Bravo messieurs, il faut absolument que les différents courants "dissidents" français discutent et échangent ensemble, nous aimons beaucoup, bravo encore.
J'aime beaucoup Mr Pichon Olivier et ses analyses.Merci Mr Verhaeghe de vos bousculade amicale.Un entretien de qualité sur comment prendre nos responsabilité.Merci
Dialogue truculent entre deux personnes aimables et intelligentes, mais avec des écarts de point de vue ... mais dans le respect réciproque ! c'est un pur plaisir :) Merci Messieurs 🙏🙏👍
Quel plaisir que celui d'être stimulé intellectuellement, cérébralement, grâce à un débat. Moi, petit prolo, ces petits scrupules qui composent le vulgus... Entre le ressentiment, la capacité de décision qui renvoie à la liberté, l'éducation ou l'instruction, nationale ou pas, il y a tellement de choses à dire. Mon avis, outre ces quelques sujets abordés, va se porter sur le temps et la volonté, le conditionnement, la sémantique, la transcendance, la cause du ressentiment et la cause de celle-ci. Y a-t-il une fin à cette recherche et sommes-nous toujours dans un ressentiment ? Le ressentiment n'est-il pas une paresse intellectuelle qui s'arrête là où se trouvent ce que l'on croit être nos intérêts ? Mme Stiegler, qui est une femme brillante selon moi, parle du ressentiment : est-ce une structure de notre vocabulaire ? De notre grammaire ? Ou une pulsion populaire encadrée par des mots qui nous font imaginer ? Une chose est sûre, ce commentaire devient trop long. Je finirai par dire que les médias et l'opposition en général omettent les solutions de leurs critiques. Apprenez le grec et le latin ; ce n'est pas avec mes collègues d'atelier que j'aurais une discussion profonde sur tous ces sujets. Votre travail est remarquable, continuez ainsi. Merci.
Entretien constructif et intéressant, et qui met en exergue les contradictions et l'absence de vision cohérente des différents courants "conservateurs". Si les constats sur les dysfonctionnements et contradictions du système globalisé actuel, avec sa déclinaison française sont partagés, pour autant il ne semble pas se dégager du côté "conservateur" de vision alternative cohérente, où la tendance est de vouloir tout et son contraire, et pas seulement sur les aspects économiques. Le courant libertarien offre lui une vision plus cohérente, mais dans quelle mesure et sous quelle forme pourrait -il trouver une traduction compatible avec le logiciel et l'esprit français qui est de longue tradition très étatiste, c'est la quadrature du cercle qu'il faudra bien resoudre à un moment donné...
Il faut sortir de l’euro, mais ce n’est pas possible pour le moment. Il faut d’abord réduire les dépenses publiques pour retrouver un budget à l’équilibre et avoir un minimum des souveraineté pour décider de notre avenir.
Le bruxite, c’est refusé les règles d'un club dogmatique et ne plus payer que la moitié des cotisations, si vous pensez que c'est raisonnablement possible, arrêtez de lire des livres de théorie économique, ça vous a fait perdre tout sens des réalités.
Un grand merci à vous deux Eric et Olivier, ces échanges sont un vrai régal, j’espère que nous aurons l’occasion de vous revoir débattre à nouveau.
Merci 🙏 excellent entretien. M. Verhaeghe vous « titiller » vraiment votre invité.
Bon sang, laissez répondre l'invité !
Bravo messieurs, il faut absolument que les différents courants "dissidents" français discutent et échangent ensemble, nous aimons beaucoup, bravo encore.
J'aime beaucoup Mr Pichon Olivier et ses analyses.Merci Mr Verhaeghe de vos bousculade amicale.Un entretien de qualité sur comment prendre nos responsabilité.Merci
Dialogue truculent entre deux personnes aimables et intelligentes, mais avec des écarts de point de vue ... mais dans le respect réciproque ! c'est un pur plaisir :) Merci Messieurs 🙏🙏👍
Bravo à tous les deux. Un entretien très instructif
Quel plaisir que celui d'être stimulé intellectuellement, cérébralement, grâce à un débat. Moi, petit prolo, ces petits scrupules qui composent le vulgus... Entre le ressentiment, la capacité de décision qui renvoie à la liberté, l'éducation ou l'instruction, nationale ou pas, il y a tellement de choses à dire. Mon avis, outre ces quelques sujets abordés, va se porter sur le temps et la volonté, le conditionnement, la sémantique, la transcendance, la cause du ressentiment et la cause de celle-ci. Y a-t-il une fin à cette recherche et sommes-nous toujours dans un ressentiment ? Le ressentiment n'est-il pas une paresse intellectuelle qui s'arrête là où se trouvent ce que l'on croit être nos intérêts ? Mme Stiegler, qui est une femme brillante selon moi, parle du ressentiment : est-ce une structure de notre vocabulaire ? De notre grammaire ? Ou une pulsion populaire encadrée par des mots qui nous font imaginer ? Une chose est sûre, ce commentaire devient trop long. Je finirai par dire que les médias et l'opposition en général omettent les solutions de leurs critiques. Apprenez le grec et le latin ; ce n'est pas avec mes collègues d'atelier que j'aurais une discussion profonde sur tous ces sujets. Votre travail est remarquable, continuez ainsi. Merci.
MERCI Mr Verhaeghe ! Quelle joie de retrouver MR PICHON ! Cela fait longtemps que je ne l'avais pas écouter. Comment va t il ? Bien à vous.
Votre idée de ménage entreprise est excellente.
Entretien constructif et intéressant, et qui met en exergue les contradictions et l'absence de vision cohérente des différents courants "conservateurs". Si les constats sur les dysfonctionnements et contradictions du système globalisé actuel, avec sa déclinaison française sont partagés, pour autant il ne semble pas se dégager du côté "conservateur" de vision alternative cohérente, où la tendance est de vouloir tout et son contraire, et pas seulement sur les aspects économiques. Le courant libertarien offre lui une vision plus cohérente, mais dans quelle mesure et sous quelle forme pourrait -il trouver une traduction compatible avec le logiciel et l'esprit français qui est de longue tradition très étatiste, c'est la quadrature du cercle qu'il faudra bien resoudre à un moment donné...
Ah il est remonté, l’Éric ! Blague à part, l’échange est nécessaire et utile, bravo.
Il faut sortir de l’euro, mais ce n’est pas possible pour le moment. Il faut d’abord réduire les dépenses publiques pour retrouver un budget à l’équilibre et avoir un minimum des souveraineté pour décider de notre avenir.
Vous avez raison quoiqu on dise, il faut prendre la hache et couper....
Ah oui Azalbert a travaillé chez mckinsey !
Bien sûr il ne l'a jamais caché
@@brig8764 je l'ignorais, j'en prends note en tout cas !
Cest qui charles gave ?
Salutations, j'ai bien aimé un iraqien mais chrétien faut le préciser.😅
Le bruxite, c’est refusé les règles d'un club dogmatique et ne plus payer que la moitié des cotisations, si vous pensez que c'est raisonnablement possible, arrêtez de lire des livres de théorie économique, ça vous a fait perdre tout sens des réalités.