Merci beaucoup pour ce défi Balzac auquel je me suis prêtée. Je n'ai pas du tout le même ressenti que vous car j'ai beaucoup apprécié ce roman tout particulièrement la scène truculente dans le Coucou au début. Je me suis intéressée passionnément au destin d'Oscar au point de m'attacher à son apprentissage de la vie comme à un vrai roman policier. Enfin, j'ai trouvé formidable la fermeture de la boucle narrative avec la rencontre bien des années après des mêmes personnages dans le Coucou.
Bonjour.Fanatique de Balzac que j'ai lu il y a 50 ans, je le relis souvent. Donc je relis en même temps que vous tous. J'ai compris pourquoi je n'avais jamais réouvert ce roman. Je suis de votre avis, je ne l'avais pas aimé et cela n'a pas changé. Oscar m'agace , je n'arrive pas à m'attacher à lui et je ne retrouve pas le Balzac que j'aime. En vieillissant ce sont les descriptions que je savoure avec le plus de plaisir!😉 Merci pour cette vidéo 👍
J'ai fini ce week-end le roman. Ce n'est pas le texte de Balzac que j'ai préféré depuis le début de la lecture de la Comédie Humaine. On retrouve les sujets balzaciens: l'ascension sociale, la place de l'argent, l'instauration de la société bourgeoise, etc. J'ai préféré la deuxième partie, à partir de la période dans l'office notarial, plutôt que le premier voyage en coucou qui m'a sacrément ennuyé. J'ai trouvé que c'est aussi plus daté que d'autres de ses textes, que ce soit les marques d'humour ou les références contemporaines qui m'ont obligées à faire des allers -retours avec les notes en fin de livre. J'espère qu'Albert Savarus me plaira !
J'ai été frappée par l'extrême cruauté de la société qui y est dépeinte. Et quand Oscar a enfin réussi à se remettre de ses déboires au prix d'immenses sacrifices, Balzac nous assène cet épilogue soudain, cynique et méprisant. C'est cette conclusion abrupte qui m'a déçue, plus que les longueurs.
Merci beaucoup pour ce défi Balzac auquel je me suis prêtée. Je n'ai pas du tout le même ressenti que vous car j'ai beaucoup apprécié ce roman tout particulièrement la scène truculente dans le Coucou au début. Je me suis intéressée passionnément au destin d'Oscar au point de m'attacher à son apprentissage de la vie comme à un vrai roman policier. Enfin, j'ai trouvé formidable la fermeture de la boucle narrative avec la rencontre bien des années après des mêmes personnages dans le Coucou.
Bonjour Adrien je voulais savoir ce que vous pensiez de l'oeuvre d'Emile Zola sur la dynastie des Rougon Macquart?
Top!
Bonjour, où puis-je vous contacter ?
Bonjour.Fanatique de Balzac que j'ai lu il y a 50 ans, je le relis souvent. Donc je relis en même temps que vous tous. J'ai compris pourquoi je n'avais jamais réouvert ce roman.
Je suis de votre avis, je ne l'avais pas aimé et cela n'a pas changé. Oscar m'agace , je n'arrive pas à m'attacher à lui et je ne retrouve pas le Balzac que j'aime.
En vieillissant ce sont les descriptions que je savoure avec le plus de plaisir!😉
Merci pour cette vidéo 👍
J'ai beaucoup aimé ce roman
❤
J'ai fini ce week-end le roman. Ce n'est pas le texte de Balzac que j'ai préféré depuis le début de la lecture de la Comédie Humaine. On retrouve les sujets balzaciens: l'ascension sociale, la place de l'argent, l'instauration de la société bourgeoise, etc.
J'ai préféré la deuxième partie, à partir de la période dans l'office notarial, plutôt que le premier voyage en coucou qui m'a sacrément ennuyé. J'ai trouvé que c'est aussi plus daté que d'autres de ses textes, que ce soit les marques d'humour ou les références contemporaines qui m'ont obligées à faire des allers -retours avec les notes en fin de livre.
J'espère qu'Albert Savarus me plaira !
Bonsoir, quelqu'un connaît le résultat du défi Babelio? merci
@@GheLIly-fz5ig j’ai tourné la vidéo, elle arrive !
@@memoartdadrien6185 Merci :)
J'ai été frappée par l'extrême cruauté de la société qui y est dépeinte. Et quand Oscar a enfin réussi à se remettre de ses déboires au prix d'immenses sacrifices, Balzac nous assène cet épilogue soudain, cynique et méprisant. C'est cette conclusion abrupte qui m'a déçue, plus que les longueurs.