Mon père qui a travaillé 40 ans en studio me disait toujours que le métier d'ingé son c'était 20% de technique et 80% de psychologie. J'ai d'ailleurs entendu un autre ingé son dire la même chose sur la chaîne devenir ingé son. C'est tellement vrai.
Tout à fait d’accord avec ton propos. Les discussions préalables me semblent déterminantes… voir si déjà humainement c’est possible et si les visions artistiques peuvent concorder… on touche à l’intime, à l’ego… la notion psychologique et la bienveillance réciproques sont de mise… en tant qu’artiste j’ai toujours soigné la relation avec l’ingé son… jauger la capacité de celui ci à s’investir, bien expliquer ce qu’on veut et ce qu’on attend (si tant est qu’on le sache). Lui Permettre aussi de savoir s’il veut/peut travailler dans ce cadre. On est pas dans une prestation de service lambda… On oublie trop souvent qu’il est un agent artistique qui peut pousser votre “vision” au delà de ce qu’on peut faire soit même… dans l’histoire de la musique derrière un grand groupe, un grand album, il y a toujours un grand mixeur… Alan Parson, Brendan O’Brien, Andy Wallace, Steve Albini, Nigel Godrich…
ça ressemble plus à de la gestion de crise que du relationnel client non? Personnellement je suis pour le fait d'utiliser le terme "Client" car ça permet de s'extraire de l'aspect personnel, même de la cas de critiques mal formulées. De ce fait, il n'y a pas de question d'égo ou de qui à raison (on sait que c'est toujours le client). Ce qui n'est jamais expliqué en école de son, et qu'il faut comprendre, c'est que même si on utilise les mêmes mots, le vocabulaire d'un artiste/musicien ne correspond pas à celui d'un technicien. Il faut réussir à décoder ce qu'il y a derrière le mot utilisé, le plus souvent ce n'est pas une question de son, mais d'expressivité. Depuis que j'ai compris et appliqué ça, je me retrouve avec 1 à 2 révisions max par titre, le reste du temps on me répond juste "Parfait". On fait toujours l'erreur de penser la relation client sur un aspect psychologique, hors cela implique, d'une certaine manière, qu'on se met en position de manipuler l'artiste/musicien afin de l'amené là où nous projetons qu'il veux/doit aller. C'est ça qui provoque des clashs, sur l'instant la personne peut être déstabilisé et aller dans votre sens, avec le recul l'insatisfaction et la frustration seront plus grandes. C'est de la communication qu'il faut mettre en place! Cela implique qu'on soit à 100% à l'écoute, mettre de côté ses propres projections, et faire le travail de décoder son langage afin d'être en mesure de traduire ses attentes en solutions techniques adaptées. Si le client vous dit que sa guitare n'est pas assez médium, ne touchez pas de suite le bouton de l'EQ et relâchez peut-être un peu l'attaque du compresseur afin de libérer des transitoires, ce qui lui manque c'est peut-être juste du mordant. 99% du temps lors d'une crise c'est juste une question d'incompréhension mutuelle et de la frustration, 100% du temps c'est à vous qu'incombe le fait de jouer le rôle le médiateur entre les volontés artistique et ce qui est retranscrit sur la bande.
Ça s’appelle le commerce tout ça! Oui, tu peux qualifier tes interlocuteurs de «clients », puisque tu réalises une prestation facturée, et donc supposément professionnelle. Effectivement, lorsque tu réalises une prestation, c’est mieux de cerner les attentes de son client, et s’en remettre aux missions qui te sont conférées. Fatalement, si tu confrontes un client à tes propres choix, tu t’exposes au risque de lui générer une angoisse. Moralité, le meilleur des conseils pour éviter ce genre de relation, c’est de communiquer avec ses clients avant même de se mettre au travail, de manière à l’impliquer des le début du process…
Perso, si c'est moi qui ai pris la mauvaise direction, alors je ne facture pas. Maintenant s'il me dit que c'est top et apres 3 jours qu'il faut tout refaire...alors la oui
J'ai toujours eu un peu de mal avec les techniciens qui se prennent pour des artistes. Ce que j'attends d'un technicien ce sont ses compétences techniques justement, compétences que je n'ai pas. Quand un technicien commence à me parler comme s'il était artiste, je commence à avoir des doutes sur ses compétences. Je sais que ça ne plait pas d'entendre ça et je garde généralement la chose pour moi. Mais au fond j'ai plus de respect pour un technicien qui a conscience de ses limites artistiques et sait rester à sa place. Et des limites artistiques, les techniciens en ont, forcément, sinon ils seraient de l'autre côté dans le métier. D'ailleurs c'est très rare de rencontrer un ingé son qui n'ait pas au début été musicien lui-même et qui n'a pas persévéré en ce sens (perso, je n'en connais pas). Voilà, je considère que pour que tout se passe bien relationnellement, il faut que l'ingé son se souvienne de ça : de pourquoi il a choisi de ne plus être artiste. Les rares fois ou ça c'est mal passé, c'est quand javais le sentiment que l'ingé son considérait que ma musique était devenue sa musique. Ce qui est archi faux dans le processus créatif. Ma musique, c'est ma musique et le reste du début à la fin ! Le comble c'est l'ingé son/technicien qui a un égo d'artiste tellement gros qu'il va même jusqu'à demander un pourcentage des droits sur les titres. Là avec moi ça démarre sur de mauvaises bases. 😅 Voilà, l'idée générale pour que tout se passe bien relationnellement, il faut qu'un technicien sache rester un technicien et qu'il ait conscience dans son travail de son statut.
question toute bete...si le "technicien" ne doit pas ajouter d'element artistique, alors dans quelle mesure lorsqu'il recoit un mix, peut-il ajouter de l'egalisation, compression, reverbaration, delays etc ???? Je suis d'accord sur le fait qu'il doit eviter de toucher a l'arrangement (c'est le travail de l'artiste et du directeur artistique), mais de fait chaque element qu'il va ajouter est en soit un choix artistique.
C'est simple. L'ingé son "n'apporte pas de matière" musicale, il la travaille. Dans mon esprit, même si ça doit être fait avec goût et élégance, j'ai jamais considéré que caler un délai, régler un volume ou ajuster un compresseur était une opération artistique. Du moins, pas au point de prétendre à quelconque légitimité sur les droits d'un titre. L'ingé son n'est pas un arrangeur. Enfin soyons sérieux ! Je crois que beaucoup de l'incompréhension vient de là, certains ingé son avec de gros égo notamment se prennent pour des artistes... Certains sont orfèvres dans leur domaine mais artiste, non ! @@lessecretsduson
@@leareminder3893 caler un délai, régler un volume ou ajuster un compresseur est une operation artistique !!! envoie ton titre a mixer par 5 inges sons et tu auras 5 mixs differents car chacun va y apporter sa modeste touche personnelle, l'inge son n'est pas un arrangeur en effet mais grace a son talent, grace a son art de mixer il va sublimer le titre, c'est exactement comme de la cuisine, donne des ingredients a un chef etoile, il en ferra des merveilles, donne les memes ingredients a un cuistot peu experimente et il en ferra du mcdo.... PS: en pensant et en considerant les inges son de cette maniere tu ne vas pas te faire particulierement aimer de nous....
Je crois que je l'ai déjà dit sur une autre de tes vidéos. Pour moi "le mixage est à la musique ce que l'encadrement d'art est à la peinture". Évidement qu'un joli cadre met en valeur le tableau et que c'est mieux d'avoir un joli cadre pour l'exposer. Mais fondamentalement est-ce que les gens regardent le cadre quand, ils vont au musée ? Non. Certains ingés son ont du mal avec ça, C'est aussi simple que ça. Effectivement, certains ne m'apprécient pas beaucoup justement parce qu'ils ont un égo que j'estime déplacé. Mais d'autres qui comprennent ce que j'attends d'eux me trouvent très pro et apprécient justement de se retrouver dans une position où ils se sentent très à l'aise dans leur métier. Quelque part, c'est un peu le sujet de ta vidéo. : Comment faire pour qu'un ingé son se sente à l'aise dans son métier. Et c'est très simple, en premier lieu savoir pourquoi on l'a embauché. @@lessecretsduson
@@leareminder3893 j'espère que tu bosses avec des inges son qui ne lisent pas ce que tu écris...c'est juste que c'est peu respectueux de notre profession
Heuuu "ne vous faites pas payer!"..........merci France Travail! Scabreux comme sujet, un peu déontologique. Le fonctionnement, genre, d"un 1176 c'est moins tendu non?
Tu fais comme tu veux, s'il m'arrive de mixer un titre et que je me plante complètement de direction, je le refais sans facturer 2 fois....après c'est ma vision des choses, j'aime être réglo avec le client. Si tu vas au resto et que c'est dégueulasse tu commandes un autre plat et tu payes les 2 ?
Salut Je ne suis pas entièrement d'accord sur le fait d'être juste un réalisateur, il y a une bonne part artistique que tu insuffles au titre en y mettant ton son, certes ça reste sous le contrôle du producteur artistique. On choisit bien un mixeur pour son approche du son et de la musique
Playlist de differents mixs:
ruclips.net/p/PLkWklNhWZ3pMMB4cJJi0fZ1Ty59Gjf2hI&si=8IgOj7eGTJHb6tuJ
Merci pour ces bons conseils !
Avec plaisir !!
Mon père qui a travaillé 40 ans en studio me disait toujours que le métier d'ingé son c'était 20% de technique et 80% de psychologie. J'ai d'ailleurs entendu un autre ingé son dire la même chose sur la chaîne devenir ingé son. C'est tellement vrai.
Très bon sujet, le relationnel est très important !
Merci Beaucoup J'ai beaucoup appris
Top !!!
Merci vraiment pour tes conseils !!!!!!
Top!!!
Tout à fait d’accord avec ton propos.
Les discussions préalables me semblent déterminantes… voir si déjà humainement c’est possible et si les visions artistiques peuvent concorder… on touche à l’intime, à l’ego… la notion psychologique et la bienveillance réciproques sont de mise… en tant qu’artiste j’ai toujours soigné la relation avec l’ingé son… jauger la capacité de celui ci à s’investir, bien expliquer ce qu’on veut et ce qu’on attend (si tant est qu’on le sache). Lui Permettre aussi de savoir s’il veut/peut travailler dans ce cadre. On est pas dans une prestation de service lambda… On oublie trop souvent qu’il est un agent artistique qui peut pousser votre “vision” au delà de ce qu’on peut faire soit même… dans l’histoire de la musique derrière un grand groupe, un grand album, il y a toujours un grand mixeur…
Alan Parson, Brendan O’Brien, Andy Wallace, Steve Albini, Nigel Godrich…
ça ressemble plus à de la gestion de crise que du relationnel client non?
Personnellement je suis pour le fait d'utiliser le terme "Client" car ça permet de s'extraire de l'aspect personnel, même de la cas de critiques mal formulées.
De ce fait, il n'y a pas de question d'égo ou de qui à raison (on sait que c'est toujours le client).
Ce qui n'est jamais expliqué en école de son, et qu'il faut comprendre, c'est que même si on utilise les mêmes mots, le vocabulaire d'un artiste/musicien ne correspond pas à celui d'un technicien. Il faut réussir à décoder ce qu'il y a derrière le mot utilisé, le plus souvent ce n'est pas une question de son, mais d'expressivité.
Depuis que j'ai compris et appliqué ça, je me retrouve avec 1 à 2 révisions max par titre, le reste du temps on me répond juste "Parfait".
On fait toujours l'erreur de penser la relation client sur un aspect psychologique, hors cela implique, d'une certaine manière, qu'on se met en position de manipuler l'artiste/musicien afin de l'amené là où nous projetons qu'il veux/doit aller. C'est ça qui provoque des clashs, sur l'instant la personne peut être déstabilisé et aller dans votre sens, avec le recul l'insatisfaction et la frustration seront plus grandes.
C'est de la communication qu'il faut mettre en place! Cela implique qu'on soit à 100% à l'écoute, mettre de côté ses propres projections, et faire le travail de décoder son langage afin d'être en mesure de traduire ses attentes en solutions techniques adaptées. Si le client vous dit que sa guitare n'est pas assez médium, ne touchez pas de suite le bouton de l'EQ et relâchez peut-être un peu l'attaque du compresseur afin de libérer des transitoires, ce qui lui manque c'est peut-être juste du mordant.
99% du temps lors d'une crise c'est juste une question d'incompréhension mutuelle et de la frustration, 100% du temps c'est à vous qu'incombe le fait de jouer le rôle le médiateur entre les volontés artistique et ce qui est retranscrit sur la bande.
Complètement très intéressant !!!
Merci de ton commentaire
Tu as des conseils pour répondre aux commentaires RUclips ? 😂
😆😆😆😆
Formation relation avec le client: #1 le krav-maga. #2 l'hypnose. Ou l'inverse.
Oui, bon, j'déconne. Mais bon, parfois... 😁
Haaa il y a des fois....une bonne salade de doigts....
lol
Très bon choix de sujet! Bravo 👏
Merci beaucoup, je pense qu'il était temps d'en parler
Merci
Avec plaisir
D'ou l'intérêt aussi de bien se mettre d'accord au départ sur ce que le client voudrait .
Absolument
Ça s’appelle le commerce tout ça! Oui, tu peux qualifier tes interlocuteurs de «clients », puisque tu réalises une prestation facturée, et donc supposément professionnelle.
Effectivement, lorsque tu réalises une prestation, c’est mieux de cerner les attentes de son client, et s’en remettre aux missions qui te sont conférées. Fatalement, si tu confrontes un client à tes propres choix, tu t’exposes au risque de lui générer une angoisse. Moralité, le meilleur des conseils pour éviter ce genre de relation, c’est de communiquer avec ses clients avant même de se mettre au travail, de manière à l’impliquer des le début du process…
Entièrement d'accord
la question cruciale est : si on refait on repaie ?
Perso, si c'est moi qui ai pris la mauvaise direction, alors je ne facture pas.
Maintenant s'il me dit que c'est top et apres 3 jours qu'il faut tout refaire...alors la oui
J'ai toujours eu un peu de mal avec les techniciens qui se prennent pour des artistes. Ce que j'attends d'un technicien ce sont ses compétences techniques justement, compétences que je n'ai pas. Quand un technicien commence à me parler comme s'il était artiste, je commence à avoir des doutes sur ses compétences. Je sais que ça ne plait pas d'entendre ça et je garde généralement la chose pour moi. Mais au fond j'ai plus de respect pour un technicien qui a conscience de ses limites artistiques et sait rester à sa place. Et des limites artistiques, les techniciens en ont, forcément, sinon ils seraient de l'autre côté dans le métier.
D'ailleurs c'est très rare de rencontrer un ingé son qui n'ait pas au début été musicien lui-même et qui n'a pas persévéré en ce sens (perso, je n'en connais pas). Voilà, je considère que pour que tout se passe bien relationnellement, il faut que l'ingé son se souvienne de ça : de pourquoi il a choisi de ne plus être artiste.
Les rares fois ou ça c'est mal passé, c'est quand javais le sentiment que l'ingé son considérait que ma musique était devenue sa musique. Ce qui est archi faux dans le processus créatif. Ma musique, c'est ma musique et le reste du début à la fin !
Le comble c'est l'ingé son/technicien qui a un égo d'artiste tellement gros qu'il va même jusqu'à demander un pourcentage des droits sur les titres. Là avec moi ça démarre sur de mauvaises bases. 😅
Voilà, l'idée générale pour que tout se passe bien relationnellement, il faut qu'un technicien sache rester un technicien et qu'il ait conscience dans son travail de son statut.
question toute bete...si le "technicien" ne doit pas ajouter d'element artistique, alors dans quelle mesure lorsqu'il recoit un mix, peut-il ajouter de l'egalisation, compression, reverbaration, delays etc ????
Je suis d'accord sur le fait qu'il doit eviter de toucher a l'arrangement (c'est le travail de l'artiste et du directeur artistique), mais de fait chaque element qu'il va ajouter est en soit un choix artistique.
C'est simple. L'ingé son "n'apporte pas de matière" musicale, il la travaille. Dans mon esprit, même si ça doit être fait avec goût et élégance, j'ai jamais considéré que caler un délai, régler un volume ou ajuster un compresseur était une opération artistique. Du moins, pas au point de prétendre à quelconque légitimité sur les droits d'un titre. L'ingé son n'est pas un arrangeur. Enfin soyons sérieux !
Je crois que beaucoup de l'incompréhension vient de là, certains ingé son avec de gros égo notamment se prennent pour des artistes... Certains sont orfèvres dans leur domaine mais artiste, non ! @@lessecretsduson
@@leareminder3893 caler un délai, régler un volume ou ajuster un compresseur est une operation artistique !!! envoie ton titre a mixer par 5 inges sons et tu auras 5 mixs differents car chacun va y apporter sa modeste touche personnelle, l'inge son n'est pas un arrangeur en effet mais grace a son talent, grace a son art de mixer il va sublimer le titre, c'est exactement comme de la cuisine, donne des ingredients a un chef etoile, il en ferra des merveilles, donne les memes ingredients a un cuistot peu experimente et il en ferra du mcdo....
PS: en pensant et en considerant les inges son de cette maniere tu ne vas pas te faire particulierement aimer de nous....
Je crois que je l'ai déjà dit sur une autre de tes vidéos. Pour moi "le mixage est à la musique ce que l'encadrement d'art est à la peinture". Évidement qu'un joli cadre met en valeur le tableau et que c'est mieux d'avoir un joli cadre pour l'exposer. Mais fondamentalement est-ce que les gens regardent le cadre quand, ils vont au musée ? Non. Certains ingés son ont du mal avec ça, C'est aussi simple que ça.
Effectivement, certains ne m'apprécient pas beaucoup justement parce qu'ils ont un égo que j'estime déplacé. Mais d'autres qui comprennent ce que j'attends d'eux me trouvent très pro et apprécient justement de se retrouver dans une position où ils se sentent très à l'aise dans leur métier.
Quelque part, c'est un peu le sujet de ta vidéo. : Comment faire pour qu'un ingé son se sente à l'aise dans son métier. Et c'est très simple, en premier lieu savoir pourquoi on l'a embauché. @@lessecretsduson
@@leareminder3893 j'espère que tu bosses avec des inges son qui ne lisent pas ce que tu écris...c'est juste que c'est peu respectueux de notre profession
Heuuu "ne vous faites pas payer!"..........merci France Travail! Scabreux comme sujet, un peu déontologique. Le fonctionnement, genre, d"un 1176 c'est moins tendu non?
Tu fais comme tu veux, s'il m'arrive de mixer un titre et que je me plante complètement de direction, je le refais sans facturer 2 fois....après c'est ma vision des choses, j'aime être réglo avec le client.
Si tu vas au resto et que c'est dégueulasse tu commandes un autre plat et tu payes les 2 ?
Hello en tant ingé son tu n'est qu'un réalisateur, après le reste c'est de l'ordre de la prod artistique...
Salut
Je ne suis pas entièrement d'accord sur le fait d'être juste un réalisateur, il y a une bonne part artistique que tu insuffles au titre en y mettant ton son, certes ça reste sous le contrôle du producteur artistique. On choisit bien un mixeur pour son approche du son et de la musique
C'est une opinion pas une analyse ton commentaire.
@@DarkTrapStudio le commentaire de qui ?
@@lessecretsduson De BlackScreen, toi tu as a fait une analyse justement.