 €/an ou 30 000 € sur 50 ans. Gain net sur 50 ans : 30 000 € - 22 500 € = 7 500 €. Donc, sauf correction de votre part, on a donc sur 50 ans : - Le correcteur thermique qui permet d’économiser 7 500 €, pour un investissement initial 10 % moins cher que le passif. - Le passif qui permet d’économiser 50 000 €, séquestre le plus de carbone, émet le moins de GES, et offre le meilleur confort. Conclusion : Autant se limiter au correcteur thermique est moins cher à court terme, autant il est une solution insuffisante pour le climat et ruineuse économiquement comparée au passif à long terme. 2 500 € de surcoût du passif par rapport au correcteur thermique, mais 42 500 € d’économies supplémentaires à long terme. Je n’ai encore rien vu de plus intéressant comme investissement dans l’avenir et je pense qu'il faudra du courage à ceux qui "décidé" d'investir 10% de moins que nécessaire, c'est un choix qui va faire mal tant financièrement que niveau climat, le prix de l'électricité a pris déjà pris 70% depuis mon projet de rénovation passive
@@MarcMarc-cf9mq Est-ce possible en rénovation de bâtiment ancien d’obtenir réellement un habitat passif? Comment faire d’une belle longère en pierre de pays un habitat passif?
@@avkou100l7 Pour la première question, oui c'est possible en rénovation, c'est ce que j'ai fais, qui plus est sur une maison mitoyenne de ville avec un balcon (un sacré pont thermique à résoudre en rénovation). Pour la 2ieme question, ce serrait en effet merveilleux de pouvoir garder le charme de la pierre du pays... soit vous isolez par l'extérieur (il existe des parements assez réussit imitant la pierre mais cela ne serra évidement pas la même chose), soit vous isolez par l'intérieur (et perdez des m2 habitable souvent précieux et couteux), soit vous ne faite rien (et perdez l'humanité au sens des morts climatiques). c'est un choix qui vous revient, je ne peux décider pour vous même si pour ma part, une belle bâtisse dans un monde qui crame, cela n'est à mon avis pas pertinent.
Merci une fois de plus pour vos vidéos ! Nous venons de faire faire un "audit énergétique" par "mon Assistant Renov'" du groupe EFFY, dans le détail de ce compte rendu, l'auditeur a indiqué des murs en pierres de taille type moellon, mais avec des dimensions de 23 et 25 cm ! Hors, nos murs extérieurs ont une épaisseur entre 45 et 60cm d'épaisseur ! Comment peut on faire des calculs de correction thermique sérieux sur logiciel informatique en entrant des paramètres aussi différents que la réalité ? Nous avons choisi l'isolation intérieure pour plus de tranquillité de travaux car notre maison nouvellement acquise se trouve en zone du Parc Naturel Régional du Vexin français. La mode des pompes à chaleur fait que cet audit nous retourne 2 scénarii proposés avec une PAC, sachant que nous désirons installer une "chaudière bois". Pour ces gens là, ce n'est pas une correction thermique qui s'impose, mais une correction cul nu fessée sérieuse !
Pour agir sur la façade, la question de l'enduit ou de l'ite se pose. Cas d'une maison ancienne avec enduit ciment (donc à enlever). Pas besoin de pare vapeur en ITE, mais de tout le reste qui est mentionné dans la video. Quid du temps de séchage de l'enduit ? Car il faut faire plusieurs passes et l'échafaudage reste en place pendant tout ce temps... Le prix (public) des enduits correcteurs thermiques est affreusement élevé (hors enduit de finition) pour R=0.7 en fourniture; Isol'argilus (lambda 0.06): 50€/m2 Soliege (0.039) 200€/m2 Thermotilia (0.09) 87€/m2 Hagatherm light (0.045)27€/m2 Enduit aerogel (haga ou fixit 222) (0.028) 200€/m2 Est ce plus économique de faire le mélange sur place ? Quid du lambda dans ce cas ?
Une fois de plus, cessons de nous "masturber" les méninges avec le lambda… ou alors allons-y, mais avec une option correcte ÷ œpter pour un véritable isolant, ce que ne sera jamais un enduit correcteur thermique. Un isolant n'est pas un mélange de liant et d'agrégat à bon lambda, ça c'est un correcteur thermique, si on choisit l'isolant, on y va clairement mais on cesse d'imaginer qu'un même produit fera les deux à la fois car cela ne présente strictement aucin intérêt, cessons de tomber sous les dictats des injonjctions de faire et, même si la réalisation d'un correcteur thermique n'est pas donnée, elle est à comparer à toutes les phases décrites dans la vidéo, nécessaires à la réalisation finale d'une isolation…
Comme disait Coluche, qd les politiques ont fini de te répondre, tu ne sais plus la question que tu as posé, Papy Claude c'est pareil, tu lui demandes qu'est ce qui serait le mieux pour isoler mes combles ? au bout d'un 1/4h tu décroches et tu pars à Leroy Merlin pour demander conseils et passer ta commande
Ils vendent ce qui leur apporte la plus forte marge en priorité. D'où l'intérêt de savoir à l'avance ce qu'on veut parce que c'est ce dont on a besoin.
Bonsoir monsieur, j'ai découvert récemment votre chaine a laquelle je me suis abonné, je suis trés interessé par les problématiques d'isolation et je souhaiterai votre avis conçernant ma maison. C'est une construction des années 70 en briques de 20 cm avec contre cloison en briquettes de 3 cm séparée par un vide d'environ 4 cm, le toit est un 4 pans, les combles perdus avec solives espacées d'environ 50 cm auquelles sont accrochées des briquettes qui constituent le plafond de la maison. J'ai posé 20 cm de laine de verre entre les solives complété avec 10 cm qui recouvre le tout, le lambda est de 32. Lensemble des ouvertures est en double vitrage et j'ai une VMC simple flux hygro. Que pourrais je améliorer, et par exemple, serait-il intéressant de remplir la contre cloison de produit genre vermiculite . Cordialement
👉 Pour recevoir « Mes fondamentaux pour des rénovations pertinentes » : formation.soigner-l-habitat.com/fondamentaux-ye/
🏡 Et si vous souhaitez faire appel à un Habitologue proche de chez vous : habitologue.com/ye
Je pense qu'il y a aussi une chose très importante à prendre en compte : le savoir faire
Il est hélas bien plus facile de trouver des artisans sachant travailler les matériaux "modernes"
C'est peut-être aussi pour ça que la rénovation de l'ancien a la réputation d'être chère
Mais si on a la capacité de se former (et la santé), alors faire soi-même ce genre de travaux procure une très grande satisfaction
Merci pour vos bons conseils Claude
François, si on considère que, parce qu'ils en vendent et posent beaucoup, les artisans maîtrisent bien les matériaux "modernes" alors vous avez raison.
Par contre, combien d'artisans qui posent des isolants fibreux les protègent avec un pare-vapeur, posé dans les règles de l'art ? … malheureusement très peu !!!
Merci pour votre vidéo (et les autres) qui tombe à pic : je suis justement entrain de refaire les joints de mon garage par des joints à la chaux. Il s'agit d'une pièce semi-enterrée (donc les murs sont légèrement humide mais en aucun cas problématique) non-chauffée (mais voisine à des pièces chauffées).
L'idée initiale était de faire un lait de chaux sur ces murs, mais j'envisageait d'isoler puisque même s'il n'est pas un lieu de vie, c'est un lieu de passage et que l'isoler permettrait de limiter les pertes de pièces chauffées et de gagner en confort. Néanmoins isoler un mur semi-enterré me met mal à l'aise par rapport à sa gestion de l'humidité et à son rapport investissement/temps/gain/énergie grise (35m² de mur tout de même). Est-ce qu'une correction thermique de 2-3cm permettrait de limiter les pertes des pièces voisines tout en continuant à bien gérer l'humidité du mur ? Ou il vaut mieux laisser le mur tel quel ?
Bonsoir je confirme tu a bien fait de faire cette vidéo je suis d'accord avec toi. Amicalement Noël Delwick
Bonjour, à la fin, tu parles de partager un lien de l'INA, est-ce que je l'aurai raté ? il ne semble pas être dans la description. Merci d'avance.
Bonjour et merci pour vos ouvrages et vos vidéos !
Dans mon cas personnel, un petit appartement parisien au rez-de-chaussée d'un immeuble du XVIIIe siècle dans un quartier gorgé d'eau ; les murs sont sains.
J'envisage d'isoler le mur Est : sur la rue, peu d'ensoleillement, j'imagine que les déperditions thermiques se passent beaucoup de ce côté-là.
Et d'appliquer une correction thermique type chaux-chanvre sur le mur nord : qui est commun avec un autre immeuble donc chauffé à priori / également une correction thermique sur le mur ouest, sur cour mais plus ensoleillée que le mur est / et également une correction sur le mur sud, qui donne sur le hall de l'immeuble (ouvert) et l'escalier de la cave.
Mon idée de combiner isolation du côté "froid" et correction sur les autres, vous semble-t-elle pertinente ? (également pour améliorer mon DPE, quoiqu'on en pense j'en aurai besoin si un jour je souhaite vendre)
Je vous remercie !
Rémi
Bonjour Claude
Petit sujet de vidéo 😁
Concernant la cohérence d’emploi entre les matériaux
Judicieux ou pas ?
Un exemple mettre un isolant bio sourcé et y placarder des plaques de plâtre cartonnées par dessus
Merci pour le partage
Oui, parfois les choix sont difficilement compréhensibles.
Bonjour, dans le cadre d'une cuisine (nécessite mur droit pour les meubles) d'une vieille maison en pierre, est-ce que coller des panneaux de liège (4-5cm) directement au mur puis coller du fermacell par dessus est pertinent ? Sans pare vapeur ?
Les autres murs seraient enduit en chaux chanvre, ce mur serait l'exception.
La réponse est à étage.
1) il faut renouveler l'air sérieusement, pour moi, renouvellement mécanique, on peut discuter des techniques, pas de la nécessité de s'y conformer.
2), ce qui doit être plan , ce n'est pas le mur, ça c'est une convention… pas très intéressante au plan glogal car, derrière un meuble, comment un mur peut-il se comporter bien ?
3) cette convention est très récente, il y a seulement 70 ou 80 ans, on n'envisageait pas une cuisine équipée mais des niches dans le volume, des placards avec seulement une façade… ce n'était probablement pas terrible thermiquement, mais les murs s'y comportaient très bien.
4) le support haut des placards du haut doit être bien conçu et mis en œuvre selon les besoins d'agencement. Il doit être complété d'une pièce d'appui située vers le bas des placards hauts,
5) dans l'idéal, il faudrait laisser cet espace bien ouvert aux plus d'air.
6) les meubles bas reposent sur le sol et le seul impératif est d'en assurer la continuité vis à vis de la paroi… îl faut donc, effectivement, "tabletter" une pièce (l'ajuster) qui assurera cette finition d'ordre visuel et ecthétique.
Pour moi, ces cuisines équipées, aussi tentantes qu'elles soient, sont par définition sources de problèmes.
Il faut de granbds professionnels, conscients de ce qu'ils vont engendre du fait de leur intervention… et ça se passera bien… à condition d'admettre qu'il faut renouveler l'air mécaniquement.
Merci beaucoup
Dommage qu'il n'y aucune insertion d'images ou de vidéos explicatives
Très peu de tutos sur cette chaîne, ici on ne se pose pas la question du comment ou du avec quoi, mais beaucoup de "pourquoi(s)".
Avant de demander au pharmacien combien de comprimés de tel médicament, le matin, le soir∞. On consulte son généraliste qui, lui, en fonction d'un contexte global, détermine ce qui sera le plus adapté au solutionnement de la pathologie constatée ou de celle dont on cherchera à se prémunir… Ça vous le trouverez ici, pas le dosage !
Bonjour Claude LEFRANCOIS 👋, j'adore le liège expansé. Pour moi, c'est le matériau parfait et non traité chimiquement
Merci pour ton avis, effectivement c'est sans traitement… maisn limité, très limité en terme de volume de ressource.
@@PapyClaude beaucoup de chênes-lièges ont été plantés ces dernières années, notamment en France. Le volume de ressources ne fera qu'augmenter. Je ne suis sponsorisé par personne, c'est juste mon avis
Le liège,oui j'ai isolé toute ma maison,soit 13mx10m et un étage a l'époque j'en avais eu pour 11000€ de liège,en 2009, hélas pour moi,j'ai eu des colonies de fournis qui on creusé des galeries,j'ai même récupéré de la poussière ,type café moulu ,donc je m'inquiète des dégâts, causés,nous avons traité,mais ne pouvons pas contrôler,les murs,sont aglos de 20 plus 10 de polystyrène a l'intérieur, 10cm liège, plus habillage pierres calcaires maçonnées chaux, coulis de béton entre liège et pierres soit, 60 cm épaisseur, je ne recommencerai jamais si non il faudrait traiter le liège d'après un spécialiste venu sur place les fourmis seraient portugaises race inconnue ici,ben,plus maintenant,je n'en vois plus aucune mais elles avait commencée de bouffer les poutres en douglas 12x24 de ma dalle vide sanitaire,
@@bernardmichel4935 bonjour, s'agit-il de liège naturel ou expansé ?
Le liège expansé est obtenu par chauffage à la vapeur (300 degrés celsius). Les fournis ne peuvent pas survivre.
@@coach-travaux-electricite expensé, plaque de 100x50x10,les fourmis sont certainement venue lors du stockage, en tout cas ,j'ai encore une plaque démontée lors d'une création d'ouverture,on voit bien les galeries créés
Bonjour. La société qui a posé notre correcteur chaux chanvre recouvert d’un enduit chaux sable a mis 12cm de chaux chanvre et 2 ou 3 cm d’enduit chaux sable sur bâti ancien 1830 en pierres . Trop? Le chaux chanvre a mis de 6 mois à 12 mois à sécher car maison non habitée, pas encore chauffée et météo très pluvieuse …
C'est une épaisseur qui permet de recouvrir la structure en bois qui maintien le tout, si c'est cette option qui a été choisie.
De plus, il faut parfoit en passer par la pour rattraper certains defauts du mur.
Moi ça ne me choque pas, mais pour ne parler que côté thermique, 5cm d'epaisseur font 80% du boulot, le reste n'est finalement qu'option !
C'est une erreur très souvent constatée : les sociétés veulent atteindre un R assez élevé, alors que ce n'est pas l'épaisseur (et donc le R atteint) qui détermineront si le choix est pertinent.
Je le redis, 4 à 6 cm suffisent à assurer unn confort très intéressant, mette plus épais (et vous en êtes malheureusement la preuve, vous le vivez chez vous), surtout si absence d eventilation (ce que je poressens comme probable chez vous).
Attendu que nous vivons actuellement, dans de multiples régions françaises, dans un climat à tendance tropicale (chaleur + vapeur d'eau en excès dans l'air), la seule solution pour vous sera probablement, dans un 1er temps, un assécheur d'air et, si nous retrouvons un climat plus favorable, un renouvellement d'air permanent… y compris en votre absence!!!
Il nous faudra nous adapter aux changements climatiques et savoir ne pas nous comporter avec ces correcteursv thermiques comme avec des isolants… ces matériaux n'ont pas grand chose de commun…
@@PapyClaude bonjour. La sté était pourtant spécialisée dans le chaux chanvre …Nous avons fait installer une ventilation mécanique à la fin des travaux de projection de chaux chanvre et avant la pose de l’enduit de finition, fait poser de nouvelles huisseries double vitrage avec entrée d’air sur certaines. Le confort est là mais le temps de séchage a été une vraie et longue source de stress et quelques surprises au final: impossible d’accrocher tringles à rideaux ou étagères :-( nous n’y avions pas pensé ) donc pas prévu de fermacel sauf dans cuisine et salle d’eau oufff
Bonjour, peut-on mettre un poele à bois devant un correcteur thermique sans risque d'incendie?
Merci Claude pour cette vidéo instructive. Pour avoir fait les deux mises en œuvre (chaux-chanvre + badigeon ou enduit ET isolation laine de bois + placo), je vois deux avantages à la seconde solution pour moi.
Premièrement, la gestion des réseaux et des boitiers électriques dans une lame d'air séparée du parement final ; personnellement je trouve cela hyper-confortable de bosser ainsi et cela garanti mon étanchéité à l'air.
Deuxièmement, la souplesse dans la gestion du temps en travaillant des matériaux secs (quand on bosse à côté, qu'on a des enfants, etc...) : savoir que l'on peut bosser seul et s'arrêter à tout instant.
J'ai trouvé une solution intermédiaire pour mon bâti ancien : un chaux chanvre banché (très maigre pour diminuer la quantité de chaux), sur 7 ou 8 cm. Cela permet d'avancer bétonnière par bétonnière, de s'arrêter et reprendre le lendemain si besoin ou si mes filles commencent à s'entretuer 🙂...! Et pour le coin cuisine et salle de bain j'ai réalisé une lame d'air de 4 cm pour passer mes réseaux avant le placo de finition. Ailleurs c'est un enduit chaux ou terre en finition. Le tout est à la fois agréable à vivre et pratique dans les pièces techniques.
Merci de votre témoignage : comme toujours, c'est la bonne solution au bon endroit, bien réalisée par celui qui œuvrera.
La vidéo n'a pas pour objet de dire que le correcteur serait mieux car moins couteux, mais surtout que, non, pas d'idée préconçue, si une isolation et les parements qui en résultent sont bien réalisés, alors la question du coût réel n'est pas forcément baussi simple à appréhender que ce qui nous est trop souvent expliquer.
par ailleurs, le fait d'auto-réaliser change bien sûr la donne…
Bonne suite dans vos travaux… je suis assez serein pour ec quyin vous concerne : choix raisonnés et étuidiés en amont… la bonne approche !
Très intéressant!
Si j’ai bien tout compris, tu as tout enduit de 7/8cm en banché? Et mis du placo avec léger « vide sanitaire » uniquement dans les endroits plus techniques? Pas de pare-vapeur?
Bonjour Claude,
Je ne comprends pas cette histoire de remettre du minéral sur un béton de chanvre.... L'on perd beaucoup du bénéfice effet paroi chaude.
Je suis artisan posant du chaux chanvre, n'oublie pas le piquetage et évacuation des gravats avant la projection du chaux-chanvre.
Je perd beaucoup de chantier à cause du fait de retirer les vieux plâtre et le temps de séchage.... Un poseur d'élément sec ne retire jamais les vieux parements.
Je réserve les enduits dit lourd sur des mur de refend plutôt mais en périphérique je préfère grandement laisser le végétal jusque la finition. Aucun végétal autre que la chènevote n'est aussi performant point de cue changement de phase. Ne pas oublié le prix de la chaux dans un mélange chaux-chanvre qui en est le principal coût et suivant ton dosage cela double la quantité de chaux suivant l'application manuel ou projeté.... Et aussi le bénéfice d'un mélange moins dosé en chaux....
J'aimerais grandement discuter avec toi de ce sujet pour que tu prenne connaissance de mes retours chantiers.
Si tu veux me contacter. Je suis ouvert à l'échange.
Bien à toi
Alex
Salut CLAUDE bon mercredi soir 🙂 je partage 🙂 /alex
je vois qu'on compare à nouveau des pommes et des poires
oui poser une isolant est surement + cher qu'un correcteur thermique, le gain aussi.
Pour paraphraser mon regreté formateur associatif, on ne pose pas un isolant pour faire "le moins cher", si vous cherchez la solution la moins chère, allez appuyer sur le bouton éteindre de votre chaudière.
la comparaison des couts n'a de sens que sur la durée de vie du bâtiment... combien permet d'économiser le correcteur ? cela fait un certain montant sur 50 ans.
combien permet d'économiser un isolant passif ? 15000 kWh/an environ x 50 ans x 0,1€/kWh pour être sympa = 75000€, ciout ~25000€ = économie net = 50 000€ (et je n'ai pas couté le gain de ne plus avoir besoin de chaudière ni de l'entretenir)
le correcteur thermique doit donc avoir un gain supérieur à 50 000 € pour être - cher... je vous laisse mettre vos chiffres pour une maison (j'ai pris 112m2 habitable, la moyenne en France)
Effectivement, on ne dot jamais comparer les tprchons et les serviettes… l'important est de savoir que, pour la toilette corporelle, le plus efficace est la serviette de toilette et pour la vaisselle, c'edsst le torchon.
Donc, san paraphraser qui que ce soit, l'important est, d'abord, de savoir à quoi on s'attaque.
On ne devrait pas aborder sous le seul aspect du coût, si je l'ai fait c'est pour démystifier des affirmations aussi simplistes que la belle démonstration que vous venez de faire… Ce qui prime et primera toujours c'e'st quel besoin, pour quel usage en quel lieu et avec quelles contraintes et avantages (au pluriel, tant les contraintes que les avantages).
En effet, ne serait-ce que si nous prenons en compte le prix au m2 de la surface habitable, 112 m2 habitable, c'est environ 110 m2 de murs extérieurs, à raison d'une hauteur sous plafond de 2,50m, ce qui nous donne environ 44 mètres linéaires… si, sur ces 44ml je mets 12 cm de plus en épaisseur (si toiut est bien fait, y compris le pare-vapeur qui, comme on sait, doit être jointoyé, raccordé à la structure, non percé et non déchiré…), on voit la surface réelle baisser de 44 x 0,12 = 5,18 m2 !
… à raison de 3000€/m2, nous voilà, selon votre approche, avec une perte de 15840€… je vous laisse faire les calculs pour les zône plus tendues en prix au m2…
Rien n'est jamais aussi simple qu'on voudrait nous le faire croire…
Quand à affuirmer qu'en isolant on fait l'économie d'une chaudière, c'est une supposition sur laquelle je vous souhaite bon courage, car alors, il faudrait que la maison soit de niveau BBC… ce qui correspond à un très faible pourcentage des habitats et, pour y parvenir, il faut isoler beaucoup plus, donc consommer plus de matériaux (ce qui défavorise sotre approche) et plus d'épaisseur, ce qui "m&ange" encore un peu plus de surface et donc va encore défavoriser votre approche.
Par contre, selon le type de murs, il est évident que, parfois, il est beaucoup plus judicieux d'isoler que de se contenter d'un correcteur thermique…
A mon avis, ce qu'il faut retenir de tout cela, c'est qu'il n'éxiste pas de solution universellement supérieure, encore moins si on regarde sous tous les aspects, par contre et pour chaque couple habitat/habitat, il y a généralement plusieurs options possibles… seule une analyse en amont, réalisée par quelqu'un qui n'a aucun intérêt à privillégier une solution ou une autre, permet d'opter pour ce qui, nous l'espérons, sera le plus pertinent…
@@PapyClaudeJe trouve que c’est bien plus simpliste dans le mauvais sens du terme de ne parler que des coûts comme vous le faites (oui, faire moins est moins coûteux mais ce n’est pas pour cela que c’est mieux) comparé à une évaluation coût-bénéfice (combien, à terme, le surcoût permet d’apporter en termes de bénéfices économique et environnementaux).
Vous avez bien raison de parler du coût caché de l’isolation par l’intérieur due à la perte de surface habitable, mais vous vous trompez de destinataire : non seulement 2-3 cm de correcteur thermique, c’est aussi 1 m² de surface habitable perdue (en plus de la surface du local technique éventuel pour le chauffage), mais en plus, un logement passif est principalement isolé par l’extérieur, donc aucune perte de surface habitable. C’est donc l’arroseur arrosé avec encore un argument de plus en défaveur du non-passif. Et hormis quelques cas de niche (la façade du rez-de-chaussée pour les maisons de ville, les bâtiments classés), tous les autres logements sont possibles en passif (je vous conseille le livre sur Be.passif et les exemples de rénovation passive qu’il contient).
Merci pour le courage dont vous pensez que j’ai besoin pour vivre la réalité d’un logement passif (le passif ce n’est pas du BBC) sans chaudière. Je vois que vous allez jusqu’à mettre en doute la réalité vécue par d’autres. Il est possible de visiter des logements passifs lors des "Journées Européennes des Maisons Passives" en novembre.
Vous avez raison que l’isolation d’un logement passif utilise plus de ressources pour l’isolation, ce qui est plutôt un avantage par rapport à la combustion dans un logement non-passif pour peu qu’on utilise des matériaux biosourcés (et même idéalement des matériaux biosourcés à cycle court tels que la paille) : j’estime à environ 54 tonnes de CO2 séquestré (ce qui a une valeur de 5400 € si on veut ne parler que des coûts) dans l’isolation passive. J’ai du mal à comprendre comment vous trouvez préférable une solution qui rejette x tonnes de CO2 tous les ans tout en ayant séquestré moins de carbone.
J’entends que vous vendez votre prestation d’analyse au cas par cas, sans jamais arriver à démontrer un cas où le correcteur se révèle supérieur à long terme, hormis le fait qu’il coûte moins cher comme investissement initial, sans que le gain initial ne se pérennise à long terme.
Dommage que vous n’ayez pas mis de chiffres à propos des coûts/gains d’un logement "correcteur thermique". Je me risque à le faire, avec le risque d’erreur dû à ma faible maîtrise de cette "solution". N’hésitez pas à corriger :
110 m² de murs extérieurs à 30 € main-d’œuvre + 20 € de matériaux = ~5500 € pour les murs
5000 € pour l’isolation sommaire du toit
5000 € pour la perte de 1 m² habitable due au correcteur thermique
5000 € pour la surface perdue par la chaudière et les radiateurs éventuels
2000 € pour l’installation du chauffage sur 50 ans, en étant optimiste
Coût total : 22 500 €, soit à peine 10 % moins cher que le passif.
Diminution de la consigne de chauffage de 3 °C pour un confort thermique équivalent, soit 3 * 6-7 % = ~20 % sur la consommation. Consommation moyenne d’un logement : 15 000 kWh 3000 €/an.
Gain sur le chauffage : 20 % de 3000 €/an = 600 €/an ou 30 000 € sur 50 ans.
Gain net sur 50 ans : 30 000 € - 22 500 € = 7 500 €.
Donc, sauf correction de votre part, on a donc sur 50 ans :
- Le correcteur thermique qui permet d’économiser 7 500 €, pour un investissement initial 10 % moins cher que le passif.
- Le passif qui permet d’économiser 50 000 €, séquestre le plus de carbone, émet le moins de GES, et offre le meilleur confort.
Conclusion :
Autant se limiter au correcteur thermique est moins cher à court terme, autant il est une solution insuffisante pour le climat et ruineuse économiquement comparée au passif à long terme.
2 500 € de surcoût du passif par rapport au correcteur thermique, mais 42 500 € d’économies supplémentaires à long terme. Je n’ai encore rien vu de plus intéressant comme investissement dans l’avenir et je pense qu'il faudra du courage à ceux qui "décidé" d'investir 10% de moins que nécessaire, c'est un choix qui va faire mal tant financièrement que niveau climat, le prix de l'électricité a pris déjà pris 70% depuis mon projet de rénovation passive
@@MarcMarc-cf9mq Est-ce possible en rénovation de bâtiment ancien d’obtenir réellement un habitat passif? Comment faire d’une belle longère en pierre de pays un habitat passif?
@@avkou100l7 Pour la première question, oui c'est possible en rénovation, c'est ce que j'ai fais, qui plus est sur une maison mitoyenne de ville avec un balcon (un sacré pont thermique à résoudre en rénovation).
Pour la 2ieme question, ce serrait en effet merveilleux de pouvoir garder le charme de la pierre du pays... soit vous isolez par l'extérieur (il existe des parements assez réussit imitant la pierre mais cela ne serra évidement pas la même chose), soit vous isolez par l'intérieur (et perdez des m2 habitable souvent précieux et couteux), soit vous ne faite rien (et perdez l'humanité au sens des morts climatiques). c'est un choix qui vous revient, je ne peux décider pour vous même si pour ma part, une belle bâtisse dans un monde qui crame, cela n'est à mon avis pas pertinent.
Merci une fois de plus pour vos vidéos !
Nous venons de faire faire un "audit énergétique" par "mon Assistant Renov'" du groupe EFFY, dans le détail de ce compte rendu, l'auditeur a indiqué des murs en pierres de taille type moellon, mais avec des dimensions de 23 et 25 cm ! Hors, nos murs extérieurs ont une épaisseur entre 45 et 60cm d'épaisseur !
Comment peut on faire des calculs de correction thermique sérieux sur logiciel informatique en entrant des paramètres aussi différents que la réalité ?
Nous avons choisi l'isolation intérieure pour plus de tranquillité de travaux car notre maison nouvellement acquise se trouve en zone du Parc Naturel Régional du Vexin français.
La mode des pompes à chaleur fait que cet audit nous retourne 2 scénarii proposés avec une PAC, sachant que nous désirons installer une "chaudière bois".
Pour ces gens là, ce n'est pas une correction thermique qui s'impose, mais une correction cul nu fessée sérieuse !
pas de chiffre que du blabla. On parle technique, il faut des graphiques des valeurs des tests pas juste du ressenti.
Pour agir sur la façade, la question de l'enduit ou de l'ite se pose.
Cas d'une maison ancienne avec enduit ciment (donc à enlever).
Pas besoin de pare vapeur en ITE, mais de tout le reste qui est mentionné dans la video.
Quid du temps de séchage de l'enduit ? Car il faut faire plusieurs passes et l'échafaudage reste en place pendant tout ce temps...
Le prix (public) des enduits correcteurs thermiques est affreusement élevé (hors enduit de finition) pour R=0.7 en fourniture;
Isol'argilus (lambda 0.06): 50€/m2
Soliege (0.039) 200€/m2
Thermotilia (0.09) 87€/m2
Hagatherm light (0.045)27€/m2
Enduit aerogel (haga ou fixit 222) (0.028) 200€/m2
Est ce plus économique de faire le mélange sur place ?
Quid du lambda dans ce cas ?
Une fois de plus, cessons de nous "masturber" les méninges avec le lambda… ou alors allons-y, mais avec une option correcte ÷ œpter pour un véritable isolant, ce que ne sera jamais un enduit correcteur thermique. Un isolant n'est pas un mélange de liant et d'agrégat à bon lambda, ça c'est un correcteur thermique, si on choisit l'isolant, on y va clairement mais on cesse d'imaginer qu'un même produit fera les deux à la fois car cela ne présente strictement aucin intérêt, cessons de tomber sous les dictats des injonjctions de faire et, même si la réalisation d'un correcteur thermique n'est pas donnée, elle est à comparer à toutes les phases décrites dans la vidéo, nécessaires à la réalisation finale d'une isolation…
Un certain temps ...
Mais un temps certain😊
Il ne faut travailler en si forte épaisseur, ça ne sertb à rien, sauf à s'exposer à des problèmes…
Comme disait Coluche, qd les politiques ont fini de te répondre, tu ne sais plus la question que tu as posé, Papy Claude c'est pareil, tu lui demandes qu'est ce qui serait le mieux pour isoler mes combles ? au bout d'un 1/4h tu décroches et tu pars à Leroy Merlin pour demander conseils et passer ta commande
De toute façon les vendeurs veulent vendre le plus cher possible
Ils vendent ce qui leur apporte la plus forte marge en priorité.
D'où l'intérêt de savoir à l'avance ce qu'on veut parce que c'est ce dont on a besoin.
Bonsoir monsieur,
j'ai découvert récemment votre chaine a laquelle je me suis abonné, je suis trés interessé par les problématiques d'isolation et je souhaiterai votre avis conçernant ma maison.
C'est une construction des années 70 en briques de 20 cm avec contre cloison en briquettes de 3 cm séparée par un vide d'environ 4 cm, le toit est un 4 pans, les combles perdus avec solives espacées d'environ 50 cm auquelles sont accrochées des briquettes qui constituent le plafond de la maison.
J'ai posé 20 cm de laine de verre entre les solives complété avec 10 cm qui recouvre le tout, le lambda est de 32. Lensemble des ouvertures est en double vitrage et j'ai une VMC simple flux hygro.
Que pourrais je améliorer, et par exemple, serait-il intéressant de remplir la contre cloison de produit genre vermiculite .
Cordialement