USSR: Hope for renewal? - 1985 - 1987 - Andropov - Gorbachev - Boris Elstine - EP 3 - AT

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  • Опубликовано: 9 апр 2024
  • With the introduction of glasnost, perestroika and the first contacts with dissidents, Gorbachev triggered a period of thaw.
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    This thaw was hesitant at first, then increasingly chaotic in the satellite countries.
    Kádár's Hungary and Jaruzelski's Poland took the path of economic and political reforms.
    The system is cracking.
    The Chernobyl accident accelerates awareness of the state of disrepair of the system while an opposition emerges determined to reform the regime faster and stronger: it is Boris Elstine who poses as an alternative to yet another Gorbachev more overwhelmed by the situation.
    Twenty years after the end of the USSR, Goodbye comrades! -EP 3
    Director: Andrei Nekrasov
    Producers: Arte France, Artline Films
    Year: 2009
    Nationality: France
    Rights reserved ARTE
  • КиноКино

Комментарии • 29

  • @alexdesfrancs5165
    @alexdesfrancs5165 Месяц назад

    Merci

  • @julietteaxelrad7590
    @julietteaxelrad7590 Месяц назад

    Vidéo intéressante !
    Juliette Axelrad !

  • @nicolasmaquoi3158
    @nicolasmaquoi3158 Месяц назад

    Bonjour. Petite question: c’est quoi la musique du générique de fin? Merci 😉

  • @chantalvannier9942
    @chantalvannier9942 2 месяца назад

    Déjà vu
    Merci suand même.

  • @romainlebihan5913
    @romainlebihan5913 Месяц назад

    Quel est l'air musical du début ?

  • @vstromxt3799
    @vstromxt3799 2 месяца назад

    Très bonne série !

  • @Zofzoeif
    @Zofzoeif Месяц назад

    Un autre documentaire sur la catastrophe de Tchernobyl serait bienvenu pour éclairer ce moment funeste de l'histoire tant ignoré d'ailleurs par la multitude. Vos documentaires sont d'une extrême valeur, et je vous en remercie pour l'initiative !

  • @alexandretremblay6020
    @alexandretremblay6020 Месяц назад

    J'ai détesté et je l'explique très très bien plus bas dans un texte plus long !

  • @julietteaxelrad7590
    @julietteaxelrad7590 Месяц назад

    J'en apprends en politique !😢😢
    Juliette Axelrad !😅😅

  • @juu_2385
    @juu_2385 3 дня назад

    la music ?

  • @mireillevolle8011
    @mireillevolle8011 Месяц назад

    Il s’agit surtout de la catastrophe de Tchernobyl dans ce reportage et pas trop de Gorbatchev !

  • @andrewdeen1
    @andrewdeen1 Месяц назад

    thanks so much for uploading this. notre histoire is the best, I love that they have subtitles and multiple audio tracks.

  • @francoislalande1580
    @francoislalande1580 2 месяца назад

    J'adore cette série, surtout la musique.
    J'ai l'impression qu'un Papa raconte l'histoire à sa fille comme je le ferais à ma fille.

  • @user-ye7gm9rf7x
    @user-ye7gm9rf7x Месяц назад

    Mickael Gorbatchev Un visage bon par rapport à Poutine

  • @alexandretremblay6020
    @alexandretremblay6020 Месяц назад

    Un instant S.V.P je ne suis point pro-russe et loin de là. Je vais simplement dire que cette série documentaire est beaucoup trop critique envers un Gorbatchev, c'est à Gorbatchev que les pays baltes doivent leurs liberté ainsi que leur indépendance qui auront menés ces pays à être tous membres de l'Union Européenne, de la zone euro et ce qu'ils sont aujourd'hui. Je trouve les témoignages de ce documentaire incroyablement ingrats et ce sans aucune mesures. Ils doivent leurs liberté, leurs indépendances, leurs droits et démocraties à Gorbatchev et le dépeindre ainsi, après sa mort n'est rien d'autre que du mépris et de la fausse interprétation de l'histoire! Le contexte géopolitique de l'époque ne lui donnait pas le choix que de faire les choses comme elle sont produites. Les interventions militaires dans leurs pays n'étaient pas de son ressortais de celui de la vieille garde qui ont tout fait pour le renverser!

    • @eloideginestet659
      @eloideginestet659 Месяц назад

      Je ne trouve pas que le documentaire soit si anti Gorbatchev. La vision que ce documentaire me donne de lui c'est juste une personne qui n'est pas au niveau nécessaire pour sauvé l'URSS. Entre nous je ne suis pas sur qu'il y ait une personne capable de la sauvé a ce moment.

  • @Philosophiesocialiste
    @Philosophiesocialiste Месяц назад +1

    LE CAPITALISME « DE CHOC » EN RUSSIE
    La Russie a subi, vécu, dans les années 1990 l’un des bouleversements les plus formidables, et socialement violents de l’histoire humaine : le passage du système soviétique (« socialisme ») au capitalisme désormais globalisé. Ce passage plonge ses racines dans un lointain passé, avant et après la révolution de 1917, et plus spécialement dans les changements qui ont suivi la mort de Staline en 1953, la fin du régime de mobilisation et de contraintes qui avait caractérisé l’ère stalinienne de 1928 à 1953. Un quatrième régime soviétique voyait le jour.8 Une première étape déterminante a été la réforme des années 1960 9 et l’avènement d’une technocratie managériale.10 Une trentaine d’années de mutations sociales et de changements culturels ont débouché sur le grand tournant, « poussé » d’en bas mais décidé en haut, de la « Perestroïka », au départ promesse d’un socialisme nouveau, à l’arrivée naissance du capitalisme privé, financier et spéculatif.11 Vint enfin le tournant le plus accompli ponctué de moments décisifs : la liquidation de l’URSS en 1991 et , en Russie, l’éradication du Parlement et des soviets en 1993.
    Une lecture trop idéologique des événements de 1993 a laissé croire à un affrontement entre “démocrates” et « rouges » ou « rouges-bruns » (dans le langage eltsinien), ou à une “lutte de classes” entre gagnants et perdants des réformes (dans le langage communiste de 1993). De fait, on retrouve dans les deux camps des démocrates eltsiniens, des nationalistes de gauche et d’extrême-droite, et presque tous les principaux acteurs étaient, deux ou trois années auparavant, membres du parti-état PCUS.12 Seule la frange antilibérale (hostile à Gorbatchev puis à Eltsine) du communisme russe est globalement dans l’opposition. C’est dire à quel point les clivages traversent la sphère du pouvoir en train de se décomposer-recomposer.
    Mais surtout : on ne peut rien comprendre à cette tragédie si on ne la situe dans son double contexte: celui, politique, du type de pouvoir instauré en Russie après la “chute du communisme” en 1991 et celui, socio-économique, de la dite “thérapie de choc” qui bouleversa de fond en comble l’existence sociale et le cadre de vie symbolique et mental des ex-Soviétiques, autant que la situation géostratégique de la Russie, « héritière de l’URSS ».

  • @Philosophiesocialiste
    @Philosophiesocialiste Месяц назад +2

    Un traitre !

  • @Philosophiesocialiste
    @Philosophiesocialiste Месяц назад +1

    Gorbatvev le capitular !

  • @Philosophiesocialiste
    @Philosophiesocialiste Месяц назад +1

    C’est en ces termes, entérinant le massacre, que les médias occidentaux présentèrent les événements dans leur non moins banale habitude du copié-collé conforme : le gentil pouvoir démocrate était aux prises avec une méchante opposition « communiste » ou « rouge-brune », et l’enjeu était que la victoire des bons était seule capable d’empêcher le retour à une dictature soviétique.
    Caricaturale ou mensongère, cette présentation déguisait à sa façon les acteurs, les enjeux, le contexte.
    Qui étaient les principaux acteurs de cette crise ?
    Trois noms « historiques » à retenir, en plus de celui de Eltsine :
    EGOR GAÏDAR, concepteur de la « thérapie de choc » inspirée du néolibéralisme et des experts occidentaux (USAID, FMI, Harvard, Carnegie etc…). Le choc fut mis en œuvre en janvier 1992.
    ANATOLI TCHOUBAÏS, « père des Privatisations » qu’il généralisa à l’économie russe en 1993-1998.
    Tous deux étaient étroitement liés aux nouveaux groupes financiers et médiatiques, bientôt pétroliers, que menait au pas de charge la jeune génération des « oligarques », principalement à ce moment-là BORIS BEREZOVSKI et VLADIMIR GOUSSINSKI. Le troisième « larron » représentait, lui, l’aile réformiste de la nomenklatura industrielle et le secteur d’état du gaz qu’il dirigeait :
    VIKTOR TCHERNOMYRDINE, partisan d’une libéralisation « ralentie », premier ministre de 1993 à 1998.
    Le camp opposé, parlementaire, n’était pas « communiste ». Ses membres étaient certes d’anciens du PCUS, mais c’était le cas de TOUS les principaux acteurs, sortis de la même « cuisse de Jupiter » tout en professant des idées antinomiques, allant de l’ultralibéralisme, de l’anticommunisme fanatique parfois « pinochetiste », au nationalisme, en passant par toutes les nuances des social-démocraties et des communismes de l’époque.
    ROUSLAN KHASBOULATOV, allié de Eltsine en 1991 s’en était détaché au vu des conséquences sociales catastrophiques du « choc » à la Gaïdar. Enfant de la déportation tchétchène en 1944, adversaire mais non ennemi des communistes, il souhaitait un « état social de marché », une sorte de « new deal » à la Roosevelt ou à la Keynes.
    ALEXANDRE ROUTSKOI, autre eltsinien déçu, était plus proche des militaires et des nationalistes effrayés par l’effondrement de l’URSS. Il avait aussi « le sang chaud » et l’arme au poing.
    OLEG ROUMIANTSEV, rédacteur de la nouvelle Constitution eltsinienne, social-démocrate convaincu, militait activement pour le compromis.

  • @Philosophiesocialiste
    @Philosophiesocialiste Месяц назад +1

    Octobre Noir 1993 ou la “Méthode Pinochet” en Russie

  • @Philosophiesocialiste
    @Philosophiesocialiste Месяц назад +1

    Documentaire orienté et non objectif !