Traduction mélodique de : Qurent tregwa gg zriw (Taries, les rigoles de mes yeux) Les larmes de mes yeux, taries L'ictère dans mon visage, installé Ô cœur, te soulager avec quoi Pour que tu ne me l'évoques pas Ma jeunesse, tu l'as asséchée Mon âge, perverti Je rêve de celle à qui je déplais Je suis mes mauvais instincts Aucun lot, je n'ai pris De l'ivraie ou du bon grain Ah, si j'avais engendré, au moins Même paumé, mère apaisée Moi, qui la bonne voie dédaignant Comment pourrai-je avancer Chaque col, de tir, a besoin Moi, je n'ai plus de munitions Comment l'appeler, amour La crue qui m'a emporté Je n'y ai trouvé aucun goût Gauche, droite, c'est un dégoût Suivant mon premier élan Par convoitise, entraîné Comme ceux de mon âge, engendrer La fin m'ayant joué un tour N'étant pas conscient Et, surpris, très cher payant Quand je regarde le passé Je revois ce qui m'a laissé Si j'avais su me presser Je récolterais dans les temps Ô cœur, nous vivrons comment Tous les deux, mourir Dompter dépit et soupirs La vieillesse nous poussant Tel un vieux ballon Aux mailles usées, éclatées. N.B : Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
14/05/2023 qu'il repose en Paix notre légende 😥😥☮️♓♥️
A nagh a rebiiiiii 😭😭😭 Farej , paix à ton âme a yizemmmmm
Traduction mélodique de : Qurent tregwa gg zriw (Taries, les rigoles de mes yeux)
Les larmes de mes yeux, taries
L'ictère dans mon visage, installé
Ô cœur, te soulager avec quoi
Pour que tu ne me l'évoques pas
Ma jeunesse, tu l'as asséchée
Mon âge, perverti
Je rêve de celle à qui je déplais
Je suis mes mauvais instincts
Aucun lot, je n'ai pris
De l'ivraie ou du bon grain
Ah, si j'avais engendré, au moins
Même paumé, mère apaisée
Moi, qui la bonne voie dédaignant
Comment pourrai-je avancer
Chaque col, de tir, a besoin
Moi, je n'ai plus de munitions
Comment l'appeler, amour
La crue qui m'a emporté
Je n'y ai trouvé aucun goût
Gauche, droite, c'est un dégoût
Suivant mon premier élan
Par convoitise, entraîné
Comme ceux de mon âge, engendrer
La fin m'ayant joué un tour
N'étant pas conscient
Et, surpris, très cher payant
Quand je regarde le passé
Je revois ce qui m'a laissé
Si j'avais su me presser
Je récolterais dans les temps
Ô cœur, nous vivrons comment
Tous les deux, mourir
Dompter dépit et soupirs
La vieillesse nous poussant
Tel un vieux ballon
Aux mailles usées, éclatées.
N.B : Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
La suite s'il vous plaît...
❤
😢😢😢😢