Virgule Escapement / Echappement à Virgule

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  • Опубликовано: 12 сен 2024
  • Echappement à virgule est un échappement à repos frottant avec une impulsion par période d'oscillation (1 coup perdu)
    Musique Waterfall de Aakash Gandhi
    Source Utube Audio Library

Комментарии • 6

  • @kovacskovacs3465
    @kovacskovacs3465 6 месяцев назад

    The cam of the cylinder/arbor needs to better allow the escape wheel to slide along its natural path as the tooth is being released, instead of a sudden drop. There's too much shock as it is, given the direct impulse nature of the design.

  • @josephflores349
    @josephflores349 3 года назад +1

    GÉNÉRALITÉS SUR L’ÉCHAPPEMENT À VIRGULE
    Cet échappement doit son nom à la ressemblance frappante de la pièce principale avec le signe de ponctuation. Cette pièce, très fine et incurvée, fixée à l’axe du balancier, permet les fonctions, repos et impulsions.
    C’est à LÉPINE (1720-1814) que l’on reconnaît, généralement, la paternité de cet échappement, mais certains auteurs l’attribuent à LEPAUTE.
    Cet échappement se classe dans la famille des échappements à repos frottant et doubles impulsions directes. Dans le domaine de l’application, il vient après les échappements à cylindre et les duplex, plus répandus.
    Sur ses deux prédécesseurs, l’échappement à virgule possède des avantages qui l’ont fait classer, à l’époque, comme échappement d’avenir. Les inconvénients qui limitèrent sa production, apparurent très rapidement.
    Sur le plan fabrication, qui conditionne directement le prix de revient, il faut séparer en deux les problèmes de construction: la roue et la virgule.
    La roue d’échappement des virgules, généralement en laiton, est taillée de façon à former à l’extrémité de chacune des dents un ergot elliptique. Cela demande un nombre moins important d’opérations que celles exigées pour la construction d’une roue de cylindre.
    D’autre part, pour construire l’axe et sa virgule, deux procédés étaient utilisés, nous les décrivons (extrait du Traité d’horlogerie moderne de C. Saunier) : Par l’une, on faisait d’un seul morceau d’acier la virgule, l'axe et ses pivots. La cavité du repos intérieur se pratiquait avec une fraise. Par l’autre méthode, on se servait d’un morceau d’acier, percé dans la longueur de l’axe comprise entre le pivot d’en bas et la manivelle, d’un trou légèrement plus grand que le diamètre d’une cheville, on formait la virgule, on tournait l’axe, on y rapportait un pivot au bas, ou, pour pouvoir lever ce pivot, on ajustait dans le trou un tampon analogue à ceux en usage pour les cylindres.
    La lecture de ces deux méthodes nous laisse aisément imaginer les difficultés pouvant apparaître lors de la fabrication. Ces difficultés sont largement accrues par les dimensions très réduites des virgules
    L’échappement à virgule a, théoriquement, de bonnes possibilités réglantes, au sein de la famille des échappements à repos frottants. Les repos produits près du centre de pivotement, perturbent au minimum les oscillations du balancier. Les impulsions, bien que déséquilibrées, sont distribuées favorablement.
    Le point noir de cet échappement est son manque de fiabilité. La tenue d’huile est très limitée, au point de frottement, et cela s’explique, en partie, par la constatation suivante : L’huile est constamment déplacée vers l’extrémité de la virgule, par les dents et par la force centrifuge. L’arc, assez étendu, de cette extrémité, place l’huile dans un véritable courant d’air et provoque l’accélération de son altération. Cette disparition des qualités primordiales de l’huile diminue les possibilités réglantes des montres équipées de cet échappement, et une usure rapide apparaît.
    Cet inconvénient n’est pas le seul ayant empêché une commercialisation plus étendue de l’échappement à virgule.
    Au début, les montres équipées de cet échappement étaient montées uniquement dans les ateliers de Lépine, à Ferney-Voltaire, ou par les grands maîtres horlogers parisiens. Par la suite, l’ensemble de la corporation horlogère tenta la vulgarisation mais elle fut vite rebutée par les difficultés de construction et de mise au point, car l’échappement à virgule ne tolère aucun vice dans ces deux domaines. Les horlogers revinrent à l’échappement à cylindre, qui, par ailleurs, s’imposait grâce à une mécanisation en plein progrès, réduisant notablement son prix de revient.
    C’est aussi cette mécanisation qui permit au cylindre de rivaliser avec la virgule dans un autre domaine, celui de la miniaturisation. Lépine, le père de l’extra-plat, pensait, avec son échappement, franchir encore un nouveau pas (c’est déjà lui qui supprima la fusée dans ce même but). Le cylindre posait de nombreux problèmes de réduction et c’est seulement la machine-outil qui permit des réalisations en grandes séries.
    Citons enfin un dernier inconvénient, qui, s’il n’est pas particulier à l’échappement à virgule, est néanmoins spécialement accru, celui de la fragilité. L’axe du balancier est entaillé très profondément au point de repos intérieur, afin d’obtenir des repos très près du centre de pivotement, et cette encoche rend l’axe très cassant.
    Joseph Flores rédacteur de la revue « Horlogerie ancienne » éditée par l’AFAHA www.afaha.com

  • @lmmr1
    @lmmr1 3 года назад +1

    Would it be fair to say that this is a single-impulse version of the cylinder escapement?

    • @Waterpearl_escapement
      @Waterpearl_escapement  3 года назад +1

      This escapement is considered the improved version of the cylinder escapement, it has a very small impulse at the entry of the Virgule and a large impulse on the Virgule

  • @scienceprimo
    @scienceprimo 3 года назад

    I noticed there is some recoil in the escape wheel towards the counterclockwise extreme of the balance wheel's movement. Is that intentional?

    • @Waterpearl_escapement
      @Waterpearl_escapement  3 года назад +1

      This small recoil is due to the amplitude limitation device, the torque applied may be a little too high