L'hymne à l'amour - hommage à Maryse Condé -

Hommage national à Maryse Condé
Lundi 15 avril, les mots de Maryse Condé ont pris toute leur ampleur dans la coupole de la BNF Richelieu.
Quatre textes de Maryse Condé ont été lus : un extrait de son livre " Le Coeur à rire et à pleurer", un de "La vie sans fards" (son autobiographie), un autre de la préface de "L'abominable institution", et le dernier d'une tribune intitulée " La colonisation fut coupable de pas mal de crimes".
En interprétant "L'hymne à l'amour", je me rappelais les mots de Cathy, l'une de ses héroïnes dans 'La Migration des coeurs' : "Lucinda, est-ce que tu crois qu’après la mort nous verrons ceux que nous aimions sur la terre ? Je sais que le ciel n’est pas pour moi. Je rêve d’un au-delà où nous serions enfin libres d’être nous-mêmes."
Par ce chant d'amour, nous souhaitions lui rendre hommage.
Merci à vous chère Maryse Condé