Parler de "cohésion sociale" tout en ignorant royalement le groupe ethnique majoritaire du Sénégal, les Wolofs avec 43%, c'est plutôt se tromper soi-même. Pire, vouloir sortir les Lebou de leur groupe naturel qu'est le Wolof est une entreprise vouée d'avance à l'échec
EN DEHORS DE LA LÉGENDE D’AGUÉNE ET DIAMBOGNE RIEN NE LIENT LES DIFFÉRENTES ETHNIES SERERE ET LES DIFFÉRENTES ETHNIES DIOLA ! En dehors de la légende Aguéne et Diambogne , il serait quasi impossible de citer des faits historiques et des relations culturelles historiques qui lient les différentes ethnies Diola et et les différentes ethnies Sérére ? Les différentes ethnies Séreres ne sont ils pas plus apparentées, n’ont-ils pas plus d’affinités culturelles et historiques avec les - mandingues ( Niominka) , - les Wolofs (Baol Baol, Mbalonjaafen et Lebou) qu’avec les différentes ethnies Diolas ! Les différentes ethnies Diola n’ont-elles pas une plus grande proximité historique culturelle avec les Mandingues ( Sedhiou, fogny) qu’avec les différentes ethnies Séréres ! Les terroirs Diolas et Serere ne sont point contigus et les deux peuples ne sont pas voisins ils sont séparés par le fleuve Gambie dont les rives sont peuplées par les mandingue La société serere surtout du Sine est hiérarchisée comme celles des Wolof mandingue et toucouleur contrairement à la société acéphale diola Les serere ont des emprunts linguistiques réciproques avec les toucouleur et non avec les Diola .
C’est honteux cette ethnocentrisme qui risque de compromettre l’Etat nation donc les wolofs,les mandingues ,Sarakhoulé sont exclus? Cette cousinage à plaisanterie n’est pas pour fédérer mais diviser les Sénégalais
C'est scandaleux de parler de cohésion sociale et consolidation de la nation sénégalaise en omettant intentionnellement les Wolofs qui sont majoritaires dans ce pays? De toutes les interventions personne n'a même pas eu le lapsus de prononcer le mot Wolof.
Comment peut-on détacher les Lébous des Wolofs ? Est-ce peut-être pour justifier ce Wolof utilisé? De grâce travaillons véritablement à l'édification inclusive d'une grande nation sénégalaise.
LES LEBOU ALIBI DES WOLOPHOBES Extrait de l’ouvrage d’Étienne SMITH , La nation «par le côté» - "Le récit des cousinages au Sénégal", (pp. 907-965), 2006-Cahiers d'Études africaine. « Le récit de l’ethnogenèse de la nation sénégalaise que ces entrepreneurs cousinages proposent, ne donne que peu de place aux Wolof... L’ethno-histoire LÉBOU est en revanche valorisée, car elle permet de présenter une coexistence à égalité entre petites patries que la prise en compte du méta-récit wolof ne permettrait pas. Marcel Mahawa Diouf insiste sur l’alliance de toutes les communautés non wolof : «Et d’ailleurs tous ceux dont la “langue fourche”, Sérères, Toucouleurs, Sarakolés, Sossés... sont des alliés.» Cette déconnexion du label wolof des ethno-histoires voisines est d’autant plus frappant qu’il existe bien un corpus de mythes disponibles, comme celui de Njaajaan Njaay, qui permettrait de connecter le label wolof aux labels «haalpulaar » et «serer». Dans ce récit de la nation sénégalaise comme alliance «ancestrale» des petites patries éthniques, ce sont donc ces groupes périphériques qui émergent comme les véritables agents de l’histoire. Le Wolof n’est jamais présent comme identité distincte, mais uniquement comme langue ou comme produit final et incontrôlé de cette histoire. une sorte de produit hybride de tous ces croisements, vidé de toute substance historique propre et pérenne. »
LES WOLOFS EXCLUS DU ROMAN NATIONAL PAR LE BIAIS DES COUSINAGES À PLAISANTERIE extrait de l’ouvrage de Étienne Smith ......Une même appréciation critique peut être portée à l'égard du récit des cousinages au Sénégal, en soulignant les absents de la représentation de la nation qu'il propose. Il est aisé de constater que le grand absent des livres de Saliou Sambou ou Marcel Diouf et de ces journées culturelles dans les terroirs ce sont bien « les Wolof ». Lors des journées culturelles où se « montrent » les composantes de la nation, où les associations d'« ethnies » cousines s'invitent mutuellement, il n'y a pas de représentant de l'ethnicité « wolof » identifié comme tel. Par exemple aux Journées culturelles de Ndef Leng, aux Festivals des origines, aux Journées culturelles haalpulaar de Ndioum ou de Thilogne, le public (et même les délégations ministérielles) est majoritairement composé de représentants des communautés non wolof. De fait l'invitation et les visites réciproques entre les trois groupes cousins par transitivité (Joola-Serer-Haalpulaar) se sont étendues, avec plus ou moins de succès, aux délégations manding, balante, lebu, laobé, mankagne, bassari, etc. Certes le cousinage ethnique (résumé dans sa trinité Haalpulaar-Serer-Joola) n'inclut pas en effet « les Wolof » en tant que groupe, tandis que le vaste réseau des kal entre patronymes les inclut. Si « les Wolof » sont les seuls qui n'ont pas « leurs » journées culturelles, parce que le récit ne les constitue pas en tant que tels, en patrie ou en ethnie, contrairement aux patries « périphériques »,*
Bëgga wax jàmmoo ak xajoo ci senegaal ci mbirum waaso ba noppi bëgga beddi wolof yi nga xam ne 53/100lañu ci réew mi loolu man naa jur féewaloo ak beddanté ci wallu xeet ci senegaal, te nun WOLOF du nu nangu kenn di naaxsaayal walla di beddi xeetu wolof ak culture wolof ci senegaal, seen Cousinage bi bu dee boole moo ko taxa jug lu tax ngeen di beddi wolof yi nga xam ne ñooy majorité ci senegaal, lu tax ngeen boole ci benn pàcc ci wolof yi mooy lébu yi ngir bëgga taqale lébu ak wolof te loolu du ngeen ci masa am ndam.
C’est du n’importe quoi comment on peut parler de cohésion sociale en omettant le groupe ethnique majoritaire qui est le Wolof et le pire dans tout ça c’est de vouloir faire une distinction entre le wolof et le lebou 😂
Likay c pas pour la paix c la division. Et puis les lebous sont des wolofs vous avez l’intention de séparer les wolofs et les lebous avec vos fausses histoires de cousinages
Pouvez-vous organisser des festival et le donner de n'importe quel nom mais ce qui est sûr n'est pas pour un union de la paix pask vouloir invité les lébous à la place de wolof généralement on es compri ce jeux c juste difusé pour mieu régner mais vous savez bien que cousinage à la plaisenterie ici au sénégal c pour les wolof, seul les wolof disent, sama peul bi, sama naar bi, sama séeréer bi, ainsi de suite.
C'est scandaleux ce que ce professeur faits par ce que y'a pas que c'est ethnique qui sont au Sénégal dont les wolof sont majoritaires y'as aussi les mandingue les soninké les sarakhoule ect
Lii RTS warukoo namgu
Parler de "cohésion sociale" tout en ignorant royalement le groupe ethnique majoritaire du Sénégal, les Wolofs avec 43%, c'est plutôt se tromper soi-même.
Pire, vouloir sortir les Lebou de leur groupe naturel qu'est le Wolof est une entreprise vouée d'avance à l'échec
EN DEHORS DE LA LÉGENDE D’AGUÉNE ET DIAMBOGNE RIEN NE LIENT LES DIFFÉRENTES ETHNIES SERERE ET LES DIFFÉRENTES ETHNIES DIOLA !
En dehors de la légende Aguéne et Diambogne , il serait quasi impossible de citer des faits historiques et des relations culturelles historiques qui lient les différentes ethnies Diola et et les différentes ethnies Sérére ?
Les différentes ethnies Séreres ne sont ils pas plus apparentées, n’ont-ils pas plus d’affinités culturelles et historiques avec les
- mandingues ( Niominka) ,
- les Wolofs (Baol Baol, Mbalonjaafen et Lebou)
qu’avec les différentes ethnies Diolas !
Les différentes ethnies Diola n’ont-elles pas une plus grande proximité historique culturelle avec les Mandingues ( Sedhiou, fogny) qu’avec les différentes ethnies Séréres !
Les terroirs Diolas et Serere ne sont point contigus et les deux peuples ne sont pas voisins ils sont séparés par le fleuve Gambie dont les rives sont peuplées par les mandingue
La société serere surtout du Sine est hiérarchisée comme celles des Wolof mandingue et toucouleur contrairement à la société acéphale diola
Les serere ont des emprunts linguistiques réciproques avec les toucouleur et non avec les Diola .
Lii ay tapalé La Ana wolof Ana Soo sé Ana Barbara Ana saraxolé Ans Niaago AK yenéén AK yenéén
C’est honteux cette ethnocentrisme qui risque de compromettre l’Etat nation donc les wolofs,les mandingues ,Sarakhoulé sont exclus? Cette cousinage à plaisanterie n’est pas pour fédérer mais diviser les Sénégalais
En tout cas nous les lebous nous sommes des wolofs etn'avons aucun lien de cousinage abec lez diolas et sereres
C'est scandaleux de parler de cohésion sociale et consolidation de la nation sénégalaise en omettant intentionnellement les Wolofs qui sont majoritaires dans ce pays? De toutes les interventions personne n'a même pas eu le lapsus de prononcer le mot Wolof.
Comment peut-on détacher les Lébous des Wolofs ? Est-ce peut-être pour justifier ce Wolof utilisé? De grâce travaillons véritablement à l'édification inclusive d'une grande nation sénégalaise.
Amazing, very interesting!
LES LEBOU ALIBI DES WOLOPHOBES
Extrait de l’ouvrage d’Étienne SMITH , La nation «par le côté» - "Le récit des cousinages au Sénégal", (pp. 907-965), 2006-Cahiers d'Études africaine.
« Le récit de l’ethnogenèse de la nation sénégalaise que ces entrepreneurs cousinages proposent, ne donne que peu de place aux Wolof...
L’ethno-histoire LÉBOU est en revanche valorisée, car elle permet de présenter une coexistence à égalité entre petites patries que la prise en compte du méta-récit wolof ne permettrait pas.
Marcel Mahawa Diouf insiste sur l’alliance de toutes les communautés non wolof : «Et d’ailleurs tous ceux dont la “langue fourche”, Sérères, Toucouleurs, Sarakolés, Sossés... sont des alliés.»
Cette déconnexion du label wolof des ethno-histoires voisines est d’autant plus frappant qu’il existe bien un corpus de mythes disponibles, comme celui de Njaajaan Njaay, qui permettrait de connecter le label wolof aux labels «haalpulaar » et «serer».
Dans ce récit de la nation sénégalaise comme alliance «ancestrale» des petites patries éthniques, ce sont donc ces groupes périphériques qui émergent comme les véritables agents de l’histoire.
Le Wolof n’est jamais présent comme identité distincte, mais uniquement comme langue ou comme produit final et incontrôlé de cette histoire. une sorte de produit hybride de tous ces croisements, vidé de toute substance historique propre et pérenne. »
Waaw, bu lebu bokke ak pël nday, lu mu wàr a bokk ak wolof waay?
LES WOLOFS EXCLUS DU ROMAN NATIONAL PAR LE BIAIS DES COUSINAGES À PLAISANTERIE
extrait de l’ouvrage de Étienne Smith
......Une même appréciation critique peut être portée à l'égard du récit des cousinages au Sénégal, en soulignant les absents de la représentation de la nation qu'il propose.
Il est aisé de constater que le grand absent des livres de Saliou Sambou ou Marcel Diouf et de ces journées culturelles dans les terroirs ce sont bien « les Wolof ».
Lors des journées culturelles où se « montrent » les composantes de la nation, où les associations d'« ethnies » cousines s'invitent mutuellement, il n'y a pas de représentant de l'ethnicité « wolof » identifié comme tel.
Par exemple aux Journées culturelles de Ndef Leng, aux Festivals des origines, aux Journées culturelles haalpulaar de Ndioum ou de Thilogne, le public (et même les délégations ministérielles) est majoritairement composé de représentants des communautés non wolof.
De fait l'invitation et les visites réciproques entre les trois groupes cousins par transitivité (Joola-Serer-Haalpulaar) se sont étendues, avec plus ou moins de succès, aux délégations manding, balante, lebu, laobé, mankagne, bassari, etc.
Certes le cousinage ethnique (résumé dans sa trinité Haalpulaar-Serer-Joola) n'inclut pas en effet « les Wolof » en tant que groupe, tandis que le vaste réseau des kal entre patronymes les inclut.
Si « les Wolof » sont les seuls qui n'ont pas « leurs » journées culturelles, parce que le récit ne les constitue pas en tant que tels, en patrie ou en ethnie, contrairement aux patries « périphériques »,*
C’est ca la division ce festival est pour ecarter les Wolofs etbles separer des lebous
Bëgga wax jàmmoo ak xajoo ci senegaal ci mbirum waaso ba noppi bëgga beddi wolof yi nga xam ne 53/100lañu ci réew mi loolu man naa jur féewaloo ak beddanté ci wallu xeet ci senegaal, te nun WOLOF du nu nangu kenn di naaxsaayal walla di beddi xeetu wolof ak culture wolof ci senegaal, seen Cousinage bi bu dee boole moo ko taxa jug lu tax ngeen di beddi wolof yi nga xam ne ñooy majorité ci senegaal, lu tax ngeen boole ci benn pàcc ci wolof yi mooy lébu yi ngir bëgga taqale lébu ak wolof te loolu du ngeen ci masa am ndam.
Tappale baaxul
C’est du n’importe quoi comment on peut parler de cohésion sociale en omettant le groupe ethnique majoritaire qui est le Wolof et le pire dans tout ça c’est de vouloir faire une distinction entre le wolof et le lebou 😂
Likay c pas pour la paix c la division. Et puis les lebous sont des wolofs vous avez l’intention de séparer les wolofs et les lebous avec vos fausses histoires de cousinages
Ceci est très grave
Pouvez-vous organisser des festival et le donner de n'importe quel nom mais ce qui est sûr n'est pas pour un union de la paix pask vouloir invité les lébous à la place de wolof généralement on es compri ce jeux c juste difusé pour mieu régner mais vous savez bien que cousinage à la plaisenterie ici au sénégal c pour les wolof, seul les wolof disent, sama peul bi, sama naar bi, sama séeréer bi, ainsi de suite.
Bu lebu bokkee ak pël nday, lu mu bokk ak wolof nag?
C'est scandaleux ce que ce professeur faits par ce que y'a pas que c'est ethnique qui sont au Sénégal dont les wolof sont majoritaires y'as aussi les mandingue les soninké les sarakhoule ect
Léébu nangu ñu génnee li ci wolof, def nga lu neexul say maam