Je dirais même que, dans la situation de vouloir changer quelqu'un qui n'en a pas encore décidé ainsi ou de vouloir toujours contrôler son enfant et son environnement, nous finissons par vivre constamment dans la frustration et dans la peur. Ne pas réussir à changer une personne qui ne le souhaite pas peut nous pousser à nous remettre en question alors que ce n'est pas notre rôle à la base. Et concernant les enfants, je vis cette situation où il est difficile de lâcher prise avec nos schémas d'éducation, mais je ne veux pas vivre dans la peur le jour où ils partiront et où, d'un coup, je ne contrôlerai plus rien. Je ne veux pas passer mes derniers jours à avoir peur, comme certains de nos parents.
Moi ce qui m'inspire, c'est votre diction, votre débit de parole *. Pas de "balistique" de la parole. La parole n'est pas faite pour atteindre, pour toucher, impacter mais pour partager, réunir, questionner. J'aime vos sliences dans ce monologue. J'aime les gens qui ne se sentent pas obliger de combler les vides avec des formules creuses. Un style dépouillé, c'est peut-être là l'essentiel. Quant au sujet traité, il y a tellement à dire... * Me revient en tête une phrase de Philippe Noiret dans un film dont j'ai oublié le titre et que je cite de tête : "Mais qu'est ce qu'ils ont tous à s'exciter comme ça ? Faut prendre le temps de prendre son temps, c'est ça, la vie"
14 дней назад
Merci pour tes témoignages poignants. Cela m'a fait écho et suis entièrement d'accord avec ton analyse perspicace. Je t'ai découvert comme écrivain et conteur.... Quel talent ! Je m'empresse de visionner tes autres vidéos. Cela réconforte de se sentir en adéquation. Merci
Nos sommes tellement nombreux, mais tellement peu ecouter et considérer que l'on fini par rentrer dans le moule du conformisme, et a contre coeur, ce qui nous tue a petit feu. Plus il y aura de personne comme lui, plus nous eleverons nos voix pour dire tout ceux qui se cache encore du regard juge même bienveillant des autre. Alors nous nous porterons tous mieux, à commencer par nos enfant à qui, comme nous, ont prive de l'apprentissage de l'acceptation de nos emotions, de nos ressentis, de nos différence. Vous n'êtes pas seul.
Je trouve qu'il y a de la tristesse dans ta voix.. D'après ce que j'écoute ce que tu nous dis voilà les conclusions. Tu es piloter par dépendance affective tu reproduis des schémas éducationnel, pour mériter l'amour et l'attention de papa je dois lui faire plaisir, du coup à l'âge adulte quand tu aimes quelqu'un ou tu veux être aimé tu penses qu'il faut que tu gagnes cet amour cette attention comme il a fallu que tu le fasses avec ton père. Le problème ce n'est pas toi le problème à la base c'est ton père qui ne t'aime pas de façon inconditionnelle.
je suis conscient de cela : j'ai fait un thérapie et je suis sorti de la dépendance affective ;) je posterai d'ailleurs une vidéo sur le sujet bientôt. Merci pour ton message (la tristesse dans la voix, c'est dû à une forme d'épuisement dans mon ancien boulot. Mais je suis parti depuis)
Je dirais même que, dans la situation de vouloir changer quelqu'un qui n'en a pas encore décidé ainsi ou de vouloir toujours contrôler son enfant et son environnement, nous finissons par vivre constamment dans la frustration et dans la peur. Ne pas réussir à changer une personne qui ne le souhaite pas peut nous pousser à nous remettre en question alors que ce n'est pas notre rôle à la base. Et concernant les enfants, je vis cette situation où il est difficile de lâcher prise avec nos schémas d'éducation, mais je ne veux pas vivre dans la peur le jour où ils partiront et où, d'un coup, je ne contrôlerai plus rien. Je ne veux pas passer mes derniers jours à avoir peur, comme certains de nos parents.
Moi ce qui m'inspire, c'est votre diction, votre débit de parole *. Pas de "balistique" de la parole. La parole n'est pas faite pour atteindre, pour toucher, impacter mais pour partager, réunir, questionner. J'aime vos sliences dans ce monologue. J'aime les gens qui ne se sentent pas obliger de combler les vides avec des formules creuses. Un style dépouillé, c'est peut-être là l'essentiel. Quant au sujet traité, il y a tellement à dire...
* Me revient en tête une phrase de Philippe Noiret dans un film dont j'ai oublié le titre et que je cite de tête : "Mais qu'est ce qu'ils ont tous à s'exciter comme ça ? Faut prendre le temps de prendre son temps, c'est ça, la vie"
Merci pour tes témoignages poignants. Cela m'a fait écho et suis entièrement d'accord avec ton analyse perspicace. Je t'ai découvert comme écrivain et conteur.... Quel talent !
Je m'empresse de visionner tes autres vidéos. Cela réconforte de se sentir en adéquation. Merci
Coucou, merci pour tes vidéos .
A Vs écouter on se sent moins seul, vous ns faites du bien. Merci
Nos sommes tellement nombreux, mais tellement peu ecouter et considérer que l'on fini par rentrer dans le moule du conformisme, et a contre coeur, ce qui nous tue a petit feu. Plus il y aura de personne comme lui, plus nous eleverons nos voix pour dire tout ceux qui se cache encore du regard juge même bienveillant des autre. Alors nous nous porterons tous mieux, à commencer par nos enfant à qui, comme nous, ont prive de l'apprentissage de l'acceptation de nos emotions, de nos ressentis, de nos différence. Vous n'êtes pas seul.
Je trouve qu'il y a de la tristesse dans ta voix..
D'après ce que j'écoute ce que tu nous dis voilà les conclusions.
Tu es piloter par dépendance affective tu reproduis des schémas éducationnel, pour mériter l'amour et l'attention de papa je dois lui faire plaisir, du coup à l'âge adulte quand tu aimes quelqu'un ou tu veux être aimé tu penses qu'il faut que tu gagnes cet amour cette attention comme il a fallu que tu le fasses avec ton père.
Le problème ce n'est pas toi le problème à la base c'est ton père qui ne t'aime pas de façon inconditionnelle.
je suis conscient de cela : j'ai fait un thérapie et je suis sorti de la dépendance affective ;) je posterai d'ailleurs une vidéo sur le sujet bientôt. Merci pour ton message (la tristesse dans la voix, c'est dû à une forme d'épuisement dans mon ancien boulot. Mais je suis parti depuis)