J'ai bien aimé l'approche qui consiste à relire des ouvrages de cliniciens chevronnés et à les mettre en dialogue avec nos outils modernes. Je trouve très intéressant de réfléchir sur la spécificité des symptômes et notamment de l'automatisme mental, c'est un abord possible pour progresser dans la compréhension générale. Mais sur le fond, je reste sur un questionnement et un scepticisme quant-aux conclusions de votre travail. Par exemple, je ne comprends pas votre souci de ranger l'origine des psychoses dans la catégorie de l'"organique". Déjà, l'emploi du concept de "psychose" pose de multiples questions: Vous référez-vous à la notion de structure de personnalité décrite surtout par la recherche psychanalytique ? Ou vous référez-vous à l'assimilation simplificatrice à mon avis qui est faite dans certaines classifications américaines où le terme est employé comme synonyme de délire ? Où encore une autre référence ? En tout cas, dans la proposition " Les psychoses ont une origine organique" le sujet n'est pas clairement délimité. Mais l'est-il plus du côté de l'objet ? À partir de quel instant un trouble est-il considéré comme organique par opposition à psychique ? Ne peut-on pas concevoir le fait psychique comme ayant son pendant neuro-biologique ? Et si demain je décide de rester alité pendant des semaines et que je refuse de manger des protéines, que je finis par ressentir une fatigue musculaire extrême et si on ne s'intéresse qu'à ma fatigue, on authentifiera sans problème une atrophie musculaire mais cela voudra-t-il dire pour autant que ma fatigue s'origine uniquement dans l'organicité de mon état musculaire ? Qu'est-ce qui est à l'origine de la diminution de la substance blanche dans le sillon temporal droit chez les patients ayant des hallucinations interne ? On pourra toujours imaginer aller un peu plus loin dans le questionnement de l'origine de l'origine, non ? Ces questions conceptuelles rappellent la distinction "trouble fonctionnel" ou "non-fonctionnel" mais les phénomènes du vivant étant de nature protéiformes et complexes, je peux imaginer que les symptômes résultent souvent d'un mélange de ces deux natures des troubles....et on pourrait même aller plus loin et considérer un modèle où cette distinction perdrait de son sens discriminant à l'instar de ce que l'épigénétique nous a aidé à nous représenter d'une interaction entre gêne et environnement avec une capacité de ce dernier de modifier le premier.... Je trouve d'ailleurs que vous abordez cette question de manière intéressante quand vous parlez de la dysconnectivité, puisque vous y citez l'implication de facteurs génétiques ET de l'environnement ou encore d'intégration fonctionnelle. Alors pourquoi vouloir vassaliser le psychique au neurologique et faire de la psychose une maladie neurologique à tout prix ?
pour l'étude faîte à saint anne comparant deux groupe de patients l'un ayant des HIP et l'autre des HAV sur le plan anatomique et qui a trouvé une différence eu niveau du sillon temporale supérieur, j'ai pu comprendre que vous avez généralisé à partir de cet échantillon ( sans parler des méthodes et du protocoles suivi dans cette étude). Pourriez vous m'expliquer?
i know im asking the wrong place but does someone know a trick to log back into an Instagram account?? I was dumb lost the login password. I love any help you can give me
Pas mal l'histoire du stade 0 pour élargir le panel de personnes à qui ont peut refourguer des neuroleptiques. Par contre à part engraisser les labos pharmas qu'est ce que vous faites pour réellement aider vos patients ?
J'ai bien aimé l'approche qui consiste à relire des ouvrages de cliniciens chevronnés et à les mettre en dialogue avec nos outils modernes. Je trouve très intéressant de réfléchir sur la spécificité des symptômes et notamment de l'automatisme mental, c'est un abord possible pour progresser dans la compréhension générale. Mais sur le fond, je reste sur un questionnement et un scepticisme quant-aux conclusions de votre travail. Par exemple, je ne comprends pas votre souci de ranger l'origine des psychoses dans la catégorie de l'"organique". Déjà, l'emploi du concept de "psychose" pose de multiples questions: Vous référez-vous à la notion de structure de personnalité décrite surtout par la recherche psychanalytique ? Ou vous référez-vous à l'assimilation simplificatrice à mon avis qui est faite dans certaines classifications américaines où le terme est employé comme synonyme de délire ? Où encore une autre référence ? En tout cas, dans la proposition " Les psychoses ont une origine organique" le sujet n'est pas clairement délimité. Mais l'est-il plus du côté de l'objet ? À partir de quel instant un trouble est-il considéré comme organique par opposition à psychique ? Ne peut-on pas concevoir le fait psychique comme ayant son pendant neuro-biologique ? Et si demain je décide de rester alité pendant des semaines et que je refuse de manger des protéines, que je finis par ressentir une fatigue musculaire extrême et si on ne s'intéresse qu'à ma fatigue, on authentifiera sans problème une atrophie musculaire mais cela voudra-t-il dire pour autant que ma fatigue s'origine uniquement dans l'organicité de mon état musculaire ? Qu'est-ce qui est à l'origine de la diminution de la substance blanche dans le sillon temporal droit chez les patients ayant des hallucinations interne ? On pourra toujours imaginer aller un peu plus loin dans le questionnement de l'origine de l'origine, non ? Ces questions conceptuelles rappellent la distinction "trouble fonctionnel" ou "non-fonctionnel" mais les phénomènes du vivant étant de nature protéiformes et complexes, je peux imaginer que les symptômes résultent souvent d'un mélange de ces deux natures des troubles....et on pourrait même aller plus loin et considérer un modèle où cette distinction perdrait de son sens discriminant à l'instar de ce que l'épigénétique nous a aidé à nous représenter d'une interaction entre gêne et environnement avec une capacité de ce dernier de modifier le premier.... Je trouve d'ailleurs que vous abordez cette question de manière intéressante quand vous parlez de la dysconnectivité, puisque vous y citez l'implication de facteurs génétiques ET de l'environnement ou encore d'intégration fonctionnelle. Alors pourquoi vouloir vassaliser le psychique au neurologique et faire de la psychose une maladie neurologique à tout prix ?
pour l'étude faîte à saint anne comparant deux groupe de patients l'un ayant des HIP et l'autre des HAV sur le plan anatomique et qui a trouvé une différence eu niveau du sillon temporale supérieur, j'ai pu comprendre que vous avez généralisé à partir de cet échantillon ( sans parler des méthodes et du protocoles suivi dans cette étude). Pourriez vous m'expliquer?
Le cours était pour parler de l'automatisme mentale ou de faire les origines des psychoses...?
De Clerambeault est le meilleur pour décrire la psychose.
i know im asking the wrong place but does someone know a trick to log back into an Instagram account??
I was dumb lost the login password. I love any help you can give me
@William Roberto instablaster =)
Pas mal l'histoire du stade 0 pour élargir le panel de personnes à qui ont peut refourguer des neuroleptiques. Par contre à part engraisser les labos pharmas qu'est ce que vous faites pour réellement aider vos patients ?
Décevant...