grandiose , sombre , tragique , on pourrait croire écouter une vie de léon bloy , de Bernanos , Claudel est différent , les points communs entre ces écrivains , un foi infinie , une âme sombre , torturée , un caractère nationaliste , violemment antisémite d ou le fait qu ils sont rarement étudiés a l école , quel dommage , céline est de cette trempe mais lui se dit athée , le rapport aux femmes est profond , violent , destructeur , ils aiment et haissent l argent , la reconnaissance , cela un des livres de Bernanos , très malconnu , qui recèle en lui toutes les lumières et les ténèbres du génie , la relation a la mort se fond dans un mysticisme spectral , , ils errent tel molloy dans beckett , Bardamu dans le voyage , joseph dans Kafka , popeye dans faulkner , céline le répétait a l infini , écrire c est mettre sa vie sur la table , hors de cela nulle issue , barbey reste a découvrir comme léon bloy , Bernanos et céline ont franchi le cap de l immortalité ,
Merci pour cet hommage à ce grand auteur. Peut-être aimerez-vous l'interprétation que j'ai réalisée de son très beau texte "La haine du soleil" : ruclips.net/video/JAlYlvZqAGo/видео.html
![ALEXANDRE POUCHKINE (1799-1837) - Une vie, une œuvre [1993]](http://i.ytimg.com/vi/CC0yPBu0s0I/mqdefault.jpg)
![ALEXANDRE POUCHKINE (1799-1837) – Une vie, une œuvre [1993]](/img/tr.png)
![NICOLAS GOGOL (1809-1852) : Le rire au bord de l’abîme - Une vie, une œuvre [2015]](/img/1.gif)
Retrouvez toutes les émissions "Une Vie, une œuvre" ici : ruclips.net/p/PLagEsBu5pFhGf8L4FlFS1sYW93xRMYdLo
grandiose , sombre , tragique , on pourrait croire écouter une vie de léon bloy , de Bernanos , Claudel est différent , les points communs entre ces écrivains , un foi infinie , une âme sombre , torturée , un caractère nationaliste , violemment antisémite d ou le fait qu ils sont rarement étudiés a l école , quel dommage , céline est de cette trempe mais lui se dit athée , le rapport aux femmes est profond , violent , destructeur , ils aiment et haissent l argent , la reconnaissance , cela un des livres de Bernanos , très malconnu , qui recèle en lui toutes les lumières et les ténèbres du génie , la relation a la mort se fond dans un mysticisme spectral , , ils errent tel molloy dans beckett , Bardamu dans le voyage , joseph dans Kafka , popeye dans faulkner , céline le répétait a l infini , écrire c est mettre sa vie sur la table , hors de cela nulle issue , barbey reste a découvrir comme léon bloy , Bernanos et céline ont franchi le cap de l immortalité ,
Merci à vous pour ce partage passionnant !
Superbe Atmosphère de lecture merci !
👍🏿👍🏾👍❤️
MERC !
Merci pour cet hommage à ce grand auteur. Peut-être aimerez-vous l'interprétation que j'ai réalisée de son très beau texte "La haine du soleil" : ruclips.net/video/JAlYlvZqAGo/видео.html
VIVE LE ROY !