👍 N'oubliez pas les pouces bleus pour faciliter la diffusion de la vidéo ! 🎥 Retrouvez l'ensemble des Archives René Girard sur la page d'accueil de la chaîne ou en suivant ce lien : ruclips.net/p/PL1JK4VDb8QBmV5gD4HHhw6-p6uW5jrAWa
Waw, quelle richesse de pensée, quel entretien constructif! La dernière phrase de René Girard me donne l'impression de s'adresser directement à nous, gens de 2023 totalement perdus pour penser ce qui nous arrive...
Un grand merci pour ce contenu, je ne connaissais pas René Girard, je suis jeune, je ne fais pas de hautes études, pourtant vous me donnez accès à des idées très intéressantes.
A 10 minutes de visionnage, je pensais en être à au moins la moitié de la vidéo. C’est fou ce que cet homme pouvait dire tant de choses en peu de temps.
La rivalité serait intrinsèque au groupe, sa finalité serait violence globale, le bouc émissaire servirait à canaliser cette violence et à la contenir. Delà émergerait un cycle, celui de l'humanité. C'est une analyse intéressante qui mérite notre attention. Il y a une certaine pertinence manifeste dans cette approche anthropologique. Le seul bémol c'est l'impression de focalisation sur l'ancien testament ou la tradition hébraïque. Ce qui est ici compréhensible, René Girard cherchant à utiliser des références culturelles capable d'une certaine résonnance auprès de son auditoire occidentale. Il faut aller plus moins, dépasser le seuil culturel judéo-chrétien, au-delà d'Aristote ou de Platon, remonter à la proto histoire Egyptienne voir plus loin encore, jusqu'à la dernière ère glaciaire, autrement la théorie pourrait manquer d'éléments constitutifs, manquer de primordialité. René Girard pose les édifices d'un travail titanesque digne d'attention et nécessitant une lecture plus "survivaliste" des textes anciens. Il pose le doigt sur un principe évolutionniste propre à l'humanité permettant l'éclosion d'une singularité au sein du monde du vivant. Il faut en chercher l'origine, qui doit être propre au monde animal, quelque chose de transitoire entre l'homme et la bête. Un modèle révolutionnaire s'est mis à se transmettre par principe mimétique au sein d'un groupe animal le faisant subitement évoluer en quelque chose d'autre. Certains parmi ce groupe ont été témoins de quelque chose de marquant voir de traumatisant, quelque chose d'inoubliable et de troublant... Je pencherai pour un acte d'une expression absolue, une révolte existentielle ou un combat impossible, dont un être serait sorti vainqueur... Un singe par exemple défiant un lion et qui le mettrait à mort par l'utilisation de moyens inédits jusque là. La potentialité du chef disparaissant ainsi donnant naissance à l'idée d'un être supérieur, pas qu'un simple chef, une divinité toute puissante capable d'anéantir la sauvagerie et l'injustice du monde réel... La violence deviendrait alors incontournable, pas uniquement au sein du groupe mais au sein de toute chose, de tout système, la rivalité serait devenue globale. Pour la première fois, le lion n'est plus l'ennemi, il devient un rival et rien d'autre. Tout est redimenssioné, on se redresse, on se sait capable de dominer, on cherche à dominer, à tout dominer, puisqu'on sait cela possible, puisque que l'un d'entre nous l'a déjà fait... Mais le mal prend alors racine, la violence se généralise et sombre dans le non sens, dans l'illégitimité... On se mettrait à maudire sa mécanique, ses dangers, une injustice en remplaçant une autre... Tout cela est très imagé et très hypothétique mais ça mérite réflexion. Ce qui est sur, c'est que le mimétisme est la pierre angulaire sur laquelle repose un édifice hors norme. Le souvenir lointain d'un acte insensé d'une improbabilité défiant l'univers lui même... Une révolte enragée d'une violence explosive et incroyablement radicale. La naissance d'un comportement obsessionnel engendrant une sorte de psychopathie aigüe... Il suffirait d'avoir aimer et qu'après avoir constater impuissant, le monde sauvage se nourrir de l'objet de son amour être devenu complètement fou. Dès lors chaque seconde, chaque jours on cherche le moyen de se venger de libérer sa haine, et que le passage à l'acte devienne pour ses semblables un acte fondateur. La libération d'un potentiel caché... La toute puissance d'un esprit fermement déterminé à anéantir ses rivaux, à travers laquelle s'affirmerait pour la première fois la possibilité de vivre librement ses propres passions, ses propres désirs, ses propres amours sans aucun obstacle, sans aucune menace... Dieu est celui qui d'un enfer transformerait les choses en paradis... De part ses actes et sa souffrance... Rien n'est plus douloureux qu'un simple souvenir... Rien n'est plus fondateur... Les anciens l'appelait "l'engendreur"... On ignore tout de lui ou elle... Seulement qu'il a tout changé... Ad Vitam Aeternam...
Merci pour cette "nourriture" pour le Cours de métaphysique à l'Université du Temps Libre, de l'UTL d'Aix-Marseille III où j'intègre et discute la théorie girardienne, très utile pour comprendre comment l'homme, dont "le désir est désir d'être", tente de se donner une consistance ontologique... tragiquement... JR.
Je suis toujours admiratif de ce monsieur. Il me semble toutefois qu'il accorde aux foules un pouvoir excessif. Une foule non- dirigée ne tue personne. Les Évangiles sont très clairs sur les raisons du retournement de la foule de Jérusalem contre Jésus.
Des leaders peuvent désigner certaines victimes en particulier à des foules excitées qui sont trop désorganisées pour s'entendre et se mobiliser contre une cible précise (et qui sont ravies de se déresponsabiliser encore davantage) mais les émeutes qui tournent au meurtre collectif sont néanmoins monnaie courante.
Très bonne description dans un cours résumé de l,ensemble de l,histoire biblique de l,ancien testament. Nous voyons que Dieu était davantage plus direct du peuple qu,il considère reparateur du péché originel intervenu sur terre vis à vis aujourd,hui. Ce n,est sûrement qu,une raison de manque d,intuition parce que Dieu est continuelement désespère de la situation humanitaire. Dieu ne peut changer cette durée de souffrance par respect ses lois verticales du Ciel en créant l,homme dans le but de devenir fils de Dieu. Notre mort ici n,a qu,une signification, celle d,être séparé de Dieu.
C'est qu'on realise combien le journalisme a chu en 40 ans. Aucun journaleux des années 2020 ne serait capable de lire Girard et de le comprendre. Encore moins de l'interviewer de manière pertinente.
Encore encore moins oser publier le script et le proposer (pour la modique somme de 10 Frs 😅). Qui du reste regarderait et verrait l’intérêt de se procurer le script d’une interview historique.
Bonjour, j’ai entamer le premier ouvrage de Girard avec assiduité et je sens que je n’est pas la pleine compréhension d’une notion qui apparaît au 2e chapitre quand cela traite du snobisme, cette notion est celle de cercle psychologie, « toute connaissance indigné de l’autre est une connaissance circulaire qui revient frapper le sujet à son insu » « ce cercle psychologique est inscrit dans le désir triangulaire » Ou encore « nous croyons toujours nous mouvoir en ligne droite vers l’objet de nos désir et de nos haine. L’espace romanesque est « Einsteinien » le romancier nous montre que la ligne droite est en réalité un cercle qui nous ramène invinciblement à nous même ». Merci de m’éclairer avec vos mots sous d’autre angle, cela me ferait très plaisir.
Je n'ai presque rien compris. J'ai l'impression qu'ils mettent tellement d'emphase pour être politiquement correct au regard des critères de leur époque à l'endroit de ce qu'était le politiquement correct, qu'ils ne désignent pas ouvertement avec des mots ce qu'ils exposent, de telle sorte qu'on peut comprendre finalement tout ce qu'on veut bien comprendre dans leurs propos. La seule chose que je retiens de cette interview, c'est qu'il existe un mimétisme chez les animaux qui diffère de celui qui existe chez les humains, alors que le mimétisme chez les humains peut induire la destruction de l'espèce humaine, lorsque chez les animaux il converge vers une reconnaissance du chef. Est-ce que selon l'interviwé la solution serait une verticalité du pouvoir chez les Hommes comme chez les animaux ?
L’Émergence du wokisme - fondamentalement, une recherche de boucs émissaires ( en particulier l'homme blanc hétéro ) - serait-elle due à une crise mimétique de l'Occident, causée par l’appauvrissement et inégalités suite aux délocalisations et libéralisme économique ( i.e. plus assez de revenus pour s’accaparer les objets du désir mimétique, pour une partie grandissante de la population )? Autrement dit, la "cancel culture" ne serait-elle pas, fondamentalement, une culture du sacrifice - un reflex archaïque - à l'heure où les normes éthiques et restrictions religieuses s'affaiblissent de plus en plus, au profit de la marchandisation et mise-en-concurrence systématique?
@namo " l'homme blanc devenu bouc ... émissaire " est une tendance observée en Afrique , en Asie, ils sont maintenant majoritaires dans ces deux continents , à ne plus sacquer, piffrer, blairer l'homme blanc et le Français en particulier.Triste fin d'une période de fusion mimétique...
👍 N'oubliez pas les pouces bleus pour faciliter la diffusion de la vidéo !
🎥 Retrouvez l'ensemble des Archives René Girard sur la page d'accueil de la chaîne ou en suivant ce lien : ruclips.net/p/PL1JK4VDb8QBmV5gD4HHhw6-p6uW5jrAWa
Merci. Il s’agit toutefois de Jean-Louis Servan-Schreiber et non de “J.J.”
@@leglof36000 en effet. Corrigé.
@@leschosescachees9500 petite question hors sujet, c'est quoi la différence ou le lien entre votre chaîne et celle des recherches mimétiques ?
@@nasro573 cette chaîne-ci n'a pas de lien avec l'association pour les recherches mimétiques.
😅😅😅
Waw, quelle richesse de pensée, quel entretien constructif! La dernière phrase de René Girard me donne l'impression de s'adresser directement à nous, gens de 2023 totalement perdus pour penser ce qui nous arrive...
Un grand merci pour ce contenu, je ne connaissais pas René Girard, je suis jeune, je ne fais pas de hautes études, pourtant vous me donnez accès à des idées très intéressantes.
Merci à vous, votre commentaire justifie l'existence de cette chaîne 🙏🏻
1979 J’avais 10 ans ! Un penseur qui m’a fait grandir et bcp bcp réfléchir 💭….et que je réfléchis encore ! Merci ☺️ pour cette vidéo
Merci pour ce document inédit. Très intéressant.
A 10 minutes de visionnage, je pensais en être à au moins la moitié de la vidéo. C’est fou ce que cet homme pouvait dire tant de choses en peu de temps.
La rivalité serait intrinsèque au groupe, sa finalité serait violence globale, le bouc émissaire servirait à canaliser cette violence et à la contenir. Delà émergerait un cycle, celui de l'humanité.
C'est une analyse intéressante qui mérite notre attention. Il y a une certaine pertinence manifeste dans cette approche anthropologique. Le seul bémol c'est l'impression de focalisation sur l'ancien testament ou la tradition hébraïque. Ce qui est ici compréhensible, René Girard cherchant à utiliser des références culturelles capable d'une certaine résonnance auprès de son auditoire occidentale.
Il faut aller plus moins, dépasser le seuil culturel judéo-chrétien, au-delà d'Aristote ou de Platon, remonter à la proto histoire Egyptienne voir plus loin encore, jusqu'à la dernière ère glaciaire, autrement la théorie pourrait manquer d'éléments constitutifs, manquer de primordialité.
René Girard pose les édifices d'un travail titanesque digne d'attention et nécessitant une lecture plus "survivaliste" des textes anciens. Il pose le doigt sur un principe évolutionniste propre à l'humanité permettant l'éclosion d'une singularité au sein du monde du vivant.
Il faut en chercher l'origine, qui doit être propre au monde animal, quelque chose de transitoire entre l'homme et la bête. Un modèle révolutionnaire s'est mis à se transmettre par principe mimétique au sein d'un groupe animal le faisant subitement évoluer en quelque chose d'autre. Certains parmi ce groupe ont été témoins de quelque chose de marquant voir de traumatisant, quelque chose d'inoubliable et de troublant... Je pencherai pour un acte d'une expression absolue, une révolte existentielle ou un combat impossible, dont un être serait sorti vainqueur... Un singe par exemple défiant un lion et qui le mettrait à mort par l'utilisation de moyens inédits jusque là. La potentialité du chef disparaissant ainsi donnant naissance à l'idée d'un être supérieur, pas qu'un simple chef, une divinité toute puissante capable d'anéantir la sauvagerie et l'injustice du monde réel... La violence deviendrait alors incontournable, pas uniquement au sein du groupe mais au sein de toute chose, de tout système, la rivalité serait devenue globale. Pour la première fois, le lion n'est plus l'ennemi, il devient un rival et rien d'autre. Tout est redimenssioné, on se redresse, on se sait capable de dominer, on cherche à dominer, à tout dominer, puisqu'on sait cela possible, puisque que l'un d'entre nous l'a déjà fait... Mais le mal prend alors racine, la violence se généralise et sombre dans le non sens, dans l'illégitimité... On se mettrait à maudire sa mécanique, ses dangers, une injustice en remplaçant une autre...
Tout cela est très imagé et très hypothétique mais ça mérite réflexion. Ce qui est sur, c'est que le mimétisme est la pierre angulaire sur laquelle repose un édifice hors norme. Le souvenir lointain d'un acte insensé d'une improbabilité défiant l'univers lui même... Une révolte enragée d'une violence explosive et incroyablement radicale. La naissance d'un comportement obsessionnel engendrant une sorte de psychopathie aigüe...
Il suffirait d'avoir aimer et qu'après avoir constater impuissant, le monde sauvage se nourrir de l'objet de son amour être devenu complètement fou. Dès lors chaque seconde, chaque jours on cherche le moyen de se venger de libérer sa haine, et que le passage à l'acte devienne pour ses semblables un acte fondateur. La libération d'un potentiel caché... La toute puissance d'un esprit fermement déterminé à anéantir ses rivaux, à travers laquelle s'affirmerait pour la première fois la possibilité de vivre librement ses propres passions, ses propres désirs, ses propres amours sans aucun obstacle, sans aucune menace...
Dieu est celui qui d'un enfer transformerait les choses en paradis... De part ses actes et sa souffrance... Rien n'est plus douloureux qu'un simple souvenir... Rien n'est plus fondateur...
Les anciens l'appelait "l'engendreur"... On ignore tout de lui ou elle... Seulement qu'il a tout changé...
Ad Vitam Aeternam...
Me encanta tu reflexión, saludos para ti
Merci pour cette "nourriture" pour le Cours de métaphysique à l'Université du Temps Libre, de l'UTL d'Aix-Marseille III où j'intègre et discute la théorie girardienne, très utile pour comprendre comment l'homme, dont "le désir est désir d'être", tente de se donner une consistance ontologique... tragiquement... JR.
Merci à vous !
Merci pour le paratage
Je suis toujours admiratif de ce monsieur. Il me semble toutefois qu'il accorde aux foules un pouvoir excessif. Une foule non- dirigée ne tue personne.
Les Évangiles sont très clairs sur les raisons du retournement de la foule de Jérusalem contre Jésus.
Des leaders peuvent désigner certaines victimes en particulier à des foules excitées qui sont trop désorganisées pour s'entendre et se mobiliser contre une cible précise (et qui sont ravies de se déresponsabiliser encore davantage) mais les émeutes qui tournent au meurtre collectif sont néanmoins monnaie courante.
Une foule non dirigée s'écharpe entre elle.
Ne jamais sous estimer la foule. Lire Gustave Lebon, psychologie des foules.
Très bonne description dans un cours résumé de l,ensemble de l,histoire biblique de l,ancien testament. Nous voyons que Dieu était davantage plus direct du peuple qu,il considère reparateur du péché originel intervenu sur terre vis à vis aujourd,hui. Ce n,est sûrement qu,une raison de manque d,intuition parce que Dieu est continuelement désespère de la situation humanitaire. Dieu ne peut changer cette durée de souffrance par respect ses lois verticales du Ciel en créant l,homme dans le but de devenir fils de Dieu. Notre mort ici n,a qu,une signification, celle d,être séparé de Dieu.
C'est qu'on realise combien le journalisme a chu en 40 ans. Aucun journaleux des années 2020 ne serait capable de lire Girard et de le comprendre. Encore moins de l'interviewer de manière pertinente.
Effectivement, aujourd'hui ils déblatèrent avec Onfray ou invitent BHL.
Encore encore moins oser publier le script et le proposer (pour la modique somme de 10 Frs 😅). Qui du reste regarderait et verrait l’intérêt de se procurer le script d’une interview historique.
intemporel
Bonjour, j’ai entamer le premier ouvrage de Girard avec assiduité et je sens que je n’est pas la pleine compréhension d’une notion qui apparaît au 2e chapitre quand cela traite du snobisme, cette notion est celle de cercle psychologie, « toute connaissance indigné de l’autre est une connaissance circulaire qui revient frapper le sujet à son insu » « ce cercle psychologique est inscrit dans le désir triangulaire »
Ou encore « nous croyons toujours nous mouvoir en ligne droite vers l’objet de nos désir et de nos haine. L’espace romanesque est « Einsteinien » le romancier nous montre que la ligne droite est en réalité un cercle qui nous ramène invinciblement à nous même ». Merci de m’éclairer avec vos mots sous d’autre angle, cela me ferait très plaisir.
Je n'ai presque rien compris. J'ai l'impression qu'ils mettent tellement d'emphase pour être politiquement correct au regard des critères de leur époque à l'endroit de ce qu'était le politiquement correct, qu'ils ne désignent pas ouvertement avec des mots ce qu'ils exposent, de telle sorte qu'on peut comprendre finalement tout ce qu'on veut bien comprendre dans leurs propos.
La seule chose que je retiens de cette interview, c'est qu'il existe un mimétisme chez les animaux qui diffère de celui qui existe chez les humains, alors que le mimétisme chez les humains peut induire la destruction de l'espèce humaine, lorsque chez les animaux il converge vers une reconnaissance du chef. Est-ce que selon l'interviwé la solution serait une verticalité du pouvoir chez les Hommes comme chez les animaux ?
L’Émergence du wokisme - fondamentalement, une recherche de boucs émissaires ( en particulier l'homme blanc hétéro ) - serait-elle due à une crise mimétique de l'Occident, causée par l’appauvrissement et inégalités suite aux délocalisations et libéralisme économique ( i.e. plus assez de revenus pour s’accaparer les objets du désir mimétique, pour une partie grandissante de la population )? Autrement dit, la "cancel culture" ne serait-elle pas, fondamentalement, une culture du sacrifice - un reflex archaïque - à l'heure où les normes éthiques et restrictions religieuses s'affaiblissent de plus en plus, au profit de la marchandisation et mise-en-concurrence systématique?
@namo " l'homme blanc devenu bouc ... émissaire " est une tendance observée en Afrique , en Asie, ils sont maintenant majoritaires dans ces deux continents , à ne plus sacquer, piffrer, blairer l'homme blanc et le Français en particulier.Triste fin d'une période de fusion mimétique...
Non