Pour un prochain urbex, je conseille le fort de Dogneville dans les Vosges , il en vaut vraiment la peine d'y faire une exploration et une video ! Et le top du top c'est d'y aller la nuit à 4 maxi ! Comme on a pu le faire avec 2 de mes potes !
Pour l avoir déjà fait c est une expérience incroyable ! Les sous sols font vraiment bader .. En l ayant fait jeune j avais cette peur de tomber sur les propriétaires 😅
dans le " temps " il y a avait un souterrain qui partait approximativement ou maintenant il y a la zone industrielle de frouard, jusqu'à l'intérieur du fort....
Une adolescente âgée de 15 ans s’est tuée samedi après être passée à travers le toit d’une usine désaffectée à Unieux (Loire) et une autre de 17 ans a été grièvement blessée. Les deux victimes faisaient partie d’un groupe de quatre jeunes qui pratiquaient l’urbex, entrés par effraction dans une usine qui a fermé ses portes en 2010. La semaine dernière, dans la nuit du 21 au 22 avril, un lycéen de 17 ans s’est également tué dans le cadre de cette pratique. Il a chuté de l’Hôtel-Dieu, à Lyon, d’où il voulait photographier le lever de soleil. Des lieux abandonnés ou interdits Découverte de lieu atypique, recherche d’adrénaline ou recherche de notoriété sur les réseaux sociaux sont autant de facteurs qui ont popularisé l’urbex. L’acronyme anglophone, tiré de la contraction « urban » et « exploration », peut être traduit par l’exploration de friches urbaines. Carrières souterraines, usines désaffectées, toits… la pratique pousse les amateurs de sensations fortes à s’aventurer dans des zones où les structures sont parfois fragiles et non entretenues. Il n’est pas rare qu’un plancher, un escalier ou un toit cède sous le poids d’une ou plusieurs personnes. Outre les risques d’effondrement, ces lieux abandonnés ou interdits d’accès peuvent être inondés et des produits chimiques dangereux peuvent s’y trouver. « Cette pratique peut être d’autant plus dangereuse que les personnes pratiquant l’urbex comptent parmi elles de plus en plus d’adolescents, voire d’enfants, à la suite de la médiatisation récente de vidéos sensationnalistes sur la plateforme RUclips », relevait la députée Caroline Janvier en 2019 dans une question au gouvernement. Un public parfois moins enclin à faire attention aux normes de sécurité. Si le risque zéro n’existe pas dans l’urbex, Aude Le Gallou, docteure en géographie également adepte de cette pratique, recommande sur franceinfo de ne jamais partir en exploration seul, d’être correctement équipé, avec des chaussures et des vêtements adaptés, et surtout, d’être attentif tout le temps. Un risque d’amende ou d’une peine de prison Illégal en France, l’urbex peut faire l’objet d’une condamnation. L’article 226-4 du Code pénal punit ainsi « l’introduction dans le domicile d’autrui à l’aide de manœuvres, menaces, voies de fait ou contrainte, hors les cas où la loi le permet » d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende. L’article 322-1 du même code note précise que « la destruction, la dégradation ou la détérioration d’un bien appartenant à autrui est punie de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende, sauf s’il n’en est résulté qu’un dommage léger ».avis aux trou du cul
Faudra qu'on y retourne au fort, c'était trop cool 😮
Elle était belle la vidéo 😮
Pour un prochain urbex, je conseille le fort de Dogneville dans les Vosges , il en vaut vraiment la peine d'y faire une exploration et une video ! Et le top du top c'est d'y aller la nuit à 4 maxi ! Comme on a pu le faire avec 2 de mes potes !
Pour l avoir déjà fait c est une expérience incroyable ! Les sous sols font vraiment bader ..
En l ayant fait jeune j avais cette peur de tomber sur les propriétaires 😅
dans le " temps " il y a avait un souterrain qui partait approximativement ou maintenant il y a la zone industrielle de frouard, jusqu'à l'intérieur du fort....
Une adolescente âgée de 15 ans s’est tuée samedi après être passée à travers le toit d’une usine désaffectée à Unieux (Loire) et une autre de 17 ans a été grièvement blessée. Les deux victimes faisaient partie d’un groupe de quatre jeunes qui pratiquaient l’urbex, entrés par effraction dans une usine qui a fermé ses portes en 2010.
La semaine dernière, dans la nuit du 21 au 22 avril, un lycéen de 17 ans s’est également tué dans le cadre de cette pratique. Il a chuté de l’Hôtel-Dieu, à Lyon, d’où il voulait photographier le lever de soleil.
Des lieux abandonnés ou interdits
Découverte de lieu atypique, recherche d’adrénaline ou recherche de notoriété sur les réseaux sociaux sont autant de facteurs qui ont popularisé l’urbex. L’acronyme anglophone, tiré de la contraction « urban » et « exploration », peut être traduit par l’exploration de friches urbaines.
Carrières souterraines, usines désaffectées, toits… la pratique pousse les amateurs de sensations fortes à s’aventurer dans des zones où les structures sont parfois fragiles et non entretenues. Il n’est pas rare qu’un plancher, un escalier ou un toit cède sous le poids d’une ou plusieurs personnes. Outre les risques d’effondrement, ces lieux abandonnés ou interdits d’accès peuvent être inondés et des produits chimiques dangereux peuvent s’y trouver.
« Cette pratique peut être d’autant plus dangereuse que les personnes pratiquant l’urbex comptent parmi elles de plus en plus d’adolescents, voire d’enfants, à la suite de la médiatisation récente de vidéos sensationnalistes sur la plateforme RUclips », relevait la députée Caroline Janvier en 2019 dans une question au gouvernement. Un public parfois moins enclin à faire attention aux normes de sécurité.
Si le risque zéro n’existe pas dans l’urbex, Aude Le Gallou, docteure en géographie également adepte de cette pratique, recommande sur franceinfo de ne jamais partir en exploration seul, d’être correctement équipé, avec des chaussures et des vêtements adaptés, et surtout, d’être attentif tout le temps.
Un risque d’amende ou d’une peine de prison
Illégal en France, l’urbex peut faire l’objet d’une condamnation. L’article 226-4 du Code pénal punit ainsi « l’introduction dans le domicile d’autrui à l’aide de manœuvres, menaces, voies de fait ou contrainte, hors les cas où la loi le permet » d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende. L’article 322-1 du même code note précise que « la destruction, la dégradation ou la détérioration d’un bien appartenant à autrui est punie de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende, sauf s’il n’en est résulté qu’un dommage léger ».avis aux trou du cul