Merci pour ce temoignage, je ne suis pas toujours sur du diagnostique que j'ai . J'ai très bien fait semblant pendant très longtemps et me voilà très fatigué à mes 50 ans sans écoute externe naturelle alors chez le psy depuis bientôt 5ans et c'est toujours complexe de lier ma vie avec l'ordinaire et le quotidien,mais un grand merci pour cette belle oralité sur un sujet qui me touche.
Description interessante. Le mépris/peur pour les troubles mentaux est à mon sens lié au mépris toujours présent pour les maladies en général (oppression sur les gens qui sont non-productifs). On est encore très fort mine de rien dans l'héritage du "elle s'écoute trop / si tu te ressaisis, ça ira" qu'on disait dans les années 50-60 à n'importe quel malade. Alors si en plus la maladie est "invisible" et "dans la tête", c'est encore plus louche pour les gens. Donc oui, énorme taf de changement culturel à opérer, qui devrait idéalement aller avec une critique de la productivité pour la productivité.
Merçi de VOTRE narration precise du DU TROUBLE, COMPRENDRE comment EST Vècu le Trouble dans la quotidianitè, C'est une Double Souffrançe.. Il FAUT Feindre Les souffran es en Sociète pour ne pas ètre Stigmatiser,et Harcelè, C'est TRÈS Lourd à Porter' COURAGE à Tous qui SONT affectès de maladie mentale 🤝🤝🤝💕
Bonjour, c'est très intéressant. La fin est tellement vrai, avoir un trouble est difficile à vivre au quotidien. Je voudrais dire aussi, beaucoup de conseils sur la santé mentale sont pour les personnes sans troubles et parfois même avec la meilleure volonté du monde, il est très dur de faire bien et sens suivent la culpabilité ou le découragement et bien d'autres sentiments, émotions, ressentis. Pour exemple, faire de la relaxation, de la méditation ou même d'arrivé a être calme, cela est tout simplement impossible. Avoir des connaissances sur le trouble n'empêche pas de vivre des moments difficiles et parfois, c'est bien pire. Car avoir la conscience des mécanismes, de notre fonctionnement et ne pas réussir malgré notre bon vouloir, c'est très dur ! 🌈🌈
Bonjour, ce n'est pas impossible, croyez-moi ! Il y a vraiment moyen en y allant peu à peu. Le trouble s'atténue également avec l'âge même s'il ne disparaît pas complètement. La culpabilité, le découragement, il faut les partager avec une personne compétente qui pourra alléger votre fardeau avec une oreille attentive.
J'ai 34 ans et j'ai été diagnostiquée l'année dernière en hospitalisation d'urgence et depuis mon évolution est fulgurante j'ai repris mes études, je perçois l'AAH, je suis stabilisée avec mon traitement et l'accompagnement dont je bénéficie depuis 2 ans. Je suis également ancienne poly toxicomanie (notamment les opiacés pour la gestion de mes humeurs, on peut pour ce produit clairement parler d'auto médication). J'ai suivie un traitement à la methadone pendant 5 ans et c'est à son arrêt, il y a donc un peu plus de deux ans, que j’ai été au plus profond de ma détresse. J'ai donc ce qu'on appelle une pathologie duelle en plus du TSPT complexe qui est pour moi l'origine de ce trouble de la personnalité. J'ai pris des risques insensés toute ma vie et aujourd'hui j'aspire à faire de mon expérience mon métier pour aider mes pairs. Car oui l'état limite se soigne bien avec la psychothérapie et les symptômes s'estompent au fil du temps. Donc no stress on va s'en sortir ! Abigail tu parles de ce trouble avec beaucoup de pertinence et je t'en remercie. Le travail sur soi est fonda mentale lol et le l'auto analyse aide énormément. Et pour tous les commentaires stigmatisants que j'ai pu lire sur les différentes vidéos sur le sujet calm down nous ne sommes pas des monstres. On a aussi des vies de famille qui tournent très bien voir mieux que certaines car notre empathie n'a pas de limites et si on fait le nécessaire on peut devenir des parents contenants et soutenants. Capable du pire comme du meilleur, oscillant sur un fil, pour moi la vie de borderline est autant un fardeau qu'une chance. Mais au fil du temps les choses s'apaisent. Pour moi le parcours d'un borderline est un parcours coloré et non édulcoré ;) et tant qu'il y a de la couleur il y a de la lumière. Sommes nous fous où juste des artistes de la vie ça c'est à nous de choisir !
Oh punaise je disais la même chose à une amie. Dire aux autres que l'on souffre d'une dépression ou comme toi d'un TPB est comme faire un coming out. Et à l'instar d'un coming out gay, tu vois qui sont tes vrais ami-es si tant est que tu en as. Excellent.
Evidemment que c'est très difficile pour les malades, mais pour leurs conjoints aussi c'est compliqué, et "kiffer sa life" de personne sans trouble(s) c'est par exemple pas possible quand on vit avec quelqu'un qui en a.
Je viens de terminer votre phrase. .quand vous dites" c'est la vision que les autres on de ce trouble" et je réalise quil faut le dire aux personnes de notre entourage pour qu'ils soient capables de NS comprendre, de nous supporter ds les phases de crises et surtout de ne pas NS stigmatiser..
Eu une relation avec pn genre borderline incohérent humeurs d'une girouette conduites à risques etc.. C invivable C infernal Borderline C le cluster B avec psychopathe sociopathe antisocial.. Bonjour la galère Certains sont à isoler.. Font trop de mal aux autres fléau societal Vous avez l'air sympa, et au moins consciente de ce trouble, vous souhaite le meilleur Suis bien névrosée aussi 😅 hypersensible et anxiété c'est très chiant aussi 😅
@@ApprentissageMusashiDokodo oui mais sont dans la même maison, et pas dans la même pièce. Ya certains aspects qui se ressemblent.. Ça prête à confusion, j'avoue.. Je pourrais dire que c'est aussi un sociopathe
Question : comment distingue-t-on ce trouble en tant que tel des séquelles d'abus / traumas infantiles / pics de stress (puisque tous les traits qui sont cités + les sensations de vide, la perte de connexion avec ses émotions, les idéations suicidaires, etc. sont "facilement" implémentés en quelqu'un via tel ou tel abus, chocs de stress ou conditionnement violent) ? Est-ce que le trouble borderline est considéré comme l'addition de tout cela (avec comme source(s) : ces violences et le niveau de stress important qu'elles impliquent)? Et si oui, la prise en charge est-elle adaptée à la gestion des séquelles du stress ? Est-ce que la compréhension des causes fait partie de la thérapie ? Je demande tout cela pour comprendre et aussi parce qu'en France on oscille entre deux extrêmes qui sont la médication (dont je m'étonne du nombre de personnes qui disent que c'est inefficace sur elles voire aggravant) et les thérapies par la parole (qui sont maintenant considérées avec beaucoup plus de prudence aux USA et au Canada car ils se sont rendus compte que - contrairement à ce que prétend la psychanalyse, indéboulonnable en France - les thérapies par la parole ne sont pas du tout adaptées à la "guérison" de certains traumas et peuvent même les aggraver. On appelle ça la victimisation secondaire ; c'est quand une mauvaise prise en charge familiale, professionnelle ou judiciaire aggrave le choc, et là-bas ça mène à des procès. On est encore loin du compte en France, où règne l'idée du "vide ton sac, ça ira mieux après", sauf que répéter les traumas c'est aussi potentiellement rester dedans, les revivre, ne pas pouvoir mesurer le niveau émotionnel de ces moments de répétition, et donc les inscrire, comme des habitudes émotionnelles avec leur lot de production chimique délétère pour le corps,... d'où maladies auto immune, etc. Plein de recherches font le lien entre tout ca.) Si qqn a un élément de réponse ou de complément, je suis preneuse.
Les thérapies verbales ont un intérêt mais ne régleront pas forcément les signaux du trauma en soi. Ce qui est sûr, c'est que parler ou ne pas parler n'est pas forcément la panacée. Il y en a que ça va pouvoir libérer, d'autres qui vont pas bien le vivre
Abigael, vs êtes une jeune femme magnifique, intelligente et belle. Essayer de fréquent er des personnes qui vs aime et vs accepté telle que vs êtes au départ. Ces personnes vont vs accueilir. Les autres ne sont la que pour déverser leur fiel ..tant que l'on n'est pas passé par cet ENFER, on ne peux pas JUGER qui que ce soit. ..
On peut aller mieux. Il faut être suivi par un psychiatre et prendre des médicaments. Avec le temps on apprend à gérer mieux ces émotions. On n est plus dans l extrême.
Comment les gens vont réagir ? En usant de moyens de protections car nous ne sommes pas responsables de vos troubles. (victime d'une borderline qui me l'a annoncé sans jamais me méfier et.... bim ! dans ma face et sans crier gare !)
Ce commentaire au présent de vérité générale n'apporte rien. En effet, c'est une affirmation sous le ton d'une pseudo vérité. Tous le monde fait des dégâts lors des relations interpersonnelles. Il y a des personnes qui sont capables de le reconnaître et par exemple de parfois s'excuser. Pour cela, il semble qu'il faille bien se connaître et être capable d'accepter ses "defaults" ou particularités. Ce témoignage nous montre que cette personne souhaite ne pas se mentir et d'accepter comme elle est et même témoigner pour aider d'autres personnes. Donc elle est dans une démarche d'aide d'autre personne. Vous en revanche par votre remarque vous pouvez être blessant. Donc entre elle et vous, la personne qui est le plus a même de faire du tord, c'est vous. C'est mon analyse !
Je ne veux embrouiller personne, mais il faut quand même savoir que le diagnostique de TPB est pas mal controversé. Certains psychiatres sont favorables à ce qu'ils soient abandonné pour d'autres "catégories". Déjà dans les années 1980, Perry et Klerman (pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/623500/) critiquaient fortement le diagnostique. Plus récemment Peter Tyrer a également critiqué le diagnostique dans son livre "Personality disorders, from evidence to understanding".
Souvent confondu avec le TDA qui a beaucoup de symptômes qui s'y ressemble, de plus en France nous sommes en retard par rapport à nos collègues américains suisse , canada.
Merci pour ce temoignage, je ne suis pas toujours sur du diagnostique que j'ai .
J'ai très bien fait semblant pendant très longtemps et me voilà très fatigué à mes 50 ans sans écoute externe naturelle alors chez le psy depuis bientôt 5ans et c'est toujours complexe de lier ma vie avec l'ordinaire et le quotidien,mais un grand merci pour cette belle oralité sur un sujet qui me touche.
Description interessante. Le mépris/peur pour les troubles mentaux est à mon sens lié au mépris toujours présent pour les maladies en général (oppression sur les gens qui sont non-productifs). On est encore très fort mine de rien dans l'héritage du "elle s'écoute trop / si tu te ressaisis, ça ira" qu'on disait dans les années 50-60 à n'importe quel malade. Alors si en plus la maladie est "invisible" et "dans la tête", c'est encore plus louche pour les gens.
Donc oui, énorme taf de changement culturel à opérer, qui devrait idéalement aller avec une critique de la productivité pour la productivité.
Super sourire, continuez, vous êtes une perle de border line. J avais l impression que vous racontez ma vie. On va y arriver, courage à vous tous.
Merci c'est super de temoigner comme cela !
Un excellent témoignage.Merci.
Bravo pour votre témoignage🌺
Merçi de VOTRE narration precise du DU TROUBLE,
COMPRENDRE comment EST Vècu le Trouble dans la quotidianitè,
C'est une Double Souffrançe..
Il FAUT Feindre Les souffran es en Sociète pour ne pas ètre Stigmatiser,et Harcelè,
C'est TRÈS Lourd à Porter'
COURAGE à Tous qui SONT affectès de maladie mentale 🤝🤝🤝💕
Bonjour, c'est très intéressant. La fin est tellement vrai, avoir un trouble est difficile à vivre au quotidien. Je voudrais dire aussi, beaucoup de conseils sur la santé mentale sont pour les personnes sans troubles et parfois même avec la meilleure volonté du monde, il est très dur de faire bien et sens suivent la culpabilité ou le découragement et bien d'autres sentiments, émotions, ressentis. Pour exemple, faire de la relaxation, de la méditation ou même d'arrivé a être calme, cela est tout simplement impossible. Avoir des connaissances sur le trouble n'empêche pas de vivre des moments difficiles et parfois, c'est bien pire. Car avoir la conscience des mécanismes, de notre fonctionnement et ne pas réussir malgré notre bon vouloir, c'est très dur ! 🌈🌈
Bonjour, ce n'est pas impossible, croyez-moi ! Il y a vraiment moyen en y allant peu à peu. Le trouble s'atténue également avec l'âge même s'il ne disparaît pas complètement. La culpabilité, le découragement, il faut les partager avec une personne compétente qui pourra alléger votre fardeau avec une oreille attentive.
J'ai 34 ans et j'ai été diagnostiquée l'année dernière en hospitalisation d'urgence et depuis mon évolution est fulgurante j'ai repris mes études, je perçois l'AAH, je suis stabilisée avec mon traitement et l'accompagnement dont je bénéficie depuis 2 ans. Je suis également ancienne poly toxicomanie (notamment les opiacés pour la gestion de mes humeurs, on peut pour ce produit clairement parler d'auto médication). J'ai suivie un traitement à la methadone pendant 5 ans et c'est à son arrêt, il y a donc un peu plus de deux ans, que j’ai été au plus profond de ma détresse. J'ai donc ce qu'on appelle une pathologie duelle en plus du TSPT complexe qui est pour moi l'origine de ce trouble de la personnalité. J'ai pris des risques insensés toute ma vie et aujourd'hui j'aspire à faire de mon expérience mon métier pour aider mes pairs. Car oui l'état limite se soigne bien avec la psychothérapie et les symptômes s'estompent au fil du temps. Donc no stress on va s'en sortir ! Abigail tu parles de ce trouble avec beaucoup de pertinence et je t'en remercie. Le travail sur soi est fonda mentale lol et le l'auto analyse aide énormément. Et pour tous les commentaires stigmatisants que j'ai pu lire sur les différentes vidéos sur le sujet calm down nous ne sommes pas des monstres. On a aussi des vies de famille qui tournent très bien voir mieux que certaines car notre empathie n'a pas de limites et si on fait le nécessaire on peut devenir des parents contenants et soutenants. Capable du pire comme du meilleur, oscillant sur un fil, pour moi la vie de borderline est autant un fardeau qu'une chance. Mais au fil du temps les choses s'apaisent. Pour moi le parcours d'un borderline est un parcours coloré et non édulcoré ;) et tant qu'il y a de la couleur il y a de la lumière. Sommes nous fous où juste des artistes de la vie ça c'est à nous de choisir !
Merci pour votre grand courage, ca aide enormement a comprendre ,vous avez pas idee
BRAVO pour VOTRE PARTAGE, ÇE N",EST PAS SIMPLE SE RACCONTER'
MERÇI ÇA AIDE BEAUCOUP
🤝🤝
Merci pour ton témoignage
Merci , un beau témoignage
Bonjour, on se ressemble beaucoup, je souhaite militer également contre toute cette stigmatisation. Bon courage à vous
Oh punaise je disais la même chose à une amie. Dire aux autres que l'on souffre d'une dépression ou comme toi d'un TPB est comme faire un coming out. Et à l'instar d'un coming out gay, tu vois qui sont tes vrais ami-es si tant est que tu en as. Excellent.
Evidemment que c'est très difficile pour les malades, mais pour leurs conjoints aussi c'est compliqué, et "kiffer sa life" de personne sans trouble(s) c'est par exemple pas possible quand on vit avec quelqu'un qui en a.
Je viens de terminer votre phrase. .quand vous dites" c'est la vision que les autres on de ce trouble" et je réalise quil faut le dire aux personnes de notre entourage pour qu'ils soient capables de NS comprendre, de nous supporter ds les phases de crises et surtout de ne pas NS stigmatiser..
Juste merci...
Eu une relation avec pn genre borderline incohérent humeurs d'une girouette conduites à risques etc..
C invivable C infernal
Borderline C le cluster B avec psychopathe sociopathe antisocial.. Bonjour la galère
Certains sont à isoler.. Font trop de mal aux autres fléau societal
Vous avez l'air sympa, et au moins consciente de ce trouble, vous souhaite le meilleur
Suis bien névrosée aussi 😅 hypersensible et anxiété c'est très chiant aussi 😅
Borderline c'est pas pervers narcissique
@@ApprentissageMusashiDokodo oui mais sont dans la même maison, et pas dans la même pièce. Ya certains aspects qui se ressemblent.. Ça prête à confusion, j'avoue.. Je pourrais dire que c'est aussi un sociopathe
@@lisahello382 sociopathe vous allez trop loin!
Les pervers narcissiques et psychopathes/sociopathes n'ont aucune empathie!
C’est exactement ce que je traverse😮
Question : comment distingue-t-on ce trouble en tant que tel des séquelles d'abus / traumas infantiles / pics de stress (puisque tous les traits qui sont cités + les sensations de vide, la perte de connexion avec ses émotions, les idéations suicidaires, etc. sont "facilement" implémentés en quelqu'un via tel ou tel abus, chocs de stress ou conditionnement violent) ?
Est-ce que le trouble borderline est considéré comme l'addition de tout cela (avec comme source(s) : ces violences et le niveau de stress important qu'elles impliquent)?
Et si oui, la prise en charge est-elle adaptée à la gestion des séquelles du stress ?
Est-ce que la compréhension des causes fait partie de la thérapie ?
Je demande tout cela pour comprendre et aussi parce qu'en France on oscille entre deux extrêmes qui sont la médication (dont je m'étonne du nombre de personnes qui disent que c'est inefficace sur elles voire aggravant) et les thérapies par la parole (qui sont maintenant considérées avec beaucoup plus de prudence aux USA et au Canada car ils se sont rendus compte que - contrairement à ce que prétend la psychanalyse, indéboulonnable en France - les thérapies par la parole ne sont pas du tout adaptées à la "guérison" de certains traumas et peuvent même les aggraver. On appelle ça la victimisation secondaire ; c'est quand une mauvaise prise en charge familiale, professionnelle ou judiciaire aggrave le choc, et là-bas ça mène à des procès. On est encore loin du compte en France, où règne l'idée du "vide ton sac, ça ira mieux après", sauf que répéter les traumas c'est aussi potentiellement rester dedans, les revivre, ne pas pouvoir mesurer le niveau émotionnel de ces moments de répétition, et donc les inscrire, comme des habitudes émotionnelles avec leur lot de production chimique délétère pour le corps,... d'où maladies auto immune, etc. Plein de recherches font le lien entre tout ca.)
Si qqn a un élément de réponse ou de complément, je suis preneuse.
Les thérapies verbales ont un intérêt mais ne régleront pas forcément les signaux du trauma en soi. Ce qui est sûr, c'est que parler ou ne pas parler n'est pas forcément la panacée. Il y en a que ça va pouvoir libérer, d'autres qui vont pas bien le vivre
Abigael, vs êtes une jeune femme magnifique, intelligente et belle.
Essayer de fréquent er des personnes qui vs aime et vs accepté telle que vs êtes au départ. Ces personnes vont vs accueilir. Les autres ne sont la que pour déverser leur fiel ..tant que l'on n'est pas passé par cet ENFER, on ne peux pas JUGER qui que ce soit. ..
Annoncer aux gens son trouble borderline n'est pas une chose nécessaire
pourquoi pensez-vous cela?
On peut aller mieux. Il faut être suivi par un psychiatre et prendre des médicaments. Avec le temps on apprend à gérer mieux ces émotions. On n est plus dans l extrême.
Mouais
Et vous avez une sexualité débridée ou du mal avec les relations stables par votre angoisse d'abandon ?
Les anti depresseurs fonctionnent rarement sur les graves dépressions des border lines
Comment les gens vont réagir ? En usant de moyens de protections car nous ne sommes pas responsables de vos troubles. (victime d'une borderline qui me l'a annoncé sans jamais me méfier et.... bim ! dans ma face et sans crier gare !)
Il faut quitter l'autre ds ce cas là😣😐
ahah c'est trop ca
"Ne dis jamais fou à ton frère" Qui a dit ça ? Jésus
c'est un enfer
Ptdr
les borderline font beaucoup de dégâts et on ne parle jamais de leurs victimes ...
Quel genre de dégats ?
Ce commentaire au présent de vérité générale n'apporte rien. En effet, c'est une affirmation sous le ton d'une pseudo vérité. Tous le monde fait des dégâts lors des relations interpersonnelles. Il y a des personnes qui sont capables de le reconnaître et par exemple de parfois s'excuser. Pour cela, il semble qu'il faille bien se connaître et être capable d'accepter ses "defaults" ou particularités. Ce témoignage nous montre que cette personne souhaite ne pas se mentir et d'accepter comme elle est et même témoigner pour aider d'autres personnes. Donc elle est dans une démarche d'aide d'autre personne. Vous en revanche par votre remarque vous pouvez être blessant. Donc entre elle et vous, la personne qui est le plus a même de faire du tord, c'est vous. C'est mon analyse !
@@gaelprioleau528joli! Et très juste!
Si j'étais lesbienne, elle m'intéresserait !!! ❤❤❤🎉
Chelou
Je ne veux embrouiller personne, mais il faut quand même savoir que le diagnostique de TPB est pas mal controversé. Certains psychiatres sont favorables à ce qu'ils soient abandonné pour d'autres "catégories". Déjà dans les années 1980, Perry et Klerman (pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/623500/) critiquaient fortement le diagnostique. Plus récemment Peter Tyrer a également critiqué le diagnostique dans son livre "Personality disorders, from evidence to understanding".
Souvent confondu avec le TDA qui a beaucoup de symptômes qui s'y ressemble, de plus en France nous sommes en retard par rapport à nos collègues américains suisse , canada.