Nita Berger " Perfidia " 1946

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  • Опубликовано: 3 дек 2024

Комментарии • 8

  • @danielaccary1704
    @danielaccary1704 4 года назад +1

    Jolie chanson et qu elle belle époque pour mes grands parents et parents que de de bons souvenirs

  • @josianelinder528
    @josianelinder528 2 года назад +1

    Superbe ! Quelle voix chaude et envoûtante

  • @jacotte1934
    @jacotte1934 8 лет назад +2

    j'ai dansé sur cette chanson tous les bon souvenirs refont surface merci

  • @jeanboyadjoglou7725
    @jeanboyadjoglou7725 7 лет назад +2

    j adore cette version que de souvenirs remontent grace a ces musiques delicieuses

  • @julia13461
    @julia13461 10 лет назад +2

    chanson de mon enfance qu'elle etait belle cette chansons

  • @giordanengo1
    @giordanengo1 12 лет назад +1

    merci ! mille fois ! amitiés JIMMY

  • @Jean-Louis-Laylle
    @Jean-Louis-Laylle 7 лет назад +2

    Belle chanson.

  • @richardmeunier6718
    @richardmeunier6718 Год назад

    Perfidia (Loysel 1946 - Dominguez 1939)
    Lente, la nuit tombe et le vent du soir
    Chante mon seul ardent désir : te voir
    Lasse, la brise, en murmurant ton nom
    Passe mais rien ne lui répond
    R. Chéri(e), tu parles bien au ciel parfois
    Alors demande-lui si jamais faiblit mon amour pour toi
    Chéri(e), la mer où s’est miré mon cœur
    Pourrait dire à son tour ô combien l’amour m’a coûté de pleurs
    Si tu veux à tout jamais ne plus me voir
    Ma vie est sans espoir
    Car pour moi, sans tes baisers, tu le sais bien
    Le mot amour ne dit plus rien…
    Chéri(e), pourtant je te l’avoue : j’ai tort !...
    Je veux croire au bonheur
    Oublier mes pleurs
    Et t’aimer encor !...
    J’aime malgré tous mes chagrins passés !...
    J’aime !... D’aimer on n’est jamais lassé
    Même si je dois en souffrir sans fin
    J’aime !... Le reste alors n’est rien
    R. Chéri(e), tu parles bien au ciel parfois
    Alors demande-lui si jamais faiblit mon amour pour toi
    Chéri(e), la mer où s’est miré mon cœur
    Pourrait dire à son tour ô combien l’amour m’a coûté de pleurs
    À quoi bon me souvenir des jours enfuis
    Lorsque tout est fini ?
    Et rêver de la douceur de tes serments ?
    Quand tu les fais, toujours tu mens !...
    Chéri(e), pourtant je te l’avoue : j’ai tort !...
    Je veux croire au bonheur
    Oublier mes pleurs
    Et t’aimer encor !...
    Merci pour le partage de cette rumba indémodable. 😊