Superbe film dans un petit village au moment de la guerre et rencontre bouleversante entre une paroissienne réticente à croire et un prêtre qui bouleverse les paroissiennes de tout âge
Vu le sujet, je redoutais de tomber dans des clichés. Ce n'est pas le cas, au contraire... Le scénario et les acteurs nous font partager la vie au quotidien sous l'occupation, telle qu'on me l'a raconté
Le film est beau par la façon dont la femme évolue. L'amour qu'elle porte au prêtre change sa vision de la religion et c'est en cela que le prêtre la remercie. Il a accepté de jouer le rôle de l'amant improbable, témoin cette très belle scène des adieux où lui sourit et elle pleure. Son rôle s'achève, elle doit maintenant faire son chemin... seule
L'essentiel est de montrer cette femme qui s'est construite sa bulle, désertique, dans laquelle elle n'autorise plus personne. On ressent cette solitude, dont la présence d'une seule personne va alléger au final et à sa plus grande surprise puisqu'elle n'est pas croyante. Le film vaut pour leurs échanges intelligents, vifs et "drôles" parfois. Cette femme va se libérer quelque part de quelque chose en elle. On ne sent pas le même amour de la part de ce prêtre qui vit surement là autre chose au début, surement l'appel de la foi de cette brebis égarée à ses yeux. l'amenant à faire un choix dans sa vie et enfin peut être douter. C'est donc un affrontement entre 2 chemin de vies, 2 caractères qui se rencontrent à une époque qui parait ici comme lointaine, alors pourtant violente et dramatique.
Les personnages nous emportent dans leur monde et dans une autre époque. Un pas vers le monde de la religion, les jeunes femmes qui commencent à s'affirmer
Film bouleversant, touchant qui ne traite pas que de la religion malgré le titre du film. Il parle principalement d'amour, l'amour vu sous l'angle de la spiritualité
Outre le fait d'être un joli (et courageux) témoignage (car tiré d'un histoire vraie) que l'on soit croyant ou non, il soulève aussi des questions universelles (célibat des prêtres, rapport à l'engagement, fidélité, amour/raison...), questionne sur nos croyances et la façon d'en parler aux autres etc.
Une histoire très originale et profonde. On a très rarement des films sur ce thème au cinéma. J'ai découvert que c'était tiré d'une histoire vraie et je trouve cela encore plus fort.
C'est à travers les questions de religion, prêche et autres que le film séduit. On les aborde de manière intelligente, sans trop d'excès. Une ode à la différence !
C''est vraiment un beau film, avec une atmosphère, qui touche par l'universalité du questionnement, un film intelligent et délicat, rien qui ne s'impose, tout en finesse, respectant chacun
Ce prêtre manque-t-il de sagesse ou de prudence en osant une proximité trop grande avec une jeune femme qui certes se montre rapidement avide d'éclaircissements quant à la foi chrétienne (elle qui, au départ, réclamait des preuves!), mais en qui grandit aussi une fascination qui n'est pas que spirituelle ? Chacun en pensera ce qu'il voudra ! Ce qui est sûr, c'est que cette rencontre, qui, d'une certaine façon, se doit de finir assez brutalement, aura mis en lumière deux amours : l'un qui ne peut aboutir, mais l'autre qui surpasse et englobe tout le vivant. Une scène du milieu du film l'indique fortement et en donne le sens (dans un moment tragique, devant plusieurs cercueils de fusillés) : on y voit Léon Morin lire des passages de l'hymne à la Charité de la Première Lettre de Saint Paul aux Corinthiens (1Co 13, 1-13). Il n'est pas sûr du tout que Barny ait réellement trouvé la foi au contact de Léon Morin, mais à coup sûr, elle a trouvé l'amour. Sauf que ce n'est pas l'amour qu'elle avait souhaité. Léon Morin, lui, l'avait deviné ou pressenti : « cette jeune femme, avait-il affirmé, est plus proche de Dieu que la plupart de mes autres paroissiens ! ». Gageons qu'il avait vu juste !
Certitudes marxistes d’un côté et évangiles des apôtres de l’autre servent bien de socle aux convictions des deux. Et sans doute des concessions sont-elles possibles. Mais comme dès le début du film, les regards se cherchent, les mains se frôlent et les lèvres se rapprochent parfois, l’idéologie cède vite la place au désir. Barny et Léon Morin ne sont pas de bois. Comme si la résistance des âmes ne pouvait rien changer à l’élan des cœurs. D’ailleurs, le prêtre le dit : tout n’est qu’Amour !
Film très réussi, et pourtant il y avait de nombreux pièges. Comme croyant, puis prêtre, accompagnant des personnes en recherche, je me suis retrouvé dans cette situation de dialogue ouvert, qui n'aboutit pas toujours à l'acte de foi et qui interpelle autant l'accompagnant que l'accompagné. Il m'est arrivé aussi, jeune converti, de confondre l'amour de Dieu et celui de l'homme (de la femme!). La fin est très juste : comme le disais cet évêque très sage "si Claudia Schiffer se retrouve dans mon lit, bien sûr que je vais succomber! Le secret est de ne pas la retrouver dans son lit !!!!!"
Ce film mériterait bien des récompenses. Malheureusement, je crains qu’il n’attire pas les foules… Cela fait plaisir de voir un film profond qui procure des émotions alors que de nos jours on ne nous propose plus autre chose que de la violence et des images de scénarios traitant de la future autodestruction de la race humaine…
Romain Duris et Marine Vacth sont portés par la grâce ! Voila un film qui pourrait plaire à un chrétien ; mais pour celui qui a abandonné toute croyance, se retrouver dans l'ambiance triste et morbide de l'ambiance d'une église n'est pas un réel moment de plaisir.
Le vrai point fort du film, c'est son cadre dans la France occupée, la tension qui en résulte, les non-dits, les chuchotements, les attentats, les arrestations, les exécutions sommaires
Je suis surpris par la sévérité des critiques, je vois ce film pour la seconde fois et je ressens à nouveau une belle émotion de la rencontre des 2 personnages dans ce contexte d'occupation...même si je me sens plus proche de l'esprit de cette jeune femme que de l'obstination religieuse du curé... pour cette ambiance sombre, les non dits, la frustration des sentiments retenus et enfouis par la culpabilité imposée par l'époque et la situation
C'est donc l'histoire d'amour entre un prêtre plutôt ouvert d'esprit et une jeune femme, athée et pas la langue dans la poche. Cela donne de savoureux dialogues, on parle de religion et c'est toujours bon d'en parler, sans vraiment en parler, car ce n'est pas un enchaînement de prières. Au contraire, c'est philosophique, et on peut y voir la religion ou la spiritualité sous un autre angle.
Belle rencontre entre une paroissienne réticente à croire en la religion catholique et un prêtre à la fois séduisant et habité par son choix (être prêtre). Tout les sépare, ils s'affrontent mais ils se respectent. Une grande richesse de dialogue. Les sentiments sont forts, et illustrent une de ces histoires d'amour improbables ou condamnables de cette période
Au delà de la petite histoire d'amour il y a le sujet de l'Amour. La lecture de Paul lettre 1 Corinthiens chapitre 13...si je n'ai pas l'amour je ne suis rien, aux obsèques de plusieurs habitants, tués par représailles par les occupants allemands aux actions des résistants, à l'intention des paroissiens pour certains des collabos, n'est pas dénuée d'interpellations. La leçon a encore toute sa justesse aujourd'hui, nos écarts s'appliquant à d'autres hypocrisies et trahisons... Nos élites politiques nous en donnent une preuve tous les jours
J'ai apprécié de suivre leur histoire impossible mais je peux comprendre que ce film puisse ennuyer car tout est dans les dialogues et si on ne rentre pas dans l'histoire et dans ces échanges sur la religion, on peut ne pas adhérer. Ce n'est pas mon cas, j'ai suivi avec grand intérêt ces échanges
Nicolas Boukhrief prend le temps de développer le personnage de Barny pour accentuer encore plus son changement de vision. Ceci est le résultat d'échanges intenses qui mettent les convictions des deux à rude épreuve. Cette joute verbale entre ces deux personnes que tout oppose est intéressante et prend même le pas sur ce jeu de séduction assez subtil
Perturbant, les dialogues posent souvent de bonnes questions mais malheureusement beaucoup restent sans réponse. Une période trouble où les voisins étaient souvent aussi dangereux que les envahisseurs. Une autre forme de film de guerre vu sous l’angle civil
Bien sûr, il s'agit d'une adaptation d'une oeuvre littéraire contemporaine. Il est donc vain d'y rechercher et d'y retrouver dans le menu détail ce qui est dans le récit sur papier. Au cinéma, le message, le propos, la narration passent par le jeu des acteurs. Un remarquable face à face reconstitué (un peu imaginé par rapport au roman) entre le prêtre avec sa foi inconditionnelle mais réfléchie et la jeune paroissienne, athée et communiste ici pour sans doute mieux caractériser la confrontation. Des dialogues qui relèvent de l'essai philosophique, sans être le moins du monde barbant pour le spectateur par forcément familiarisé à ce type de joute oratoire où Marx et les Evangiles peuvent se comparer et se compléter pour finalement, sans doute, aller vers un même idéal
Superbe film dans un petit village au moment de la guerre et rencontre bouleversante entre une paroissienne réticente à croire et un prêtre qui bouleverse les paroissiennes de tout âge
Vu le sujet, je redoutais de tomber dans des clichés. Ce n'est pas le cas, au contraire... Le scénario et les acteurs nous font partager la vie au quotidien sous l'occupation, telle qu'on me l'a raconté
Le film est beau par la façon dont la femme évolue. L'amour qu'elle porte au prêtre change sa vision de la religion et c'est en cela que le prêtre la remercie. Il a accepté de jouer le rôle de l'amant improbable, témoin cette très belle scène des adieux où lui sourit et elle pleure.
Son rôle s'achève, elle doit maintenant faire son chemin... seule
L'essentiel est de montrer cette femme qui s'est construite sa bulle, désertique, dans laquelle elle n'autorise plus personne. On ressent cette solitude, dont la présence d'une seule personne va alléger au final et à sa plus grande surprise puisqu'elle n'est pas croyante. Le film vaut pour leurs échanges intelligents, vifs et "drôles" parfois. Cette femme va se libérer quelque part de quelque chose en elle. On ne sent pas le même amour de la part de ce prêtre qui vit surement là autre chose au début, surement l'appel de la foi de cette brebis égarée à ses yeux. l'amenant à faire un choix dans sa vie et enfin peut être douter. C'est donc un affrontement entre 2 chemin de vies, 2 caractères qui se rencontrent à une époque qui parait ici comme lointaine, alors pourtant violente et dramatique.
Les personnages nous emportent dans leur monde et dans une autre époque. Un pas vers le monde de la religion, les jeunes femmes qui commencent à s'affirmer
Film bouleversant, touchant qui ne traite pas que de la religion malgré le titre du film. Il parle principalement d'amour, l'amour vu sous l'angle de la spiritualité
Le contenu de leurs discussions est une véritable réflexion sur la foi et la religion.
Outre le fait d'être un joli (et courageux) témoignage (car tiré d'un histoire vraie) que l'on soit croyant ou non, il soulève aussi des questions universelles (célibat des prêtres, rapport à l'engagement, fidélité, amour/raison...), questionne sur nos croyances et la façon d'en parler aux autres etc.
Une histoire très originale et profonde. On a très rarement des films sur ce thème au cinéma. J'ai découvert que c'était tiré d'une histoire vraie et je trouve cela encore plus fort.
C'est à travers les questions de religion, prêche et autres que le film séduit. On les aborde de manière intelligente, sans trop d'excès. Une ode à la différence !
Le questionnement sur la spiritualité et la foi manque peut-être de profondeur
C''est vraiment un beau film, avec une atmosphère, qui touche par l'universalité du questionnement, un film intelligent et délicat, rien qui ne s'impose, tout en finesse, respectant chacun
Les propos tenus par Léon Morin, certains d'entre eux en tout cas, pourraient, aujourd'hui encore, paraître audacieux pour quelques oreilles
Ce prêtre manque-t-il de sagesse ou de prudence en osant une proximité trop grande avec une jeune femme qui certes se montre rapidement avide d'éclaircissements quant à la foi chrétienne (elle qui, au départ, réclamait des preuves!), mais en qui grandit aussi une fascination qui n'est pas que spirituelle ? Chacun en pensera ce qu'il voudra ! Ce qui est sûr, c'est que cette rencontre, qui, d'une certaine façon, se doit de finir assez brutalement, aura mis en lumière deux amours : l'un qui ne peut aboutir, mais l'autre qui surpasse et englobe tout le vivant. Une scène du milieu du film l'indique fortement et en donne le sens (dans un moment tragique, devant plusieurs cercueils de fusillés) : on y voit Léon Morin lire des passages de l'hymne à la Charité de la Première Lettre de Saint Paul aux Corinthiens (1Co 13, 1-13). Il n'est pas sûr du tout que Barny ait réellement trouvé la foi au contact de Léon Morin, mais à coup sûr, elle a trouvé l'amour. Sauf que ce n'est pas l'amour qu'elle avait souhaité. Léon Morin, lui, l'avait deviné ou pressenti : « cette jeune femme, avait-il affirmé, est plus proche de Dieu que la plupart de mes autres paroissiens ! ». Gageons qu'il avait vu juste !
Dans une époque où il est facile de caricaturer le catholicisme, il présente un prêtre qui sait résister à la tentation pourtant séduisante.
Certitudes marxistes d’un côté et évangiles des apôtres de l’autre servent bien de socle aux convictions des deux. Et sans doute des concessions sont-elles possibles. Mais comme dès le début du film, les regards se cherchent, les mains se frôlent et les lèvres se rapprochent parfois, l’idéologie cède vite la place au désir. Barny et Léon Morin ne sont pas de bois. Comme si la résistance des âmes ne pouvait rien changer à l’élan des cœurs. D’ailleurs, le prêtre le dit : tout n’est qu’Amour !
Film très réussi, et pourtant il y avait de nombreux pièges. Comme croyant, puis prêtre, accompagnant des personnes en recherche, je me suis retrouvé dans cette situation de dialogue ouvert, qui n'aboutit pas toujours à l'acte de foi et qui interpelle autant l'accompagnant que l'accompagné. Il m'est arrivé aussi, jeune converti, de confondre l'amour de Dieu et celui de l'homme (de la femme!). La fin est très juste : comme le disais cet évêque très sage "si Claudia Schiffer se retrouve dans mon lit, bien sûr que je vais succomber! Le secret est de ne pas la retrouver dans son lit !!!!!"
Ce film mériterait bien des récompenses. Malheureusement, je crains qu’il n’attire pas les foules… Cela fait plaisir de voir un film profond qui procure des émotions alors que de nos jours on ne nous propose plus autre chose que de la violence et des images de scénarios traitant de la future autodestruction de la race humaine…
Romain Duris et Marine Vacth sont portés par la grâce ! Voila un film qui pourrait plaire à un chrétien ; mais pour celui qui a abandonné toute croyance, se retrouver dans l'ambiance triste et morbide de l'ambiance d'une église n'est pas un réel moment de plaisir.
Le vrai point fort du film, c'est son cadre dans la France occupée, la tension qui en résulte, les non-dits, les chuchotements, les attentats, les arrestations, les exécutions sommaires
Beau film fait de dialogues sur fond de guerre
Il est impossible de ne pas adorer cette fiction, si spirituelle, si bien incarnée, par les temps qui courent ou nous emmènent
Je suis surpris par la sévérité des critiques, je vois ce film pour la seconde fois et je ressens à nouveau une belle émotion de la rencontre des 2 personnages dans ce contexte d'occupation...même si je me sens plus proche de l'esprit de cette jeune femme que de l'obstination religieuse du curé... pour cette ambiance sombre, les non dits, la frustration des sentiments retenus et enfouis par la culpabilité imposée par l'époque et la situation
Aimait-elle véritablement Dieu à travers lui, ou seulement lui à travers Dieu?
Qui va confesser l'autre ? Un amour particulier, singulier et finalement très chaste
Il y a bien sûr la dimension religieuse à prendre en compte
C'est donc l'histoire d'amour entre un prêtre plutôt ouvert d'esprit et une jeune femme, athée et pas la langue dans la poche. Cela donne de savoureux dialogues, on parle de religion et c'est toujours bon d'en parler, sans vraiment en parler, car ce n'est pas un enchaînement de prières. Au contraire, c'est philosophique, et on peut y voir la religion ou la spiritualité sous un autre angle.
Belle rencontre entre une paroissienne réticente à croire en la religion catholique et un prêtre à la fois séduisant et habité par son choix (être prêtre). Tout les sépare, ils s'affrontent mais ils se respectent. Une grande richesse de dialogue. Les sentiments sont forts, et illustrent une de ces histoires d'amour improbables ou condamnables de cette période
Au delà de la petite histoire d'amour il y a le sujet de l'Amour. La lecture de Paul lettre 1 Corinthiens chapitre 13...si je n'ai pas l'amour je ne suis rien, aux obsèques de plusieurs habitants, tués par représailles par les occupants allemands aux actions des résistants, à l'intention des paroissiens pour certains des collabos, n'est pas dénuée d'interpellations. La leçon a encore toute sa justesse aujourd'hui, nos écarts s'appliquant à d'autres hypocrisies et trahisons... Nos élites politiques nous en donnent une preuve tous les jours
Il faut souligner la qualité d'écriture des dialogues
J'ai apprécié de suivre leur histoire impossible mais je peux comprendre que ce film puisse ennuyer car tout est dans les dialogues et si on ne rentre pas dans l'histoire et dans ces échanges sur la religion, on peut ne pas adhérer. Ce n'est pas mon cas, j'ai suivi avec grand intérêt ces échanges
Nicolas Boukhrief prend le temps de développer le personnage de Barny pour accentuer encore plus son changement de vision. Ceci est le résultat d'échanges intenses qui mettent les convictions des deux à rude épreuve. Cette joute verbale entre ces deux personnes que tout oppose est intéressante et prend même le pas sur ce jeu de séduction assez subtil
Perturbant, les dialogues posent souvent de bonnes questions mais malheureusement beaucoup restent sans réponse. Une période trouble où les voisins étaient souvent aussi dangereux que les envahisseurs. Une autre forme de film de guerre vu sous l’angle civil
Bien sûr, il s'agit d'une adaptation d'une oeuvre littéraire contemporaine. Il est donc vain d'y rechercher et d'y retrouver dans le menu détail ce qui est dans le récit sur papier. Au cinéma, le message, le propos, la narration passent par le jeu des acteurs. Un remarquable face à face reconstitué (un peu imaginé par rapport au roman) entre le prêtre avec sa foi inconditionnelle mais réfléchie et la jeune paroissienne, athée et communiste ici pour sans doute mieux caractériser la confrontation. Des dialogues qui relèvent de l'essai philosophique, sans être le moins du monde barbant pour le spectateur par forcément familiarisé à ce type de joute oratoire où Marx et les Evangiles peuvent se comparer et se compléter pour finalement, sans doute, aller vers un même idéal
La Confession est la troisième adaptation du roman "Léon Morin, Prêtre" de Béatrix Beck