Lorsque j'ai attendu mon deuxième enfant je me suis inquiété de savoir si j'allais devoir partager mon cœur en deux. En plus ils ont à peine un an d'écart. En réalité lorsque le deuxième est né j'ai senti intérieurement comme si mon cœur s'élargissait pour donner au deuxième enfant autant d'amour qu'à l'aîné. J'ai compris que l'amour ne se divise pas, il se multiplie. Je pense que c'est le message que tous les parents devraient dire à leurs enfants pour les apaiser.
" Ô l.amour d.une mère, . Amour que nul n.oublie. . Pain merveilleux qu.un Dieu partage et multiplie , . Table toujours servie au Paternel foyer, . Chacun en a sa part et TOUS l.ont tout entier . Victor HUGO
C’est vrai, les frères et sœurs ne sont pas obligés de s’aimer. Pourtant quand j’étais dans un des nombreux foyers de la DdASs , c’était ma sœur qui lavait mes draps, me refilait sa barrette de chocolat et moi ma pâte de fruit immonde à travers un grillage , en douce pour ensuite échanger nos emballages pour éviter la punition des adultes qui s’en donnait à cœur joie pour la distribution de gifles. C’est aussi mon petit frère qui me défendait face aux enfants brutaux qui faisaient un peu la loi dans les couloirs. Traverser cet abandon d’adultes sensés vous protéger, ça n’a fait que renforcer ce lien indéfectible entre nous, en tant qu’adultes. C’est même cette loyauté qui nous a permis de retrouver notre petit frère après plus de quarante ans de séparation. Alors certes, notre enfance a été chaotique, mais le lien est toujours là.
C'est un cas d'afrèrement qui peut exister sans lien familial ou peut survenir en cas de situation de crise au sein de la famille comme vous l'avez connu. Il l'explique très bien dans la vidéo. Et puis ne pas être obligé de s'aimer ne veut pas dire se détester. Je trouve salutaire par ailleurs quand ça ne se passe pas bien de pouvoir prendre de la distance sans culpabiliser. Ce que je ne faisais pas jusqu'ici. Merci pour cette vidéo qui va me permettre de cheminer en comprenant mieux l'origine du mal-être.
Parfois il est nécessaire de rompre avec la famille. Quand la relation avec ses membres est plus destructrice que constructive, ça peut être une question de survie.
Nous étions une fraterie de sept frères et soeurs, nous sommes restés cinq... mais je n'ai eu ni frère ni sœur.. c'était du chacun pour soi. Bien triste. Encore aujourd'hui, lorsque, dans un film ou un reportage, je vois des frère et sœur se prendre dans les bras, les larmes me montent instantanément aux yeux. C'est un vide que je n'ai jamais pu combler alors que j'ai moi-même par la suite eu des enfants. On ne guérit jamais de son enfance.
Quand on dit " c était du chacun pour soi " en 2024 , celui qui vous lit peut se demander quelles ont été les valeurs transmises et à quoi vos parents se sont montrés ATTENTIFS et ATTACHÉS eux mêmes. Créer des INSATISFAITS , il est vrai , ne devrait pas être le RÉSULTAT de la vie de communauté familiale ! Je ne défends pas la famille nombreuse car de nos jours , cela devient difficile à gérer .
@enki6578 bonjour à vous. C'est exact, difficile de vivre sans des pensées qui reviennent par moment, pas simple. Un combat au quotidien. Force et courage à nous✊🏻✊🏻✊🏻🫶🏻🤞🏻🍀🙏🏻
Le mythe de la famille Ricorée à la vie dure... 7 années de thérapies diverses (schéma, emdr...) m'ont été nécessaires pour "guérir" de la méchanceté aveugle de 2 de mes frères à mon égard. C'est quand ils ont répété le même comportement à l'écart de mon fils, dès ses 6 ans, que j'ai compris que le problème ne venait pas de moi. J'a alors décidé de m'éloigner. Les familles dysfonctionnelles et les fratries toxiques devraient être davantage étudiées.
Bonjour, Le cercle familial de la fratrie ne garantit pas des relations harmonieuses effectivement, il s’agit de personnes qui ne se sont pas choisies, que ce soit de la part des parents en amont ou ensuite, au fil des naissances. Difficile d’attendre une entente parfaite, malgré une bonne volonté des parents, cela reste propre à chaque enfant de déployer son intentionnalite de faire avec, ou non.
"amusant", j'ai aussi 2 frères, je suis au centre. Le comportement qu'ils ont eu vis à vis de mon fils m'a été insupportable, ils m'ont crevé le cœur. Je ne les vois plus depuis qq années.
@@Natapaname bien sûr il y a toujours des épreuves qu il faut surmonter, ce qui est bien c est que vous avez fait ce qu il faut pour vivre libre ... profitez de cette liberté et d être vivante , vivre dans le passé c'est rater cette vie donnée
Merci ! Enfin un présentateur qui laisse vraiment le spécialiste s'exprimer sans interrompre aux moments les plus intéressants comme le font la plupart.
Absolument ! Avec ma sœur , 5 ans plus jeune que moi également : j'ai 67 ans et ce lien de complicité, soutien, affection mutuelle s'est renforcé avec les années malgré la distance et "à cause (?) d'épreuves traversées et de souvenirs communs de notre enfance... Ma meilleure amie souffre de n'avoir pas ce rapport avec sa fratrie (une sœur et un frère aîné) où tous les liens d'affection semblent rompus désormais...
Moi d’adore ma soeur, et c’est réciproque. Nous avons un frère qui n’est rien pour nous, ne l’a jamais été. Mes parents ne voulaient pas de filles, ils ont fait avec pendant 6 ans, puis notre frère est arrivé, le messie, porteur du nom de famille, une quéquette sur patte. C’est comme ça que nous avons découvert que notre père était misogyne. J’ajouterais même que rien ne nous oblige à aimer nos parents non plus. Aujourd’hui, nous avons passé 50 ans toutes les 2. Nous ne parlons plus ni à l’un ni aux autres et nos vies sont plus épanouies que jamais.
J'ai une sœur aînée, narcissique, dominante ... tandis que je suis empathique, dominée ... à 40 ans j'ai tiré un trait sur notre relation familiale. Je ne peux plus supporter son évocation, sa seule présence dans une pièce me revulse. Pour moi c'est un monstre qui va jusqu'à réinventer les événements pour avoir toujours le beau rôle alors qu'elle vous a fait une sale crasse. J'en veux à mes parents de ne m'avoir jamais défendu pour la paix sociale...
@Patricia-lb6cq mieux vaut tard que jamais 😊 pour ma part, c'est lorsque nous devions nous appeler pour refaire une énième paix, et qu'elle a tout simplement oublié ma fausse couche de deux ans auparavant en me reprochant de l'avoir tenue secrète (alors que non pas du tout) que j'ai eu l'ultime électrochoc ... j'en ai eu assez. De nouveau enceinte de 6 mois, à présent, je refuse qu'elle soit au courant. Je l'ai vu une seule fois en 5 ans, pour Noël et je n'arrive même plus à la regarder. Sa simple voix me herisse. J'ai beaucoup de haine envers elle, je travaille à oublier mais c'est difficile.
Je suis dans la même situation avec mon unique frère, mon ainé de 4 ans. Je suis partie vivre à l'étranger à 27 ans avec ma fille de 6 ans. Pour des raisons de santé, j'ai dû à l'âge de 40 ans retourner vivre avec mes parents. J'ai retrouvé ma santé heureusement, et je sais qu'il me faudra maintenant trouver une solution pour reprendre mon indépendance, car je ne supporte pas mes parents pour qui je suis l'asociale, le mouton noir... à chaque nouvelle attaque de mon frère narcissique, c'est triste et épuisant. Courage à tout ceux qui vive ses situations imposées, ambigues et malsaine.
Nous sommes une fratrie de 5 dont je suis l'aînée, 9 ans d'écart avec mon plus jeune frère. J'ai détesté ce rôle, je voulais être enfant unique, car nous étions le club des 5... Grâce à ma grand-mère paternelle, j'ai pu vivre des parenthèses heureuses, elle m'aimait pour ce que j'étais, et les bases qu'elle m'a inculquées, m'ont permis de de vivre une belle enfance et notre amour inconditionnel l'une pour l'autre a cimenté les failles profondes, avec elle je pouvais être "moi". Notre famille a volé en éclat au décès de notre mère (52 ans). Nous avons grandi dans un milieu toxique. Aujourd'hui nous essayons chacun à sa façon de sauver notre peau, nous n'avons plus de liens, vivons très loin les uns des autres. En effet on est pas obligé de s'aimer, surtout quand on a eu des parents qui n'ont jamais su considérer nos différences. Et en regardant autour de moi, avec beaucoup de recul, je constate que les fratries où tout le monde a l'air de bien s'entendre, en grattant un peu le vernis, il n'en est rien. Et quand on voit ce qui se passe lorsqu'un héritage est en jeu (même pour 3 francs, six sous) on ne peut que constater que c'est souvent là que se règlent les comptes, qui ne sont que le reflet de la rancoeur accumulée. Ah la famille, un vaste débat, et j'ai vite compris que l'herbe n'est jamais plus verte ailleurs.
Un vrai plaisir à l'écoute. C'est un condensé de sujets tellement riches en ce qui concerne la fratrie (l'incidence de la place, le mythe d'amour, l'inceste, le rôle d'aidant, la comparaison), je suis pour une vidéo plus longue 🙂
Je visb1600km de ma famille, j'ai changé le pays, la nationalité, mais mon frère reste mon plus grand trésor sur ce monde. Et même si on se voit peu, je suis heureuse et reconnaissante de chaque rencontre. Oui, je l'aime. Et ça me fait plaisir de voir, que mes enfants s'aiment.
Merci Julien pour cet entretien.J'ai été 'le mouton noir ' de la famille.Non ils ne m'ont jamais acceptée ni aimée.. Je peux affirmer que l'origine ce sont les parents..
dans votre cas, ce sont les parents dites vous , mais à la base, si le lien avait vraiment été fort, les parents diviseurs auraient été rejetés, ou simplement leur encouragement à séparation ignorée, bien que, cela peut etre un parent, inconsciemment, mais le ou les parents ne font que renforcer une adversité, perso, j'ai trois garçons dont un demi frère, et bien les deux frères ne rejettent pas leur demi frère, un seul le fait, (il sont largement adultes), et le beau père n'a jamais accepté vraiment mon garçon, et moi, à moitié au final, je lui ai rendu sa liberté après 20ans, bref, cela est vraiment complexe, mais je comprends de plus en plus de choses, 20ans après notre séparation. la psychogénéalogie,, ou d'autres techniques peuvent expliquer cela.
Mes parents me détestaient, par conséquence aucun lien avec mes frères et soeur aujourd'hui à 57 ans j'ai le sentiment bizarre d'être arrivée sur terre comme ça aucun lien n'a été tissé pat mes parents et/ou mes frères et sœurs j'en souffre et pleure encore mais j'ai appris à vivre avec...
@@Lulu-d7g C'est bien le problème les parents sont gardiens des équilibres des liens et que la façon d être parentale est aussi différentes à chaque enfant
❤ Il n'y a pas qu'un seul schéma. Il y a une multiplicité de schéma... C'est comme un labyrinthe. À chacun d'élaborer son parcours et de trouver sa sortie... Bon courage, bonne chance !
Bjr, pareil .je suis de martinique, 8em sur 9 ,1 sœur 9e .père vide , brutal incapable de dire 1 mot normal ,que la violence quand il l'ouvre., mère perverse narcissique, méchante, frustrée, aucun mot échange' entre eux ,2 étrangers sous le même toit , elle m'a pris pour cible dès mon enfance. Tous les 8 ont suivi , et m'ont mis les insuiltes,la méchanceté les mensonges, les calomnies à l'extérieur, l'exclusion. Ils etaient de caractère mesquin , langue de vipère pour les gens de l'extérieur. j'ai rompu totalement avec tous ces montres depuis 45 ans .
Pareil pour moi .j'ai rompue définitivement avec ma famille. J'avais 4 frères et 3 sœurs 8 enfants au total. Je commence à retrouver la paix ,la sérénité...
Ce sont souvent les parents qui sont à l’origine du lien d’amour entre frères et soeurs, si les parents sont ignorants, déficients ou maltraitants, les rapports seront toxiques, donc un éloignement est préférable. Mais les liens du sang ont cela de particulier, ils durent toute la vie, soit comme un bonheur de partager ces liens, soit comme une cicatrice de ne pas avoir pu s’aimer.
On s'est jamais entendu avec ma sœur. Mes parents m'ont forcé à céder à ses caprices comme eux. Fille aînée, je devais montrer l'exemple, être gentille et fermer ma bouche. Mes parents ne tenaient jamais compte de ce que je voulais. Ils faisaient en fonction de ma sœur pour être tranquilles. Quand on me demandait mon choix, je disais l'inverse car je savais que ma sœur l'aurait fai. Adulte, je la supporte pendant les rares repas de famille. Et à chaque fois, je suis heureuse d'avoir coupé les ponts avec elle. Le lien avec ma mère n'a jamais existé. C'est une relation avec des cachotteries donc je ne dis rien de ma vie non plus.
@@genevievetaulier2892ne pas oublier l'influence des conjoints car certains modifient l'alchimie de la famille de manière positive et d'autres sont des catalyseurs dans la discordes...
J'aimais beaucoup mes deux sœurs, mais on a clairement pas eu la même enfance. Elles sont incapables de reconnaître les maltraitances/négligences de nos parents. Je me souviens qu'on me forçait à parler avec mes sœurs et passer du temps avec elles, quand j'étais toute petite, alors que je n'en avais pas envie. J'étais une enfant très solitaire, dans son monde. Le pire a été de devoir m'occuper de ma petite sœur, comme une seconde maman, a l'adolescence, alors qu'elle avait un comportement exécrable. Je suis étonnée qu'on ne l'ai jamais poussé à consulter un psy, mais moi, la plus calme de la fratrie, oui. Comme si je n'étais pas normale pour eux. Alors que le pedopsy de l'époque m'avait dit que mes réactions étaient normales, mais la maltraitance de mes parents, non. Pour autant, on ne m'a jamais retiré de ma famille, chose que je voulais pourtant. Mais ma mère était douée pour jouer les victimes et retourner la tête des assistantes sociales/juges. Mes sœurs ont reproduit une partie du schéma educatif, moi j'ai choisi tout l'inverse en prenant exemple sur mon papa (paix à son âme) et ma marraine. C'est aller très loin, jusqu'à l'inceste et la torture psychologique envers moi. J'en ai énormément souffert. A l'age adulte, je me suis rendue compte que ma famille n'en était pas vraiment une. Il s'agissait juste de personnes (toxiques), imposées à la naissance et bien des psy m'ont fait comprendre que je devais impérativement fuir pour ma survie physique et mentale. J'ai coupé les ponts entre 2016 et 2021. Malheureusement, elles continuent à me suivre ou que je déménage. Trouvant des moyens pour récupérer mon adresse, m'envoyer des lettres, venir à l'improviste... Mais je ne cède plus, en paix avec ma décision. Il est hors de question de reprendre contact, même si cela me manque le concept même de famille, j'ai eu des amis qui m'ont bien mieux traité et apporté plus d'amour et de soutien que le ne feront jamais ma génitrice ou mes sœurs. Les traumatismes sont toujours là. On apprend à vivre avec et tenter de se construire de façon saine et bienveillante. C'est un combat de tous les jours et je n'ai pas l'impression que les psy soient bien formés en ce qui concerne les conséquences d'une séparation avec des membres de sa famille, en particulier la fratrie. J'étais un bouc émissaire, mais c'est aussi ce rôle là qui m'a défini durant plus de 27 ans. C'est compliqué de se retrouver sans personne et ne plus connaître son identité du jour au lendemain. On a une petite base sur notre personnalité et nos capacités, mais c'est tout. Il faut apprendre à se connaitre, savoir ce que l'on veut, pourquoi on vit et surtout, faire le deuil de personnes encore en vie, que l'on pourrait bien recroiser un jour en bas de chez soi et qui nous diraient: "Quoi qu'il arrive, tu fais partie de la famille et notre lien de sang ne disparaîtra pas". C'est horrible de se servir de ça pour justifier tout et n'importe quoi. "Tu es mon frère/ma soeur, alors tu dois m'aimer, m'aider, être là pour moi et me pardonner tous mes crimes". C'est écrit ou ? Je n'ai jamais signé, ni donné mon accord pour cela. Alors non, on n'est pas obligé d'accepter quelque chose ou quelqu'un qui nous est imposé. Sinon, autant s'asseoir sur le libre arbitre !
Et vs avez tout à fait raison. Vs avez droit à vivre en paix, en acceptant votre passé et vos douleurs et le droit de vouloir vivre un futur en paix avec vous même. Les liens de sang, dans notre culture ne sont pas suffisants pour vous écraser. Je vous souhaite une Bonne année et beaucoup de force et courage.
Bonsoir, vous avez parfaitement raison de vous choisir. Cependant, vous décrivez la notion de loyauté imposée dans les familles dysfonctionnelles. C’est même le leitmotiv. Typique des enfants issus d’une fratrie dont les parents ( ou autres figures parentales) inculquent aux enfants a rester prisonnier d’un schéma familial malsain et toxique. Mais comme il s’agit d’1 fratrie alors certains membres utilisent cette fausse loyauté ( qui n’est rien d’autre que de la manipulation) pour vous utiliser comme un paillasson. C’est très courant> c’est comme si on vous avait attribué le rôle de mouton noir. Briser ses chaînes vous coutera certainement beaucoup mais tout à un prix, à commencer par l’amour de soi. 🌹
Ma sœur a dix ans d'écart avec moi, il est évident que ma naissance a été difficile pour elle. Devenant adulte nos parents sont plus là, elle est plus proche à présent. C'est dans les moments difficiles que l'on s'entraide. Pour moi, ma sœur je l'ai toujours aimé.
On n'est pas obligé mais si les humains composant la famille sont sains les personnes se respecteront et tisseront des relations d'amouret respect, c'est le but d'une famille à la base! Dans une société saine en tout cas.. le problème est lorsqu'il y a des personnalités perverses qui font des enfants, toutle monde est impacté... mais si l'idéal familial n'est pas de s'aimer alors quel est il? C'est très triste lorsqu'il n'y a pas cela, c'est contre nature. Je le sais j'ai dû couper les ponts avec ma famille pour survivre et c'est très dur de s'en remettre...
Super thématique il a tant raison de démystifier le " 100 % c'est sûr tout le temps chez tous" !! Un thérapeute qui parle vrai de par ses expériences professionnelles et plus c'est sain et utile pour le progrès de chacun.e .!!!☺👍🌎🌳🌻
Ils ne sont pas obligés de s'aimer mais s'ils grandissent avec des parents qui les aiment, les écoutent, les protègent, je ne vois (à part raisons liées à la génétique) pas comment ils pourraient devenir indifférents les uns des autres.
Les parents sont les premiers responsables des problèmes entre les enfants, ils sèment souvent la discorde par des préférences ouvertes ou subtiles.. La fratrie reste néanmoins un bon apprentissage social car la vie est une suite de combats.
Nous ne sommes que deux. Mon frère est arrivé de longues années après moi, et je n'ai malheureusement jamais réussi à l'aimer (je ne le déteste pas pour autant). Nous avions des caractères diamétralement opposés et je n'ai pas supporté qu'il ait la liberté de pouvoir tout faire alors que j'avais été une enfant étouffée. Nous n'avons jamais eu de vrais rapports fraternels, encore moins à l'âge adulte où nous n'avons quasiment plus de contact du tout. Je sais que mon père "souffre" d'avoir deux enfants qui ne s'aiment pas et qui ne sont pas proches du tout, ce n'est pas sa conception de la famille, mais j'ai passé l'âge d'être hypocrite pour faire plaisir à une personne qui ne prend pas en compte mon ressenti dans cette histoire.
Donc en fait , le problème c est pas votre frére mais votre jalousie après avoir été seule enfant pendant 9 ans , et probablement que votre père a été plus proche car il avait un fils mais surtout parceque devenir parent s apprend avec chaque enfant , le 1ier paye toujours un peu les a priori et la naîveté des primoparents
@sophies6834 À quel moment ai-je dit que mon frère était responsable de quoi que ce soit? Je ne fais que témoigner, et à moins que vous soyez psy, je n'ai pas écrit tout ça pour recevoir une analyse ou un quelconque jugement. Merci.
4 sœurs avec qui j’ai coupé les ponts totalement il y a des années. Mais quel bonheur de ne plus fréquenter des gens toxiques ! Et comme je m’en fiche de ce que cette famille se porte !
Fille unique et heureuse de l'être lorsque je vois autour de moi comment des frères et sœurs sont capables de se comporter entre eux. Au moins mes amis je les ai choisi 😉
Comme dit fabrice midal, la famille n'est pas le lieu de l'amour...cela ne vat pas de soi, il faut deja que les parents aient depasser l'attachement, la dependance affective entre eux
j'étudie l'astrologie depuis bientot 20ans, et cela m'a permis grandement d'expliquer aux enfants, le pourquoi de leur aversion, ou attirance, m'a permis de comprendre aussi ma compatibilité ou pas, avec mes proches ou moins proches.
Exact on ne choisit pas sa famille, j'ai essayé à plusieurs reprises de m'éloigner de ma famille, trop de blessures, de traumatisme non réglé, loin d'eux je me sens bien, il y a toujours un qui me rattrape et je reviens, je garde quand une distance malgré que nous habitons tous dans la même région. Je rêve de tout quitter, m'éloigner de mes 2 fils m'est difficile. Belle émission!😊
Pour moi c’est simple : les fratries ne se sont pas choisies, elles sont imposées par la vie et les parents. Donc rien de consenti et pas forcément l’affection
J'avoue que je suis un peu déçue... la fratrie ou sororie est un lieu d'apprentissage de la vie en collectivité avec pour règles principales le respect, l'équité, la loyauté au sens large, à mon avis et tout cela est de la responsabilité des parents... là où le job n'est pas fait, on voit des crises, des jalousies, des situations conflictuelles se mettre en place et c'est bien dommage car bien difficile de réparer cela à l'âge adulte...
Bonjour, La fratrie est certes un cercle familial, mais qui réunit des personnes qui ne se sont pas choisies, ni de la part des parents en amont, ni ensuite au gré des naissances. Difficile avec ce contexte d’attendre une harmonie d’emblee dans les relations, ce n’est pas impossible, mais même si le "job" est fait de la part des parents, comme vous le dites, cela ne va pas de soi car la cohabitation reste basée sur de l’intangible et de l’inatteignable, où chacun place, ou non, son intention d’être en lien avec sa fratrie de manière apaisée.
Bonjour, la plupart du temps les parents font des comparaisons ou commettent des maladresses, et créent ainsi eux mêmes des mauvais sentiments, des jalousies entre les enfants. La fratrie reste malgré tout un bon apprentissage de la vie en société et est très salutaire lorsque les parents sont toxiques. Il est bon dans ce cas là de ne pas être seul.
Je suis d'une fratrie de 8 enfants ! Je trouve ça formidable, moins pour nos parents, surtout notre maman 😅 Tous mes souvenirs avec mes frères et sœurs sont des souvenirs de rires et de joies. Entre nous y a un fil invisible d'appartenance. Nous nous sommes disputés comme toutes les fratries ,rien qui nous empêchent de nous aimer et rien qui nous a désuni. Nous sommes tous différents et faisons avec . Pourtant nous étions pauvre et des parents qui n'ont pas fait beaucoup d'edutes mais ils ont l'intelligence de élever dans l'amour, le respect, l'entraide . Je trouve qu'aujourd'hui les enfants sont plus personnels moins tolérants entre eux et je pense que c'est la façon de vivre aujourd'hui qui désunie les frères et sœurs. Je suis absolument pas d'accord avec vos propos car vous en faites une généralité !
Vous aussi. Vous ne savez pas ce pourquoi ni le détail du comportement de ses frères qui a causé la rupture. Ce n'est pas parce que vos relations sont saines avec vos frères et sœurs que c'est le cas de tout le monde. Mes deux frères sont des hommes racistes, dominateurs, misogynes, violents, comme notre père. Je suis bien contente que mon père soit mort et que mes frères soient sortis de ma vie.
Merci pour votre témoignage, c'est un bonheur de vous lire et je suis très heureuse pour vous. Cependant et malheureusement tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir vos parents, et par rapport à l'histoire que l'on a vécu on donne ce que l'on peut donner à sa descendance. Malheureusement beaucoup de personnes souffrent dans des fratries toxiques, vous n'avez pas idée comment cela peut gâcher des vies entières.
Frère et sœur, ne veux rien dire. Énergies différentes. Pensées différentes. Les gens toxiques excistes. Mettre son nez rouge, pour des réunions de famille, laisse béton.
Merci Julien pour ce partage! Magnifique ce condensé en une phrase débutant à 9''55" Mythe -> croyance -> Norme et je souligne le mot Norme. Rien à dire de plus si ce n'est que tout ce qui peut en découler... Merci!
Ce problème ne me concerne pas directement mais la famille de mon mari. Le problème dans cette fratrie est que c'est la mère qui jeune a eu des enfants alors qu'elle avait eu une enfance difficile et une mise à l’écart en tant que fille par rapport aux 2 garçons. Elle a trimballé ce poids toute sa vie et encore aujourd'hui à 82 ans. Manque de pot elle a eu 2 filles en premier et bingo elle a transmis cette rancune amassée. Le 3 ème enfant 1 FILS .......... TOUT LUI EST DÛ ........ TOUT. Et bien sûr tout le quotidien est réservé à ses filles sans aucune reconnaissance !!!!! Difficile pour elles. 8:48
Ya pas besoin d'être psychotique pour être toxique dans une fratrie. Le ressenti personnel de l'affection des parents et la jalousie même non justifiée de sa fratrie, peut dès l'enfance polluer les relations entre frère et soeur etc et pour peu que la vie soit compliquée par la suite, ça exacerbe les tensions et les rancœurs déformées en négatif au fil du temps. Et là, à part couper définitivement les ponts intra familiaux, il n'y a souvent pas grand chose d'autre à faire à la fin. Et faire le deuil de sa famille ce qui est long et douloureux avant d'être salvateur.
Je suis née dans une famille de 3 enfants et je suis la dernière ("l'accident" ma mère parlait de moi comme ça devant les gens, un peu pour se déculpabiliser) j'ai 10 et 14 ans d'écart avec mes frères. Le lien ne s'est jamais vraiment fait ni avec ma mère ni avec mes frères. Après plusieurs années de thérapie et de non lien, je viens de couper les liens avec ma famille. Aucun appel, c'était toujours moi qui venait aux nouvelles. Mes parents étant décédés tous les 2, j'essaie de créer d'autres liens avec des amis. Pas simple en tout cas quand on est née (n'est) dans une famille dysfonctionnelle.😌
Vous n êtes pas et et ne serez jamais un accident mais une personne une merveille voulue et aimée de Dieu sinon vs serez pas .moi j y crois même ds une société où Dieu n a plus sa place
Je suis l'aîné d'une fratrie de 4 et on ne s'est jamais bien entendu, j'ai tout fait pour les 3, mais rien à faire ils m'ont détruit et traiter de la folle de la famille, encore aujourd'hui les 3 sont égoïstes, jaloux jusqu'à s'en prendre à mon enfant, j'ai du faire des thérapies pendant des années! J'ai coupé court avec la famille et ma vie se porte mieux! Le traumatisme a été tellement grave que j'ai fait un seul enfant unique! Ma vie est superbe depuis que je suis partie de ma famille...
Bonjour et merci. Oui,pour moi, j'étais en dépendance affective vis à vis de mes frères et sœurs. Maintenant, j'ai arrêté et pris conscience que l'on devait faire notre vie sans les uns les autres.Et je vis beaucoup mieux.Merci pour votre partage et même par rapport à mes enfants. Je les laisse vivre
La famille c'est la base de la société et si Dieu vit dans notre coeur alors nous aimons d'abord les membres de notre famille, nos parents et nos frères et soeurs de notre famille. Dieu soit béni🙏🙏🙏
D accord mais aussi: Ne fait pas à ton frère ce que tu ne voudrais pas qu il te fasse, et surtout ne permet pas qu il te fasse ce que tu ne lui ferais pas.
C’est la jalousie qui prime dans les familles nombreuses !!! Malheureusement...et qui dure même après le décès des Parents !! jusqu’a jetter les fleurs qui sont déposer sur le caveau...😢
Cette video est super téressante. Je suis d'avis avec le Dr Neuberger c'est bien d'avoir une famille avec des frères et sœurs a condition qu il y est de l'amour. Pour tous et pas que des préférences. Moi je suis issue d'une famille nombreuse et je n'ai jamais eu de câlins ni de bisous et je en ai jamais recu en dehors de la famille. Jai ete maltran'ai et mal aimee. Je n'ai pas reproduit la maltraitance sur ma fille mais j'ai eu des problèmes pour lui donner de l'amour. A mon âge je n'ai pas trouvé personne pour combler ce manque et j'en suis malheureuse. Comment faire car j'estime que l'amour est mon droit de naissance❤
Faites vous aider Pauline par un psy très bienveillant . Entourrez vous de personnes bienveillantes. Au fond de vous derrière les blessures de votre enfance malheureuse il y a de l Amour et de la Paix. Pensez un peu à vous aussi en écoutant votre enfant intérieur. Soyez bénie ❤❤❤
J ai eu le meme probleme que vous et mes 2 enfants n ont pas ete aimes mais gates...je ne savais pas faire. J ai reussi a M aimer enfin a 70 ans ayant coupe les liens avec tous et arrete les liens de dependance avec tous...amis compris...= besoin d etre aimee. Je ne frequente plus que mon fils..et j aime enfin ma solitude.
la psychogénéalogie, aide grandement, commencez par lire, faire votre arbre avec ce que vous en connaissez, ou pensez connaitre vous avancerez, eet si vous trouvez un thérapeuthe compétent, respectant les codes sans envahir la thérapie avec sa personne, ce qui est bien trop souvent le cas, et c'est toxique, alors là, vous verrez les choses bouger autour de vous, sans rien faire de particulier, volontairement avec les personnes, les plus hostiles reviendront peut etre comme par magie, je l'ai constaté personnellement. La psychogénéalogie rapproche les familles, répare symboliquement voir Aie mes aieux" Anne Ancelin Schutzenberger, et d'autres, dont serge Tisseron.
Nous smes 9 enfants 5,filles, et 4 garçons, enfance misérable, qui a tissé avec la faim, et les oups du père, des liens très forts entre_nous 9 caractères différent, mais un grand respect des uns aux autres... Tous en vie de 84, pour l'aîné, à 57 ans pour le plus jeune❤❤❤❤❤❤❤❤❤
Merci cette vidéo fort instructive surgit ce jour sur mon chemin de réflexion au sujet des liens familiaux ,leur impact sur la santé et la volonté de certains parents a forcer des rapprochements comme une évidence qui n' est pas où plus. Un mythe..propice à des souffrances ..parfois,souvent..un abus affectif.
J' ai toujours voulu matérialiser des relations de respect et d'harmonie familiale. Certainement, parce que brièvement, j' ai connu ce paradis, toute jeune enfant avec mes grands-parents, mes oncles mes tantes, mes cousins... Mes parents m'avaient confiée à mes grand- parents, ils partaient vivre l' aventure suisse, d'abord mon père, j' avais 3 mois, puis ce fut le tour de ma mère, j' avais 6 mois, elle dût choisir entre son mari et sa fille. C'était en novembre, un choix bien difficile , qui l'a sans doute marquée. Le bébé tombe malade et survi grâce à l'amour de ses grands-parents, parrains, cousins, voisins, etc. À l'âge de 3 ans, je me me retrouve en Suisse, peut avant la naissance de ma sœur. Je me sens seule et déracinée; tout était étranger pour moi. J' ai de nouveau pû surmonté cette épreuve-là, grâce au soutien à distance de la famille et le souvenir de mon petit paradis. J' ai voulu apprendre à lire et à écrire vite, pour pouvoir envoyer des lettres à ma grand-mère. J' ai fini par être un mélange d'enfant sauveur et de mouton noir... Mais qu'est-ce que j' ai essayé d'aimer mes parents et ma sœur, de les comprendre, de les justifier, j' y ai mis tout mon cœur... mon cœur s'est brisé. Ne pouvant accepter l'échec, j' ai réessayé plusieurs fois, imaginant que c'était de ma faute, donc je devais trouver la solution en moi. Puis un jour, la femme adulte, ne peut bouger, les cervicales se bloquent, il y a des pourparlers d'héritage, elle s' enfiche de l'héritage, c'est l'abandon à nouveau... Un médecin lui dit qu'elle doit se préserver car sa santé est en jeu. Et, là je comprends, les illusions d'une vie tombent à l'eau. Elle doit grandir et faire face à la réalité : ils ont délibérément choisi sans elle, à son détriment. La conclusion s'impose, l'analyse objective le démontre, c'est une évidence et ça fait mal! Mais tout semble se simplifier, le futur est rempli de possibilités, mais désormais, elle ne peux qu'accepter et respecter leur choix, pour faire ses propres choix, faire sa route avec sa famille.❤ Par chance il y a aussi de belles fratries, mes trois jeunes adultes disent que la leur en est une, même s'ils se chamaillent!
J' ai écouté il y a quelques années, en auditeur libre en faculté de psycho, un cours sur le développement social et affectif de l'enfant. L' expérience de la poupée Bobo d' Albert Bandura en 1961, qui démontre l' imitation d' un comportement agressif, m' avait interpellée. Expérience faite, est-ce qu'être témoins de violence conjugale augmente l'agressivité dans la fratrie ou y a-t-il des causes multiples ?
Intéressant, effectivement le mode de relation proposé comme modèle... Plus tant de frustrations intenses sans élaboration, l'engagement à "aider" demandé sans tenir compte de l'âge et des capacités, la jouissance d'adultes devant l'agressivité d'un des enfants qui est renforcé...
Je suis arrivée bien après ma soeur et mon frère. Je voulais être aimée d'eux. À leurs yeux j'étais une emmerdeuse une capricieuse. À l'âge adulte mon frère et moi nous sommes rejoint et avons été amis. Ma soeur a pris en charge notre mère après la mort de notre père. Ma mère n'était préoccupée que par moi. Ma soeur m'a détesté depuis toujours en m'humiliant et me trouvant tous les défauts et en espérant (je pense) que je me brise.
Moi je suis psychologue et ma sœur est psychotique, artiste et je confirme c'est compliqué. Cet exemple me parle... Je confirme pour garder sa place de 1er la maladie se pointe. Merci d'avoir verbalisé ça.
J'ai eu une relation fusionnelle avec ma sœur, un peu trop, lorsque ns étions enfant. Puis l'âge est arrivé ou elle a fait des choix qui l'ont fait se mettre en opposition contre moi, comme une mère et sa fille. Étant l'aînée, je n'ai pas compris et j'ai pris mes distances définitivement. Cette relation était contreproductive et donc sans vraiment de possibilité de s'y épanouir. J'ai fait de même avec une mère maltraitante, j'ai ainsi sauvé ma vie. Courage à tous !
La fratrie m'a déçu causé beaucoup de mal surtout lors des deuils de mes 2 enfants et de ma mère. Ce n'est pas de l'amour que j aie reçu mais de la haine
J'ai vécu une méchanceté ignoble au moment de la mère âgée de 102 ans et cela à continuer les 2 années suivant avec l'héritage qui perdure encore. J'ai fini par tous les ignorer surtout les 2 frangins @@whiteblue4270
Super invité Super sujet Mes deux enfants ne se sont jamais vraiment entendus...mais leurs parents non plus... Aujourd'hui, la famille ne se réunit plus, les parents sont séparés et les enfants vivent leur vie chacun de leur côté. Je n'impose rien, car ils sont trop différents. Le fils est fâché 16:53 le père comme son père avant lui pour des motifs valides, mais peut-être imaginés...❤
ce n'est pas parce qu'on est medecin que l'on voit "juste" en toute chose.
Месяц назад+12
J'entends la thèse avancée avec intérêt même si personnellement j'ai eu la chance de grandir dans une fratrie unie qui continue à être unie aujourd'hui à l'âge adulte. Je pense cependant qu'il est important pour les parents de "viser" l'amour dans la fratrie, œuvrer pour que les frères et sœurs s'aiment. Car baisser un idéal (en l'occurrence viser le respect et non l'amour dans la fratrie) certes nous rapproche de la réalité mais il affaiblit aussi le moteur du désir d'un mieux, d'un futur où la réalité serait l'amour dans la fratrie.
Tout ce qu'il a dit est vrai.... à l'enfant de gérer sa situation quelquefois difficile.... mais qui, s'il est honnête, le rééduque . Oui, c'est à l'enfant de se, reformer avec son expérience et l'aide de personnes sérieuses qui lui font comprendre , par l'exemple, qu'il doit continuer à avancer, malgré les échecs, que tout le monde vit. Mais, le principe de l'honnêteté intellectuelle est primordial. C'est cette honnêteté qui est le plus difficile à mettre en place...c'est là que doit se faire le travail. S'il y a refus catégorique....pas besoin de continuer...on va vers l'échec certain ! Quand je parle d'honnêteté, elle concerne aussi bien l'intellectuel que le cœur.
vision d'un homme qui a eu tout pour lui et qui est content de n'avoir pas eu à partager.. Sans compter que cette vision de la famille est confortée par cette société riche ou chacun peut vivre sans de manière égoiste sans souffrir.
Très intéressant. J'ai 1 sœur jumelle et notre relation est plutôt Dominant/Dominé. Mon ego cherche plutôt l'humour quand nous sommes pas d'accord. Un père qui manifestait bcp d'amour à son égard et une mère aimante me protégeant depuis ma naissance, en couveuse 3 semaines, ma sœur 1 semaine. Merci ✨✨✨ pour cette vidéo
La première chose c'est qu'on connait sa famille, on peut compter sur les frères (et soeurs) pas au sens où ils vous aideront inconditionnellement, mais au sens où on sait exactement comment ça va se passer dans les situations diverses. Ensuite, si on veut s'entendre on le peut.
La force de la Vie c'est la diversité . Rien d'étonnant à ce que frères et soeurs suivent souvent des chemins différents et aient des caractères dissemblables . Cependant l'inimitié ne peut naître que dans un contexte disharmonieux causé par la maladresse ou la négligence de parents affectivemement carencés .
Merci de parler d'abus sexuel dans les fratries et des raisons pour lesquelles cela n'est pas dit. Et de dire que c'est dramatique car souvent ce n'est pas "entendable" chez les parents.
Il ya de l'empathie naturel dans une famille toujours autour du malade, d'handicapé ou celui que l'accident a affaibli. Le sens de responsabilité entre en jeu. C'est vrai qu'on n'est obligé de s'aimer. L'amour ne se commande. Mais on doit se respecter entre frères. J'ai aimé l'analyse du phénomène par ce psi
Ce psy est extraordinaire! Je suis la 5ieme Sur 6 nee apres une fille morte nee je suis devenue malgre moi cette enfant mort nee les yeux de mes parents et surtout ma mere qui a EU une depression. Puis, en fin de vie, je suis devenue l aidante de ma mere car nous n avions plus notre pere et les autres avaient tous des pretextes pour ne rien faire. En plus, j ai commencee ma vie pro en tant que kine (j ai vite arrete). Bref IL resume ma vie
Merci beaucoup. Fort intéressant. J y a retrouvé des vérités. A savoir le couple dysfonctionnel de mes parents n à absolument pas mesure l impact de leur disputes sur leur enfants. Une psychologue me l avait dit. Trop tourné sur eux. Oui les frères et sœurs ne sont pas obligés de s aimer. Cela n a pas ete simple entre mes sœurs et moi. Chez l aînée très proche de ma mère j ai souvent sentie et aujourd'hui encore une certaine rancœur.... Après je me pose la question enfin même si c est trouble ne pas avoir ete victime d inceste....ou d attouchement...vers 4 ans et demi. La réflexion de ce Monsieur qui souligne que ceka provient le plus souvent des freres ou sœurs sur leur cadet m interpellé..... Souvent il y a suite à ce traumas un voile posé dessus... Ah la la pas facile...d ou la necessite de se creer une famille de coeur.... Je n y suis pas encore parvenue.. Merci encore😊❤
Quand les Parents sont présents, les enfants restent unis...ils sont le lien d' Amour 💕 On doit s' aimer, s' éloigner est une trahison, pire, un crime de cœur! ❤️💓 Souvenirs 🌹
Merci de ce partage. Heureusement qu’il y a des psys de cette qualité 👍🏻 Cela relève le niveau de ce milieu étroit d’esprit, fermé sur lui-même et qui tend à conserver les personnes souffrantes en l’état… Imaginez des psys cliniciens qui aujourd’hui dédaignent les avances des découvertes en neurosciences, le concept de psychotraumatisme… Science fiction ? Ben, hélas non.
Bonjour je suis enfant unique parce que les parents l’on décidaient ainsi… ils me le reprochent toujours . à 83 ans mon père est toujours amér de pas avoir eu de fils . Je paie très cher cette situation. Dispute, ingratitude, injure et j’en passe. Je ne sais pas ce que sais l’amour familial. On choisit pas sa famille .j’ai toujours voulu les fuir
Ben ça tombe super bien. Je viens d'aider ma mère à faire ses courses. Et à très peur que lorsque elle devra partir elle aimerai que nous nous lions avec ma sœur mais je ne le souhaite pas. J'ai l 'impression de le sentir toujours redevable et cela me mets de plus en plus mal à l'aise. De gros règlement de compte sur l'attachement. Alors oui je reste très respectueuse mais je souhaite gardé de la distance. Le passé étant lourd..merci
Pas forcés d aimer son frère sa sœur, pas forcés d aimer ses parents, pas forcés d aimer son prochain...ben oui après tout pourquoi je n aimerais pas qui je veux, quand je veux et comme je veux ?.......triste monde va !
Mon frère aîné de 1 an plus vieux que moi est proche de ma mère, ma petite soeur de 3 ans plus jeune que moi est proche de mon père. Et moi je suis l'enfant du milieu, l'enfant accident, car ma mère pensait que tant qu'elle allaitait son fils elle ne pouvait pas tomber enceinte, donc non voulue, que ma mère a tenté de faire passé et lorsqu'elle a raconté cela à une tante en ma présence a 13 ans j'en ai pleuré, mal accueillie par toute la famille qui disait à mon père tu ne vas pas lui faire un gosse tous les ans ..., jai refusé le lait de ma mère étant bébé, ce qui a vexé ma mère, donc nourri au lait de soja, j'étais maigre et ma mère avait honte de ce bébé, je n'ai qu'une photo de moi bébé, ils m'ont donné un prénom qui a été source de moquerie toute ma vie. Je devais servir ma petite soeur, la surveiller, la prendre dans mon petit lit quand elle pissait dans le sien jusqu'à ses 10 ans dans la même chambre.. un cauchemard... et accepter ses caprices car c'est la dernière ... jai détesté mon enfance, aucune solidarité entre frère et soeur, nous cohabitions et c'était surtout des disputes. et je n'ai jamai créé de lien de confiance ou d'amour ni avec mes parents ni avec mon frère et ni avec ma soeur. Mes parents disaient que j'étais difficile et renfermée et mauvais caractère, j'étais surtout très très mal dans ma famille... je suis parti de la maison à 20 ans des que j'ai eu un CDI, et un peu poussée dehors par mon père, Il y a eu un gros clash à mes 32 ans suivi de 2 procès pour violences contre moi, la juge a dit que mes parents voulaient me nuire et leur a enlevé leur droits grand parentaux sur ma fille.... j'ai entendu une cousine me dire que ma mère parlait mal de moi tout le temps, mes petits amis me disaient ta mère ne t'aime pas, et j'ai coupé les ponts définitivement....J'ai 63 ans et pour moi je suis seule au monde. Cet enfance m'a traumatisée dans ma propre vie d'adulte, j'ai eu un enfant seule mais jamais je n'ai voulu avoir un deuxième enfant, qui est ma place dans la fratrie, j'avais trop peur de reproduire ce que j'avais vécu... Aujourdhui à 63 ans je m'aperçois que tout viens de l'enfance. Je ne crois pas en la famille, chaque fois que je vois des frères et soeurs ils se bouffent le nez entre eux.
Lorsque j'ai attendu mon deuxième enfant je me suis inquiété de savoir si j'allais devoir partager mon cœur en deux. En plus ils ont à peine un an d'écart. En réalité lorsque le deuxième est né j'ai senti intérieurement comme si mon cœur s'élargissait pour donner au deuxième enfant autant d'amour qu'à l'aîné. J'ai compris que l'amour ne se divise pas, il se multiplie. Je pense que c'est le message que tous les parents devraient dire à leurs enfants pour les apaiser.
" Ô l.amour d.une mère,
. Amour que nul n.oublie.
. Pain merveilleux qu.un Dieu partage et multiplie ,
. Table toujours servie au Paternel foyer,
. Chacun en a sa part et TOUS l.ont tout entier .
Victor HUGO
Votre pensée ne peut être plus belle et juste car c'est la Vérité de l' Amour Inconditionnel !❤️❤️❤️
C’est vrai, les frères et sœurs ne sont pas obligés de s’aimer.
Pourtant quand j’étais dans un des nombreux foyers de la DdASs , c’était ma sœur qui lavait mes draps, me refilait sa barrette de chocolat et moi ma pâte de fruit immonde à travers un grillage , en douce pour ensuite échanger nos emballages pour éviter la punition des adultes qui s’en donnait à cœur joie pour la distribution de gifles.
C’est aussi mon petit frère qui me défendait face aux enfants brutaux qui faisaient un peu la loi dans les couloirs.
Traverser cet abandon d’adultes sensés vous protéger, ça n’a fait que renforcer ce lien indéfectible entre nous, en tant qu’adultes.
C’est même cette loyauté qui nous a permis de retrouver notre petit frère après plus de quarante ans de séparation.
Alors certes, notre enfance a été chaotique, mais le lien est toujours là.
C'est un cas d'afrèrement qui peut exister sans lien familial ou peut survenir en cas de situation de crise au sein de la famille comme vous l'avez connu. Il l'explique très bien dans la vidéo. Et puis ne pas être obligé de s'aimer ne veut pas dire se détester. Je trouve salutaire par ailleurs quand ça ne se passe pas bien de pouvoir prendre de la distance sans culpabiliser. Ce que je ne faisais pas jusqu'ici. Merci pour cette vidéo qui va me permettre de cheminer en comprenant mieux l'origine du mal-être.
Cet lien..vous avez sauvé...et aidé..pour traverser. Dans cet période très difficile des vos vie🙏 dans ces foyers..😒😔
Tant mieux pour vous 😊 , ce n'est pas mon cas
Bravo à vous et à votre frère et à votre soeur ❤ Que Dieu vous bénisse😊
Que Dieu vous bénisse, c beau l amour
Parfois il est nécessaire de rompre avec la famille. Quand la relation avec ses membres est plus destructrice que constructive, ça peut être une question de survie.
@femmedeplume1 Je suis d'accord avec vous.
Q a11 a¹¹àaaaaaq@@claire70
TOUT à fait...
OK avec vos dires
Oui, satan s'immisce dans les familles pour mieux les diviser ! Une solution existe prier le chapelet en famille !
La famille c'est un groupe qui vous est affilié dès la naissance , on ne choisit pas . Parfois ça représente une souffrance.
Et si on choisit sa famille aussi mystérieux que cela soit
Nous étions une fraterie de sept frères et soeurs, nous sommes restés cinq... mais je n'ai eu ni frère ni sœur.. c'était du chacun pour soi. Bien triste.
Encore aujourd'hui, lorsque, dans un film ou un reportage, je vois des frère et sœur se prendre dans les bras, les larmes me montent instantanément aux yeux. C'est un vide que je n'ai jamais pu combler alors que j'ai moi-même par la suite eu des enfants.
On ne guérit jamais de son enfance.
Quand on dit " c était du chacun pour soi " en 2024 , celui qui vous lit peut se demander quelles ont été les valeurs transmises et à quoi vos parents se sont montrés ATTENTIFS et ATTACHÉS eux mêmes. Créer des INSATISFAITS , il est vrai , ne devrait pas être le RÉSULTAT de la vie de communauté familiale ! Je ne défends pas la famille nombreuse car de nos jours , cela devient difficile à gérer .
C'est ça nous ne guérissons pas de notre enfance, je le confirme...
@@HoudiniLibertad je confirme aussi. Les cicatrices restent à vie....
@enki6578 bonjour à vous. C'est exact, difficile de vivre sans des pensées qui reviennent par moment, pas simple. Un combat au quotidien.
Force et courage à nous✊🏻✊🏻✊🏻🫶🏻🤞🏻🍀🙏🏻
Le mythe de la famille Ricorée à la vie dure...
7 années de thérapies diverses (schéma, emdr...) m'ont été nécessaires pour "guérir" de la méchanceté aveugle de 2 de mes frères à mon égard.
C'est quand ils ont répété le même comportement à l'écart de mon fils, dès ses 6 ans, que j'ai compris que le problème ne venait pas de moi. J'a alors décidé de m'éloigner.
Les familles dysfonctionnelles et les fratries toxiques devraient être davantage étudiées.
Bonjour,
Le cercle familial de la fratrie ne garantit pas des relations harmonieuses effectivement, il s’agit de personnes qui ne se sont pas choisies, que ce soit de la part des parents en amont ou ensuite, au fil des naissances. Difficile d’attendre une entente parfaite, malgré une bonne volonté des parents, cela reste propre à chaque enfant de déployer son intentionnalite de faire avec, ou non.
J'ai vécu l'enfer avec ma gde fratrie
"amusant", j'ai aussi 2 frères, je suis au centre.
Le comportement qu'ils ont eu vis à vis de mon fils m'a été insupportable, ils m'ont crevé le cœur.
Je ne les vois plus depuis qq années.
@@Natapaname Exactement
@@Natapaname bien sûr il y a toujours des épreuves qu il faut surmonter, ce qui est bien c est que vous avez fait ce qu il faut pour vivre libre ...
profitez de cette liberté et d être vivante , vivre dans le passé c'est rater cette vie donnée
Merci ! Enfin un présentateur qui laisse vraiment le spécialiste s'exprimer sans interrompre aux moments les plus intéressants comme le font la plupart.
Couper les ponts pour sauver sa peau, c’est ce que j’ai fait avec une partie de ma famille !
Je devrais couper les ponts avec mes enfants...
L'amour entre 2 frères c'est la confiance, le respect, la solidarité, la complicité, l'honnêteté, l'entr'aide ... oui çà existe et c'est merveilleux 🤝
Absolument ! Avec ma sœur , 5 ans plus jeune que moi également : j'ai 67 ans et ce lien de complicité, soutien, affection mutuelle s'est renforcé avec les années malgré la distance et "à cause (?) d'épreuves traversées et de souvenirs communs de notre enfance... Ma meilleure amie souffre de n'avoir pas ce rapport avec sa fratrie (une sœur et un frère aîné) où tous les liens d'affection semblent rompus désormais...
@Lardenoy oui, les liens forts n'existent pas dans toutes les fratries, ce qui les rend d'autant plus précieux 🤗
Moi d’adore ma soeur, et c’est réciproque. Nous avons un frère qui n’est rien pour nous, ne l’a jamais été. Mes parents ne voulaient pas de filles, ils ont fait avec pendant 6 ans, puis notre frère est arrivé, le messie, porteur du nom de famille, une quéquette sur patte. C’est comme ça que nous avons découvert que notre père était misogyne. J’ajouterais même que rien ne nous oblige à aimer nos parents non plus. Aujourd’hui, nous avons passé 50 ans toutes les 2. Nous ne parlons plus ni à l’un ni aux autres et nos vies sont plus épanouies que jamais.
Merci de ce temoignage.
Merci enfin quelqu'un qui dit la vérité 🙏, des fois c est mieux de s eloigner
J'ai une sœur aînée, narcissique, dominante ... tandis que je suis empathique, dominée ... à 40 ans j'ai tiré un trait sur notre relation familiale. Je ne peux plus supporter son évocation, sa seule présence dans une pièce me revulse. Pour moi c'est un monstre qui va jusqu'à réinventer les événements pour avoir toujours le beau rôle alors qu'elle vous a fait une sale crasse. J'en veux à mes parents de ne m'avoir jamais défendu pour la paix sociale...
J'ai eu l'impression de lire mon histoire 😉 sauf que je l'ai fait à 60 ans 😢
@@misscoco1980 j'ai eu la même. Heureusement, elle a eu la bonne idée de couper toutes relations sous un prétexte futile ! Quel soulagement !
@Patricia-lb6cq mieux vaut tard que jamais 😊 pour ma part, c'est lorsque nous devions nous appeler pour refaire une énième paix, et qu'elle a tout simplement oublié ma fausse couche de deux ans auparavant en me reprochant de l'avoir tenue secrète (alors que non pas du tout) que j'ai eu l'ultime électrochoc ... j'en ai eu assez. De nouveau enceinte de 6 mois, à présent, je refuse qu'elle soit au courant. Je l'ai vu une seule fois en 5 ans, pour Noël et je n'arrive même plus à la regarder. Sa simple voix me herisse. J'ai beaucoup de haine envers elle, je travaille à oublier mais c'est difficile.
@@francoiseta1286 elle vous a rendu service !
Je suis dans la même situation avec mon unique frère, mon ainé de 4 ans. Je suis partie vivre à l'étranger à 27 ans avec ma fille de 6 ans. Pour des raisons de santé, j'ai dû à l'âge de 40 ans retourner vivre avec mes parents. J'ai retrouvé ma santé heureusement, et je sais qu'il me faudra maintenant trouver une solution pour reprendre mon indépendance, car je ne supporte pas mes parents pour qui je suis l'asociale, le mouton noir... à chaque nouvelle attaque de mon frère narcissique, c'est triste et épuisant. Courage à tout ceux qui vive ses situations imposées, ambigues et malsaine.
Nous sommes une fratrie de 5 dont je suis l'aînée, 9 ans d'écart avec mon plus jeune frère. J'ai détesté ce rôle, je voulais être enfant unique, car nous étions le club des 5... Grâce à ma grand-mère paternelle, j'ai pu vivre des parenthèses heureuses, elle m'aimait pour ce que j'étais, et les bases qu'elle m'a inculquées, m'ont permis de de vivre une belle enfance et notre amour inconditionnel l'une pour l'autre a cimenté les failles profondes, avec elle je pouvais être "moi".
Notre famille a volé en éclat au décès de notre mère (52 ans). Nous avons grandi dans un milieu toxique. Aujourd'hui nous essayons chacun à sa façon de sauver notre peau, nous n'avons plus de liens, vivons très loin les uns des autres. En effet on est pas obligé de s'aimer, surtout quand on a eu des parents qui n'ont jamais su considérer nos différences. Et en regardant autour de moi, avec beaucoup de recul, je constate que les fratries où tout le monde a l'air de bien s'entendre, en grattant un peu le vernis, il n'en est rien.
Et quand on voit ce qui se passe lorsqu'un héritage est en jeu (même pour 3 francs, six sous) on ne peut que constater que c'est souvent là que se règlent les comptes, qui ne sont que le reflet de la rancoeur accumulée. Ah la famille, un vaste débat, et j'ai vite compris que l'herbe n'est jamais plus verte ailleurs.
Un vrai plaisir à l'écoute. C'est un condensé de sujets tellement riches en ce qui concerne la fratrie (l'incidence de la place, le mythe d'amour, l'inceste, le rôle d'aidant, la comparaison), je suis pour une vidéo plus longue 🙂
Je visb1600km de ma famille, j'ai changé le pays, la nationalité, mais mon frère reste mon plus grand trésor sur ce monde. Et même si on se voit peu, je suis heureuse et reconnaissante de chaque rencontre. Oui, je l'aime. Et ça me fait plaisir de voir, que mes enfants s'aiment.
Merci Julien pour cet entretien.J'ai été 'le mouton noir ' de la famille.Non ils ne m'ont jamais acceptée ni aimée.. Je peux affirmer que l'origine ce sont les parents..
dans votre cas, ce sont les parents dites vous , mais à la base, si le lien avait vraiment été fort, les parents diviseurs auraient été rejetés, ou simplement leur encouragement à séparation ignorée, bien que, cela peut etre un parent, inconsciemment, mais le ou les parents ne font que renforcer une adversité, perso, j'ai trois garçons dont un demi frère, et bien les deux frères ne rejettent pas leur demi frère, un seul le fait, (il sont largement adultes), et le beau père n'a jamais accepté vraiment mon garçon, et moi, à moitié au final, je lui ai rendu sa liberté après 20ans, bref, cela est vraiment complexe, mais je comprends de plus en plus de choses, 20ans après notre séparation. la psychogénéalogie,, ou d'autres techniques peuvent expliquer cela.
Je suis la dernière de 12 enfants chouchou de ma mère détestee par les autres obligés de couper les ponts
Idem 😊
Mes parents me détestaient, par conséquence aucun lien avec mes frères et soeur aujourd'hui à 57 ans j'ai le sentiment bizarre d'être arrivée sur terre comme ça aucun lien n'a été tissé pat mes parents et/ou mes frères et sœurs j'en souffre et pleure encore mais j'ai appris à vivre avec...
@@Lulu-d7g C'est bien le problème les parents sont gardiens des équilibres des liens et que la façon d être parentale est aussi différentes à chaque enfant
❤ Il n'y a pas qu'un seul schéma.
Il y a une multiplicité de schéma...
C'est comme un labyrinthe.
À chacun d'élaborer son parcours et de trouver sa sortie...
Bon courage, bonne chance !
J'avais 9 frères et sœurs aînés, et 1 p'tit frère. Je suis partie loin et rompu avec la famille, j'ai trouvé la paix 🕊️
Bjr, pareil .je suis de martinique, 8em sur 9 ,1 sœur 9e .père vide , brutal incapable de dire 1 mot normal ,que la violence quand il l'ouvre., mère perverse narcissique, méchante, frustrée, aucun mot échange' entre eux ,2 étrangers sous le même toit , elle m'a pris pour cible dès mon enfance. Tous les 8 ont suivi , et m'ont mis les insuiltes,la méchanceté les mensonges, les calomnies à l'extérieur, l'exclusion. Ils etaient de caractère mesquin , langue de vipère pour les gens de l'extérieur. j'ai rompu totalement avec tous ces montres depuis 45 ans .
Pareil pour moi .j'ai rompue définitivement avec ma famille. J'avais 4 frères et 3 sœurs 8 enfants au total. Je commence à retrouver la paix ,la sérénité...
🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣🤣famille nombreuse
Ce sont souvent les parents qui sont à l’origine du lien d’amour entre frères et soeurs, si les parents sont ignorants, déficients ou maltraitants, les rapports seront toxiques, donc un éloignement est préférable. Mais les liens du sang ont cela de particulier, ils durent toute la vie, soit comme un bonheur de partager ces liens, soit comme une cicatrice de ne pas avoir pu s’aimer.
❤Bravo à vous vous êtes courageuse Nicole🌺. Moi j'ai fait pareil il y a bien longtemps 😊 et j'ai bien fait !
JE DECOUVRE: CE QUE VOUS DITES DOCTEUR EST ABSOLUMENT PRECIS ET EXACT.
MAGNIFIQUE .
On s'est jamais entendu avec ma sœur. Mes parents m'ont forcé à céder à ses caprices comme eux. Fille aînée, je devais montrer l'exemple, être gentille et fermer ma bouche. Mes parents ne tenaient jamais compte de ce que je voulais. Ils faisaient en fonction de ma sœur pour être tranquilles. Quand on me demandait mon choix, je disais l'inverse car je savais que ma sœur l'aurait fai. Adulte, je la supporte pendant les rares repas de famille. Et à chaque fois, je suis heureuse d'avoir coupé les ponts avec elle. Le lien avec ma mère n'a jamais existé. C'est une relation avec des cachotteries donc je ne dis rien de ma vie non plus.
Surprenant, ce témoignage pourrait être le mien !!!…..
@beatricelascaray2440 😁
Idem pour moi et je ne vois plus personne...
@@genevievetaulier2892ne pas oublier l'influence des conjoints car certains modifient l'alchimie de la famille de manière positive et d'autres sont des catalyseurs dans la discordes...
@@genevievetaulier2892c'est la vie chacun son chemin
Vidéo courte mais oh combien intéressante.
Je vais bien dormir cette nuit. Merci!!
Je ne me sens absolument pas obligée "d'aimer" mes sœurs et je ne m'en cache pas. Je les ignore.
J'aimais beaucoup mes deux sœurs, mais on a clairement pas eu la même enfance. Elles sont incapables de reconnaître les maltraitances/négligences de nos parents. Je me souviens qu'on me forçait à parler avec mes sœurs et passer du temps avec elles, quand j'étais toute petite, alors que je n'en avais pas envie. J'étais une enfant très solitaire, dans son monde. Le pire a été de devoir m'occuper de ma petite sœur, comme une seconde maman, a l'adolescence, alors qu'elle avait un comportement exécrable. Je suis étonnée qu'on ne l'ai jamais poussé à consulter un psy, mais moi, la plus calme de la fratrie, oui. Comme si je n'étais pas normale pour eux. Alors que le pedopsy de l'époque m'avait dit que mes réactions étaient normales, mais la maltraitance de mes parents, non.
Pour autant, on ne m'a jamais retiré de ma famille, chose que je voulais pourtant. Mais ma mère était douée pour jouer les victimes et retourner la tête des assistantes sociales/juges.
Mes sœurs ont reproduit une partie du schéma educatif, moi j'ai choisi tout l'inverse en prenant exemple sur mon papa (paix à son âme) et ma marraine. C'est aller très loin, jusqu'à l'inceste et la torture psychologique envers moi. J'en ai énormément souffert.
A l'age adulte, je me suis rendue compte que ma famille n'en était pas vraiment une. Il s'agissait juste de personnes (toxiques), imposées à la naissance et bien des psy m'ont fait comprendre que je devais impérativement fuir pour ma survie physique et mentale.
J'ai coupé les ponts entre 2016 et 2021.
Malheureusement, elles continuent à me suivre ou que je déménage. Trouvant des moyens pour récupérer mon adresse, m'envoyer des lettres, venir à l'improviste... Mais je ne cède plus, en paix avec ma décision. Il est hors de question de reprendre contact, même si cela me manque le concept même de famille, j'ai eu des amis qui m'ont bien mieux traité et apporté plus d'amour et de soutien que le ne feront jamais ma génitrice ou mes sœurs.
Les traumatismes sont toujours là. On apprend à vivre avec et tenter de se construire de façon saine et bienveillante. C'est un combat de tous les jours et je n'ai pas l'impression que les psy soient bien formés en ce qui concerne les conséquences d'une séparation avec des membres de sa famille, en particulier la fratrie.
J'étais un bouc émissaire, mais c'est aussi ce rôle là qui m'a défini durant plus de 27 ans. C'est compliqué de se retrouver sans personne et ne plus connaître son identité du jour au lendemain. On a une petite base sur notre personnalité et nos capacités, mais c'est tout. Il faut apprendre à se connaitre, savoir ce que l'on veut, pourquoi on vit et surtout, faire le deuil de personnes encore en vie, que l'on pourrait bien recroiser un jour en bas de chez soi et qui nous diraient: "Quoi qu'il arrive, tu fais partie de la famille et notre lien de sang ne disparaîtra pas".
C'est horrible de se servir de ça pour justifier tout et n'importe quoi. "Tu es mon frère/ma soeur, alors tu dois m'aimer, m'aider, être là pour moi et me pardonner tous mes crimes".
C'est écrit ou ?
Je n'ai jamais signé, ni donné mon accord pour cela. Alors non, on n'est pas obligé d'accepter quelque chose ou quelqu'un qui nous est imposé.
Sinon, autant s'asseoir sur le libre arbitre !
Et vs avez tout à fait raison. Vs avez droit à vivre en paix, en acceptant votre passé et vos douleurs et le droit de vouloir vivre un futur en paix avec vous même. Les liens de sang, dans notre culture ne sont pas suffisants pour vous écraser. Je vous souhaite une Bonne année et beaucoup de force et courage.
Bonsoir, vous avez parfaitement raison de vous choisir.
Cependant, vous décrivez la notion de loyauté imposée dans les familles dysfonctionnelles. C’est même le leitmotiv. Typique des enfants issus d’une fratrie dont les parents ( ou autres figures parentales) inculquent aux enfants a rester prisonnier d’un schéma familial malsain et toxique.
Mais comme il s’agit d’1 fratrie alors certains membres utilisent cette fausse loyauté ( qui n’est rien d’autre que de la manipulation) pour vous utiliser comme un paillasson.
C’est très courant> c’est comme si on vous avait attribué le rôle de mouton noir.
Briser ses chaînes vous coutera certainement beaucoup mais tout à un prix, à commencer par l’amour de soi. 🌹
Ma sœur a dix ans d'écart avec moi, il est évident que ma naissance a été difficile pour elle. Devenant adulte nos parents sont plus là, elle est plus proche à présent. C'est dans les moments difficiles que l'on s'entraide. Pour moi, ma sœur je l'ai toujours aimé.
On n'est pas obligé mais si les humains composant la famille sont sains les personnes se respecteront et tisseront des relations d'amouret respect, c'est le but d'une famille à la base! Dans une société saine en tout cas.. le problème est lorsqu'il y a des personnalités perverses qui font des enfants, toutle monde est impacté... mais si l'idéal familial n'est pas de s'aimer alors quel est il? C'est très triste lorsqu'il n'y a pas cela, c'est contre nature. Je le sais j'ai dû couper les ponts avec ma famille pour survivre et c'est très dur de s'en remettre...
ou immatures a minima....
Ou problèmes psychologiques des parents tout simplement aussi
Super thématique il a tant raison de démystifier le " 100 % c'est sûr tout le temps chez tous" !! Un thérapeute qui parle vrai de par ses expériences professionnelles et plus c'est sain et utile pour le progrès de chacun.e .!!!☺👍🌎🌳🌻
Ils ne sont pas obligés de s'aimer mais s'ils grandissent avec des parents qui les aiment, les écoutent, les protègent, je ne vois (à part raisons liées à la génétique) pas comment ils pourraient devenir indifférents les uns des autres.
Les parents sont les premiers responsables des problèmes entre les enfants, ils sèment souvent la discorde par des préférences ouvertes ou subtiles..
La fratrie reste néanmoins un bon apprentissage social car la vie est une suite de combats.
Totalement d'accord avec vous !@@PaolaKarnavos8696
Nous ne sommes que deux. Mon frère est arrivé de longues années après moi, et je n'ai malheureusement jamais réussi à l'aimer (je ne le déteste pas pour autant). Nous avions des caractères diamétralement opposés et je n'ai pas supporté qu'il ait la liberté de pouvoir tout faire alors que j'avais été une enfant étouffée. Nous n'avons jamais eu de vrais rapports fraternels, encore moins à l'âge adulte où nous n'avons quasiment plus de contact du tout. Je sais que mon père "souffre" d'avoir deux enfants qui ne s'aiment pas et qui ne sont pas proches du tout, ce n'est pas sa conception de la famille, mais j'ai passé l'âge d'être hypocrite pour faire plaisir à une personne qui ne prend pas en compte mon ressenti dans cette histoire.
Pareil nous ne sommes que deux, et il n'ya aucun amour entre nous
Donc en fait , le problème c est pas votre frére mais votre jalousie après avoir été seule enfant pendant 9 ans , et probablement que votre père a été plus proche car il avait un fils mais surtout parceque devenir parent s apprend avec chaque enfant , le 1ier paye toujours un peu les a priori et la naîveté des primoparents
@sophies6834 À quel moment ai-je dit que mon frère était responsable de quoi que ce soit?
Je ne fais que témoigner, et à moins que vous soyez psy, je n'ai pas écrit tout ça pour recevoir une analyse ou un quelconque jugement.
Merci.
4 sœurs avec qui j’ai coupé les ponts totalement il y a des années. Mais quel bonheur de ne plus fréquenter des gens toxiques ! Et comme je m’en fiche de ce que cette famille se porte !
bien dit 😊
Fille unique et heureuse de l'être lorsque je vois autour de moi comment des frères et sœurs sont capables de se comporter entre eux. Au moins mes amis je les ai choisi 😉
Comme dit fabrice midal, la famille n'est pas le lieu de l'amour...cela ne vat pas de soi, il faut deja que les parents aient depasser l'attachement, la dependance affective entre eux
Très intéressant merci . Ceci est-il tiré d’un ouvrage en particulier ?..
@clvnclvn8806 en fait je me suis trompé, c'est Fabrice midal qui parle ainsi dans une interview.
@@MichelDeniaud-t1z ah merci 🙂!
Bravo pour ce commentaire 🙏❤️💛💚💙💜
Merci beaucoup, ce que je pressentais se vérifie, ce n'est pas si mal.
Fratrie imposée par les parents il faut bien comprendre que chaque être même frère sœur est unique
donc pas toujours facile de se comprendre...
j'étudie l'astrologie depuis bientot 20ans, et cela m'a permis grandement d'expliquer aux enfants, le pourquoi de leur aversion, ou attirance, m'a permis de comprendre aussi ma compatibilité ou pas, avec mes proches ou moins proches.
Merci. Ça fait du bien d’entendre quelqu’un dire ce qu’on pense mais qu’on n’a pas le droit de dire !!!
Exact on ne choisit pas sa famille, j'ai essayé à plusieurs reprises de m'éloigner de ma famille, trop de blessures, de traumatisme non réglé, loin d'eux je me sens bien, il y a toujours un qui me rattrape et je reviens, je garde quand une distance malgré que nous habitons tous dans la même région. Je rêve de tout quitter, m'éloigner de mes 2 fils m'est difficile. Belle émission!😊
Merci monsieur, d'avoir mis à l'honneur ce sujet.... j'ai apprécié... ça me conforte dans ce que je pense et ressens dans ma chaire.
Merci🙏🏻🙏🏻🙏🏻🫶🏻
Le fait de ne pas être seul ça réconforte un peu...🥲 Merci merci à vous🙏🏻🙏🏻🙏🏻🫶🏻✨✨✨✨🍀🍀🍀
Pour moi c’est simple : les fratries ne se sont pas choisies, elles sont imposées par la vie et les parents. Donc rien de consenti et pas forcément l’affection
J'avoue que je suis un peu déçue... la fratrie ou sororie est un lieu d'apprentissage de la vie en collectivité avec pour règles principales le respect, l'équité, la loyauté au sens large, à mon avis et tout cela est de la responsabilité des parents... là où le job n'est pas fait, on voit des crises, des jalousies, des situations conflictuelles se mettre en place et c'est bien dommage car bien difficile de réparer cela à l'âge adulte...
Bonjour,
La fratrie est certes un cercle familial, mais qui réunit des personnes qui ne se sont pas choisies, ni de la part des parents en amont, ni ensuite au gré des naissances. Difficile avec ce contexte d’attendre une harmonie d’emblee dans les relations, ce n’est pas impossible, mais même si le "job" est fait de la part des parents, comme vous le dites, cela ne va pas de soi car la cohabitation reste basée sur de l’intangible et de l’inatteignable, où chacun place, ou non, son intention d’être en lien avec sa fratrie de manière apaisée.
Bonjour, la plupart du temps les parents font des comparaisons ou commettent des maladresses, et créent ainsi eux mêmes des mauvais sentiments, des jalousies entre les enfants.
La fratrie reste malgré tout un bon apprentissage de la vie en société et est très salutaire lorsque les parents sont toxiques.
Il est bon dans ce cas là de ne pas être seul.
Un peu déçue... 😂
@@turquoiseblue228 déçue de quoi ?
@turquoiseblue228 j'aimerais bien savoir ce qui vous fait rire...
Je suis d'une fratrie de 8 enfants !
Je trouve ça formidable, moins pour nos parents, surtout notre maman 😅
Tous mes souvenirs avec mes frères et sœurs sont des souvenirs de rires et de joies.
Entre nous y a un fil invisible d'appartenance.
Nous nous sommes disputés comme toutes les fratries ,rien qui nous empêchent de nous aimer et rien qui nous a désuni.
Nous sommes tous différents et faisons avec .
Pourtant nous étions pauvre et des parents qui n'ont pas fait beaucoup d'edutes mais ils ont l'intelligence de élever dans l'amour, le respect, l'entraide .
Je trouve qu'aujourd'hui les enfants sont plus personnels moins tolérants entre eux et je pense que c'est la façon de vivre aujourd'hui qui désunie les frères et sœurs.
Je suis absolument pas d'accord avec vos propos car vous en faites une généralité !
Vous aussi. Vous ne savez pas ce pourquoi ni le détail du comportement de ses frères qui a causé la rupture. Ce n'est pas parce que vos relations sont saines avec vos frères et sœurs que c'est le cas de tout le monde. Mes deux frères sont des hommes racistes, dominateurs, misogynes, violents, comme notre père. Je suis bien contente que mon père soit mort et que mes frères soient sortis de ma vie.
Amen 🙏🕊🍀💕@@manouchak30
Merci pour votre témoignage, c'est un bonheur de vous lire et je suis très heureuse pour vous.
Cependant et malheureusement tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir vos parents, et par rapport à l'histoire que l'on a vécu on donne ce que l'on peut donner à sa descendance. Malheureusement beaucoup de personnes souffrent dans des fratries toxiques, vous n'avez pas idée comment cela peut gâcher des vies entières.
Pour parler ainsi, c'est que dans votre fratrie c'est vous qui avez plus de cœur et qui savez aimer, mais dans quelques années vous allez déchanter.
Frère et sœur, ne veux rien dire. Énergies différentes. Pensées différentes. Les gens toxiques excistes. Mettre son nez rouge, pour des réunions de famille, laisse béton.
J'ai une sœur et on s'adore ❤❤ liées pour toujours 😊
Merci Julien pour ce partage! Magnifique ce condensé en une phrase débutant à 9''55" Mythe -> croyance -> Norme et je souligne le mot Norme. Rien à dire de plus si ce n'est que tout ce qui peut en découler... Merci!
Ce problème ne me concerne pas directement mais la famille de mon mari.
Le problème dans cette fratrie est que c'est la mère qui jeune a eu des enfants alors qu'elle avait eu une enfance difficile et une mise à l’écart en tant que fille par rapport aux 2 garçons. Elle a trimballé ce poids toute sa vie et encore aujourd'hui à 82 ans.
Manque de pot elle a eu 2 filles en premier et bingo elle a transmis cette rancune amassée.
Le 3 ème enfant 1 FILS .......... TOUT LUI EST DÛ ........ TOUT.
Et bien sûr tout le quotidien est réservé à ses filles sans aucune reconnaissance !!!!!
Difficile pour elles. 8:48
Ya pas besoin d'être psychotique pour être toxique dans une fratrie.
Le ressenti personnel de l'affection des parents et la jalousie même non justifiée de sa fratrie, peut dès l'enfance polluer les relations entre frère et soeur etc et pour peu que la vie soit compliquée par la suite, ça exacerbe les tensions et les rancœurs déformées en négatif au fil du temps.
Et là, à part couper définitivement les ponts intra familiaux, il n'y a souvent pas grand chose d'autre à faire à la fin.
Et faire le deuil de sa famille ce qui est long et douloureux avant d'être salvateur.
Trop court dommage c'était passionnant !
Je suis née dans une famille de 3 enfants et je suis la dernière ("l'accident" ma mère parlait de moi comme ça devant les gens, un peu pour se déculpabiliser) j'ai 10 et 14 ans d'écart avec mes frères. Le lien ne s'est jamais vraiment fait ni avec ma mère ni avec mes frères.
Après plusieurs années de thérapie et de non lien, je viens de couper les liens avec ma famille. Aucun appel, c'était toujours moi qui venait aux nouvelles.
Mes parents étant décédés tous les 2, j'essaie de créer d'autres liens avec des amis.
Pas simple en tout cas quand on est née (n'est) dans une famille dysfonctionnelle.😌
Mes amis dont ma seule famille, car je l'ai choisie😅
Je suis dans le même cas que vous. La seule solution c'est la rupture définitive. 😊
@@Rocamadour17 oui même si ce n'est pas facile. La famille "devrait" être notre socle enfin pour moi.
Vous avez pris la seule decision qui s'imposait, c'est a dire rompre, et pouvez être fière d'en avoir eu le courage et la clairvoyance
Vous n êtes pas et et ne serez jamais un accident mais une personne une merveille voulue et aimée de Dieu sinon vs serez pas .moi j y crois même ds une société où Dieu n a plus sa place
Je suis l'aîné d'une fratrie de 4 et on ne s'est jamais bien entendu, j'ai tout fait pour les 3, mais rien à faire ils m'ont détruit et traiter de la folle de la famille, encore aujourd'hui les 3 sont égoïstes, jaloux jusqu'à s'en prendre à mon enfant, j'ai du faire des thérapies pendant des années! J'ai coupé court avec la famille et ma vie se porte mieux! Le traumatisme a été tellement grave que j'ai fait un seul enfant unique! Ma vie est superbe depuis que je suis partie de ma famille...
Merci bcq d'avoir partager ce propos
Bonjour et merci.
Oui,pour moi, j'étais en dépendance affective vis à vis de mes frères et sœurs.
Maintenant, j'ai arrêté et pris conscience que l'on devait faire notre vie sans les uns les autres.Et je vis beaucoup mieux.Merci pour votre partage et même par rapport à mes enfants.
Je les laisse vivre
La famille c'est la base de la société et si Dieu vit dans notre coeur alors nous aimons d'abord les membres de notre famille, nos parents et nos frères et soeurs de notre famille. Dieu soit béni🙏🙏🙏
D accord mais aussi: Ne fait pas à ton frère ce que tu ne voudrais pas qu il te fasse, et surtout ne permet pas qu il te fasse ce que tu ne lui ferais pas.
C’est la jalousie qui prime dans les familles nombreuses !!! Malheureusement...et qui dure même après le décès des Parents !! jusqu’a jetter les fleurs qui sont déposer sur le caveau...😢
Une fois de plus ça me confirme à quel point la vie est un bourbier 😤😤
Cette video est super téressante. Je suis d'avis avec le Dr Neuberger c'est bien d'avoir une famille avec des frères et sœurs a condition qu il y est de l'amour. Pour tous et pas que des préférences. Moi je suis issue d'une famille nombreuse et je n'ai jamais eu de câlins ni de bisous et je en ai jamais recu en dehors de la famille. Jai ete maltran'ai et mal aimee. Je n'ai pas reproduit la maltraitance sur ma fille mais j'ai eu des problèmes pour lui donner de l'amour. A mon âge je n'ai pas trouvé personne pour combler ce manque et j'en suis malheureuse. Comment faire car j'estime que l'amour est mon droit de naissance❤
Faites vous aider Pauline par un psy très bienveillant . Entourrez vous de personnes bienveillantes.
Au fond de vous derrière les blessures de votre enfance malheureuse il y a de l Amour et de la Paix. Pensez un peu à vous aussi en écoutant votre enfant intérieur. Soyez bénie
❤❤❤
J ai eu le meme probleme que vous et mes 2 enfants n ont pas ete aimes mais gates...je ne savais pas faire. J ai reussi a M aimer enfin a 70 ans ayant coupe les liens avec tous et arrete les liens de dependance avec tous...amis compris...= besoin d etre aimee. Je ne frequente plus que mon fils..et j aime enfin ma solitude.
la psychogénéalogie, aide grandement, commencez par lire, faire votre arbre avec ce que vous en connaissez, ou pensez connaitre vous avancerez, eet si vous trouvez un thérapeuthe compétent, respectant les codes sans envahir la thérapie avec sa personne, ce qui est bien trop souvent le cas, et c'est toxique, alors là, vous verrez les choses bouger autour de vous, sans rien faire de particulier, volontairement avec les personnes, les plus hostiles reviendront peut etre comme par magie, je l'ai constaté personnellement.
La psychogénéalogie rapproche les familles, répare symboliquement voir Aie mes aieux" Anne Ancelin Schutzenberger, et d'autres, dont serge Tisseron.
Nous smes 9 enfants 5,filles, et 4 garçons, enfance misérable, qui a tissé avec la faim, et les oups du père, des liens très forts entre_nous 9 caractères différent, mais un grand respect des uns aux autres... Tous en vie de 84, pour l'aîné, à 57 ans pour le plus jeune❤❤❤❤❤❤❤❤❤
Très bonne vidéo qui va sans aucun doute parler a beaucoup de personnes et apporter une deculpabilisation .merci
Merci cette vidéo fort instructive surgit ce jour sur mon chemin de réflexion au sujet des liens familiaux ,leur impact sur la santé et la volonté de certains parents a forcer des rapprochements comme une évidence qui n' est pas où plus.
Un mythe..propice à des souffrances ..parfois,souvent..un abus affectif.
Le sujet est traité de manière subtile et riche dans plusieurs films de Cédric Klapisch ("Ce qui nous lie", par exemple)
👍👍
J' ai toujours voulu matérialiser des relations de respect et d'harmonie familiale. Certainement, parce que brièvement, j' ai connu ce paradis, toute jeune enfant avec mes grands-parents, mes oncles mes tantes, mes cousins...
Mes parents m'avaient confiée à mes grand- parents, ils partaient vivre l' aventure suisse, d'abord mon père, j' avais 3 mois, puis ce fut le tour de ma mère, j' avais 6 mois, elle dût choisir entre son mari et sa fille. C'était en novembre, un choix bien difficile , qui l'a sans doute marquée.
Le bébé tombe malade et survi grâce à l'amour de ses grands-parents, parrains, cousins, voisins, etc.
À l'âge de 3 ans, je me me retrouve en Suisse, peut avant la naissance de ma sœur. Je me sens seule et déracinée; tout était étranger pour moi. J' ai de nouveau pû surmonté cette épreuve-là, grâce au soutien à distance de la famille et le souvenir de mon petit paradis. J' ai voulu apprendre à lire et à écrire vite, pour pouvoir envoyer des lettres à ma grand-mère.
J' ai fini par être un mélange d'enfant sauveur et de mouton noir...
Mais qu'est-ce que j' ai essayé d'aimer mes parents et ma sœur, de les comprendre, de les justifier, j' y ai mis tout mon cœur... mon cœur s'est brisé. Ne pouvant accepter l'échec,
j' ai réessayé plusieurs fois, imaginant que c'était de ma faute, donc je devais trouver la solution en moi.
Puis un jour, la femme adulte, ne peut bouger, les cervicales se bloquent, il y a des pourparlers d'héritage, elle s' enfiche de l'héritage, c'est l'abandon à nouveau... Un médecin lui dit qu'elle doit se préserver car sa santé est en jeu. Et, là je comprends, les illusions d'une vie tombent à l'eau. Elle doit grandir et faire face à la réalité : ils ont délibérément choisi sans elle, à son détriment.
La conclusion s'impose, l'analyse objective le démontre, c'est une évidence et ça fait mal!
Mais tout semble se simplifier, le futur est rempli de possibilités, mais désormais, elle ne peux qu'accepter et respecter leur choix, pour faire ses propres choix, faire sa route avec sa famille.❤
Par chance il y a aussi de belles fratries, mes trois jeunes adultes disent que la leur en est une, même s'ils se chamaillent!
J' ai écouté il y a quelques années, en auditeur libre en faculté de psycho, un cours sur le développement social et affectif de l'enfant. L' expérience de la poupée Bobo d' Albert Bandura en 1961, qui démontre l' imitation d' un comportement agressif, m' avait interpellée. Expérience faite, est-ce qu'être témoins de violence conjugale augmente l'agressivité dans la fratrie ou y a-t-il des causes multiples ?
Intéressant, effectivement le mode de relation proposé comme modèle... Plus tant de frustrations intenses sans élaboration, l'engagement à "aider" demandé sans tenir compte de l'âge et des capacités, la jouissance d'adultes devant l'agressivité d'un des enfants qui est renforcé...
J'aimerais bien avoir une réponse argumentee si possible
Je suis arrivée bien après ma soeur et mon frère. Je voulais être aimée d'eux. À leurs yeux j'étais une emmerdeuse une capricieuse.
À l'âge adulte mon frère et moi nous sommes rejoint et avons été amis.
Ma soeur a pris en charge notre mère après la mort de notre père. Ma mère n'était préoccupée que par moi. Ma soeur m'a détesté depuis toujours en m'humiliant et me trouvant tous les défauts et en espérant (je pense) que je me brise.
J'ai beaucoup apprécié l'explication , je comprends et accepte. Je serai plus compréhensive dans l'avenir autour de moi. Merci pour le partage
Très très instructif ! Merci de percer ce tabou !
Moi je suis psychologue et ma sœur est psychotique, artiste et je confirme c'est compliqué. Cet exemple me parle... Je confirme pour garder sa place de 1er la maladie se pointe. Merci d'avoir verbalisé ça.
" moi je suis psychologue " ça en dit long !Pfffffffffff
Tous mes remerciements au Docteur NEUBURGER.
Il est possible d'avoir l'interview intégrale ?? Merci
J'ai eu une relation fusionnelle avec ma sœur, un peu trop, lorsque ns étions enfant. Puis l'âge est arrivé ou elle a fait des choix qui l'ont fait se mettre en opposition contre moi, comme une mère et sa fille. Étant l'aînée, je n'ai pas compris et j'ai pris mes distances définitivement. Cette relation était contreproductive et donc sans vraiment de possibilité de s'y épanouir. J'ai fait de même avec une mère maltraitante, j'ai ainsi sauvé ma vie. Courage à tous !
Personne ne DOIT s'aimer, que ce soit dans la fraternité ou ailleurs. L'amour contraint ce n'est plus de l'amour.
La fratrie m'a déçu causé beaucoup de mal surtout lors des deuils de mes 2 enfants et de ma mère. Ce n'est pas de l'amour que j aie reçu mais de la haine
Mes frères sont violents et toxiques, mes parents sont vieux, j'appréhende beaucoup ma vie après mes parents 😔😔😔
J'ai vécu une méchanceté ignoble au moment de la mère âgée de 102 ans et cela à continuer les 2 années suivant avec l'héritage qui perdure encore.
J'ai fini par tous les ignorer surtout les 2 frangins
@@whiteblue4270
Et quand il y a ni l’amour ni le respect on fait quoi ! Je partage complètement l’avis du Dr Neuburger , passionnant ..
toujours lumineux ! un grand merci
Super invité
Super sujet
Mes deux enfants ne se sont jamais vraiment entendus...mais leurs parents non plus... Aujourd'hui, la famille ne se réunit plus, les parents sont séparés et les enfants vivent leur vie chacun de leur côté. Je n'impose rien, car ils sont trop différents. Le fils est fâché 16:53 le père comme son père avant lui pour des motifs valides, mais peut-être imaginés...❤
ce n'est pas parce qu'on est medecin que l'on voit "juste" en toute chose.
J'entends la thèse avancée avec intérêt même si personnellement j'ai eu la chance de grandir dans une fratrie unie qui continue à être unie aujourd'hui à l'âge adulte. Je pense cependant qu'il est important pour les parents de "viser" l'amour dans la fratrie, œuvrer pour que les frères et sœurs s'aiment. Car baisser un idéal (en l'occurrence viser le respect et non l'amour dans la fratrie) certes nous rapproche de la réalité mais il affaiblit aussi le moteur du désir d'un mieux, d'un futur où la réalité serait l'amour dans la fratrie.
On choisi ses amis mais pas sa famille , mon père me l à souvent répété !
ni ses collègues !! :D
@@isalabeillelabeille7726 aussi
Tout ce qu'il a dit est vrai.... à l'enfant de gérer sa situation quelquefois difficile.... mais qui, s'il est honnête, le rééduque . Oui, c'est à l'enfant de se, reformer avec son expérience et l'aide de personnes sérieuses qui lui font comprendre , par l'exemple, qu'il doit continuer à avancer, malgré les échecs, que tout le monde vit.
Mais, le principe de l'honnêteté intellectuelle est primordial.
C'est cette honnêteté qui est le plus difficile à mettre en place...c'est là que doit se faire le travail.
S'il y a refus catégorique....pas besoin de continuer...on va vers l'échec certain !
Quand je parle d'honnêteté, elle concerne aussi bien l'intellectuel que le cœur.
Superbe vidéo je comprends beaucoup mieux certaines choses... Merci 😍
vision d'un homme qui a eu tout pour lui et qui est content de n'avoir pas eu à partager.. Sans compter que cette vision de la famille est confortée par cette société riche ou chacun peut vivre sans de manière égoiste sans souffrir.
Ma sœur ne m'a jamais accepté et m'a fait les pires crasses, heureusement que ma mère était là pour me manifester de l'affection et me défendre
Excellente vidéo, merci pour le partage.
Très intéressant. J'ai 1 sœur jumelle et notre relation est plutôt Dominant/Dominé. Mon ego cherche plutôt l'humour quand nous sommes pas d'accord. Un père qui manifestait bcp d'amour à son égard et une mère aimante me protégeant depuis ma naissance, en couveuse 3 semaines, ma sœur 1 semaine. Merci ✨✨✨ pour cette vidéo
Heureusement qu'on est pas obligé d'aimer sa famille.
La première chose c'est qu'on connait sa famille, on peut compter sur les frères (et soeurs) pas au sens où ils vous aideront inconditionnellement, mais au sens où on sait exactement comment ça va se passer dans les situations diverses. Ensuite, si on veut s'entendre on le peut.
Non, il y a des caractères qui ne s'entendent pas et si le niveau de compréhension, de culture est trop différent, c'est même la guerre.
@L24-l5s
Vous n'avez pas compris le commentaire.
😊Excellente intervention! Merci !
La force de la Vie c'est la diversité . Rien d'étonnant à ce que frères et soeurs suivent souvent des chemins différents et aient des caractères dissemblables . Cependant l'inimitié ne peut naître que dans un contexte disharmonieux causé par la maladresse ou la négligence de parents affectivemement carencés .
❤merci ❤
Hyper intéressant
Merci de parler d'abus sexuel dans les fratries et des raisons pour lesquelles cela n'est pas dit. Et de dire que c'est dramatique car souvent ce n'est pas "entendable" chez les parents.
Il ya de l'empathie naturel dans une famille toujours autour du malade, d'handicapé ou celui que l'accident a affaibli. Le sens de responsabilité entre en jeu.
C'est vrai qu'on n'est obligé de s'aimer. L'amour ne se commande. Mais on doit se respecter entre frères.
J'ai aimé l'analyse du phénomène par ce psi
Le monde actuel TRAVAILLE ardemment à briser l'unité familiale.
La conduite des enfants envers leurs frères ou soeurs depend beaucoup de leurs parents.
Ce psy est extraordinaire! Je suis la 5ieme Sur 6 nee apres une fille morte nee je suis devenue malgre moi cette enfant mort nee les yeux de mes parents et surtout ma mere qui a EU une depression.
Puis, en fin de vie, je suis devenue l aidante de ma mere car nous n avions plus notre pere et les autres avaient tous des pretextes pour ne rien faire. En plus, j ai commencee ma vie pro en tant que kine (j ai vite arrete).
Bref IL resume ma vie
Merci beaucoup.
Fort intéressant.
J y a retrouvé des vérités.
A savoir le couple dysfonctionnel de mes parents n à absolument pas mesure l impact de leur disputes sur leur enfants.
Une psychologue me l avait dit.
Trop tourné sur eux.
Oui les frères et sœurs ne sont pas obligés de s aimer.
Cela n a pas ete simple entre mes sœurs et moi.
Chez l aînée très proche de ma mère j ai souvent sentie et aujourd'hui encore une certaine rancœur....
Après je me pose la question enfin même si c est trouble ne pas avoir ete victime d inceste....ou d attouchement...vers 4 ans et demi.
La réflexion de ce Monsieur qui souligne que ceka provient le plus souvent des freres ou sœurs sur leur cadet m interpellé.....
Souvent il y a suite à ce traumas un voile posé dessus...
Ah la la pas facile...d ou la necessite de se creer une famille de coeur....
Je n y suis pas encore parvenue..
Merci encore😊❤
Quand les Parents sont présents, les enfants restent unis...ils sont le lien d' Amour 💕
On doit s' aimer, s' éloigner est une trahison, pire, un crime de cœur! ❤️💓
Souvenirs 🌹
Non on ne doit pas s'aimer, il n'y a aucune obligation. L'amour est spontané, inné, inconditionnel ❤
Merci de ce partage.
Heureusement qu’il y a des psys de cette qualité 👍🏻
Cela relève le niveau de ce milieu étroit d’esprit, fermé sur lui-même et qui tend à conserver les personnes souffrantes en l’état…
Imaginez des psys cliniciens qui aujourd’hui dédaignent les avances des découvertes en neurosciences, le concept de psychotraumatisme…
Science fiction ?
Ben, hélas non.
Bonjour je suis enfant unique parce que les parents l’on décidaient ainsi… ils me le reprochent toujours . à 83 ans mon père est toujours amér de pas avoir eu de fils . Je paie très cher cette situation.
Dispute, ingratitude, injure et j’en passe.
Je ne sais pas ce que sais l’amour familial.
On choisit pas sa famille .j’ai toujours voulu les fuir
C'est justement tout le problème de prendre sa propre identité quand on est sans cesse ramené à nos frères ou sœurs. Très malsain
Très intéressant trop court merci Monsieur.
Merci! 😭😭
Ben ça tombe super bien. Je viens d'aider ma mère à faire ses courses. Et à très peur que lorsque elle devra partir elle aimerai que nous nous lions avec ma sœur mais je ne le souhaite pas. J'ai l 'impression de le sentir toujours redevable et cela me mets de plus en plus mal à l'aise. De gros règlement de compte sur l'attachement. Alors oui je reste très respectueuse mais je souhaite gardé de la distance. Le passé étant lourd..merci
Pas forcés d aimer son frère sa sœur, pas forcés d aimer ses parents, pas forcés d aimer son prochain...ben oui après tout pourquoi je n aimerais pas qui je veux, quand je veux et comme je veux ?.......triste monde va !
Très intéressant merci
Mon frère aîné de 1 an plus vieux que moi est proche de ma mère, ma petite soeur de 3 ans plus jeune que moi est proche de mon père. Et moi je suis l'enfant du milieu, l'enfant accident, car ma mère pensait que tant qu'elle allaitait son fils elle ne pouvait pas tomber enceinte, donc non voulue, que ma mère a tenté de faire passé et lorsqu'elle a raconté cela à une tante en ma présence a 13 ans j'en ai pleuré, mal accueillie par toute la famille qui disait à mon père tu ne vas pas lui faire un gosse tous les ans ..., jai refusé le lait de ma mère étant bébé, ce qui a vexé ma mère, donc nourri au lait de soja, j'étais maigre et ma mère avait honte de ce bébé, je n'ai qu'une photo de moi bébé, ils m'ont donné un prénom qui a été source de moquerie toute ma vie. Je devais servir ma petite soeur, la surveiller, la prendre dans mon petit lit quand elle pissait dans le sien jusqu'à ses 10 ans dans la même chambre.. un cauchemard... et accepter ses caprices car c'est la dernière ... jai détesté mon enfance, aucune solidarité entre frère et soeur, nous cohabitions et c'était surtout des disputes. et je n'ai jamai créé de lien de confiance ou d'amour ni avec mes parents ni avec mon frère et ni avec ma soeur. Mes parents disaient que j'étais difficile et renfermée et mauvais caractère, j'étais surtout très très mal dans ma famille... je suis parti de la maison à 20 ans des que j'ai eu un CDI, et un peu poussée dehors par mon père, Il y a eu un gros clash à mes 32 ans suivi de 2 procès pour violences contre moi, la juge a dit que mes parents voulaient me nuire et leur a enlevé leur droits grand parentaux sur ma fille.... j'ai entendu une cousine me dire que ma mère parlait mal de moi tout le temps, mes petits amis me disaient ta mère ne t'aime pas, et j'ai coupé les ponts définitivement....J'ai 63 ans et pour moi je suis seule au monde. Cet enfance m'a traumatisée dans ma propre vie d'adulte, j'ai eu un enfant seule mais jamais je n'ai voulu avoir un deuxième enfant, qui est ma place dans la fratrie, j'avais trop peur de reproduire ce que j'avais vécu... Aujourdhui à 63 ans je m'aperçois que tout viens de l'enfance. Je ne crois pas en la famille, chaque fois que je vois des frères et soeurs ils se bouffent le nez entre eux.
C'est essentiellement les problèmes d'héritage, même les moindres, qui anéantissement tout. Et c'est très souvent la faute des parents.