Je n'imagine pas écrire un roman en me dispensant d'un découpage par chapitres. Ma motivation rejoint votre analyse. Il se trouve que je viens de lire un roman qui puisait son "originalité" dans cette absence de repères. Le récit ne m'a pas enthousiasmé. Pourtant, il m'avait été présenté comme un chef-d’œuvre, précisément en raison de cette disposition. Je m'interroge sur cette forme de snobisme qui consiste à rendre une lecture confuse par des artifices de "m'as-tu vu". Chacun sait que le lecteur déçu est coupable puisqu'il n'est pas apte à grimper l'olympe où trône une œuvre géniale...
Je n'imagine pas écrire un roman en me dispensant d'un découpage par chapitres. Ma motivation rejoint votre analyse.
Il se trouve que je viens de lire un roman qui puisait son "originalité" dans cette absence de repères. Le récit ne m'a pas enthousiasmé. Pourtant, il m'avait été présenté comme un chef-d’œuvre, précisément en raison de cette disposition.
Je m'interroge sur cette forme de snobisme qui consiste à rendre une lecture confuse par des artifices de "m'as-tu vu". Chacun sait que le lecteur déçu est coupable puisqu'il n'est pas apte à grimper l'olympe où trône une œuvre géniale...
quel était ce roman ? Je suis curieuse :-)
@@georgiaterzakou92 Ah ! C'est bien parce que c'est vous !😃"Sisyphe" (Éditions Inculte)