Bravo, super sujet ! J'ai regardé votre these après avoir regardé le débat d'Arte du 28mn " sommes-nous dans une guerre, des sexes ?" 😅. Il faudrait vous mettre en contact avec E. Quin pour prolonger le sujet du féminisme et du masculinisme.
Bravo ! Joli travail. Le propos est mesuré, j’apprécie. Surtout le passage sur l’homophobie héritée, assimilée et reproduite par une bonne partie de la communauté. Les gays ne sont pas suffisamment conscient de ça. J’ai moi même fais partie de plusieurs des catégories que vous évoquez; à différentes périodes de ma vie et je confirme tout ce que vous décrivez. J’espère vraiment que votre travail permettra de faire évoluer les gens au point de réaliser qu’on peut tous coexister sans se tirer dans les pattes. Qu’on peut même faire partie de plusieurs groupes et changer de casquette quand on le souhaite. Encore merci et bravo pour ce travail. Vous avez eu une bonne note au moins ?
Très interessant, merci beaucoup. Même si votre travail n'est pas orienté en ce sens, on constate tout de même, les rejets et les ressentiments qu'éprouvent certains homosexuels vis à vis du normatif.
Je suis partagé ; le but de votre travail est sociologique certes , mais il met malheureusement en place une enieme categorisation des individus . Je combat personnellement pour les termes communauté homosexuelle , LGBT , qui sont eux aussi des termes venus d’outre atlantique . Dans les années 70 , en Europe , la place de cette masculinité dont vous parlez existait peu , elle s’est développée par la suite , en même temps que la culture physique de la population générale y compris hétérosexuelle , avec un engouement général pour les salles de sports à partir des années 80 . Je ne vois aucune antinomie a priori entre homosexualité et virilité, contrairement l’objet de votre thèse . Le muscle ou la force n’ont à mon avis rien à voir avec la sexualité. Un individu est pluriel , multifacettaire. Vous décrivez ces individus , malgré votre désir d’impartialité , quasiment comme pathologiques , peut être en raison de certaines pratiques en groupe . Pour beaucoup, la culture du corps ne va pas jusqu’à ce type de manifestation , mais vers un désir de mieux être , comme cela existe chez les hommes hétérosexuels .
Merci pour votre commentaire, personellement en tant que homosexuel plutót viril et musclé, ancien maítre nageur entre autre, je ne m'associe pas aux rassemblements clichés cuir et fétiches, je fuis les gay prides dont j'estime qu'elles n'ont en rien d'étre fier et considére que les choix sexuels acquis ou innés ne représentent qu'un aspect de la personne et qu'il faut d'arréter de tout vouloir définir et catégoriser en collant des étiquettes á tout propos, ce qui est d'ailleurs récupéré par le commerce et le marketing dont je suis un expert pour mieux cibler et mieux vendre.
Parfois le contenant diffère comparé aux contenu , dans un sans comme dans l'autre . Mais l'équilibre parfaite n'existe pas . Souvent l'acceptation change la perseption envers soi même et de la part des autres . Commençons donc par trouver nôtre propre essence .
On parle souvent de l homophobie dans la société, mais les homosexuels eux mêmes rejettent tout signe de féminité ou absence de virilité stéréotypées. Il y a une recherche de la virilité archétypale. Les corps sont différents mais l esprit est le même
Bonjour et merci pour cet exposé très bien développer .Cependant ,comment peut-on faire appel au mot " dissociation" qui est un symptôme décrit dans le DSM 5, symptôme présent dans certaines pathologies psychiatrique, définit comme étant un mécanisme de défense du cerveau face à ce qu'il considère être un élément de danger, afin de se substituer momentanément à éviter l'effondrement psychique. Comment alors expliquer que l'homosexualité n'est pas perçu par le cerveau comme un danger tout en associant le mot " dissociation" ?. Sans préjugés ni supposés, je pose cette question pour chercher à comprendre les mécanismes de fonctionnement des personnes qui se revendiquent comme ayant une orientation homosexuelle et qui sont identifiés comme tels. Si l'homosexualisation n'essentialise pas :le corps/le genre et les rôles, sur quoi repose t-elle ? Sur quelles bases anthropologiques exactement ? (car l'anthropologie est plus directionnelle, structurelle et elle asa part de science dites science dure : une information basée sur des années précédent homo sapiens). Comment étudier un sujet aussi intime qui touche au corps humain, donc à notre incarnation en tant qu'individu homo Sapiens sans etre personnellement concerné ? et donc sans être partiale ? ( à moins de faire preuve de malhonnêteté intellectuelle). Chaque être humain est automatiquement personnellement touché ( certes a des degrés divers) quand il s'agit d'étudier sa propre essence en tant qu'individu. Merci beaucoup car c'est vraiment passionnant de chercher à comprendre.
Pardon mais vous ne parlez que du corps.D ailleurs on ne peut agir que de façon très limité sur son physique. On ne choisit pas d' être viril, grand musclé et poilu.Mais il y a aussi la virilité mentale, de la psyché , du comportement. La pensée virile existe aussi. Un homme très viril physiquement mais qui résonne comme une femme qu est-ce pour vous? La ça remet une couche sur l' idée que nous serions uniquement dans l univers de l apparence. Je doute que les hétéros moins virils que d autres se posent toutes ces questions...
Je ne partage votre vision. Être viril c'est avoir des muscles ou faire du sport? Il y a pas mal de généralités sans aller dans le détail, la remise en question ou de l'analyse poussée.
@@lesterburhnam7272 Al Pacino n'etait donc pas viril quand il a fait Scareface 🙄...c pour ça qu'on l'a choisi d'ailleurs. Il est temps d'arrêter d'enfermer la virilité dans les stéréotypes qui étaient inexistants il y a 50 ans. La muscu "virile" ça date des annés 1980 pour vendre des abonnements de salle de sport avec Schwarzy pour modele. Tant mieux pour ceux qui veulent y rester, ce n'est pas le cas de tout le monde.
Avoir des muscles est une des particularité de la virilité. Oui ! On ne peut pas le nier ! La testostérone y contribue (à avoir des muscles). C'est un particularisme de genre. Oui. Les homos (masculins) sont avant tout des hommes. On peut être musclé et ne pas se sentir viril aussi. On ne peut pas en tirer une généralité mais bel et bien une observation individuelle. C'est là où je suis d'accord avec votre désaccord : trop de généralités. j'aurais aimé avoir l'avis d'un homme hétérosexuel moins parti pris.
Euh parler d'accepté par TOUS les homosexuels c'est vraiment faire des généralités mensongère. C'est aussi stéréotypé que de dire tous les noirs ceci ou cela.
En plus d'homosexualité, il serait bien et aussi intéressant de parler d'homophilie ( le fait qu'un homme ait une attirance ' amoureuse pour un autre homme, sans parler tout de suite d'homosexualité, partie sexuelle de la relation homo.
@@749fghvbn Tu as raison c’est différent pas besoin d’être amoureux pour un homme d’être attiré par le même sexe cela peut être une attirance intellectuelle et ou physique vestimentaire style de beauté sans forcément être homosexuel
Ya quelques incohérences néanmoins. Mais c'est bien d'ouvrir la voie. J'habite Málaga, à côté de Torremolinos et.. effectivement vous étiez au bon endroit.
Merci monsieur beau travail 👍 votre thèse est très très bien👍👏👍👏🙏🙏
Une thèse très intelligent intéressant merci beaucoup 👏👍
Très bonne thèse, précise, concise et sans plonger dans les clichés. Bravo monsieur pour votre intelligence et votre pertinence.👏🏽👏🏽👏🏽👏🏽👏🏽
Bravo, super sujet ! J'ai regardé votre these après avoir regardé le débat d'Arte du 28mn " sommes-nous dans une guerre, des sexes ?" 😅. Il faudrait vous mettre en contact avec E. Quin pour prolonger le sujet du féminisme et du masculinisme.
En tant qu'hétéro, j'en ai beaucoup appris...
Très naturel. Je suis un homme et je veux me comporter comme un homme. Respect 👍🏻
ça ne dépend pas de toi mais de tes hormones et tes chromosomes. C'est ce que vous les machos vous ne comprenez pas.
Bravo ! Joli travail. Le propos est mesuré, j’apprécie. Surtout le passage sur l’homophobie héritée, assimilée et reproduite par une bonne partie de la communauté. Les gays ne sont pas suffisamment conscient de ça.
J’ai moi même fais partie de plusieurs des catégories que vous évoquez; à différentes périodes de ma vie et je confirme tout ce que vous décrivez.
J’espère vraiment que votre travail permettra de faire évoluer les gens au point de réaliser qu’on peut tous coexister sans se tirer dans les pattes. Qu’on peut même faire partie de plusieurs groupes et changer de casquette quand on le souhaite.
Encore merci et bravo pour ce travail. Vous avez eu une bonne note au moins ?
Très interessant, merci beaucoup. Même si votre travail n'est pas orienté en ce sens, on constate tout de même, les rejets et les ressentiments qu'éprouvent certains homosexuels vis à vis du normatif.
Je suis partagé ; le but de votre travail est sociologique certes , mais il met malheureusement en place une enieme categorisation des individus .
Je combat personnellement pour les termes communauté homosexuelle , LGBT , qui sont eux aussi des termes venus d’outre atlantique .
Dans les années 70 , en Europe , la place de cette masculinité dont vous parlez existait peu , elle s’est développée par la suite , en même temps que la culture physique de la population générale y compris hétérosexuelle , avec un engouement général pour les salles de sports à partir des années 80 .
Je ne vois aucune antinomie a priori entre homosexualité et virilité, contrairement l’objet de votre thèse . Le muscle ou la force n’ont à mon avis rien à voir avec la sexualité. Un individu est pluriel , multifacettaire. Vous décrivez ces individus , malgré votre désir d’impartialité , quasiment comme pathologiques , peut être en raison de certaines pratiques en groupe .
Pour beaucoup, la culture du corps ne va pas jusqu’à ce type de manifestation , mais vers un désir de mieux être , comme cela existe chez les hommes hétérosexuels .
Merci pour votre commentaire, personellement en tant que homosexuel plutót viril et musclé, ancien maítre nageur entre autre, je ne m'associe pas aux rassemblements clichés cuir et fétiches, je fuis les gay prides dont j'estime qu'elles n'ont en rien d'étre fier et considére que les choix sexuels acquis ou innés ne représentent qu'un aspect de la personne et qu'il faut d'arréter de tout vouloir définir et catégoriser en collant des étiquettes á tout propos, ce qui est d'ailleurs récupéré par le commerce et le marketing dont je suis un expert pour mieux cibler et mieux vendre.
Homophobe
Ce n’est pas le propos de son sujet mais merci de nous avoir donné votre avis.
Très bon sujet et très belle présentation
Beau travail, svp puisse-je avoir votre thèse pour mieux me documenter. 🙏
Sujet intéressant.
Pour en savoir plus, où pouvons-nous lire la thèse ?
Bonne question
Parfois le contenant diffère comparé aux contenu , dans un sans comme dans l'autre . Mais l'équilibre parfaite n'existe pas .
Souvent l'acceptation change la perseption envers soi même et de la part des autres .
Commençons donc par trouver nôtre propre essence .
Superbe travail
Belle etude
On parle souvent de l homophobie dans la société, mais les homosexuels eux mêmes rejettent tout signe de féminité ou absence de virilité stéréotypées. Il y a une recherche de la virilité archétypale.
Les corps sont différents mais l esprit est le même
Eh oui, énormément de mysogynie chez les gays!
Merci
Bonjour et merci pour cet exposé très bien développer .Cependant ,comment peut-on faire appel au mot " dissociation" qui est un symptôme décrit dans le DSM 5, symptôme présent dans certaines pathologies psychiatrique, définit comme étant un mécanisme de défense du cerveau face à ce qu'il considère être un élément de danger, afin de se substituer momentanément à éviter l'effondrement psychique.
Comment alors expliquer que l'homosexualité n'est pas perçu par le cerveau comme un danger tout en associant le mot " dissociation" ?.
Sans préjugés ni supposés, je pose cette question pour chercher à comprendre les mécanismes de fonctionnement des personnes qui se revendiquent comme ayant une orientation homosexuelle et qui sont identifiés comme tels.
Si l'homosexualisation n'essentialise pas :le corps/le genre et les rôles, sur quoi repose t-elle ? Sur quelles bases anthropologiques exactement ? (car l'anthropologie est plus directionnelle, structurelle et elle asa part de science dites science dure : une information basée sur des années précédent homo sapiens).
Comment étudier un sujet aussi intime qui touche au corps humain, donc à notre incarnation en tant qu'individu homo Sapiens sans etre personnellement concerné ? et donc sans être partiale ? ( à moins de faire preuve de malhonnêteté intellectuelle).
Chaque être humain est automatiquement personnellement touché ( certes a des degrés divers) quand il s'agit d'étudier sa propre essence en tant qu'individu.
Merci beaucoup car c'est vraiment passionnant de chercher à comprendre.
Définir les termes existants et ne pas en inventer permettrait de mieux comprendre le sujet
Pardon mais vous ne parlez que du corps.D ailleurs on ne peut agir que de façon très limité sur son physique. On ne choisit pas d' être viril, grand musclé et poilu.Mais il y a aussi la virilité mentale, de la psyché , du comportement. La pensée virile existe aussi. Un homme très viril physiquement mais qui résonne comme une femme qu est-ce pour vous? La ça remet une couche sur l' idée que nous serions uniquement dans l univers de l apparence.
Je doute que les hétéros moins virils que d autres se posent toutes ces questions...
Je ne partage votre vision. Être viril c'est avoir des muscles ou faire du sport? Il y a pas mal de généralités sans aller dans le détail, la remise en question ou de l'analyse poussée.
Ce n'est pas une vision mais une hypothèse de recherche😊
Un mec viril doit avoir un minimum de muscles. Etre viril et peser 47 kgs, comment dire ?
@@lesterburhnam7272 Al Pacino n'etait donc pas viril quand il a fait Scareface 🙄...c pour ça qu'on l'a choisi d'ailleurs.
Il est temps d'arrêter d'enfermer la virilité dans les stéréotypes qui étaient inexistants il y a 50 ans.
La muscu "virile" ça date des annés 1980 pour vendre des abonnements de salle de sport avec Schwarzy pour modele. Tant mieux pour ceux qui veulent y rester, ce n'est pas le cas de tout le monde.
Avoir des muscles est une des particularité de la virilité. Oui !
On ne peut pas le nier ! La testostérone y contribue (à avoir des muscles). C'est un particularisme de genre. Oui.
Les homos (masculins) sont avant tout des hommes.
On peut être musclé et ne pas se sentir viril aussi. On ne peut pas en tirer une généralité mais bel et bien une observation individuelle. C'est là où je suis d'accord avec votre désaccord : trop de généralités.
j'aurais aimé avoir l'avis d'un homme hétérosexuel moins parti pris.
@@lesterburhnam7272 les drags peuvent être musclées, et un pti gars tout sec peut dégager une sacrée virilité, donc, t'as pas les réf.
Euh parler d'accepté par TOUS les homosexuels c'est vraiment faire des généralités mensongère. C'est aussi stéréotypé que de dire tous les noirs ceci ou cela.
Homophobe
Ce n’est pas du tout ce qu’il dit. Soyons honnêtes, nous sommes tous composés de représentations collectives que nous acceptons tous inconsciemment.
En plus d'homosexualité, il serait bien et aussi intéressant de parler d'homophilie ( le fait qu'un homme ait une attirance ' amoureuse pour un autre homme, sans parler tout de suite d'homosexualité, partie sexuelle de la relation homo.
Bravo ❤
* homoromantique quoi
Absolument vrai 😊aussi
ça s'appelle l'asexualité, c'est à dire une attirance romantique sans attirance sexuelle.
@@749fghvbn Tu as raison c’est différent pas besoin d’être amoureux pour un homme d’être attiré par le même sexe cela peut être une attirance intellectuelle et ou physique vestimentaire style de beauté sans forcément être homosexuel
Bravo Mr. Excellente présentation
Ya quelques incohérences néanmoins.
Mais c'est bien d'ouvrir la voie.
J'habite Málaga, à côté de Torremolinos et.. effectivement vous étiez au bon endroit.