La musique des plantes - Renaud Ruhlmann

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  • Опубликовано: 22 янв 2025
  • La musique des plantes. Renaud Ruhlmann, Marc Henry, professeur de physique quantique, Jean Thoby, pépiniériste et musiniériste à Caujacq, Alberto Forte, psychiatre et psychothérapeute au centre Almaval Bois Genoud à Crissier près de Morges, Michèle Courant, mathématicienne à l’Université de Fribourg en Suisse, Ernst Sucker, ingénieur forestier et chronobiologue à Zurich, Laurent Vandajon, spécialiste du plasma marin et de chimie marine, les génodiciens Pedro Ferrandiz et Victor Prévost, forment une équipe de recherches appliquées en phytoneurologie, soudée par le même amour de la nature et la même ambition de comprendre comment communiquer avec les plantes grâce à la traduction sonore de leurs activités électriques. Outre le plaisir magique d’écouter les mélodies secrètes du monde végétal, deux buts se distinguent : aider l’agriculture afin qu’il n’y ait plus de pesticides ni de produits phytosanitaires, puisque les plantes, grâce à ces nouvelles recherches scientifiques, peuvent dorénavant, par l’intermédiaire des protéodies (déclinaison des mots protéine et mélodie), décrire leurs besoins et leurs manques en acides aminés ou encore si elles sont en stress hydrique. Une révolution pour les exploitants agricole qui cultivent en permaculture, biodynamie ou agroécologie. Également un but thérapeutique car les chants et les sonorités des plantes, riches en propriétés médicales que l’on retrouve déjà dans les huiles essentielles ou la phytothérapie, peuvent aider les êtres humains victimes de pathologies neuropsychologiques à réduire leur stress, angoisses et névroses, afin d’entrer dans un bien-être salvateur.
    Marcelline l’aubergine et l’écrivain Sylvie Bourgeois Harel ont été enchantées et émerveillées de rencontrer Renaud Ruhlmann venu faire une conférence au Festival de la Forêt à La Garde Freinet, au cœur du massif des Maures, dans le Golfe de Saint-Tropez. Accompagné de sa fougère, plante ancestrale, riche de sagesse et de mémoires, Renaud a expliqué comment grâce à un appareil issu de la technologie du détecteur de mensonges inventé par le Canadien John Augustus Larson en 1921, il y a une dizaine d’années, Frédérique et Jean Thoby ont été les pionniers et les premiers en France, à faire partager et à écouter au grand public les variations électriques des plantes obtenues par une stimulation physiologique et biologique, et traduites ensuite simultanément grâce à un logiciel informatique relié à un appareil composé de deux électrodes, l’une plantée dans la terre pour être en contact avec les variations racinaires, l’autre accrochée à une feuille, en notes de musique. Le plus étonnant est que les partitions jouées par ces fleurs musiciennes sont très mélodieuses, dignes de grands compositeurs tels que Bach, Mozart, Beethoven, Debussy, dont on retrouve d’ailleurs des thèmes propres et spécifiques qu’à leurs compositions. La nature a certainement réussi à les inspirer !
    Le terme protéodie a été créé par Joël Sternheimer (ingénieur à la tête de Genodics) et breveté en 1993 pour désigner un phrasé musical créé par la plante. L’invention de ce procédé de régulation épigénétique de biosynthèse des protéines par résonance d’échelle est dans le domaine public depuis 2013. Sa théorie postule qu’à chaque acide aminé sont associées certaines ondes pouvant être transcrites en notes de musique qui permettraient d’agir par la suite directement sur la production de la protéine. La diffusion d’une protéodie, par le biais d’une musique choisie, peut donc favoriser la synthèse d’une protéine qui peut, à son tour, favoriser sa production par la plante et, en conséquence, encourager sa fonction biologique qui lui est associée. Grâce à ces partages d’informations, inversement, la diffusion d’une autre protéodie peut inhiber la synthèse de cette protéine. La musique des plantes ou comment soigner les arbres, les vignes, les cultures par la musique en entrant en dialogue intime avec l’organisme végétal afin d’influencer leur évolution et leur bonne santé puisque lors du processus des protéines, les acides aminés produisent des notes.
    Du 13 au 17 août 2022, rendez-vous au plantarium du château de Caujacq, 125 route de Bastennes, 40330 Caujacq, dans Les Landes pour le Festival International de la Musique des Plantes, sous la caution de plusieurs scientifiques, où se retrouveront les passionnés de sylvothérapie, biomimétisme, études des cycles et mouvements de la lune et du soleil, fonctionnement interne et physiologique des arbres, neurobiologie, génodie, application génodique, recherches sur les algues, fréquence musicale de l’eau, de l’univers, des astres, herboristerie sonore, musicothérapie botanique, études des ondes issues de l’activité des gènes des plantes.

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