Sur France Inter le matin, on trouve au féminin, la mielleuse Salamé et la pète-sec Deviller, entre les deux mon cœur ne balance pas et de cette interview il ressort que Vanessa Springora semble très sereine…c’est déjà ça! C’est la grâce du pardon🧘🏻♀️
L'intervieweuse est catastrophique, elle réduit le propos du livre à des histoires sordides dont on voit dans les réponses de l'autrice, qu'elles ne sont clairement pas les thématiques principales de son livre. Courage à elle, se faire balancer tout ça à la gueule alors qu'elle était sûrement venue parler de "pardon" comme elle le dit à la fin, c'est dégueulasse, sans coeur de la part de l'éditorialiste
Présupposé de Sonia Devillers : « Mes questions sont plus intéressantes que vos réponses » Couper la parole à ce point à quelqu'un qu'on interroge, quand on n'est plus débutant, révèle décidément de gros problèmes d'égo chez ces pseudo journalistes... Mais bon, quand on voit le comportement du boss en général...
De toute façon c'est toujours les noms des pères !! Le nom des mères est toujours le nom d'un homme !! De générations en générations ! Un truc de dingue qui n'a jamais été relevé !!
Quelle façon ignoble de mener un interview ! Quel réquisitoire. En vérité, vous n'interrogez pas, vous accablez la pauvre Vanessa avec ce qu'elle a couché sur le papier, probablement avec beaucoup de difficultés. Ça va on sait que vous avez lu le livre et que vous savez ce qu'il y a dedans. Laissez-la en dire ce qu'elle peut en dire et laissez-nous découvrir le reste. Sans compter qu'avec cette étalage d'accusations et de petits secrets familiaux sordides, vous ne donnez évidemment pas envie de lire ce livre. Il y a peut-être autre chose dans ce livre, un souffle, une quête, un style... on n'en saura rien.
Le bouquin semble fait de ces "petits secrets familiaux sordides". Plusieurs fois dans l'itv, Springora valide ce que de Villers vient de dire, ou la manière dont elle mène son itv. J'aurais aimé qu'on lui parle d'écriture, qui manquait cruellement à son premier livre, sujet nécessaire à traiter. Le problème pour elle, comme pour Angot ou Edouard Louis c'est que quand ils auront parlé de toute leur famille, quel sera leur sujet ? Elle, au moins, a le courage de dire que les mots peuvent tuer. Ce qu'Edouard Louis ou Angot n'a jamais eu le courage d'assumer.
Cette etalage familliale me derange peut etre que le livre propose une littérature, mais cette mauvaise interview est axée sur les petites histoires dégueulasses
@@suppaclassic90 Ce qu'elle a dit: qu'elle a découvert que son grand-père était nazi et avait participé à la Shoah par balles. Elle ne dézingue par sa famille, elle raconte des faits, elle explique l'impact que ces faits ont eu sur son père et du coup sur elle. Elle en a tiré de la compréhension et du pardon. Vous pensiez que la Shoah avait été acté par des extra-terrestres, pour parvenir à identifier que la Shoah est terrible, mais ne pas supporter l'idée que ce sont des grands-pères, des pères, des oncles, des frères qui l'ont faite?
T’aimes bien les femmes toi…où alors ce qu’à fait papy te rappelle tous les méfaits qui te seront un jour reprochés peut être ? C’est bien connu qu’entre même engeance on a plutôt tendance à se protéger et à se soutenir…
Sur France Inter le matin, on trouve au féminin, la mielleuse Salamé et la pète-sec Deviller, entre les deux mon cœur ne balance pas et de cette interview il ressort que Vanessa Springora semble très sereine…c’est déjà ça! C’est la grâce du pardon🧘🏻♀️
Mielleuse ou pète-sec, ce n'est pas cela qu'on attend (ou pas ) d'elles. Pour le coup l'interview est superbement menée. Bravo.
Il n'était pas rare de parler allemand en République tchèque. Franz Kafka, d'origine juive, est né à Prague et a écrit toutes ses œuvres en allemand.
L'intervieweuse est catastrophique, elle réduit le propos du livre à des histoires sordides dont on voit dans les réponses de l'autrice, qu'elles ne sont clairement pas les thématiques principales de son livre. Courage à elle, se faire balancer tout ça à la gueule alors qu'elle était sûrement venue parler de "pardon" comme elle le dit à la fin, c'est dégueulasse, sans coeur de la part de l'éditorialiste
Présupposé de Sonia Devillers :
« Mes questions sont plus intéressantes que vos réponses »
Couper la parole à ce point à quelqu'un qu'on interroge, quand on n'est plus débutant, révèle décidément de gros problèmes d'égo chez ces pseudo journalistes...
Mais bon, quand on voit le comportement du boss en général...
De toute façon c'est toujours les noms des pères !! Le nom des mères est toujours le nom d'un homme !! De générations en générations ! Un truc de dingue qui n'a jamais été relevé !!
France Inter on enterre le vrai journaliste depuis longtemps et la liberté d'expression !!
Sonia n,a su qu,accuser la pauvre Vanessa. Et lui clouer le bec…..
Ne pas avoir été la préférée de matzneff découle un livre de vengeance
Filer le buzz. Ne rien lâcher.
6:22
Quelle façon ignoble de mener un interview ! Quel réquisitoire. En vérité, vous n'interrogez pas, vous accablez la pauvre Vanessa avec ce qu'elle a couché sur le papier, probablement avec beaucoup de difficultés. Ça va on sait que vous avez lu le livre et que vous savez ce qu'il y a dedans. Laissez-la en dire ce qu'elle peut en dire et laissez-nous découvrir le reste. Sans compter qu'avec cette étalage d'accusations et de petits secrets familiaux sordides, vous ne donnez évidemment pas envie de lire ce livre. Il y a peut-être autre chose dans ce livre, un souffle, une quête, un style... on n'en saura rien.
Comment vouliez vous, en si peu de temps, qu'elle mène cette interview. Vanessa Spingora n'est pas dans la victimisation de toute façon.
Le bouquin semble fait de ces "petits secrets familiaux sordides". Plusieurs fois dans l'itv, Springora valide ce que de Villers vient de dire, ou la manière dont elle mène son itv.
J'aurais aimé qu'on lui parle d'écriture, qui manquait cruellement à son premier livre, sujet nécessaire à traiter.
Le problème pour elle, comme pour Angot ou Edouard Louis c'est que quand ils auront parlé de toute leur famille, quel sera leur sujet ?
Elle, au moins, a le courage de dire que les mots peuvent tuer. Ce qu'Edouard Louis ou Angot n'a jamais eu le courage d'assumer.
@@StephanieMonnerayêtre un peu ouverte et non violente…
Elle est clairement agressive c’est triste
Cette etalage familliale me derange
peut etre que le livre propose une littérature, mais cette mauvaise interview est axée sur les petites histoires dégueulasses
La Shoah, les petites histoires dégueulasses... Qu'est ce qui faut pas entendre...
@@sardonie vous savez tres bien de quoi je parle
elle dézingue sa famille
il n'est pas question de l'horrible shoah ici
@@suppaclassic90 Oui, bref, vous n'avez rien écouté de ce qu'elle dit et préférez entendre ce que vous désirez entendre quoi.
@@sardonie qu'avez-vous entendu donc ?
@@suppaclassic90 Ce qu'elle a dit: qu'elle a découvert que son grand-père était nazi et avait participé à la Shoah par balles. Elle ne dézingue par sa famille, elle raconte des faits, elle explique l'impact que ces faits ont eu sur son père et du coup sur elle. Elle en a tiré de la compréhension et du pardon. Vous pensiez que la Shoah avait été acté par des extra-terrestres, pour parvenir à identifier que la Shoah est terrible, mais ne pas supporter l'idée que ce sont des grands-pères, des pères, des oncles, des frères qui l'ont faite?
Regarder l’excellent film « Music box » sur ce même sujet de la découverte de qui était un père ou un Grand pere
Allez de la chouinerie de bobos pour commencer 2025 ! ouin ouin papy il était méchant ... ils sont vraiment dans leur monde
Et vous donc...
Allons donc ! Tu verras ça va bien se passer, petit homme ! Courage !
@@annav8525 mais oui ma poule, ca va bien se passer. Bises.
@@arnaudbarnaudb30vulgaire comme bien des hommes d’ailleurs !!!
T’aimes bien les femmes toi…où alors ce qu’à fait papy te rappelle tous les méfaits qui te seront un jour reprochés peut être ? C’est bien connu qu’entre même engeance on a plutôt tendance à se protéger et à se soutenir…
elle est devenue ecrivaine alors.....?....enfin!! c'était son rêve.....