Perfidia (Loysel 1946 - Dominguez 1939) Lente, la nuit tombe et le vent du soir Chante mon seul ardent désir : te voir Lasse, la brise, en murmurant ton nom Passe mais rien ne lui répond R. Chéri(e), tu parles bien au ciel parfois Alors demande-lui si jamais faiblit mon amour pour toi Chéri(e), la mer où s’est miré mon cœur Pourrait dire à son tour ô combien l’amour m’a coûté de pleurs Si tu veux à tout jamais ne plus me voir Ma vie est sans espoir Car pour moi, sans tes baisers, tu le sais bien Le mot amour ne dit plus rien… Chéri(e), pourtant je te l’avoue : j’ai tort !... Je veux croire au bonheur Oublier mes pleurs Et t’aimer encor !... J’aime malgré tous mes chagrins passés !... J’aime !... D’aimer on n’est jamais lassé Même si je dois en souffrir sans fin J’aime !... Le reste alors n’est rien R. Chéri(e), tu parles bien au ciel parfois Alors demande-lui si jamais faiblit mon amour pour toi Chéri(e), la mer où s’est miré mon cœur Pourrait dire à son tour ô combien l’amour m’a coûté de pleurs À quoi bon me souvenir des jours enfuis Lorsque tout est fini ? Et rêver de la douceur de tes serments ? Quand tu les fais, toujours tu mens !... Chéri(e), pourtant je te l’avoue : j’ai tort !... Je veux croire au bonheur Oublier mes pleurs Et t’aimer encor !... Merci pour le partage de cette rumba indémodable. 😊
Jolie chanson et qu elle belle époque pour mes grands parents et parents que de de bons souvenirs
Superbe ! Quelle voix chaude et envoûtante
j'ai dansé sur cette chanson tous les bon souvenirs refont surface merci
j adore cette version que de souvenirs remontent grace a ces musiques delicieuses
chanson de mon enfance qu'elle etait belle cette chansons
merci ! mille fois ! amitiés JIMMY
Belle chanson.
Perfidia (Loysel 1946 - Dominguez 1939)
Lente, la nuit tombe et le vent du soir
Chante mon seul ardent désir : te voir
Lasse, la brise, en murmurant ton nom
Passe mais rien ne lui répond
R. Chéri(e), tu parles bien au ciel parfois
Alors demande-lui si jamais faiblit mon amour pour toi
Chéri(e), la mer où s’est miré mon cœur
Pourrait dire à son tour ô combien l’amour m’a coûté de pleurs
Si tu veux à tout jamais ne plus me voir
Ma vie est sans espoir
Car pour moi, sans tes baisers, tu le sais bien
Le mot amour ne dit plus rien…
Chéri(e), pourtant je te l’avoue : j’ai tort !...
Je veux croire au bonheur
Oublier mes pleurs
Et t’aimer encor !...
J’aime malgré tous mes chagrins passés !...
J’aime !... D’aimer on n’est jamais lassé
Même si je dois en souffrir sans fin
J’aime !... Le reste alors n’est rien
R. Chéri(e), tu parles bien au ciel parfois
Alors demande-lui si jamais faiblit mon amour pour toi
Chéri(e), la mer où s’est miré mon cœur
Pourrait dire à son tour ô combien l’amour m’a coûté de pleurs
À quoi bon me souvenir des jours enfuis
Lorsque tout est fini ?
Et rêver de la douceur de tes serments ?
Quand tu les fais, toujours tu mens !...
Chéri(e), pourtant je te l’avoue : j’ai tort !...
Je veux croire au bonheur
Oublier mes pleurs
Et t’aimer encor !...
Merci pour le partage de cette rumba indémodable. 😊