Voici quelques repères dans cette vidéo d'1 h : intro, ce qui fait consensus ? ; présentation des 4 intervenants ; 2:25 maladie psychiatrique ? trouble (du terme anglais), syndromes, maladie (entité patho, phase ou maladie au long court) ; frontières avec maladies neurologiques évoluent ; actuellement, pas seulement neuro ou psy ; 7:51 terme "psychisme" ; corrélats neurologiques / imageries cérébrales n'apprennent pas grand chose, sur causes, façons de traiter et concevoir ; pour 1 trouble : aide par médicaments ou psy. ; 9:33 les grandes maladies psychiatriques : maladies du cerveau ou du traitement d'information ? ex SCZ = base bio + décompensation ; 11:26 modèle bio-psycho-social répandu, question de dosage entre ces 3 composants, collectivement ; 13:05 pourquoi dans certaines facs de psycho les étudiants apprennent que ce qui ressort de l'esprit n'a rien à voir avec le cerveau ? = période après 2è guerre mondiale, persiste plus longtemps en France ; /méthode scientifique ; 15:38 terme "inconscient" : allusions et connotations ; essentiel en dehors de la conscience du moment ; il n'y a pas une entité structurée comme l'a défini Freud, beaucoup de spéculation ; mécanisme de la prise de conscience ; terme général, + rien à voir ; construction de sa mémoire, de sa personnalité = objet d'études ; schémas en TCC ; 19:50 concept depuis longtemps, avec choses différentes dedans ; 20:41 depuis 1960, révolutions technologiques et épistémologiques en neurosciences ont beaucoup appris ; 21:09 termes "folie" et "névrose", stigmatisant ; 22:08 influence culturelle, stress, le social a un impact jusqu'à un certain point ; 23:12 pathologies mentales chez animaux ? anxiété, dépression ; pas de rupture ; 24:36 causes (fiables) ; différent du modèle infectieux, certitudes étiologiques moins fortes mais capacité à aider ; du neuro-cognitif à adaptation à environnement ; interactions gènes-environnement à tous les niveaux d'observation ; 31:28 il n'y a que les preuves scientifiques en la matière, pas de discours en soi qui a l'air logique ; biais de recrutement / traumatismes ; 33:41 effet environnement : si enfant rejeté par famille, guerres... = il souffre mais ne donne pas de maladie mentale ; 35:04 facteur de risque = répond de manière pathologique ; 35:17 psy d'obédience psychanalytique = responsabilité maternelle, diag ? ; est ce qu'il y a des preuves ; confondre réaction d'adaptation à situation difficile et vraie maladie ; 37:00 héritabilité et culture ; 37:43 diag psychiatrique ; comorbidités ; 40:20 traitements ; TCC et autres thérapies évaluables ; compréhension du comportement, analyse fonctionnelle pour changement ; évolutives, ce qui fait du bien ; 46:35 psychanalytique : modifier un symptôme / déplacer ; c'est l'inverse : généralisation de l'amélioration ; 48:00 chez enfant ; 49:55 cercle vertueux ; 52:12 guérir grandes pathologies psychiatriques ? 55:34 recherche, progrès.
Merci beaucoup ce genre de vidéo est essentiel aujourd'hui pour tordre le cou aux idées reçues (en grande partie dues à la grande présence de la psychanalyse en France...) Pour partager aussi mon expérience personnelle (qui n'est pas une preuve scientifique, mais qui illustre ici les propos du débat) sur la prise en compte du patient-e : j'ai des soucis de stress et d'angoisse liés majoritairement à ma situation professionnelle, je vais voir un psychologue clinicien (donc psychanalyste) qui focalise tout sur ma situation familiale (atypique) quand bien même je dis que je n'ai pas de soucis de ce côté là. Un certain nombre de mois plus tard (car du coup j'ai eu beaucoup de mal à me décider à retourner voir quelqu'un-e) je vais voir une psychologue faisant de la TCC, je lui dis "ma famille ça va", elle est tout de suite passée à autre chose !
Un psychologue clinicien n'a rien à voir avec un psychanalyste. On peut associer les deux, c'est tout. Quand aux psychologues TCC, ils revendiquent d'être "cliniciens"...un peu de clarté ne nuit pas.
@@ArseneLapin-rc7qs oui j'ai appris ça plus tard, quand j'ai écrit ce commentaire la seule définition que j'avais eu de "psychologue clinicien" était celle du site de la permanence à laquelle j'étais allé et qui assimilait les deux ensembles du coup je pensais que seuls les psy qui faisaient aussi de la psychanalyse étaient désigné par "clinicien"...
Quelque chose m'échappe : De 50:18 à 51:03, Antoine Pelissolo souligne que le thérapeute ne traite pas qu'un symptôme car il faut aller jusqu'au processus qu'il veut soigner (sic). « Aucune thérapie n'est là pour soigner des symptômes, car si c'est un symptôme il faut comprendre d'où il vient, et on traite l'organisation à laquelle il renvoie » (Tout le monde opine du chef à l'écoute de ces mots). Or, cela semble aller à l'encontre ce que les autres intervenants démontraient depuis plus de 5mn auparavant (46:46). Notamment l'intervention de Bernard Granger à 47:14 lorsqu'il dit « qu'en se focalisant sur le symptôme dont se plaint le patient, non seulement il n'y a pas de symptômes de substitution [comme le prétendent les psychanalystes], mais en plus il y a une généralisation de l'amélioration » (Là aussi tout le monde opinait du chef). Quelqu'un peut-il m'éclairer sur ce qui semble s'opposer dans le ''débat'' mais où tout le monde est d'accord ? On se focalise sur le symptôme ? ou bien on cherche le rôle de papa-maman dans le conflit interne ?... (Il n'y a aucune aigreur ni ironie dans ma question. Je suis même à 98% en accord avec ce qu'il se dit dans cette émission. Juste ce passage me pose question et je cherche vraiment à ce qu'on m'éclaire)
Il y'a des symptômes qui sont des tendances millénaires, et ils sont des milliers, quelles que soient ces tendances. Les symptômes étant le résultant d'une architecture organique, peu importe l'infiniment petit et l'infiniment grand. Qu'en fait on ? Seul un fou pourra prétendre définir quelle est l'activité parfaite et exacte qui fait interagir l'infiniment grand et le petit. Voilà pourquoi, je crois, M.Peilissolo ne soigne personne mais accompagne selon les moyens organisationnelles, qu'ils soient technologiques ou psychiques (que ce soit soit pour le patient et l'expert) , les deux étant étroitement liés, ce qui était le sujet de la vidéo. Il existe et il existera toujours un flou concernant les déformation majoritaires et minoritaires si l'on compare un homme à l'homme, ou même à autre. Voilà le début d'une conscience non parfaite, car aucune conscience n'est parfaite et aucune conscience n'est plus légitime que l'autre. Voilà le paradoxe de la société aujourd'hui.
Bravo, quelle clarté ! Mais comment accéder aux thérapeutes talentueux, comment faire le tri, surtout en province ? La prise en charge de la souffrance psychique est très insuffisante .
Étonnant qu'ils ne parlent pas de travaux de B. Cyrulnik, du concept de résilience mis en évidence via l'imagerie médicale, qui confirment leurs propos
On n peut parler de tou. Pour en savoir sur Cyrulnik, un psychiatre bien sympathique, mais peu rigoureux: www.pseudo-sciences.org/Psychotherapie-de-Dieu
@@jacquesvanrillaer2033 Merci pour la mise en garde, inutile dans mon cas, seule cette résilience imagée m'à semblée digne d'intérêt :) + 1 pour votre blog & publications
C'est très spectaculaire. Pour le moment, je n'ai regardé que cinq minutes de cette vidéo mais je suis inquiet pour ce jeune homme et ses vertèbres cervicales.
Un enfant qui souffre n'est pas forcément rendu malade, psychologiquement parlant ????????????????????????? Hé bien !!! Je suis choquée ! Est-ce que le sadisme est génétique ? D'abord, est-ce que les parents qui frappent leurs enfants, laissent ces enfants sans trace psychiatrique, aucune ? Est-ce que ces enfants battus, qui à leur tour fessent leurs enfants, ont les gènes du sadisme de leurs parents ? Est-ce que l'enfant, dont le père est criminel, a dans ses gènes cette monstruosité lorsqu'il reproduit les actes de son père ? Il faut des preuves !!! dit cette femme. Des preuves que l'on trouverait dans l'analyse du fonctionnement du cerveau et dans un changement éventuel de sa structure, bien sûr. Hallucinant ! Il me vient... le jeune psychiatre, en fait, ne peut souffrir d'être face aux femmes 😂 et aussi, attend l'approbation, par un regard sans doute, de ses pairs. Ce jeune médecin dit qu'il y a des changements, une évolution, dans ce monde de la maladie mentale. Oui, matériellement parlant, mais pas psychiquement. Les traitements restent les mêmes, les conditions dans lesquels les patients sont traités restent les mêmes ; les gens qui traitent ces patients gardent la même mentalité... Il n'y a pas ou peu de communication, de questionnements sur le sujet (patient), de questionnements au sujet = d'échanges humains pour une compréhension de son comportement. J'ai tendance à penser que l'addiction est l'alcool se transmet de génération en génération. Peut-on dire que c'est génétique ? A penser aussi, que nous sommes beaucoup, vraiment très nombreux, à descendre de parents alcooliques et par là même que nous générons des enfants propice à l'addiction à l'alcool. Verrons-nous apparaître des générations addictes aux toxicités telle la cocaïne ? La médication psychiatrique a énooooormément de travail à faire sur les effets secondaires de ces médicaments qui en ont TOUJOURS et TOUJOURS les mêmes. Reste une chose grave, très grave, imaginez que des gens dans le système juridique et social, dans les années 2014, croient que l'autisme est dû à un mauvais traitement de la mère envers son enfant. Et nous sommes au 21è siècle !!! Je suis scandalisée par certains propos, ici et dans d'autres débats.
Intéressant mais en tant que psychotique, diagnostiqué et soigné par l'hôpital, non seulement je n'ai rien compris de nouveau, mais encore j'ai "décompris" certaines choses.
La pensée ce n'est pas le cerveau, signifie qu'il n'en est que le support matériel, le véhicule. Mais rien n'indique pourquoi la pensée part dans telle ou telle direction, pourquoi elle prend un chemin et pas un autre. Cela concerne une autre dimension.
Bonjour, je suis gêné par le fait que la vidéo soit édité et certains moments évincés. Y a t il là une réelle pertinence si ce n'est de proposer une vidéo plis présentable mais malheureusement dirigeable ?
Je cite : "il n'y a pas eu de grande avancée dans l'explication des causes, et pas de grande avancée au niveau des médicaments" "La seule avancée est sur le plan psychologique" Il serait peut-être temps de comprendre qu'on ne trouvera pas grand chose sur le plan scientifique dans ce domaine. Mis a part quelques cas ou effectivement la biologie est a l'origine du trouble ( carences, malformations, dysfonctionnements hormonaux...) la plupart des troubles proviennent d'une mauvaise construction psychologique du malade et/ ou de l'environnement societal. Et comme il le disent, c'est extrêmement difficile d'explorer ces aspects sur le plan scientifique ( trop multifactoriel et non objectivable ). Comme relevé dans d'autres commentaires, quiconque a fait un séjour dans un HP et fréquenté des gens sous traitement sait pertinemment que ces molécules sont une camisole mentale (qui peuvent aider temporairement a surmonter une crise et a ne pas faire une grosse connerie, mais qui sur le long terme, sont TOTALEMENT CONTRE PRODUCTIVES). Quasiment tous les psychiatres que j'ai rencontré ne jurent que par leur molécules et ne s'occupent absolument pas du ressenti de leurs patients. Ils ne les ecoutent pas ! Cest pourtant un des piliers de la médecine l'écoute ! Vous avez beau leur expliquer tous les effets secondaires extrêmement graves et nefastes que vous ressentez (perte de libido, prise de poids,perte d'élan vital, difficulter a réfléchir, a lire, tete dans le brouillard... ) il vous diront surtout de ne pas arrêter le traitement et c'est tout ce qu'ils savent faire. Si je devais conseiller un ami en difficulté voici ce que je lui dirai : fais tous les bilans physiologiques possibles pour etre sûr que tu n'as pas un problème d'origine biologique, si ce n'est pas le cas et que tu sens que les médicaments t'empechent de te sentir bien, arrête progressivement les médicaments en en parlant a ton psychiatre et en insistant, c'est ton droit de ne rien prendre. Trouve un psychologue le plus tôt possible ( dans un CMP c'est gratuit) avec qui tu te sens en confiance et commence a discuter avec régulièrement. Il faut apprendre les armes mentales qui te permettront de surmonter les situations difficiles, tes émotions, ça s'apprend sans problème et c'est indispensable car la société ne sera jamais parfaite pour toi. Il faut voir ensuite comment tu peux organiser ta vie dans ce contexte pour la rendre la plus agréable possible selon tes critères et en t'accrochant aux bons côtés que tu lui trouve (je suis sûr que tu as au moins un ami, un proche, un artiste, un animal ou une activité qui te donne foi en la vie :). Sois patient et je suis sur qu'un jour en discutant avec ton psychologue ou quelqu'un de confiance, un deblocage profond se produira en toi. Tu comprendras l'origine reel de ton mal être. Ce mal etre a peut-être pour origine un traumatisme qui est venu de l'extérieur mais généralement s'il persiste c'est que tu continue a te l'imposer inconsciemment. ( désolé pas facile a formuler mais un exemple : un parent trop sévère dans ton enfance peut faire que tu vas continuer a agir dans ta vie d'adulte comme s'il était constamment derrière ton dos et t'empêcher d'être, de vivre comme bon te semble). Il faut s'écouter et etre en accord avec soi même ! Ca a fonctionné pr moi et plusieurs de mes amis, ca peut prendre du temps (mois, années) mais garde toujours l'espoir meme s'il te paraît minuscule aujourd'hui. Il te faut du soutien des bons professionnels et de proches mais les clés sont en toi ! Conclusion : le monde se porterait mieux si les psychiatres étaient obligés d'avaler pendant au moins trois mois les molécules qu'ils prescrivent! VIVE LES PSYCHOLOGUES, L'ÉCOUTE ET LE DIALOGUE !
Mon cerveau néophyte a du respirer à plusieurs fois. J'ai eu l'impression d'être confronté à des dizaines d'enfants en une seule fois. Une heure en paraît deux.
Ils s'en fiche du bien être du patient c'est les médicaments et tu la fermes oui c'est de la torture chimique ils ont ensuite du pouvoir sur les patients car ils sont anesthésié et dociles c'est pas du soin c'est une forme de soumission à une institution et un controle de la vie des individus en leur faisant croire qu'ils sont dangereux pour eux et pour les autres alors que le patient quand il arrive dans un cabinet est sain avec un mal être tout le monde a le droit d'aller mal c'est la vie je ne connais personne qui va bien 24/24h pendant toute sa vie il suffit d'avoir des évenements de vies compliqué pour chuter en dépression mais pour eux ils vont chercher une "maladie" et pas un problème social et de règler ce qu'il ne va pas ils font pas avec la vie ils clivent les patients dans leur doctrine diabolique le patient se retrouve avec une liste de tous les psychotropes qui existent et finit chez lui complètement amorphe et là on lui dit vous voyez vous êtes malade vous n'arrivez plus à rien faire c'est qu'il y a un gros trouble psychiatrique alors que sans les médicaments du début avant l'entrée du cabinet le patient préférait largement mieux sa souffrance de base que la souffrance causée par les psychotropes autant fumer de l'herbe c'est moins dangereux que de se shooter aux médicampents qui vont paralyser le cerveau et le détruire à petit feu et ensuite c'est la démence et là les psychiatres sont content d'avoir trouvé une maladie inventée de toute pièce et de l'avoir prévenu avec les médicaments et ils auront le culot de dire que ça a améliorer le patient alors qu'ils l'ont tué ils vont aller en enfer ces médecins car ils savent les dégats de leurs médicaments mais ferment les yexu sinon leur métier n'existe plus donc ceux sont des assassins déguisé en médecin ça fait penser au nazisme leur méthode de traitement et de manipulation il faut bien executer ceux qui sont suceptible de ne plus rien rapporté à la société au niveau financier donc on les cachetonnes ça rapporte de l'argent et en même temps on se débarasse des inutiles les guerir efficacement couteraient beaucoup trop cher il faudrait payer des psychologues avoir un suivi individuelle non c'est une usine à mort tous habillé en pyjama à être lobotomisé matin midi soir et observé les effets secondaires qui rendent les patients comme inférieur à la race humaine c'est du nazisme déguisé tout simplement ensuite on les relache et on attend qu'ils se donnent la mort eux même pas de trace pas de responsabilité des médecins tout est mis sur le compte de la maladie mentale et les labo lavé ainsi que les psychiatres dédouané de toute responsabilité et l'omerta règne
Le micro de Sophie Robert est mal placé. Trop haut, il produit des sons désagréable lorsqu'elle baisse la tête pour lire ses notes et que son souffle atteint la bonnette. C'est dommage, car la réalisation de cette émission est par ailleurs excellente.
Mme l'animatrice il émane de vous tellement de féminité, qu'à vous toute seule, vous êtes une vraie thérapie curative étiologique mais aussi psycho-émotionnelles. C'est des fondamentaux de la conscience archétypale issue de l'inconscient collectif de la féminité que se trouvent toutes les solutions à la cruelles conditions humaines. Rappelez vous de ceci: la femme participe à la marche secrète de l'univers. Sinon, on constate très bien l'impasse où nous a conduit la finitude du logiciel du cerveau gauche binaire analytique limité. Le nouveau cycle civilisationnel qui a commencé, nous ouvre désormais, grâce à l'activation du cerveau droit au champ de tout les possibles providentielles. Le cerveau droit relève du domaine de la Super Conscience organisatrice curative.
Qu'est-ce qu'ils sont tristes... est-ce qu'ils parlent des traumatismes de l'enfance ? Quasiment tous les troubles viennent de là selon moi. Cf Alice Miller.
Mais non, tout ne vient pas de l'enfance. Certaines pathologies sans doute, mais pas la plupart. La machine humaine est fragile et peut se détraquer à tout âge et de multiples manières ; quant à ceux qui sont "fous" dès leur enfance, c'est le plus souvent un problème congénital.
"selon moi" dix drele2002. Ce n'est plus l'avis des psychologues et des psychiatres d'orientation scientique. Pour en savoir plus: blogs.mediapart.fr/jacques-van-rillaer/blog/231119/freud-et-lacan-des-charlatans-faits-et-legendes
@@jacquesvanrillaer2033 , quel regard portez-vous sur l'organisation intra hospitalière Open Dialogue en Finlande (ou son essai clinique Collaborative Pathway aux Etats Unis) dans la prise en charge de la crise psychotique ? Du point de vue de la psychologie scientifique, notamment au regard des travaux de Angus Deaton sur les rapports entre revenus et santé, comment interpréter l'épidémie d'opioïdes aux Etats Unis (notamment Percocet et Fantanyl) et la mise en place des PEPS en Suisse ? D'avance merci, bien à vous.
AVIS A LA POPULATION 🔊 ,RESTONS SERIEUX. LA PSYCHIATRIE EST UNE SPECIALITE MEDICALE!!🔊.LA DIFFERENTIATION QUI CARACTERISE LA DIFFERENCE, RESIDE, DANS,L APPARITION DE LA PSYCHIATRIE, COMME UNE SPECIALITE DONT LA STRUCTURATION EST TRES RECENTE, PAR RAPPORT AUX AUTRES S.M.🤐
"La différentiation qui caractérise la différence réside dans l'apparition de la psychiatrie comme une spécialité dont la structuration est trés récente par rapport aux S.M." 🤨 MAIS OUI C'EST CLAIR, JE DIRAI MEME PLUS QUE L,APPARITION APPARENTE QUI DEFINIE LES, SM DANS LA, DIFFERENCIATION DIFFERENCIÉE ET, DIFFERENTE DE LA PSYCHIATRIE EST, RECENTE, ET ACTRICE, DE SON EVEIL, AINSI, QU,A HOLLYWOOD,. MERCI,,,,,"
@@barbierthomas8322 VOUS ETES PSYCHIATRE ,OU 1 LE PRODUIT CROISE DONC PYRAMIDAL D UNE DE COMPENSATION LATENTE, LETHARGIQUE, MANIFESTEMENT NON RETROACTIVE???!!!!?😃🕇😃♞🔛🔊
Voici quelques repères dans cette vidéo d'1 h :
intro, ce qui fait consensus ? ; présentation des 4 intervenants ;
2:25 maladie psychiatrique ? trouble (du terme anglais), syndromes, maladie (entité patho, phase ou maladie au long court) ; frontières avec maladies neurologiques évoluent ; actuellement, pas seulement neuro ou psy ;
7:51 terme "psychisme" ; corrélats neurologiques / imageries cérébrales n'apprennent pas grand chose, sur causes, façons de traiter et concevoir ; pour 1 trouble : aide par médicaments ou psy. ;
9:33 les grandes maladies psychiatriques : maladies du cerveau ou du traitement d'information ? ex SCZ = base bio + décompensation ; 11:26 modèle bio-psycho-social répandu, question de dosage entre ces 3 composants, collectivement ;
13:05 pourquoi dans certaines facs de psycho les étudiants apprennent que ce qui ressort de l'esprit n'a rien à voir avec le cerveau ? = période après 2è guerre mondiale, persiste plus longtemps en France ; /méthode scientifique ;
15:38 terme "inconscient" : allusions et connotations ; essentiel en dehors de la conscience du moment ; il n'y a pas une entité structurée comme l'a défini Freud, beaucoup de spéculation ; mécanisme de la prise de conscience ; terme général, + rien à voir ; construction de sa mémoire, de sa personnalité = objet d'études ; schémas en TCC ; 19:50 concept depuis longtemps, avec choses différentes dedans ; 20:41 depuis 1960, révolutions technologiques et épistémologiques en neurosciences ont beaucoup appris ;
21:09 termes "folie" et "névrose", stigmatisant ;
22:08 influence culturelle, stress, le social a un impact jusqu'à un certain point ;
23:12 pathologies mentales chez animaux ? anxiété, dépression ; pas de rupture ;
24:36 causes (fiables) ; différent du modèle infectieux, certitudes étiologiques moins fortes mais capacité à aider ; du neuro-cognitif à adaptation à environnement ; interactions gènes-environnement à tous les niveaux d'observation ; 31:28 il n'y a que les preuves scientifiques en la matière, pas de discours en soi qui a l'air logique ; biais de recrutement / traumatismes ; 33:41 effet environnement : si enfant rejeté par famille, guerres... = il souffre mais ne donne pas de maladie mentale ; 35:04 facteur de risque = répond de manière pathologique ;
35:17 psy d'obédience psychanalytique = responsabilité maternelle, diag ? ; est ce qu'il y a des preuves ; confondre réaction d'adaptation à situation difficile et vraie maladie ; 37:00 héritabilité et culture ;
37:43 diag psychiatrique ; comorbidités ;
40:20 traitements ; TCC et autres thérapies évaluables ; compréhension du comportement, analyse fonctionnelle pour changement ; évolutives, ce qui fait du bien ;
46:35 psychanalytique : modifier un symptôme / déplacer ; c'est l'inverse : généralisation de l'amélioration ; 48:00 chez enfant ; 49:55 cercle vertueux ;
52:12 guérir grandes pathologies psychiatriques ? 55:34 recherche, progrès.
Merci
Clair, accessible et tellement riche ! Un immense merci 🙏🙏🙏
Merci beaucoup ce genre de vidéo est essentiel aujourd'hui pour tordre le cou aux idées reçues (en grande partie dues à la grande présence de la psychanalyse en France...)
Pour partager aussi mon expérience personnelle (qui n'est pas une preuve scientifique, mais qui illustre ici les propos du débat) sur la prise en compte du patient-e : j'ai des soucis de stress et d'angoisse liés majoritairement à ma situation professionnelle, je vais voir un psychologue clinicien (donc psychanalyste) qui focalise tout sur ma situation familiale (atypique) quand bien même je dis que je n'ai pas de soucis de ce côté là. Un certain nombre de mois plus tard (car du coup j'ai eu beaucoup de mal à me décider à retourner voir quelqu'un-e) je vais voir une psychologue faisant de la TCC, je lui dis "ma famille ça va", elle est tout de suite passée à autre chose !
Un psychologue clinicien n'a rien à voir avec un psychanalyste. On peut associer les deux, c'est tout. Quand aux psychologues TCC, ils revendiquent d'être "cliniciens"...un peu de clarté ne nuit pas.
@@ArseneLapin-rc7qs oui j'ai appris ça plus tard, quand j'ai écrit ce commentaire la seule définition que j'avais eu de "psychologue clinicien" était celle du site de la permanence à laquelle j'étais allé et qui assimilait les deux ensembles du coup je pensais que seuls les psy qui faisaient aussi de la psychanalyse étaient désigné par "clinicien"...
Quelque chose m'échappe :
De 50:18 à 51:03, Antoine Pelissolo souligne que le thérapeute ne traite pas qu'un symptôme car il faut aller jusqu'au processus qu'il veut soigner (sic).
« Aucune thérapie n'est là pour soigner des symptômes, car si c'est un symptôme il faut comprendre d'où il vient, et on traite l'organisation à laquelle il renvoie » (Tout le monde opine du chef à l'écoute de ces mots).
Or, cela semble aller à l'encontre ce que les autres intervenants démontraient depuis plus de 5mn auparavant (46:46).
Notamment l'intervention de Bernard Granger à 47:14 lorsqu'il dit « qu'en se focalisant sur le symptôme dont se plaint le patient, non seulement il n'y a pas de symptômes de substitution [comme le prétendent les psychanalystes], mais en plus il y a une généralisation de l'amélioration » (Là aussi tout le monde opinait du chef).
Quelqu'un peut-il m'éclairer sur ce qui semble s'opposer dans le ''débat'' mais où tout le monde est d'accord ? On se focalise sur le symptôme ? ou bien on cherche le rôle de papa-maman dans le conflit interne ?...
(Il n'y a aucune aigreur ni ironie dans ma question. Je suis même à 98% en accord avec ce qu'il se dit dans cette émission. Juste ce passage me pose question et je cherche vraiment à ce qu'on m'éclaire)
Il y'a des symptômes qui sont des tendances millénaires, et ils sont des milliers, quelles que soient ces tendances.
Les symptômes étant le résultant d'une architecture organique, peu importe l'infiniment petit et l'infiniment grand.
Qu'en fait on ?
Seul un fou pourra prétendre définir quelle est l'activité parfaite et exacte qui fait interagir l'infiniment grand et le petit.
Voilà pourquoi, je crois, M.Peilissolo ne soigne personne mais accompagne selon les moyens organisationnelles, qu'ils soient technologiques ou psychiques (que ce soit soit pour le patient et l'expert) , les deux étant étroitement liés, ce qui était le sujet de la vidéo.
Il existe et il existera toujours un flou concernant les déformation majoritaires et minoritaires si l'on compare un homme à l'homme, ou même à autre.
Voilà le début d'une conscience non parfaite, car aucune conscience n'est parfaite et aucune conscience n'est plus légitime que l'autre.
Voilà le paradoxe de la société aujourd'hui.
Deux mots tout simplement :
EXCELLENT - Merci !!! 🙏
Passionnant !!!! Merci
Bravo, quelle clarté ! Mais comment accéder aux thérapeutes talentueux, comment faire le tri, surtout en province ?
La prise en charge de la souffrance psychique est très insuffisante .
Étonnant qu'ils ne parlent pas de travaux de B. Cyrulnik, du concept de résilience mis en évidence via l'imagerie médicale, qui confirment leurs propos
On n peut parler de tou.
Pour en savoir sur Cyrulnik, un psychiatre bien sympathique, mais peu rigoureux:
www.pseudo-sciences.org/Psychotherapie-de-Dieu
@@jacquesvanrillaer2033 Merci pour la mise en garde, inutile dans mon cas, seule cette résilience imagée m'à semblée digne d'intérêt :)
+ 1 pour votre blog & publications
Boris Cyrulnik est un charlatan
Belle interview et intervenants pédagogues pour présenter le sujet 👍
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Le psychiatre aux yeux bleus est une bombe 😊❤❤❤💋💋💋
Le jeune neurologue ne cesse de s'agiter et de chercher l'approbation des deux vétérans.
C'est très spectaculaire. Pour le moment, je n'ai regardé que cinq minutes de cette vidéo mais je suis inquiet pour ce jeune homme et ses vertèbres cervicales.
Un enfant qui souffre n'est pas forcément rendu malade, psychologiquement parlant ????????????????????????? Hé bien !!! Je suis choquée !
Est-ce que le sadisme est génétique ? D'abord, est-ce que les parents qui frappent leurs enfants, laissent ces enfants sans trace psychiatrique, aucune ? Est-ce que ces enfants battus, qui à leur tour fessent leurs enfants, ont les gènes du sadisme de leurs parents ?
Est-ce que l'enfant, dont le père est criminel, a dans ses gènes cette monstruosité lorsqu'il reproduit les actes de son père ?
Il faut des preuves !!! dit cette femme. Des preuves que l'on trouverait dans l'analyse du fonctionnement du cerveau et dans un changement éventuel de sa structure, bien sûr. Hallucinant !
Il me vient... le jeune psychiatre, en fait, ne peut souffrir d'être face aux femmes 😂 et aussi, attend l'approbation, par un regard sans doute, de ses pairs. Ce jeune médecin dit qu'il y a des changements, une évolution, dans ce monde de la maladie mentale. Oui, matériellement parlant, mais pas psychiquement. Les traitements restent les mêmes, les conditions dans lesquels les patients sont traités restent les mêmes ; les gens qui traitent ces patients gardent la même mentalité... Il n'y a pas ou peu de communication, de questionnements sur le sujet (patient), de questionnements au sujet = d'échanges humains pour une compréhension de son comportement.
J'ai tendance à penser que l'addiction est l'alcool se transmet de génération en génération. Peut-on dire que c'est génétique ?
A penser aussi, que nous sommes beaucoup, vraiment très nombreux, à descendre de parents alcooliques et par là même que nous générons des enfants propice à l'addiction à l'alcool.
Verrons-nous apparaître des générations addictes aux toxicités telle la cocaïne ?
La médication psychiatrique a énooooormément de travail à faire sur les effets secondaires de ces médicaments qui en ont TOUJOURS et TOUJOURS les mêmes.
Reste une chose grave, très grave, imaginez que des gens dans le système juridique et social, dans les années 2014, croient que l'autisme est dû à un mauvais traitement de la mère envers son enfant. Et nous sommes au 21è siècle !!!
Je suis scandalisée par certains propos, ici et dans d'autres débats.
Prenons soin de nous et des nôtres
C 'est étonnant comment le Dr Domenech s'adresse à ses pairs masculins en permanence.
13:05 il y a des silences qui en disent long
Towa ils se regardent pour choisir qui va dire qu’il y a des mauvais profs
Intéressant mais en tant que psychotique, diagnostiqué et soigné par l'hôpital, non seulement je n'ai rien compris de nouveau, mais encore j'ai "décompris" certaines choses.
Il y a aussi des pressions de la justice sur les experts psychiatres comme dans l' affaire Sarah Halimi
La pensée ce n'est pas le cerveau, signifie qu'il n'en est que le support matériel, le véhicule. Mais rien n'indique pourquoi la pensée part dans telle ou telle direction, pourquoi elle prend un chemin et pas un autre. Cela concerne une autre dimension.
@zanfux Ou l'inverse
Bonjour, je suis gêné par le fait que la vidéo soit édité et certains moments évincés. Y a t il là une réelle pertinence si ce n'est de proposer une vidéo plis présentable mais malheureusement dirigeable ?
Organisez vos débats,chacun son temps mais prédéfinis
Trois hommes et une femme. 6mn30 avant qu’on lui laisse prendre la parole et elle commence par s’excuser de parler.
Il y du boulot les gars 🙄
Je cite : "il n'y a pas eu de grande avancée dans l'explication des causes, et pas de grande avancée au niveau des médicaments" "La seule avancée est sur le plan psychologique" Il serait peut-être temps de comprendre qu'on ne trouvera pas grand chose sur le plan scientifique dans ce domaine. Mis a part quelques cas ou effectivement la biologie est a l'origine du trouble ( carences, malformations, dysfonctionnements hormonaux...) la plupart des troubles proviennent d'une mauvaise construction psychologique du malade et/ ou de l'environnement societal. Et comme il le disent, c'est extrêmement difficile d'explorer ces aspects sur le plan scientifique ( trop multifactoriel et non objectivable ). Comme relevé dans d'autres commentaires, quiconque a fait un séjour dans un HP et fréquenté des gens sous traitement sait pertinemment que ces molécules sont une camisole mentale (qui peuvent aider temporairement a surmonter une crise et a ne pas faire une grosse connerie, mais qui sur le long terme, sont TOTALEMENT CONTRE PRODUCTIVES). Quasiment tous les psychiatres que j'ai rencontré ne jurent que par leur molécules et ne s'occupent absolument pas du ressenti de leurs patients. Ils ne les ecoutent pas ! Cest pourtant un des piliers de la médecine l'écoute ! Vous avez beau leur expliquer tous les effets secondaires extrêmement graves et nefastes que vous ressentez (perte de libido, prise de poids,perte d'élan vital, difficulter a réfléchir, a lire, tete dans le brouillard... ) il vous diront surtout de ne pas arrêter le traitement et c'est tout ce qu'ils savent faire. Si je devais conseiller un ami en difficulté voici ce que je lui dirai : fais tous les bilans physiologiques possibles pour etre sûr que tu n'as pas un problème d'origine biologique, si ce n'est pas le cas et que tu sens que les médicaments t'empechent de te sentir bien, arrête progressivement les médicaments en en parlant a ton psychiatre et en insistant, c'est ton droit de ne rien prendre. Trouve un psychologue le plus tôt possible ( dans un CMP c'est gratuit) avec qui tu te sens en confiance et commence a discuter avec régulièrement. Il faut apprendre les armes mentales qui te permettront de surmonter les situations difficiles, tes émotions, ça s'apprend sans problème et c'est indispensable car la société ne sera jamais parfaite pour toi. Il faut voir ensuite comment tu peux organiser ta vie dans ce contexte pour la rendre la plus agréable possible selon tes critères et en t'accrochant aux bons côtés que tu lui trouve (je suis sûr que tu as au moins un ami, un proche, un artiste, un animal ou une activité qui te donne foi en la vie :). Sois patient et je suis sur qu'un jour en discutant avec ton psychologue ou quelqu'un de confiance, un deblocage profond se produira en toi. Tu comprendras l'origine reel de ton mal être. Ce mal etre a peut-être pour origine un traumatisme qui est venu de l'extérieur mais généralement s'il persiste c'est que tu continue a te l'imposer inconsciemment. ( désolé pas facile a formuler mais un exemple : un parent trop sévère dans ton enfance peut faire que tu vas continuer a agir dans ta vie d'adulte comme s'il était constamment derrière ton dos et t'empêcher d'être, de vivre comme bon te semble). Il faut s'écouter et etre en accord avec soi même ! Ca a fonctionné pr moi et plusieurs de mes amis, ca peut prendre du temps (mois, années) mais garde toujours l'espoir meme s'il te paraît minuscule aujourd'hui. Il te faut du soutien des bons professionnels et de proches mais les clés sont en toi ! Conclusion : le monde se porterait mieux si les psychiatres étaient obligés d'avaler pendant au moins trois mois les molécules qu'ils prescrivent! VIVE LES PSYCHOLOGUES, L'ÉCOUTE ET LE DIALOGUE !
😂
👏et merci pour cette réaction saine et qui fait preuve de bon sens 🙏
Merci
Pratique n ' est pas torture , mais pratique! et utile ,indispensable .
Mon cerveau néophyte a du respirer à plusieurs fois. J'ai eu l'impression d'être confronté à des dizaines d'enfants en une seule fois. Une heure en paraît deux.
L'approche théorique en psychiatrie compte peu, elle est à géométrie variable. La pratique, c'est la torture.
François Dupin qu’entendez-vous par là ?
@@becomepostal LE TRAITEMENT tu ne crois pas non
@@becomepostal jaimerais une reponse lorsque des gens bizarres comme vous se permettent dinterpeller dautres personnes
Ils s'en fiche du bien être du patient c'est les médicaments et tu la fermes oui c'est de la torture chimique ils ont ensuite du pouvoir sur les patients car ils sont anesthésié et dociles c'est pas du soin c'est une forme de soumission à une institution et un controle de la vie des individus en leur faisant croire qu'ils sont dangereux pour eux et pour les autres alors que le patient quand il arrive dans un cabinet est sain avec un mal être tout le monde a le droit d'aller mal c'est la vie je ne connais personne qui va bien 24/24h pendant toute sa vie il suffit d'avoir des évenements de vies compliqué pour chuter en dépression mais pour eux ils vont chercher une "maladie" et pas un problème social et de règler ce qu'il ne va pas ils font pas avec la vie ils clivent les patients dans leur doctrine diabolique le patient se retrouve avec une liste de tous les psychotropes qui existent et finit chez lui complètement amorphe et là on lui dit vous voyez vous êtes malade vous n'arrivez plus à rien faire c'est qu'il y a un gros trouble psychiatrique alors que sans les médicaments du début avant l'entrée du cabinet le patient préférait largement mieux sa souffrance de base que la souffrance causée par les psychotropes autant fumer de l'herbe c'est moins dangereux que de se shooter aux médicampents qui vont paralyser le cerveau et le détruire à petit feu et ensuite c'est la démence et là les psychiatres sont content d'avoir trouvé une maladie inventée de toute pièce et de l'avoir prévenu avec les médicaments et ils auront le culot de dire que ça a améliorer le patient alors qu'ils l'ont tué ils vont aller en enfer ces médecins car ils savent les dégats de leurs médicaments mais ferment les yexu sinon leur métier n'existe plus donc ceux sont des assassins déguisé en médecin ça fait penser au nazisme leur méthode de traitement et de manipulation il faut bien executer ceux qui sont suceptible de ne plus rien rapporté à la société au niveau financier donc on les cachetonnes ça rapporte de l'argent et en même temps on se débarasse des inutiles les guerir efficacement couteraient beaucoup trop cher il faudrait payer des psychologues avoir un suivi individuelle non c'est une usine à mort tous habillé en pyjama à être lobotomisé matin midi soir et observé les effets secondaires qui rendent les patients comme inférieur à la race humaine c'est du nazisme déguisé tout simplement ensuite on les relache et on attend qu'ils se donnent la mort eux même pas de trace pas de responsabilité des médecins tout est mis sur le compte de la maladie mentale et les labo lavé ainsi que les psychiatres dédouané de toute responsabilité et l'omerta règne
@@rootsofzen8838 g3n ( 7uhuuuuuuuuuuuuy 6gtgv9u
Merci.
Le micro de Sophie Robert est mal placé. Trop haut, il produit des sons désagréable lorsqu'elle baisse la tête pour lire ses notes et que son souffle atteint la bonnette. C'est dommage, car la réalisation de cette émission est par ailleurs excellente.
Mme l'animatrice il émane de vous tellement de féminité, qu'à vous toute seule, vous êtes une vraie thérapie curative étiologique mais aussi psycho-émotionnelles.
C'est des fondamentaux de la conscience archétypale issue de l'inconscient collectif de la féminité que se trouvent toutes les solutions à la cruelles conditions humaines. Rappelez vous de ceci: la femme participe à la marche secrète de l'univers.
Sinon, on constate très bien l'impasse où nous a conduit la finitude du logiciel du cerveau gauche binaire analytique limité.
Le nouveau cycle civilisationnel qui a commencé, nous ouvre désormais, grâce à l'activation du cerveau droit au champ de tout les possibles providentielles. Le cerveau droit relève du domaine de la Super Conscience organisatrice curative.
La théorie ,cernè le problème puis le règlè le modifiè voir l ' èradiquè la thèorie en mèdecine est incontournable puis les actes.
ça existe vraiment ça en 2023 ? parce que MOI ,on ne m'a proposé que des médocs ?
L intervenant de gauche est quasi inaudible
Le Pluralisme idéologique et scientifique laisse à désirer.
Qui auriez-vous rajouter au titre du pluralisme scientifique ?
A moins que cela ne soit qu' une sorte de programme hors sol,qui n'a pas de réalité ,réelle ,concrète ,pratique?
Et le deuxième cerveau, et le troisième...
cest la grande secte a ciel ouvert
Avec un pareil pseudo "roots pf Zen", on ne doute pas de la compétence pour juger (ha, ha, ha)
@zanfux vendus à qui ?
C'est tout
Un enfermement de personnes tout simplement
X de
Qu'est-ce qu'ils sont tristes... est-ce qu'ils parlent des traumatismes de l'enfance ? Quasiment tous les troubles viennent de là selon moi. Cf Alice Miller.
Mais non, tout ne vient pas de l'enfance. Certaines pathologies sans doute, mais pas la plupart. La machine humaine est fragile et peut se détraquer à tout âge et de multiples manières ; quant à ceux qui sont "fous" dès leur enfance, c'est le plus souvent un problème congénital.
@@thomasrebotier1741 The myth of "it's genetic" : ruclips.net/video/36HquPzdxf4/видео.html
"selon moi" dix drele2002. Ce n'est plus l'avis des psychologues et des psychiatres d'orientation scientique. Pour en savoir plus:
blogs.mediapart.fr/jacques-van-rillaer/blog/231119/freud-et-lacan-des-charlatans-faits-et-legendes
@@jacquesvanrillaer2033 , quel regard portez-vous sur l'organisation intra hospitalière Open Dialogue en Finlande (ou son essai clinique Collaborative Pathway aux Etats Unis) dans la prise en charge de la crise psychotique ? Du point de vue de la psychologie scientifique, notamment au regard des travaux de Angus Deaton sur les rapports entre revenus et santé, comment interpréter l'épidémie d'opioïdes aux Etats Unis (notamment Percocet et Fantanyl) et la mise en place des PEPS en Suisse ? D'avance merci, bien à vous.
Il faut vraiment arrêter de commenter sans avoir regardé la vidéo.
AVIS A LA POPULATION 🔊 ,RESTONS SERIEUX. LA PSYCHIATRIE EST UNE SPECIALITE MEDICALE!!🔊.LA DIFFERENTIATION QUI CARACTERISE LA DIFFERENCE, RESIDE, DANS,L APPARITION DE LA PSYCHIATRIE, COMME UNE SPECIALITE DONT LA STRUCTURATION EST TRES RECENTE, PAR RAPPORT AUX AUTRES S.M.🤐
"La différentiation qui caractérise la différence réside dans l'apparition de la psychiatrie comme une spécialité dont la structuration est trés récente par rapport aux S.M." 🤨
MAIS OUI C'EST CLAIR, JE DIRAI MEME PLUS QUE L,APPARITION APPARENTE QUI DEFINIE LES, SM DANS LA, DIFFERENCIATION DIFFERENCIÉE ET, DIFFERENTE DE LA PSYCHIATRIE EST, RECENTE, ET ACTRICE, DE SON EVEIL, AINSI, QU,A HOLLYWOOD,. MERCI,,,,,"
@@barbierthomas8322 VOUS ETES PSYCHIATRE ,OU 1 LE PRODUIT CROISE DONC PYRAMIDAL D UNE DE COMPENSATION LATENTE, LETHARGIQUE, MANIFESTEMENT NON RETROACTIVE???!!!!?😃🕇😃♞🔛🔊
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